Et si on commençait par le début tout simplement

gigi    voilà la douche ets prise!   je suis  prête  à bosser!

     enfin cool! quand méme!     ((( je rigole))))

Larebelle,

Je cherchais dans le sujet "mon sentiment.." ce message que je croyais disparu !

Voilà, j'ai compris, c'est ici que tu l'avais posté !!!

Belle journée

voilà   j ai apporte les crêpes  de l autre côté .

il manque plus que le café.

Coucou les filles,

Merci pour tous vos messages qui me font chaud au coeur.

C'est vrai qu'il faut vraiment que j'arrive à m'aimer mais c'est très difficile pour moi.
Je sais que ma mère m'aime, que mon copain m'aime, que mes amis m'apprécie, qu'au travail on m'apprécie aussi et que vous m'appréciez et tout cela me fait du bien.

C'est vrai que je suis très exigente envers moi (pas envers les autres) et que cela m'énerve de ne pas arriver à avoir mon logement propre à cause de ma maladie, de ne pas avoir eu ma vie privée et professionnelle que j'aurai voulu sans savoir d'ailleurs si elle aurait été meilleure que celle que j'ai maintenant.... Je viens de le comprendre.... 50 ans, il n'est jamais trop tard !!!!

Je n'ai jamais réussi à dire à maman que je m'en voulais de lui avoir dit cela (car malheureusement, au fond de moi, cela m'arrive souvent de penser qu'ils auraient -je ne sais pas comment l'expliquer- "pu me faire autrement", au moins pas malade -difficile de mettre des mots sur ce que je ressens vraiment).
Difficile car j'adore ma mère (et j'adorai mon père qui est malheureusement mort quand j'avais 17 ans).
Je suis contente d'avoir eu mes parents et je n'en aurai pas voulu d'autres.
Ils m'ont élevée du mieux qu'ils ont pu (ils ont fait des erreurs mais tous les parents en font ; ma mère a été très dure avec moi, peut-être trop), ils se sont occupé de moi du mieux qu'ils ont pu.
Mon père m'adorait et ma mère m'adore ; je le sais et c'est réciproque.

Malgré le fait que je n'ai pas réussi à dire à maman que je regrettais pour les raisons que je viens d'écrire (je ne sais même pas si je culpabilise pour cela : par moment oui, par moment non ; c'est vraiment difficile) , je l'adore et j'essaie de le lui montrer en lui faisant plaisir ; par exemple : en lui mettant une K7 qu'elle aime (elle n'y arrive pas seule) ; en lui offrant un bon restaurant de temps en temps, en m'occupant de ses papiers et de ce que l'aide ménagère ne fait pas ; en lui faisant des petits cadeaux.
Et aussi en lui disant de temps en temps que je l'aime ; ce n'est pas facile pour moi de le lui dire car je n'y ai pas été habituée et maman non plus dans son enfance ; maman n'est pas non plus habituée à me le dire mais on le sait.

Coucou Grelune...........La BPCO pas facile à vivre non plus..........Pour avoir eu mon père atteint et l'avoir vu tousser en permanence avec emphysème comme toi.........le conseil que je donnerais..........ne jamais tarder avant de consulter..... sinon tout rhume tourne en bronchite......puis en complications pas possibles.........y compris baisse de tension....etc....etc ne pas pouvoir sortir.........le moindre courant d'air à éviter......et fatigue permanente......et ne plus avoir faim.....devoir se soigner par séries de piqûres.........les autres traitements n'ayant aucun effet.........devoir dormir en période de grosse crise en position semi-assise dans un fauteuil.....pour pouvoir respirer....bon courage pour affronter cette BPCO et  ta fibro déjà compliquée............Prends bien soin de toi...........pour éviter toute complication.........bonne soirée et

Coucou Angelina.........Contente de voir que tu avances..........50 ans ce n'est jamais trop tard pour comprendre certaines choses..........c'est la preuve que tu te questionnes........et c'est ça qui fait avancer......même si tu n'as pas tout de suite les réponses...........A te lire.....je vois que tu as perdu ton papa très jeune.........ça certainement marqué ta vie.....et celle de ta maman......je suppose qu'elle a exprimé sa souffrance inconsciemment en étant dure avec toi........ et toi tu as gardé ce drame pour toi.........en l'exprimant aussi à ta façon.........peut-être pas toujours bien comprise par ton entourage............

il est peut-être temps maintenant que vous vous êtes beaucoup rapprochées.......de la questionner sur ton enfance.......lui demander comment tu étais étant petite........le fait d'en parler va sans doute l'aider à exprimer certaines périodes difficiles de ton enfance..... ou de l'absence de ton papa.......et te faire du bien à toi aussi.........mais il faut  être prêt à tout entendre......et tout accepter même si c'est dur......et parler aussi des bons moments.....de tes bons souvenirs.....car elle a besoin aussi de savoir que tu as apprécié certaines choses.......et regarder ensemble les photos.....ça peut aussi aider à se rappeler les bons moments.........

Ce midi.....j'ai vu l'émission sur la 2 de Sophie Davant......."Toute une histoire".........et j'ai retenu la phrase de l'invitée conseil (je ne me rappelle plus son nom.......).........Elle a dit ceci........"Tout ce qui est imprimé........et n'est pas exprimé.. déprime....."   A y réfléchir.....je pense qu'elle a raison........et qu'il est temps de tout se dire.....sans animosité.....sous forme de questions pour ne pas blesser l'autre.........et  l'aider  à s'exprimer.....pour enfin que tout le monde aille mieux.........et arrive à échanger.........

nous avons tous des blessures.......toi comme ta maman........et ta maman a sans doute aussi une enfance que tu ne connais pas entièrement.......peux-t-elle en parler.........ça t'aiderait aussi sans doute à comprendre son parcours.....et peut-être que ça la soulagerait d'en discuter avec toi.........en regardant des photos.....en parlant de ses copines de cette époque........de ses week-ends......de sa rencontre avec ton papa.....Je suis persuadée qu'il faut parler de ses soucis présents ou passés...........pour éviter ou sortir d'une dépression........mais ce n'est que mon avis.......Bon courage à toi.........tu reprends confiance en toi.........et tu confirmes ce que nous pensions toutes.......que tu es trop dure avec toi..........il faut arrêter de culpabiliser..........c'est sans doute ce qui te rendait fragile face à la maladie......

Pense au plaisir d'être entourée de personnes que tu aimes et qui t'aiment......et continue ainsi en pensant au bonheur que ta maman va éprouver.......si elle te sent plus sereine.......et plus détendue.....elle le vivra sûrement mieux aussi et angoissera moins pour toi............Bonne fin de soirée et surtout de gros bisous........

bonjour ! je viens de lire cet article sur yahoo ce matin , il m'a interpellé...qu'en pensez vous ?? quand le corps dit "stop "!

La N.1 française Marion Bartoli a créé de nouveau la surprise mercredi, six semaines après avoir remporté le tournoi de Wimbledon, en annonçant qu'elle mettait fin à sa carrière, après sa défaite face à la Roumaine Simona Halep (3-6, 6-4, 6-1) au deuxième tour du tournoi WTA de Cincinnati (Etats-Unis).

"Il est temps pour moi de mettre un terme à ma carrière", a déclaré Marion Bartoli, 28 ans, lors d'une conférence de presse. "Mon corps n'arrive plus à tout supporter".

L'annonce intervient deux semaines avant l'US Open (26 août), dernier tournoi du Grand Chelem de la saison.

Bartoli a déclaré que Wimbledon l'avait aidée à atteindre son meilleur niveau mais lui avait aussi fait payer physiquement et mentalement.

"J'ai subi beaucoup de blessures depuis le début de l'année. Je suis sur le circuit depuis si longtemps, et j'ai vraiment forcé et tout donné pendant ce Wimbledon."

"J'ai senti que j'avais épuisé toute l'énergie restante dans mon corps. J'ai réalisé mon rêve et ça restera avec moi pour toujours, mais maintenant mon corps n'arrive plus à tout supporter."

Bartoli a disputé trois matches seulement depuis sa victoire à Wimbledon, la 8e de sa carrière sur le circuit WTA. Elle avait remporté la première à Auckland en 2006. Les deux dernières avant Wimbledon remontaient à 2011, à Eastbourne en Angleterre et Osaka au Japon.

Pour son retour à la compétition lors du tournoi de Toronto (Canada) la semaine dernière, elle avait battu l'Américaine Lauren Davis mais avait dû abandonner le lendemain face à la Slovaque Magdalena Rybaricova, 33e joueuse mondiale.

Les organisateurs avaient alors indiqué qu'elle souffrait d'une "tension au niveau de la ceinture abdominale", sans plus de précisions.

"J'ai mal partout après 45 minutes ou une heure de jeu", a-t-elle précisé à l'issue de son dernier match à Cincinnati. "Je fais ça depuis si longtemps. Et, oui, c'est juste que physiquement parlant je n'y arrive plus."

"Après un set, tout mon corps me faisait mal. Tout le monde se souviendra de mon titre à Wimbledon - personne ne se souviendra de mon match joué ici", a ajouté Marion Bartoli avant de quitter la salle de conférence.

"Plus de sacrifices que les autres"

Handicapée par un physique qu'elle qualifie elle-même de commun, obligée de faire "plus de sacrifices que les autres" pour afficher le niveau de forme exigé, elle n'est à la base "pas faite pour le haut niveau", a toujours dit son père Walter, un médecin, qui l'a initiée au tennis à l'âge de six ans.

Couvée par ce dernier en dehors de toute structure fédérale, elle met du temps à percer au plus haut niveau, une lenteur qu'elle attribue à la priorité accordée aux études jusqu'à la sortie de l'adolescence.

Au prix de plusieurs soubresauts et va-et-vient, elle s'affranchit de la tutelle de son père, par consentement mutuel, insiste-t-elle, au cours d'un printemps maussade sur les courts mais déterminant dans sa vie.

Revenue en équipe de France, elle se trouve d'autres relais comme Amélie Mauresmo. Désormais entourée par une vraie garde prétorienne, elle rayonne, libérée, pour vivre le plus grand moment de sa carrière sur le Central de Wimbledon, sous les yeux émus de Walter, rendu à sa simple condition de "papa".

Marion Bartoli surprend alors tous les observateurs en enlevant le titre le plus prestigieux du tennis mondial, devenant la troisième Française depuis le début de l'ère Open en 1968 à gagner l'un des quatre tournois du Grand Chelem.

L'annonce de sa fin de carrière est tout aussi surprenante, la joueuse ayant affiché une nouvelle envie de jouer après son titre à Wimbledon. Elle avait vite retrouvé le chemin des courts pour préparer son retour lors de la tournée américaine sur dur, avec l'US Open fin août en ligne de mire.

"Il était temps de remettre les bouchées doubles à l'entraînement, car je veux continuer à gagner. J'aime travailler dur", avait-elle expliqué la semaine dernière lors d'une conférence de presse à Toronto.

tu sais ANGELINA lorsque je te lis a ce jour je vois le chemin parcouru!! et tu en a fait un grand et long chemin!!

du travail sur toi meme il y en aura toujours!! c'est l'essence meme de la vie!!

des descente "au fond du gouffre" comme je dis il y en aura aussi!! mais si tu oses vraiment regarder tu verras que le gouffre est de moins en moins profond !!!ou que tu en remontes plus rapidement!!

bon grand WE

avec toutes mes amitiés

ce soir je pense à toutes ces pathologies qui nous "enlèvent durement nos enfants"....et je me dis comme toutes les mamans certainement...j'ai vécu et je donnerai ma vie pour que ces jeunes vivent....pourquoi eux ??  quelle injustice...

battons nous déjà pour que les "jeunes fibros" puissent avoir de l'espoir....

Bj les filles,

Merci pour vos messages.

Ce qui est super agréable sur ce forum c'est que personne ne nous juge et c'est aussi cela qui nous fait avancer.

En effet, je ne sais pas si j'aurai pu écrire mon dernier post sans cela car, c'est vrai que je suis dure avec moi. Je ne juge pas les autres mais je me juge moi très durement ; je culpabilise et vos messages m'ont fait du bien.

En effet, avant même de lire vos supers posts qui me font chaud au coeur, ce week-end de 4 jours passé chez maman nous a permis de bcp parler toutes les deux.
On a même reparlé du fait que je lui avais reproché ma naissance, du fait que je ne m'étais pas excusée de cela, du fait que j'aurai aimé qu'ils soient mes parents mais que je ne sois pas celle que je suis, pas comme je suis, du fait que j'avance bcp grâce à mes amies du Forum, du fait du mariage et des enfants que je n'avais pas eu et comment j'ai relativisé grâce à vous, comment je pense enfin que ma vie même si elle avait été différente n'aurait peut-être pas été plus heureuse, que ce qui arrive mallheureusement aux autres pour les divorces, les problèmes avec les enfants, ect... auraient aussi pu m'arriver.

J'ai été obligée de dire à maman pour mes problèmes intestinaux car j'ai rechuté vendredi.
Je ne voulais pas lui en parler pour ne pas l'inquiéter, pour la protéger.
Mais c'est arrivé quand j'étais chez elle et je n'ai donc pas pu le lui cacher car j'ai dû prendre à nouveau des Ercyfurils et de l'Immodium à forte dose et je n'étais pas bien du tout.
Du coup, je lui ai dit que cela m'avait pris en cure thermale et que je n'étais pas remise depuis, que je n'avais pas pu manger normalement à l'hôtel ni là-bas ni pendant mes vacances, que j'avais dû regarder les autres manger des bonnes choses devant moi qui ne pouvait pas les manger et j'avais dû mal à avaler même une bouchée de riz... que j'avais été obligée de jeter 500 grammes de fraises, des pêches et des nectarines ainsi que des gâteaux moi qui adore tout cela. Moi qui ait horreur de jeter, de gaspiller...
Je ne lui ai pas dit que j'avais très certainement fait une intoxication alimentaire très importante et de quelle manière je l'avais eue pour ne pas l'inquiéter plus.
Heureusement, je venais de terminer mon analyse d'urines sur 24 heures .... et les résultats sont normaux.

Gros bisous.