Bipolarité et vie familiale

bsoir flovie

juste ce petit msge pr bs dire que vs n estes pas seule de mon cote aussi je suis bipolaire et c est tres dur mon ami m'aide bcq bien que qqfois il es perdu mais lorsqu on aime qqun on fait de notre mieux 

j ai bcq appris sur ma maladie surtout depuis que j ai ete reconnue TB EN 2013 par mon medecin generaliste enfin on mettait un nom sur cette maladie que j avais j ai perdu ma fille qui ne me parle plus depuis 4 ans epoque à laquelle ma maladie a evolue mais qu aucun medecin n a dectecte alors qu on me donnait du depamide je m etais fais du mal meme pas le ^psy m a dit que j etais bipo maintenant je le sais malheureusement trop tard en rapport aux consequences

je lis bcq sur cette TB afi n d'essayer d evoluer ce qui me fait bcq de mal c est que certains medecins ou specialistes a l hopital me prenne un peu pr une debile  il savent les medicaments que je prend et sincerement mon ami  present au pres de moi durant les consultations que ce soit neurologie ou pneumologie ou autre et a aussi remarque cet etat d'esprit heureusement mon medecin generaliste n est pas ainsi mais maintenant resultat je ne veux plus me soigner j avais un rv pris ya six mois en pneumo car je suis tres essouflée je ne veux pas y aller car ce meme specialiste m a ridiculisé alors je ne sais plus que faire et je souffre bcq de cela

il est vrais que ces specialistes diront que ce n est pas vrai qu il ne me prennent comme debile mais j ai qq un pr le prouver mais le probleme etant que c est le pot de fer contre le pot de terre on est RIEN FACE A TOUT CELA 

ON EST PLUS PERSONNE ON EXISTE PLUS 

BONNE SOIREE A VOUS 

Bonjour mes amis,

Heureux de vous retrouver après mes vacances. Elles furent les bienvenues car après l'hospitalisation de mon épouse et son nouveau traitement, j'ai pu profiter enfin d'un repos après toutes ces années d’inquiétudes, de questionnements, et de souffrances.

Que dire, regretter de ne pas l'avoir hospitalisé plus tôt ? Oui, mais je n'étais pas prêt , elle non plus et mes enfants encore moins.

La vie est faite de petites morts qu'il nous faut accepter. Oui, comprendre et accepter la maladie psychique demande beaucoup de temps, d'amour et de compassion. 

Après 6 semaines d'hospitalisation en HP, Mon épouse est rentrée à la maison. Elle est maintenant stabilisée, raisonnée (et raisonnable).Mais à quel prix? Elle reçoit tous les 15 jours une injection de Risperdal et 3 Dépacotes 250 par jour. Ce n'est pas sans effets secondaires (perte de cheveux, circulatoire, somnolence.) Je m'inquiète du long terme...?

Mais, elle a repris son travail aujourd’hui. J’espère qu’elle va  pouvoir résister dans la durée. Mais, elle a la volonté et le soutient de son entreprise. C’est une chance qu’il ne faut pas laisser passer.

 Le travail aide à vivre et donne sens à la vie, donc, je suis convaincu qu’elle va vers des jours meilleurs.

Bonne journée à tous et merci de vos soutiens.

Courage à Toi Coccinelle.

Dans l'ombre , on t'écoute et partage tes souffrances. Nourrit-toi de nos témoignages sur ce forum et tu grandiras en esprit. Rappel toi, seul l'amour sauve de tout.

cela fait plaisir d'avoir de tes nouvelles @gege85130 

 je vois que tu vas bien . c'est le principal. mon compagnon prend depuis quelques année du depakote et cela le stabilise bien. prend bien soin de toi et de ta petite femme. à bientot

merci bcq gégé130 pour ton msge cela remonte le moral bon courage aussi et bonne journee

cordialement

Bonjour , 

Pour ce qui est du DépaKote, c'est un stabilisateur bien connu et c'est certainement le plus  diagnostiqué pour les troubles bipolaires mais il n'agit  pas contre les délires et les démences qui peuvent évoluer avec la maladie et les dépressions. 

Dans le cas de mon épouse, elle avait  la raison qui était très affectée et elle est proche d'une évolution vers la maladie Alzheimer car elle en a tous les symptômes.

Le Risperdal l'a progressivement stabilisé et elle a retrouvé son autonomie et sa raison. J'espère néanmoins que ce traitement ira en diminuant car il n'est pas sans dangers pour sa santé.

Je remercie l'équipe soignante et surtout les infirmières de l'HP qui étaient très à notre écoute pour aider mon épouse dans sa grave dépression.

Bien souvent, et on a tous des témoignages sur le sujet, il nous faut trouver un chemin pour apaisée les souffrances du malade et de son entourage. Tout nous pousse à la résignation car toutes les portes se ferment autour de nous.

Les psy se sont des hommes et des femmes comme tout le monde et sont débordés bien souvent. Leurs écoutes sont parfois limitées. Sans compter qu'ils nous suspectent d'être parfois, nous les proches, responsables de la situation. On entend parfois des réactions très violentes du genre : on ne fait pas des chiens avec des chats…Je sais bien que pour eux, l’adaptation des soins à chaque patients n’est pas simple. Même pour un psy, le cerveau, ça dépasse l’homme !

 En vérité, il ne faut pas avoir peur de s'ouvrir à son médecin de famille et de lui parler de la maladie de nos proches car bien souvent les soins ne sont pas approprier aux patients. Il peut intervenir directement auprès d’un HP et nous orienter vers une aide plus adaptée.

Mon expérience d’aidant depuis plusieurs années m’a appris qu’il vaut mieux avoir une équipe pour entourer nos proches  afin de les aider à mieux vivre avec leurs maladies.

Je terminerais mon témoignage sur des mots de notre nouvelle présidente national de l UNAFAM :

TOUT SEUL ON VA PLUS VITE MAIS ENSEMBLE ON VA PLUS LOIN.

Bonne journée

bjr gégé 85130

j 'apprecie bcq votre devise "tout seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin"

en ce concerne certains psy je dis certains car je ne ve pas generaliser, il est vrai qu ils ont tendance à mettre facilement le tort sur les proches et leur reflexion ne sont pas tjrs tres appropriees ils ont qd meme fait un certain nbr d 'etudes pr eviter de faire ce genre de reflexions

qui devrait etre d'ailleurs repetees à l'Ordre des Medecins

mais etant donne qu' on est malheureusement que des pions sur un echiquier face aux plus fort... on ne peut malheureusement trop les contrer

et ils se defendront tjrs de ne pas avoir dit cela ou c est une mauvaise interpretation de notre part

à moins bien sur d'avoir un temoin qd on va en consultations et cela il n aime pas trop avoir une personne en plus au cote du patient ... enfin je repete heureusement ts les psy ne sont pas ainsi

bon courage à vous et je dis pr reprendre et se rallier et combattre

'un pour tous , tous pour un'

vs n êtes pas seul il faudrait vraiment tous se souder  pr cette maladie 

cordialement

Bonjour,

je suis de retour après presque 3 ans d'absence. Je suis maman d'un jeune homme de 30 ans dont la bipolarité a été diagnostiquée début 2012 : phase down puis phase maniaque. Depuis, rien. Après quelques mois de suivi, reprise d'une vie normale. je pensais que tout ça était derrière nous. Et puis depuis quelques mois, il redescend progressivement, il est en dépression sévère et refuse de se soigner. Il n'a aucun suivi. Il dit que personne ne comprend ce qu'il vit, même les psys. Il n'a aucun projet, études interrompues, incapable de travailler

Il est très violent à mon égard verbalement. Il me tient pour responsable de tout, dit qu je ne l'ai jamais aimé, jamais fait confiance, alors qu'il est toute ma vie. je donnerais ma vie pour le sortir de cette maladie.

je suis impuissante. Au CMP ils me disent que c'est à lui de prendre RDV, que je ne peux pas prendre RDV pour lui. Et il refuse.

je ne peux pas dire que je suis désespérée. Je suis résignée à vivre ce qui arrivera. je me suis tellement battue pour lui. Que faire de plus ?

Bonjour,

A l'attention de Birmany.

Je ne connais pas votre cas, et je ne suis pas médecin, mais si vous avez l'impression que votre fils n'arrive pas à se prendre en charge pour se soigner, et qu'il fait courir un grave risque à santé, il existe l'hospitalisation à la demande d'un tiers.

Je pense qu'on y recourt pas de gaîté de coeur, mais cela permet de protéger la personne en question contre elle-même voire contre les autres.

Concernant les CMP, j'ai des doutes sur leurs moyens de prise en charge aujourd'hui. Il y a onze ans, j'ai été bien aidé par eux alors que je traversais une phase difficile. Aujourd'hui, ils m'ont renvoyé vers la médecine libérale à 25 Km du lieu où j'habite, alors que je vis la même situation.

Bonne chance à tous !

PS : mes doutes concernant les CMP, en tout cas celui de la ville dont je dépend, ont été confirmés par mon généraliste, qui m'a expliqué qu'en onze ans, les choses avaient bien changé.

Merci Steph, effectivement mon médecin m'a suggéré l'HDT. La 1ère hospitalisation était tellement évidente qu'elle s'est faite d'office quand on est arrivés à l'hôpital psy sans que nous la demandions. Cette fois, il est très mal mais encore tout à fait conscient. Il ne me pardonnera jamais de le faire hospitaliser. le 1er hopital où il était ressemblait plus à une prison : fenêtres barreaudées, confiscation de tous les effets personnels jusqu'aux produits de toilette, toilette sous surveillance, etc...il l'a vécu comme un abandon.

j'ai un petit espoir, son père a réussi à discuter avec lui. Il s'est engagé à prendre un RDV. Espérons !

Pour les CMP, nous avons eu à faire à 2 CMP différents en fonction du secteur géographique de soin. effectivement, l'écoute est très inégale, le suivi psy en CHR a été plus efficace, je crois.