Après la dépression, ce que j'ai compris...

Merci commen ce un traitement depuis 11jours et mes angoisses s estompées mais ne sais plus ce que je veux....je dors très mal..

.peurs ..je vous remercie de votre témoignage aviez vous un psychothérapeute?

Bonjour

je ne sais pas si ce groupe est toujours d’actualité

depuis début de mois j’enchaîne plusieurs événements, et je déprime énormément..

‘début de mois j’ai eu un choc sur un ongle à la suite de ça j’ai dû le faire retirer . 10 jours après j’ai subit j’e opération pour réduction mammaire , une semaine après rdv dentiste qui a dû extraire deux de mes dents

et depuis je n’en vois pas le bout. Je suis encore en arrêt maladie cela va faire trois semaines . Et je me demande si je dois prolonger

suite à ça j’ai beaucoup d’anxiété , une boule au ventre dont je n’arrive pas a me débarrasser , je ne mange plus ..

là où j’habite je n’ai pas de famille ni amis ils habitent tous à une heure de route et je me demande si reprendre le travail me ferait du bien ou alors je n’ai pas la force d’y retourner

Je suis très touchée par votre récit, je pense que c’est ce qui fallait que j’entende, en tout cas ce dont j’avais besoin d’entendre. Je suis arrivé à un point où je me sens coupable, envahit de culpabilité si je venais à ne pas réussir à prendre tel et tel médicament (anti dépresseurs) sous prétexte que je n’arriverais pas à guérir SANS. Or, quand je prends ce genre de médicaments (en tout cas ceux que j’ai essayés jusqu’ici) me font énormément du mal, du mal physiquement, mentalement, leur symptômes sont insupportables et horribles. J’ai l’impression d’être hypocrite envers moi même et mon « envie de guérir », si je prends pas ces médicaments.

Dans tout les cas je suis déjà rongé par la culpabilité mais la prise de ce genre de médicaments m’a jamais été facile surtout le début, et c’est cela qui me bloque. Et ne pas pouvoir franchir les 3 semaines + avec la prise d’antidépresseurs me frustre.

Autre point qui me bloque, c’est qu’avec déjà plusieurs autres traitements j’ai développer une certaine accoutumance et aujourd’hui je suis dépendante de plusieurs médicaments difficile à sevrer, et j’ai aussi été impacté physiquement, grave prise de poids en quelque mois, le médicament m’a non seulement généré des troubles de l’alimentations (que je n’avais pas auparavant), mais aussi accentuer mes difficultés dans les rapports affectifs, liens humains, isolement et bien d’autres soucis, en plus de mes propres soucis de santé…

Mais votre message m’a fait comprendre, que je n’étais ni obligé de passer par ce genre de traitements « pour guérir » ni obliger de me sentir coupable de pas avoir été capable de prendre ce genre de traitements. Car avant tout, c’est pouvoir « guérir » à sa manière, quoiqu’il advienne.

J’espère que l’on trouvera tous son propre rythme et chemin vers la guérison et le succès.

Bonjour .

Vous aurez mieux fait d'expliquer à la communauté comment vous êtes sortie de la dépression au lieu de nous dire que les symptômes qui sont parfois insupportables au point de mener le patient au suicide ; toutes les médications et les thérapies cherchent à diminuer ces symptômes ( déréalisation , auto-punition - dévalorisation de soi , masochisme , perte de tout plaisir , perte de la mémoire et de la concentration , perte même de sa personnalité parfois , anxiété généralisée et j'en passe ) et là où vous hallucinez en voulant faire croire aux malades qui souffrent de jour et de nuit que la dépression , la maladie la plus dure à soigner dont 30 % de patients sont incurables vu qu'ils sont résistants aux psychotropes que non , la dépression est une véritable chance et un immense cadeau . Il fallait par conséquent ,madame rester malade .

Bonjour

Je suis en dépression sous traitement. Je ne vais pas trop mal, mais ce que tu dis est vrai aussi. Les médicaments, c'est l'arbre qui cache la forêt. J'ai peur d'arrêter car j'ai peur qu'elle revienne , ce monstre qui nous arrache l'envie de vivre.