Bipolarité et vie familiale

Bonjour à tous,

Je suis diagnostiquée bi-polaire depuis 2 ans maintenant.  J'ai suivi une thérapie après un diagnostic de cancer et la chimiothérapie me donnait des down au point de pleurer tout le temps pendant au moins une semaine. Ce qui fait que les deux autres semaines me laissait fatiguée et inconfortable. La psychiatre qui me suit encore m'a donné un certain nombre de médicaments et elle a diagnostiqué ma bi-polarité.  Selon elle, et en y regardant bien, je suis bi-polaire depuis très longtemps. Mais avant le diagnostic, je n'avais que des high, très peu de down. Aujourd'hui, c'est le contraire, j'ai la plupart du temps des down et quand ça va mieux, je suis au neutre... Pour l'instant je ne suis pas encore stabilisée. On joue avec le dosage des médicaments et je reste fragile étant très émotive. 

Ma famille, ne sait pas quoi faire. Je pleure souvent et on essaie bien de de consoler, mais ce n'est pas comme ça que ça marche. Ce qui fait que je me sens très seule et j'ai des tendances à m'isoler. Je prends pourtant mes médicaments à la lettre, mais l'efficacité passe très vite, je vois mon médecin une fois par mois environ et à chaque fois elle doit encore augmenter et donner d'autres médicaments pour essayer de trouver une certaine stabilité, pour que je me sente un peu moins dépressive.

Voilà c'est une partie de mon histoire, ma vie évolue dans un sens et dans un autre, ça ne reste pas fixe très longtemps quoique malgré tout, je suis mieux aujourd'hui qu'au début de la prise de médicament.

Bonjour a tous!

Je suis ravie de me joindre à vous, ce fotum m'ouvre les yeux sur ce qu'on  m'a diagnostiquer et je me rnesd compte que compter sur l'entourage n'est par forcémznt la selule solution, le traitement doit être le bon et puis soit même il faut se pousser afin de ne pas tomber dans le down . Projeter des objectifs et les atteindre est très compliqué c'st vrai mais losqu'on ne les atteind pas parcequ'on à écouté notre maladie, c'est plonger dans la dépression du à la déception de soi.L'image que l'on renvois de soit n'est pas ce qui doit être le principale puisque même les non bipolaires sont parfois exsécrale ou mutique, je pense avoir le dorit d'être bien puis pas bien, ceux quu'ils l'acceptent sont des gens tolérents et ceux-là existent même s'ils ne savent pas ce qui nous arrive. Dans la vie tout lemonde a ses moments difficile ou non et nous même les bipolaires on arrive même mieus à le supporter, la communication, est primordiale, "aujourd'hui, je ne suis pas dans mon assiette" peut être entendu par tous "hOLA LE COYOTE,tu as la pêche aujourd'hui"peut-être considéré comme un compliment. Si on commence uprojet mais qu'on met 15 plmb à le finir, c'est pas grave c'est la finalité qui compte

La société dit que lorsqu'on est malade quelque soit la maladie c'est un affaiblissement; cancer, bronchiopatie, handicap x y, moi je dit qu'au contraire durant les moment corrrecte il faut faire ce que l'on peux et ne pas culpabiliser vis à vis des jugements

J'encourage vivement les gens à vivre leur vie à leur rythme et surtout de ne pas avoir honte, échapper à ceux qui ne comprennent rien et aller vers des autres car on est comme on est et nul n'est à l'abris,Et dans notre monde iil y a heureusement des gens sencés

BON VENT A TOUS 

Bonsoir à tous,

Félicitation à tout ces proches qui ont compris ce qui était primordial pour les bipolaires, l'amour , la patience et, le soutien.En ce qui me concerne, mon père est bipolaire mais refuse de l'admettre, il a plus de 70 ans et, ce n'est pas à son age que je vais le changer, alors je le laisse faire sa vie comme il l'entend et, à moi de faire la mienne.La seule différence est que je me fais soigner pour le mieux être de mes proches car, comme certains l'ont dit trés justement, c'est trés trés difficile de vivre avec un bipolaire.AU début quand je l'appelais car, mes parents habitent dans le sud, et moi en bretagne, je lui disait quand ça n'allait pas et, il me disait secoue toi un peu, et la dessus je mettais une semaine à me remettre de la non compréhension de leur non compréhension.Maintenant, quand il m'appelle, si je ne vais pas bien, je dis que tous va bien et, ainsi, j'évite une nouvelle deception , cela me convient trés bien.A la maison, je me souvien quand j'étais petite car, j'ai 38 ans aujourd'hui, j'avais peur de mon père.Face à lui j'avais l'impréssion d'être une gamine qui a peur de se faire gronder puis il y a 5 ans peut être 'j'ai pris mon courage à deux mains et, je lui ai dit qu'il me faisait peur, et qu'il ne m'avait jamais dit je t'aime ou bien prise dans ses bras , en se qui concerne ma père , elle fait tout comme mon père dit,mon père a rit quand je lui ai dit et puis il a compris.Maintenant quand je lai ai au téléphone, ils me disent je t'aime sinon je les rappel et, je les enguele, cela se passe trés bien, j'ai enfin une relation adultes à adultes.Tout comme moi mon père parle trés fort, nous sommes originaire du sud, et, cela s'entend, personne dans ma famille n'avez jamais oser lui parler mais je crois que quelque part ça lui a fait autant de bien qu'a moi , il avait besoin qu'enfin quelqu'un lui dise ses quatres véritées, je crois que cela fait parti d'une de mes grandes fierté car j'ai su surmonter ma peur et, croyez moi apres cela plus grand chose ne me faisais vraiment peur.Je ne sais pas si c'est l'age ou quoi mais ses derniers temps il est même compréhensif, il est venu me consoler alors qu'a noel, je n'allais pas bien.

Le mot de la fin pour caliméro, n'ai pas honte d'en parler à tes amis, dis leurs de quoi tu souffre et, que dés fois tu vas trés bien et, que le lendemain tu peux aller trés mal, au moins, ils seront pourquoi tu ne parles pas, et tu verras tu te sentiras mieux , aprés tu sais , tu en auras toujours qui ne comprennent , ce qui te permettra de faire un tri pour savoir quels sont tes vrais amis.Tu sais il y a un proverbe qui dit :"il vaut mieux être seul que mal accompagné"courage caliméro.

Atteinte de cette maladie depuis longtemps m'a conduit à avoir des rapports instables avec mes parents,ma mère me couvait trop et mon père me traitait d'incapable, d'inadapté. La où tout a basculé c'est quand on m'a enlevé la garde ma fille pour la leur donner il a bientôt trois ans. Là ce fut une rupture quasi totale. Ma mère m'a dit le week-end dernier ne plus avoir aucun espoir pour moi! Et mon père quelques heures plus tard de me souhaiter ma mort : j'avais une quinte de toux, j'ai la crève en ce moment mais n'arrive pas à arrêter de fumer, ma fille étais là biensûr, donc mon père lance depuis le bureau "qu'elle en crève" cette phrase ne cesse de résonner en moi. Ces deux réflexion m'ont fait penser qu'en fait d'aussi loin que je me rappelle ne m'ont jamais encouragé mais toujours reproché mes erreurs. Depuis le départ de Ambre je me sens comme une recluse on ne m'invite pas aux repas de famille tous le monde me fuit. C'est horrible

Bonjour,moi j'ai rien dit à ma famille,a part mon amie,il est vrai que certaines personnes des que vous parler de problèmes psy, vous cataloguent ,vous prennent pour un oisif ou autre

Ma famille ne veut rien en savoir et estime que cette maladie est une comédie pour me faire plaindre. Je perds des amis à cause des symptômes associés à la bipolarité. Cette maladie m'a fait également perdre mon travail.

Voilà rien de bon en fait...

Dans ma famille, seule ma mère connaît exactement cette maladie, elle même est bipolaire! Les autres membres de ma famile se réconforte quand je vais mieux sans se rennseigner sur ce que j'ai. Mes meilleures amies sont au courant et je leur explique au fil du temps mes symtomes, mes antécédents pour les informer au mieux sur mon état et éventuellement qu'elles puissent me prévenir si elle voit un changement d'humeur intempestif! 

Mais je ne connaîs pas cette maladie à fond, à vrai dire je débute et je ne pense pas être capable de reconnaître tous les signes avant coureurs d'une rechute. Je ne savais même pas qu'il fallait tenir à jour un agenda de mon humeur, c'est mon psy qui me l'a appris hier soir. Il faut avant tout se connaître et bien connaître la maladie car nous sommes les seuls à pouvoir nous en sortir face à elle. 

Bonjour Miss Koko,

Je me permets d'intervenir pour vous rappeler l'intérêt de mettre à jour vos indicateurs de suivi. A long terme, vous pourrez constater l'évolution de ces indicateurs dans votre tableau de bord. Ces indicateurs ont été défini avec le Dr Amado (cf vidéo sur le trouble bipolaire). La surveillance de ses symptômes et la première chose à faire dans sa propre prise en charge.
Je me tiens à votre disposition si vous avez des questions.

Bien à vous.

Antoine

C est dure, tres dure.. on devait emmenager ensemble, j ai emmenagé seule, il veut que je retire son nom du bail. Son appart est dans un etat pitoyable, il s alcoolise, j ai peur, peur de l avenir, peur pour lui.

Il ne veut pas se soigner, nie la maladie, ne veux pas avoir de suivi psychologique, mais il voit bien qu il va mal.. Il n a plus gout a rien, comme il dit "je suis vide" et il me dit que c est de ma faute, mais qu il m aime.. Comment reagir face a cela

Ce qui me permet de tenir, c est ce forum, c est vous avec vos temoignages, autrement j aurai tout envoyé valsé, siseulement il pouvait lire vos temaignages, peut etre admetrait il plus facilement ce dont il souffre.