Patients Sclérose en plaques
Origines psychologiques et spirituelles de la SEP ?
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Bonjour @Dalila78 ce que dit LisaMaMeilleureEnnemie est bien, toujours accepter ce que nous somme, pour apprendre à s'aimer, pour une vie paisible, harmonieuse, un bien être.
C'est tout un apprentissage pour s’aimer, et ce n'est qu'avec le temps que petit à petit je m'aime, au point que je suis surpris de me le dire, je remercie la vie 
Oui nous sommes EXCEPTIONELLE.... 🌸🌼🌺
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xavier666
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Je suis centent de parler avec vous, car ça m'oriente à accepter mon corps, je ne sais pas ce qui a déclenché la maladie, mais ça ne m'empêche pas de vivre bien avec moi même, merci la vie, et les gens que je fréquente, je suis heureux 
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xavier666
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@Krikrj Oui tout à l'heur il y a un prof de percussion qui va venir chez moi, vive la musique, c'est un plaisir de la vie, je ne peux plus jouer de guitare, à cause d'un problème au niveau de mon bras droit à cause de la sep, mais de la percussion oui, en plus ça me fait travailler ce bras ; toujours en mouvement
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xavier666
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@LisaMaMeilleureEnnemie Oui ce que tu dis est beau 
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xavier666
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Je me joins à la discussion qui est déjà déjà très riche ce qui me donne l'opportunité d'écrire mon premier post sur ce site 
.
@LisaMaMeilleureEnnemie : je souscris entièrement à ta vision des choses. J'ai un parcours personnel qui ressemble au tien. Je vais résumer ma manière de penser après avoir traversé quelques années de maladie et une douzaine de poussées.
1. Psychosomatique.
C'est le malade qu'il l'est, pas la maladie. Dans mon cas personnel il existe un lien fort entre mon état psychique et la survenue de poussées. Il a fallu d'abord la rencontre avec une thérapeute éclairée et bienveillante pour lever le voile sur ma personnalité. Les débuts de la thérapie ont été longs et laborieux. Le déclic est venu quand elle m'a conseillé la lecture d'une livre d'Alice Miller "Le drame de l'enfant doué". Contrairement à ce que peut faire penser le titre le livre ne traite pas de la douance mais des conséquences à l'age adulte du manque d'amour ressenti par le nourrisson face à une mère "insuffisamment bonne". Ce dernier terme provient des travaux de D. Winnicott un psychanalyste anglais pionnier dans les recherches sur l'interaction mère-enfant qui conditionne la constitution du "soi" (self en anglais). Le livre d'Alice Miller met en lumière les stratégies de l'enfant (mise en place d'un faux self) pour essayer de toujours plaire à sa mère. A l'age adulte le fait d'endosser en permanence un faux self va se traduire en autre par l'apparition de maladies.
2. Thérapie.
Elle passe par essayer de ressentir pleinement les émotions (joie/tristesse/colère) de manière pleine et entière sans les enfouir au fond de soi. C'est très difficile à cinquante ans mais il est possible d'y arriver. @Guerrison je ne te rejoins pas sur un point, c'est de devoir pardonner à ses parents. Il est au contraire fondamental et libérateur d'oser exprimer la souffrance que l'on a connu enfant. Bien-sûr il est préférable de faire cela au cours d'une thérapie mais il ne faut pas exclure la possibilité de s'éloigner un peu de sa génitrice si cela est bénéfique.
Merci à tous pour ces échanges très intéressants.
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Guerrison
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Guerrison
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Ami
Bonjour à Tous,
J'ai rencontré la Sep il y a 29 ans via des personnes proches de moi et à l'époque me dirigeant vers des études de psychanalyse, après des recherches et réflexions personnelles, j'ai été fermement convaincue que cette maladie était psychosomatique. Quelques années plus tard je devenais boudhiste.
Il y a 1 an 1/2 après avoir été personnellement touchée par cette maladie, je repris mes recherches, compte tenu de l'énorme champs ouvert et méconnu de celle-ci. Une des questions répétées par les neurologues lors du diagnostique "avez-vous subi un choc psychologique récemment ? " et la réponse était oui. Je m'aperçu ensuite que de nombreux malades répondaient de la même façon. Ainsi je lu sur l'ARCEP que le 1er cas fortement supposé au 13eme siècle montrait des fortes phases d'accalmies lors de transes religieuses. Je constatais aussi qu'à l'hôpital et sur tous les sites officiels de la Sep ils conseillaient la sofrologie, la meditation, le yoga ou le Qui Qong, qui, réellement appliqués, sont des disciplines relevant de croyances : en soi, dans les forces de la nature, dans le fait que notre mental influe sur le corps. Et c'est évident puisque maintenant notre médecine occidentale l'appelle l'épigénétique. Je m'aperçu ensuite à mon grand étonnement que ceci à été précisément expliqué dans le judaïsme depuis plus de 3000 ans! Et ça l'est aussi dans certaines disciplines de l'ayurvedisme depuis des millénaires ! C'est ainsi que récemment on arrive à des questionnements comme l'encodage biologique ou la médecine quantique.
Alors je voudrais savoir si certains d'entre vous sont aussi parti sur ces pistes, ce que vous avez découvert et vos autres réflexions de cet ordre.
Merci d'avance et courage à Tous ! ☺