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Patients Cancer de l'ovaire
Opérations du cancer de l'ovaire : un scandale français
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Bogonice
Bogonice
Dernière activité le 24/09/2020 à 11:29
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Ami
J'ai été opérée à la clinique Santa Maria (Lanval) à Nice.
Non je ne connais pas le volume minimal des opérations effectuées dans cette clinique, mais je vais me reinseigner.
Merci pour votre article.
verotiti86
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verotiti86
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J'ai été opérée au CHU de Poitiers qui comprend un pôle régional de cancérologie. Les chirurgiens qui m'ont opérée sont des spécialistes du cancer de l'ovaire. Ils ont été capables de faire une récection complète de mes rumeurs (stade 3C). Non je ne connais pas le volume minimal des opérations effectuées.
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Véronique
Utilisateur désinscrit
@Louise-T pour moi j'ai été opéré dans une clinique maternité monaco valenciennes chirurgien gyneco cancerologue tres experimenté sur le cancer ovaire, je lui fait entierement confiance car il a pu me faire une résection complete , je m'étais renseigné avant sur leur expèrience et compétences, ils sont tres bien classé et a lille également ce sont des chirurgiens tres performants
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Nathalie60
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Nathalie60
Dernière activité le 20/11/2024 à 15:18
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Bonjur, A tout hasard, vous connaissez des chirurgiens ç LIlle qui sont compétents pour le cancer de l'ovaire ? merci !
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Utilisateur désinscrit
Bonjour, peut-on changer d'hôpital comme on veut ? Il n'y a pas de notion de "sectorisation", comme les lycées ?
verotiti86
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verotiti86
Dernière activité le 07/01/2023 à 10:15
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Ami
Bonjour Sabine
j'ai également pu bénéficier d'une réduction complète avec une rémission complète d'emblée.
Cette rémission a duré 3 ans et lors d'un contrôle scan sans aucun symptôme on a trouvé des lésions sur le peritoine, je fais donc une récidive. depuis plus d'un an j'ai subi une cure de 6 mois taxol Carbo et avastin. Les nodules ont disparu pour certain et régressé pour un. Je suis tjrs sous avastin et cela marche le nodule est sous contrôle, il a encore diminué au dernier scan d'avril.
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Véronique
lilifa
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lilifa
Dernière activité le 23/10/2024 à 07:33
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Quand on lit votre article, on (enfin la plupart dont moi) est dejà opéré donc il ne donne pas le moral.Mon opération s'est tres bbien passée dans un tout petit centre .Actuellement ,3 ans apres je fais une recidive (ganglions centimetriques).Je suis traitée avec taxol ,carboplatine et avastin .Le probleme c'est que j'ai dû me faire opérer de la cataracte des 2 yeux à 2mois d'intervalle et de ce fait on ne m'a pas administrée l'avastin.Je me fais donc du souci.
MarlèneH
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MarlèneH
Dernière activité le 05/03/2023 à 13:21
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Ami
Bonsoir
Jai eu la CHIP le 24 mars 2021 à l'age de 51 ans. Cette dernière consiste à tout enlever d'un coup ( hysterectomie totale,nephectomie droite, la tumeur ovaire droit de 20 cm avait infiltrée l'uretère , epligloon ; curetages des ganglions inguinaux eux aussi infiltrés..en revanche , rien aux intestins..et ensuite faire baigner de la chimio a 42 degrés dans toute la cavité abdominale. .J'HABITE à SAINT Étienne ..l'oncologue m'a dit d'entrée que je serais inopérable....heureusement, je suis allée voir le PR GLEHEN a LYON SUD..pionner dans les carcinoses d'origine ovariennes...jai pu bénéficier de la CHIP...si je ne m'étais pas renseignée sur internet par moi-même , jamais on ne m'aurait parlé de la CHIP...il faut se faire suivre dans les grandes villes...trop de femmes subissent la nullité de ces oncologues prétentieux qui ne veulent pas admettre que leurs hôpitaux sont incompétents dans cette lourde chirurgie...COURAGE A TOUTES
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MHB
Bibi12360
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Bibi12360
Dernière activité le 19/01/2023 à 18:36
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En effet la prise en charge est essentielle
Je suis prise en charge par un oncologue qui ne me parle que de chimiothérapie palliative
Heureusement j’ai cherché sur internet des spécialistes du cancer du péritoine et suis tombée sur le Dr Quenet qui lui m’a parlé de la PIPAC , de la chirurgie de cytoréduction et CHIF et tout cela m’a donné de l’espoir de ne pas avoir de la chimio à vie. Surtout faites appel à un centre expert. N’hésitez pas à changer de praticiens.
Veaucoyp d’oncologie sont contre la Pipac,la Chir et le Chip
MarlèneH
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MarlèneH
Dernière activité le 05/03/2023 à 13:21
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Cest encore moi Bibi. Moi aussi mon premier oncologue a saint Étienne, là où je réside m'avait dit d'entrée de jeu que j'étais condamnée. Biensûr il ne m'a pas parlé ni de pipac ni de CHIP .Mais comme je venais de perdre ma mamam 4 mois auparavant ,atteinte elle d'une carcinose gastrique, j'avais eu le temps de faire mes recherches pour lui faire faire un Pipac sur Lyon.. alors q'idem son oncologue a saint Étienn ne lui avait rien dit...voir même avait arrêté la chimio veineuse. .15 jours après cet arrêt soi disant thérapeutique, le chirurgien de Lyon a été choqué qu'on arrête sa chimio et lui a proposé la PIPAC . mais je pense qu'on avait déjà trop perdu de temps à SAINT ÉTIENNE .. elle est dcd de complications. Il ne faut pas se faire traiter dans des petites villes surtout pour les carcinoses. Grâce à Dieu, elle m'a ouvert la voix. ..j'ai changer d'oncologue a temps pour moi . Dès que ce prétentieux a su que j'avais pris Rdv a Lyon , il s'est montré très hautain et m'as dit que je perdais mon Temps.. HEUREUSEMENT, jai pu avoir la CHIP. ...waow, sinon Dieu seul sait où je serais aujourd'hui.. cest honteux de ne pas informer les malades des possibilités de cette pipac et de cette CHIP. Même mon mari médecin pédiatre ne savait pas que ces 2 moyens existent alors que dire des pauvres personnes comme nous.. trop de personne à mon avis ont dû perdre beaucoup de chance d'être opérée à cause de médecins ignares. .
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Article exact...j'ai été considérée inopėrable à SAINT ÉTIENNE ....où l'on ne pratique ni la CHIP ni la PIPAC. ...il a fallu qu'on se renseigne par nous měmes avec mon mari ..pour savoir où l'on pourrait demander de l'aide....mon mari pédiatre ne connaissait rien en cancérologie de l'ovaire, et moi aide soignante encore moins! ...ALORS que DIRE des personnes qui ne sont pas dans le domaine médical!!!! C'est honteux.. ...j'ai l'envoyé un mail au Pr GLEHEN à Lyon Sud. ..il m'a répondu de suite..et lorsqu'il m'a déclaré apte à la CHIP. ....j'ai compris que je n'aurais eu aucune chance à SAINT ÉTIENNE. ...le comble c'est que l'oncologue de Saint-Étienne à très mal pris que je demande un second avis. .....mais vraiment mal pris!! Un personnage imbus de sa personne et manquant totalement d'empathie ....
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MHB
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Louise
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Louise
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Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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Dans de nombreux pays, la chirurgie du cancer de l'ovaire a été réservée à des centres spécialisés. Pas en France, aux dépens des malades. Agnès Buzyn veut y remédier. Il était temps.
Le sujet est passé presque inaperçu dimanche lors de l'intervention d'Agnès Buzyn devant le grand jury RTL-Le Monde. Pourtant, l'air de rien, c'est une petite bombe qu'a lâchée la ministre de la Santé. Interrogée sur l'opportunité de fermer certains services de chirurgie, elle a rappelé que "quand on ne fait pas beaucoup certains actes chirurgicaux, on les fait mal".
Elle a notamment cité le cas de la chirurgie du cancer de l'ovaire. "Une activité qui devrait être soumise à un seuil", a-t-elle précisé. Une formule technocratique pour dire, en clair, qu'il faudrait interdire à certains services hospitaliers trop peu actifs dans ce domaine de continuer à prendre en charge des patientes.
Des chances de survie gravement compromises
Il était temps qu'un ministre de la Santé se saisisse enfin de ce dossier. Car la situation de la France en la matière est aujourd'hui scandaleuse, pour ce type de cancer mais aussi pour d'autres, comme L'Express le révélait déjà voilà un peu plus d'un an.
Or, depuis, rien n'a changé: selon les derniers chiffres disponibles, la majorité des 6000 patientes opérées l'an dernier d'une tumeur à l'ovaire l'ont encore été dans des centres trop peu spécialisés. Le problème? Il est très simple: cela compromet gravement leurs chances de survie. Dramatique, d'autant que ce constat est connu des autorités sanitaires et des experts médicaux depuis plus de dix ans, mais que les réformes nécessaires pour y remédier n'ont - jusqu'ici en tout cas - jamais été faites.
Si plusieurs spécialités de chirurgie cancérologique sont concernées, celle du cancer de l'ovaire est un exemple particulièrement parlant de la nécessité de regrouper certaines opérations dans des centres spécialisés. Il s'agit en effet d'une chirurgie très complexe, car les tumeurs de l'ovaire se développent souvent en toute discrétion, sans causer de symptômes particuliers, et sont donc généralement découvertes au stade métastatique.
"Dans ce cas, la tumeur a essaimé un peu partout dans la cavité abdominale. Le chirurgien doit alors être capable d'aller enlever pendant la même opération l'ovaire, mais aussi tout ou partie d'autres organes pouvant être atteints. C'est une opération très lourde, qui nécessite d'être très bien formé et de pratiquer beaucoup", souligne le Dr Jacques Meurette, chirurgien gynécologue et ancien vice-président du Syndicat des médecins libéraux, qui alerte depuis des années sur le sujet avec quelques autres collègues - en vain jusqu'ici.
62% des patientes opérées dans des centres non spécialisés
A quel niveau le seuil devrait-il être fixé ? La société européenne de gynécologie oncologique (qui regroupe les experts de cette spécialité) recommande un volume minimal annuel de 20 opérations par établissement et de 10 par chirurgien. En France, on en est très loin: d'après les dernières données de l'Assurance-maladie, 62% des patientes ont été opérées dans des établissements réalisant moins de 20 interventions de ce type chaque année. Dont 35% dans des centres n'en faisant même pas 10 par an! Au total, sur les 568 hôpitaux publics ou cliniques privées qui continuent à prendre en charge des femmes atteintes de cancers de l'ovaire, seuls 37 atteignent ou dépassent le volume recommandé par les experts européens.
En cas de pratique insuffisante, le risque est beaucoup plus grand que le chirurgien, s'il est trop peu expérimenté, ne parvienne pas à retirer tous les tissus cancéreux, avec l'assurance d'une récidive rapide. "Ou pire, que des femmes prises en charge dans ces centres trop peu spécialisés soient déclarées 'inopérables' par les équipes en place, faute de l'expertise nécessaire pour réaliser ce type d'opération", déplore un bon connaisseur du sujet.
Les exemples étrangers montrent pourtant que les malades auraient tout à gagner à un regroupement des opérations sur un nombre plus réduit d'hôpitaux. Au Danemark, le nombre de centres autorisés à pratiquer la chirurgie du cancer de l'ovaire est passé de 22 établissements en 2005 à cinq aujourd'hui. Avec une nette amélioration de la survie des patientes, passée de 45% à 68% des malades encore en vie au bout d'un an pour les stades les plus avancés de la maladie. En Allemagne, au Royaume-Uni, en Norvège, ou encore en Suède, la centralisation des opérations sur un nombre réduit d'hôpitaux a donné les mêmes résultats.
Une réglementation trop laxiste et peu respectée
En France, le sujet est sur la table depuis longtemps. Depuis 2007, un volume minimal d'opération doit être réalisé pour qu'un établissement puisse maintenir certaines spécialités. Mais cette réforme avait été très difficile à faire passer auprès du corps médical et les autorités de l'époque avaient renoncé à être trop restrictives. "En gynécologie par exemple, ce plancher est de 20 opérations par an, mais cela regroupe plusieurs interventions très différentes: cancer de l'ovaire, mais aussi de l'utérus, des trompes, de l'endomètre, etc." regrette un expert. Un dispositif qui ne permet donc pas de garantir la qualité des soins. Sans compter que ces seuils, déjà larges, ne sont même pas toujours respectés.
Il faudrait donc aller plus loin. "En instaurant un plancher à 10 opérations minimum, on passerait déjà de 568 établissements à 116. Mécaniquement, l'activité augmenterait dans ces structures. Ce serait déjà une première amélioration", plaide Jacques Meurette.
En réalité, l'Inca et la direction générale de l'offre de soins du ministère de la Santé planchent déjà sur ce sujet depuis plusieurs mois, avec pour objectif d'aboutir au plus tard pour 2019. Et pour cause: la question avait été inscrite dans le dernier plan cancer 2014-2019. Mais les résistances sont fortes, car les enjeux pour les chirurgiens comme pour les directions des hôpitaux concernés sont importants.
"Pour qu'une telle réforme puisse réussir, il faudra aussi que le tarif payé par la Sécurité sociale aux établissements ou aux chirurgiens soit réévalué, car cet acte, long et coûteux, est aujourd'hui trop peu valorisé. Et il faudra prendre garde à ne pas augmenter les délais d'accès au traitement, très délétères dans cette pathologie", avertit pour sa part Bertrand de Rochambeau, le président du syndicat des gynécologues et des obstétriciens de France. Une chose est sûre: une volonté politique forte sera nécessaire pour faire aboutir cette réforme.
Source : L'Express
Et vous, où avez-vous été opérée ? Ou bien, où comptez-vous être opérée ? Connaissez-vous le volume minimal d'opérations réalisées par votre établissement de santé ?