Cancer de l'ovaire : tout savoir

Le cancer de l’ovaire est le 7ème cancer le plus fréquent chez la femme et la 4ème cause de décès chez les femmes. C’est une maladie qui affecte les cellules reproductrices de la femme, les ovaires.

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CANCER DE L’OVAIRE : Définition, symptômes, traitements

Qu’est-ce que le cancer de l’ovaire ?

Définition

Les ovaires (ou gonades femelles) sont deux glandes situées dans le petit bassin, de part et d’autre de l’utérus et appartenant à l’appareil reproducteur féminin. Ils ont pour fonction principale la production des ovules et des hormones sexuelles féminines.

Un cancer correspond à la transformation d’une cellule initialement normale qui va proliférer de façon excessive pour former une masse appelée tumeur maligne.

Le cancer de l’ovaire le plus fréquent est l’adénocarcinome de l’ovaire (90% des cas), touchant les cellules épithéliales en surface de l’ovaire (tumeurs épithéliales). On distingue également les tumeurs stromales touchant les cellules stromales de l’ovaire et enfin les tumeurs germinales touchant les cellules germinales.

Au départ, la tumeur se développe à l’intérieur de l’un des deux ovaires, mais au fur et à mesure que les cellules cancéreuses se multiplient, la tumeur va grossir et la capsule entourant l’ovaire va se rompre. Les cellules cancéreuses vont alors pouvoir se propager et atteindre les organes voisins tels que les trompes de Fallope, l’utérus, l’autre ovaire, la vessie et le rectum. On parle dans ce cas d’extension pelvienne. Ensuite, le cancer peut s’étendre à d’autres organes de l’abdomen, notamment le péritoine et les ganglions lymphatiques. Enfin, en l’absence de traitement, le cancer peut atteindre des organes plus éloignés comme le foie ou les poumons par le biais des vaisseaux sanguins ou lymphatiques. Il s’agit dans ce cas de métastases.

Le cancer de l’ovaire est-il fréquent ?

Le nombre de nouveaux cas de cancer de l’ovaire en 2018 en France est estimé à 5200. C’est le 8ème cancer le plus fréquent chez la femme et la 4ème cause de mortalité par cancer.

L’incidence de ce cancer est en baisse depuis 1990, avec une diminution de 0,6% par an en moyenne entre 1980 et 2015. Le taux de mortalité a également diminué, avec une baisse de 10% entre 2002 et 2012, certainement dûe à l’augmentation de l’utilisation de contraceptifs oraux (qui semblent diminuer le risque de cancer ovarien) et à la baisse de l’utilisation des traitements hormonaux substitutifs (THS) de la ménopause (dont la prise au long cours semble augmenter le risque de cancer ovarien).

Le taux de survie à 5 ans (nombre de personnes en vie 5 ans après le diagnostic) est d’environ 40% et est en nette amélioration.

Symptômes et complications du cancer de l’ovaire

Le cancer de l’ovaire provoque peu de symptômes et ceux-ci apparaissent au fur et à mesure que la tumeur évolue. Ainsi, ce cancer est souvent diagnostiqué tardivement, à un stade avancé, lorsque les cellules cancéreuses ont atteint d’autres organes.

Plusieurs signes peuvent néanmoins faire suspecter un cancer de l’ovaire et ainsi amener le patient à consulter :

  • Des sensations de gonflement ou de ballonnement de l’abdomen ;
  • Une augmentation du volume de l’abdomen ;
  • Des douleurs abdominales ou pelviennes (bas-ventre) ;
  • Des saignements ou pertes vaginales anormales (rarement) ;
  • Des troubles du transit (constipation), de faux besoins d’aller à la selle ;
  • Des envies pressantes d’aller uriner ;
  • Des symptômes d’un problème de circulation veineuse : oedème d’un membre inférieur, phlébite ou sciatalgie (douleurs au niveau du nerf sciatique) ;
  • Des douleurs thoraciques ;
  • Un essoufflement prolongé ;
  • Des symptômes généraux et non spécifiques tels qu’une altération de l’état de santé général se manifestant par une fatigue générale (asthénie) ainsi qu’une perte de poids et d’appétit.

Une masse ovarienne peut également être détectée lors d’un suivi gynécologique ou lors d’un examen d’imagerie.

Si un ou plusieurs de ces symptômes apparaissent et persistent dans le temps, il est important d’en informer son médecin.

Causes et facteurs de risque du cancer de l’ovaire

Différents facteurs augmentent le risque de développer un cancer de l’ovaire.

Ces facteurs de risque sont :

  • Une prédisposition génétique : environ 10% des cancers de l’ovaire surviennent dans un contexte de prédisposition génétique. Certaines mutations génétiques favorisent le développement d’un cancer de l’ovaire, et parmi ces mutations on retrouve en majorité une mutation des gènes BRCA 1 ou 2 (favorisant également le développement du cancer du sein), et plus rarement une mutation d’un des gènes du syndrome de Lynch. Ces anomalies génétiques héréditaires représentent le principal facteur de risque du cancer de l’ovaire.
  • La présence de plusieurs cancers du sein ou de l’ovaire dans la famille (mère, tante, soeur ou fille), même sans mutation génétique identifiée au sein de celle-ci.
  • L’âge : une femme âgée a plus de risques de développer un cancer de l’ovaire qu’une femme jeune. L’âge moyen au diagnostic est de 65 ans.
  • L’histoire hormonale de la femme : l’absence de grossesse, une puberté précoce ou une ménopause tardive sont des facteurs de risque du cancer de l’ovaire. A l’inverse, la grossesse, l’allaitement et la prise de contraceptifs oraux ont un effet protecteur vis-à-vis de ce cancer. Il semble alors exister une relation entre le nombre de cycles menstruels et donc le nombre d’ovulations durant la vie de la femme et le risque de développer un cancer de l’ovaire. Ainsi, les facteurs réduisant le nombre d’ovulations durant la vie semblent diminuer le risque de cancer de l’ovaire.
  • La prise prolongée (> 5 ans) d’un traitement hormonal substitutif (THS) de la ménopause,
  • Le surpoids et l’obésité,
  • Le tabagisme,
  • L’exposition à certains toxiques comme l’amiante.

Diagnostic du cancer de l’ovaire

Après la découverte d’une masse ovarienne, un certain nombre d’examens devront être pratiqués pour confirmer le diagnostic. Pour cela, un bilan diagnostique va être effectué. 

Celui-ci se divise en deux parties :

  • Le bilan initial, permettant de confirmer la présence d’un cancer, sa localisation et son type ;
  • Le bilan d’extension, permettant d’évaluer l’étendu du cancer et ainsi de définir son stade.

Le bilan initial

Le bilan initial débute par un examen clinique comprenant un entretien avec la patiente, un examen gynécologique (toucher vaginal, toucher rectal, examen des seins) ainsi que la palpation de l’abdomen et des ganglions, réalisés lors d’une consultation médicale. Le médecin s’informe sur l’état général de la patiente, ses antécédents médicaux personnels et familiaux, ses différents facteurs de risque et recherche la présence d’éventuels signes visibles d’un cancer de l’ovaire (masse palpable par exemple).

Ensuite, une échographie pelvienne est réalisée, permettant d’évaluer la taille, la nature et la localisation de la tumeur, ainsi que son éventuelle extension locale. Cet examen comprend une échographie par voie sus-pubienne (la sonde est posée sur la peau au-dessus du pubis) et une échographie endovaginale (la sonde est introduite dans le vagin).

Une IRM pelvienne peut éventuellement être réalisée lorsque l’échographie n’a pas permis de déterminer précisément la nature du kyste.

Le dosage d’un marqueur tumoral, le marqueur CA 125 (protéine sécrétée par certaines tumeurs et notamment par celles de l’ovaire) est également effectué. Un taux sanguin élevé peut être le signe d’un cancer ovarien ; cependant, la mesure de ce marqueur n’est pas spécifique car un taux élevé peut également être observé dans d’autres pathologies bénignes.

Ensuite, une biopsie, c’est-à-dire le prélèvement d’un fragment de tissu qui semble anormal est effectué.

Enfin, un examen anatomopathologique des tissus prélevés lors de la biopsie est effectué. Cet examen est réalisé par un spécialiste, à l'œil nu d’abord puis au microscope et permet d’analyser les tissus et de déterminer s’ils sont de nature cancéreuse ou non. 

Dans certains cas, la recherche d’altérations génétiques telles qu’une mutation des gènes BRCA 1 et 2 peut être effectuée.

Le bilan d’extension

Premièrement, un scanner thoraco-abdomino-pelvien sera effectué. Cet examen utilise des rayons X à faibles doses pour créer des images en coupes des organes et ainsi rechercher des anomalies au niveau des organes explorés, leur taille et leur localisation.

Cet examen détecte des anomalies même de très petite taille.

Un produit de contraste (iodé la plupart du temps) est injecté avant l’examen afin de mieux visualiser les vaisseaux sanguins et distinguer les éventuelles anomalies dans les organes.

D’autres examens radiologiques peuvent être effectués tels que l’IRM ou le scanner thoracique, en alternative au scanner thoraco-abdomino-pelvin dans les cas où l'injection de produit de contraste iodé n’est pas possible. Les objectifs de ces examens sont les mêmes que ceux de la technique précédente.

Le stade du cancer

Pour déterminer le stade du cancer c’est-à-dire son degré d’extension, une classification est utilisée : le système de stadification de la FIGO (Fédération internationale de gynécologie obstétrique).

On distingue dans celle-ci 4 stades différents :

  • Stade I : le cancer est limité aux ovaires (un ou les deux ovaires),
  • Stade II : le cancer a envahi les organes voisins dans le petit bassin (utérus, vessie ou rectum),
  • Stade III : le cancer s’est propagé au péritoine ou aux ganglions lymphatiques situés derrière le péritoine, en dehors du petit bassin (pelvis),
  • Stade IV : le cancer présente des métastases à distance (foie, rate et organes en dehors de l’abdomen).

Chaque stade se décompose en 3 sous-parties (A, B et C) permettant une précision supplémentaire sur le degré d’extension.

Les stades IA, IB, IC et IIA correspondent aux cancers de l’ovaire à un stade précoce. A partir du stade IIB, les cancers de l’ovaire sont à un stade avancé.

Les traitements du cancer de l’ovaire

Comme pour tout cancer, le traitement est établi pour chaque patient en fonction de ses particularités (nature de la tumeur et localisation, stade de la maladie, âge et état général du patient…). 

Afin de réduire les risques de complications pendant et après les traitements, l’arrêt du tabac et de l’alcool est primordial.

Les principaux traitements du cancer de l’ovaire sont la chirurgie et les traitements médicamenteux tels que les chimiothérapies conventionnelles et/ou les thérapies ciblées.

Pour orienter le traitement, un bilan pré-thérapeutique sera effectué, incluant une évaluation cardiovasculaire pour déterminer les risques cardiaques d’une intervention chirurgicale avec anesthésie, une évaluation clinique et nutritionnelle pour mesurer le poids, la taille du patient, calculer son IMC, rechercher une éventuelle perte de poids et enfin faire le dosage de plusieurs protéines dans le sang. Pour les patients de plus de 75 ans, une évaluation gériatrique visant à dépister la fragilité du patient sera également effectuée.

Le choix du traitement se fait lors d’une réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP) regroupant différents spécialistes qui déterminent le traitement le plus adéquat.

Ce choix est effectué en fonction des caractéristiques du cancer et notamment de son type histologique, de son grade (degré d’agressivité) et de son stade (degré d’extension).

La chirurgie

Pour les cancers de l’ovaire à un stade précoce, le traitement principal est la chirurgie. Celle-ci consiste en le retrait des ovaires, des trompes de Fallope, de l’utérus, de l’appendice, de l’épiploon (partie du péritoine accolée à l’intestin) et des ganglions lymphatiques de la cavité abdominale.

Pour les cancers de l’ovaire à un stade avancé, si la tumeur est résécable (la tumeur peut être enlevée), la chirurgie consiste en le retrait de tous les organes atteints, avec pour objectif de retirer tous les tissus comportant des cellules cancéreuses. 

Lorsque la maladie n’est pas résécable, une chimiothérapie néoadjuvante c’est-à-dire réalisée avant la chirurgie est effectuée, dans le but de diminuer la taille de la tumeur. Dans ce cas, l’intervention chirurgicale est précédée de 3 à 4 cycles de chimiothérapie.

Deux techniques chirurgicales peuvent être utilisées :

  • La cœlioscopie : technique chirurgicale dans laquelle le chirurgien pratique une ou plusieurs petites incisions de la paroi abdominale pour observer l’intérieur de la cavité abdominale et pouvoir intervenir sur les organes. C’est par le biais de ces petites incisions que passe une petite caméra reliée à un écran et les instruments chirurgicaux dans l’abdomen. Le chirurgien opère en regardant l’écran.
  • La laparotomie : acte chirurgical qui consiste en l’ouverture de la paroi de l’abdomen par une incision permettant au chirurgien d’observer et de palper toute la cavité abdominale.

La chimiothérapie

La chimiothérapie est un traitement anticancéreux visant à éliminer les cellules cancéreuses quelque soit leur localisation dans le corps. Elle agit soit en détruisant ces cellules, soit en empêchant leur multiplication.

Dans le cas du cancer de l’ovaire, la chimiothérapie est proposée après la chirurgie (chimiothérapie adjuvante) dans un délai de 6 semaines, pour les cancers à un stade précoce de haut grade (agressif) ainsi que pour tous les cancers à un stade avancé. Celle-ci peut être utilisée seule ou en association à un médicament de thérapie ciblée dans le cas des cancers métastatiques.

Les thérapies ciblées

Les thérapies ciblées vont agir de manière spécifique en bloquant la croissance des cellules cancéreuses ou bien en bloquant la croissance des vaisseaux sanguins nourriciers de la tumeur lui permettant de s’alimenter en nutriments et en oxygène.

Cette approche va donc empêcher le développement de la tumeur en agissant directement sur sa croissance ou bien en agissant sur les vaisseaux sanguins permettant d’apporter les éléments essentiels à sa croissance.

Le bevacizumab est un médicament de thérapie ciblée utilisé pour le traitement du cancer de l’ovaire à un stade avancé en association à la chimiothérapie.

Si une mutation des gènes BRCA 1 ou 2 a été identifiée chez une femme, un médicament de thérapie ciblée peut, sous certaines conditions, être administré : l’olaparib.

Les effets indésirables des traitements

Effets indésirables liés à la chirurgie

Une fatigue peut être ressentie à la suite d’une intervention chirurgicale, notamment à cause de l’anesthésie ou d’une anxiété liée à l’opération. Si cette fatigue persiste, il est important d’en informer son médecin.

Des douleurs peuvent être présentes à la suite d’une chirurgie et persister de quelques semaines à quelques mois. Des antalgiques pourront vous être proposés dans ce cas. Cependant, il est important d’informer votre médecin dans le cas d’une douleur persistante.

Des difficultés de cicatrisation peuvent également être observées et un hématome ou une infection peuvent apparaître au niveau de la cicatrice. Des soins locaux pourront être utilisés pour les traiter, cependant il est important d’en informer son médecin si cela persiste.

D’autres complications sont possibles, telles qu’une phlébite (thrombose veineuse), une accumulation de lymphe (si les ganglions lymphatiques ont été retirés), des saignements dans l’abdomen et des troubles sexuels.

Enfin, après le retrait de l’utérus et des deux ovaires, une ménopause artificielle (arrêt des règles) se met en place et les effets indésirables de la ménopause apparaissent.

Ces complications nécessitent un suivi régulier et une prise en charge (médicamenteuse ou chirurgicale) dans certains cas.

Effets indésirables liés aux traitements médicamenteux

Concernant les traitements médicamenteux utilisés dans le cancer de l’ovaire, des effets indésirables peuvent survenir de manière plus ou moins fréquente. 

Chaque médicament expose à un risque d’effets indésirables, cependant leurs fréquences dépendent du médicament, du dosage ainsi que de l’individu, certaines personnes étant plus à risque de développer des effets secondaires que d’autres.

A noter que les effets indésirables d’un traitement ne sont pas liés à son efficacité. Avoir plus ou moins d’effets secondaires n’indiquent en aucun cas une efficacité plus ou moins élevée du traitement.

Les principaux effets indésirables, communs à la chimiothérapie et aux thérapies ciblées sont :

  • Troubles digestifs : diarrhée, constipation, nausées et vomissements ;
  • Troubles cutanés : rougeurs, sécheresse, démangeaison et syndrome main-pied ;
  • Lésions de la bouche : aphtes, rougeurs, douleurs ;
  • Diminution de l’appétit et modification du goût ;
  • Baisse des globules rouges, globules blancs et plaquettes ;
  • Fatigue ;
  • Réactions allergiques au traitement ;
  • Troubles respiratoires, rénaux... ;
  • D’autres effets indésirables plus ou moins spécifiques à la chimiothérapie (chute de cheveux, fragilisation des ongles, sensations d’engourdissement…) ou aux thérapies ciblées (thrombose, hémorragie, vertiges, affections oculaires…) peuvent également être observés.

Certains de ces effets indésirables peuvent être évités ou limités grâce à des traitements préventifs ou des conseils pratiques, c’est pourquoi, dès l’apparition d’un ou plusieurs effets indésirables, il est important d’en informer son médecin.

Le suivi médical

Après le traitement du cancer de l’ovaire, un suivi médical devra être effectué. Celui-ci permettra de prendre en charge les éventuels effets indésirables liés à la chirurgie ou au traitement médicamenteux, de détecter une éventuelle récidive de la maladie, de mettre en place des soins de support pour améliorer ou préserver la qualité de vie du patient et de surveiller l’apparition d’une éventuelle tumeur, différente de celle initialement traitée.

Le suivi médical est effectué par le biais de consultations chez le médecin traitant, le gynécologue et/ou par une équipe spécialisée en charge du patient. Le médecin effectue un examen clinique et interroge la patiente sur l’apparition d’éventuels symptômes (gonflement du ventre, fatigue, troubles urinaires ou troubles du transit, douleurs abdominales ou pelviennes…). 

Des examens complémentaires seront également effectués, tels que le dosage du marqueur CA 125, une échographie de contrôle ou d’autres examens d’imagerie si besoin.

Les deux premières années, les rendez-vous sont relativement fréquents, avec une consultation tous les 3 mois premièrement, puis une tous les 6 mois et une consultation annuelle par la suite.

Un suivi spécifique est mis en place chez les femmes possédant une prédisposition génétique au cancer de l’ovaire.

En conclusion, le cancer de l’ovaire est le 8ème cancer le plus fréquent chez la femme et la 4ème cause de mortalité par cancer. L’incidence de ce cancer ainsi que son taux de mortalité sont en baisse depuis plusieurs années. La présence d’une anomalie génétique héréditaire représente le principal facteur de risque du cancer de l’ovaire. 

Les traitements reposent principalement sur la chirurgie et les traitements médicamenteux tels que la chimiothérapie et la thérapie ciblée. 

Le suivi médical se fait sur plusieurs années par le biais de consultations associées à des examens complémentaires.

avatar Manon Astruc

Auteur : Manon Astruc, Etudiante en pharmacie, Rédactrice Santé

Manon est étudiante en 5ème année de pharmacie filière industrie à la faculté de Châtenay-Malabry. Chez Carenity, elle s'occupe de la rédaction des fiches maladies. Elle a une appétence particulière pour la... >> En savoir plus

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