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suivi psychologique
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
effectivement, un suivi psychologique t'aiderait à évacuer ta culpabilité qui a l'air de venir d'un manque de soutien au départ, non? Quand on a mal, on ne peut pas être disponible pour les autres, et les médicaments ne sont pas suffisants!
Il faut apprendre d'abord à être gentil avec soi-même, conseil que m'a donné une thérapeute (pas psy), te faire prendre en charge pas seulement au niveau psy, mais aussi ostéo, relaxation, kiné, tout ce qui peut te réconcilier avec toi-même et te redonner une bonne image de toi malgré la maladie! c'est difficile, c'est un boulot de tous les jours, mais ça vaut le coup! Je te souhaite bon courage, et de reconstruire ta vie petit à petit.
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Finallement, je suis chanceuse ; ma famille m'a programmée pour vivre seule et sans ami. Aujourd'hui, je n'en veux qu'à mes parents parce qu'ils sont responsables de ce que je suis aujourd'hui. Ma SPA a dû faire son apparition aux alentours de 10-12 ans sans que mes parents se sentent concernés. Ce n'est qu'une fois que j'ai eu un boulot fixe ; jusqu'alors j'étais plus ou moins nomade. Ce n'est qu'à 36-37 ans en ayant à nouveau un vrai médecin traitant qui lui n'a pas trop tardé à réagir.
Avant, j'avais mal mais je ne savais pas pourquoi. Maintenant j'ai mal et je sais pourquoi et à cause de qui. Et je dois dire que la pilule a du mal à passer, d'autant plus que j'ai un entourage professionnel très difficile.
En résumé ma vie est une erreur tout simplement.
Mais je comprends ta détresse, ton sentiment. Cette maladie est odieuse ; un cancer on le soigne on ne le soigne pas mais on sait que c'est grave, c'est reconnu par la société contrairement à un rhumatisme dont soit-disant tout le monde souffre un jour ou l'autre.
Pour ce qui est de ta famille et même ex-belle famille, je te rpopose de leur offrir pour Noël les 2 meilleurs bouquins que je connaisse en espérant qu'il accepteront reconnaître leurs tords dans leur comportement. J'en parle dans bibliothèque.
Utilisateur désinscrit
J e pense (eh oui, à cette heure-ci!!!) que le suivi psy peut nous aider à vivre avec la maladie, comme une sorte de cohabitation. Il y a quelques années, lorsque ma mère est morte dans des circonstances difficiles (euphémisme), j'ai commencé une thérapie. La psy que je suis allée voir m'a dit : je vais vous apprendre à vivre avec ça. Quelques séances plus tard, le travail était amorcé et j'ai mis fin à la thérapie parce que je trouvais qu'on commençait à tourner en rond et couper les cheveux en quatre. La psy n'a pas vraiment contesté ma décision, et m'a laissée la porte ouverte. En ce moment, c'est difficile pour moi d'accepter le handicap, et je vais retourner la voir, elle, et pas une autre (mon dieu, faites qu'elle n'ait pas déménagé!) finalement, car je pensais aller voir un psy spécialisé dans les maladies genre spa. et je pense qu'elle me "remettra sur les rails". Bref, je pense qu'un suivi psy ne doit pas être forcément long, et peut vraiment nous libérer .
Utilisateur désinscrit
Bonsoir tout le monde,
Un sujet passionnant mais bien vaste....
Chacun a eu un vécu différent, des expériences plus ou moins heureuses, une famille et un entourage aimant ou pas....
L'expérience de Frida est réellement horrible à tous les niveaux: médicaux, familiaux.... Mais le problème qui se pose à moi, c'est "qui suis-je pour conseiller à quelqu'un d'aller voirs un "psy"": certaines psychothérapies vont avoir un effet catastrophique! Je ne te connais pas suffisamment, Frida, mais ce qui me bouleverse dans ton cas (étant maman aussi!) c'est, qu'est-il advenu de ton bébé? Et comme le dit Alyan, quand on te lit, on sent comme une culpabilité, sans doute provoquée par ton entourage (d'après ton récit).
Honnêtement, je ne sais pas quoi "conseiller": je sais que pour ma part, je n'ai jamais envisagé d'aller voir un psychologue, parce que je sais que ce serait du temps perdu! Mais chacun est différent! Je comprends que certaines personnes puissent avoir besoin d'une oreille attentive et surtout disponible, mais je pense que l'expérience de Frida est beaucoup plus lourde que ça!
Il faut vraiment que tu gardes de la force, te battre au maximum, et maintenant tu as un endroit où discuter...
Je te souhaite un immense courage
Aux autres aussi... évidemment!!!
Amicalement
Alfira
Utilisateur désinscrit
Frida,
Nous avons tous un vécu différent les uns des autres. Certains peuvent faire face seul pour diverses raisons mais probablement parce que l'entourage familiale est solide et solidaire. D'autres, dont je fais partie, sont dans l'incapacité de faire face, de géré leurs émotions et font le choix de se faire aider.
Qui décide ? c'est toi et uniquement toi. Je dis souvent qu'aller voir un psy ce n'est pas être fou, c'est faire preuve d'intelligence. C'est ta vie, c'est ta santé et celles de personne d'autre.
J'ai l'impression que tu es extrêment seule face à ce qui vient de te tomber dessus, que personne n'a fait preuve de compréhension envers toi. Le psy est un personne neutre qui ne juge pas, qui n'influence pas.
Ma psy a toujours un visage égal sans aucune expression, elle reformule ce que je dis, parfois elle m'invite à creuser un propos que je viens de tenir. Je chiales, dans mes bons jours j'y laisse un paquet de mouchoir mais là je suis certaine que j'ai avancé.
Utilisateur désinscrit
Désolée Sapho,
mais je ne suis pas d'accord sur ce que tu dis: ce n'est pas parce qu'on a un entourage aidant, à l'écoute et tout ce que tu veux, que ce sera plus facile de se passer d'un psy. Je crois que c'est exactement le contraire.
Quand tu as eu depuis toujours une méga grosse vie de m....., il y a deux solutions: tu restes en te battant chaque jour, ou tu crèves. Je n'ai jamais eu d'aidants attentifs ou tout ce que tu veux, j'ai toujours été seule face à tous mes problèmes, et je peux te jurer que là ton caractère il se forge tout seul. De plus, tu n'as jamais parlé à personne puisque personne ne t'a jamais demandé!
Je crois surtout que les gens ne font pas la différence entre psychiatre, psychologue et psychanalyste. Dans le pire des cas, je parlerais (avec un énorme peut-être, et sans doute un non!)à un psychanalyste, mais je sais que les autres ne m'apporteront rien!
Désolée, de toute façon on ne peut jamais être d'accord sur tout!!!
Allez bon courage à tous, toutes...
Alfira
Utilisateur désinscrit
Bonjour Frida, Ton post sur le suivi psy m'a fait un peu penser à ma vie, l'épisode psy en moins. J'ai eu la chance suite à l'accouchement puis l'alitement puis la demande de divorce, de me réfugier chez ma mère avec mes trois enfants. Je suis passée par toutes les phases possibles et inimaginable. Aujourd'hui je relève la tête même si g encore souvent d coups de bleues. Mais par envie personnelle et ensuite sur le conseil de mom médecin, j'ai décidé d'entreprendre un suivi psy, pour essayer de comprendre la claque que j'ai pu me prendre en plein visage depuis le debut de l'année, pour mettre des mots sur certaines choses, mais surtout pour tenter d'accepter le diagnostique de la spa et l'invalidité que ça entraîne. Je ne pense pas avoir de conseil à te donner, je n'ai pas encore sortie la tête de l'eau. Je me rends juste compte que la spa fait vraiment beaucoup de ravages et bizarrement, sont côté douloureux mais invisible fait que l'entourage ont souvent les même comportement. C'est vraiment triste. Je te souhaite plein de courage et la possiblité d'être de nouveau pleinement toi même.
Utilisateur désinscrit
Alfira,
Je n'ai pas parlé d'aidant, j'ai juste dit "solide et solidaire" ; des personnes capables de te comprendre, de reconnaître ta situation, sur lesquelles on peut s'appuyer au contraire de ceux qui critiquent, qui refusent de comprendre et qui t'abandonne à ton triste sort.
A mon tour d'être désolée mais lorsqu'on a des parents, des amis qui sont attentifs, réceptifs à tes propos, ton mal-être, tes douleurs, le quotidien est plus facile (psychologiquement) que lorsque tu es totalement seule avec autour de toi que des personnes dans le déni, la critique, la suspiscion et avec tout à sa charge. Alors oui, il est peut-être possible de se passer d'une tierce personne quand l'entourage est solidaire et oui, un psy est sans doute une idée lumineuse lorsqu'on devient marginal de son entourage.
Utilisateur désinscrit
Décidément Sapho,
Quand on n'est pas d'accord, on n'est pas d'accord!!!
Je comprends tout à fait ce que tu dis au niveau d'un entourage, disons, "à ton écoute" (peu importe que ce soit tes parents, ta famille, le voisin....: quelqu'un): je suis persuadée que nous sommes plus fragiles, moins capables d'assumer les coups durs comme la Spa ou peu importe. Quand quelqu'un a toujours été à ton écoute, même si cette (ou ces ) personne(s) l'ont plus ou moins bien fait, à moins d'être complètement stupide, tu t'en rends compte. Et forcément quelque part ça t'aide, mais ça te fragilise aussi. Je ne dis pas que ce soit positif ou négatif: là n'est pas le problème. Ce n'est qu'un pur constat.
Tu sais très bien (dans les grands traits, même si je suis très féconde), la vie que j'ai vécue, et au regret de le rajouter, j'ai largement résumé!!!! je peux te certifier, que quoiqu'il t'arrive: tu te dis simplement: "tiens, encore quelque chose de nouveau". Je ne dis pas que c'est mieux ou pas mieux: je ne juge pas. C'est une réalité! Ton caractère sans que tu t'en rende compte te blinde, et comme je te disais soit tu as ce petit éclair d'instinct de survie qui te fait se battre, soit, je suis désolée, si tu ne peux pas assumer seule (malheureusement ça arrive), le plus fréquent c'est tout de même le suicide, la dépression, voire une psychose profonde.
Le blindage que tu te crées, je ne dis pas c'est "bien" ou "mal": je dis simplement que tu te "blindes", et le fait de parler à quelqu'un (qui reste tout de même un médecin, qui fait donc partie du même corps de métier que tous ceux qui nous ont pris pour des cobayes...), dans de tels cas, et je ne suis pas la seule sur le forum j'en suis sûre, qu'est ce que te fera une psychothérapie???? J'ai fait des études de philo, avec évidemment des cours de psychologie et de psychanalyse: le commun des mortels mélange tout dans le domaine de la psychologie.
Qu'est ce qu'un malade de la SPA, ou fibro, ou cardio va aller faire chez un psychiatre: j'ai vu plein de cas (même sur le forum!): un psychiatre est un médecin s'occupant de maladies mentales, prenant parfois l'avis d'un psychologue, mais il est là pour donner des petites drogues.
Le psychologue fournira une aide substantielle sur des problèmes passagers: déprime, divorce...disons "accidents de la vie": Ta Spa, c'est pour la vie: quel psychologue va aider un malade qui souffre d'une maladie dégénérative?? Ce n'est plus son rôle: d'où la mauvaise image du métier. Trop de personnes souffrant de psychoses se retrouvent chez un psychologue et n'y trouvent aucun bénéfice! (ce qui est normal!!!)
Il te reste le psychanalyste: de loin les meilleurs médecins (trop peu!! il faut les faire les études!!). Eux vont s'intéresser à des problèmes sur le long terme; c'est vrai qu'ils vont peut-être suivre un malade pendant 5, 7 ou 10ans, mais le malade y trouvera un bénéfice. Mais voilà, la Psychanalyse, même si Freud ou Jung ont un peu fait parler d'eux, les gens se bloquent. Ils sont même souvent considérés comme charlatans!
Quand tu réfléchis réellement, et que tu essayes de mettre noir sur blanc ce (ou ceux) qui t'ont soutenu dans ta vie (disons pour la SPA) et bien tu sais vite s'il faut mieux être ermite ou adorer son psychologue!
Il y a bien longtemps que je suis à la limite de "l'ermite", et ça ne me gêne pas! et j'ai décidé. Et franchement je ne supporterais pas quelqu'un qui vienne s'occuper de moi ou me rappeler (même si c'est par gentillesse!) que chaque jour me détruit un peu plus.
Je sais, je peux paraître cynique, ou faire preuve d'un "humour noir": mais je dis que nous sommes adultes,; nous avons une maladie (avec celles qui découlent!) qui nous handicapent un peu plus chaque jour: tout ça c'est vrai, mais je n'ai pas besoin d'un psy pour savoir tout ça! Et évidemment je ne critique en aucune façon ceux qui en ont besoin!
Ma vie, je la garde pour moi, ou j'en parle à quelqu'un si ça peut lui rendre service, mais il y a bien longtemps que j'ai tracé un trait sur un avenir normal: et alors, ça ne me gêne pas d'être hors normes!
J'ai toujours dit que la meilleure psychologie pour nous c'était justement d'arrêter de penser à la maladie: c'est bon, on la connaît, on sait ce qu'elle nous fait; évidemment le début peut être plus ou moins dur à l'annonce du diagnostic, mais comme disons.... tout le monde ici, j'ai été hospitalisée et réhospitalisée (je sors encore d'une semaine en cardio intensive), et alors?????
Un psychologue c'est peut-être bien, mais je préfère ma playstation, parce que avec elle, quand j'en ai marre, je peux l'éteindre....
Encore désolée: je ne peux pas changer d'avis, pas avec mon vécu, pas avec le vécu de beaucoup de personnes que je connais.
Et je le répète encore, chacun est différent et choisit son chemin, si c'est vraiment lui qui le choisit....
Ce n'est pas un cas de "bien" ou de "mal": c'est une question de liberté. Les médecins ne te donnent pas de lberté; ils t'enferment dans des traitements de M....... dont tu ne peux plus te débarasser, te donnent des conseils que même un enfant de 10 pourrait donner; les plus grands charlatans que j'ai vus jusque là ce sont quand même des rhumato et des cardiologues!!!
Voili, voilou
Et sur ce, bonne nuit à tous,toutes!!
Et cette nuit, ça va réfléchir dur!!!
Allez bonne nuit
Alfira
dargent
Bon conseiller
dargent
Dernière activité le 14/11/2024 à 15:02
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Ami
Alfira
Pendant des années, j'ai été suivie par une psychiatre dans mon ancienne ville, et pour elle, le plus important, ce n'était pas les médicaments, même si elle m'en donnait quand il n'y avait pas moyen de faire autre chose, car j'étais trop mal, mais un vrai dialogue
Comme Sapho, j'ai bien souvent pleuré en parlant de choses importantes et j'y ai laissé des paquets de mouchoirs
Sans elle, je n'en serais pas du tout là où je suis maintenant, et ce qui est sûr c'est que je ne serais pas parvenue à accepter le diagnostic de la fibro aussi bien
Par contre, je n'ai pas du tout envie d'aller voir un psychanalyste, car j'ai vraiment besoin d'avoir un réel échange et je ne supporte pas de rester pendant des séances face à moi même, car je sais que je vais rester tout le temps sans dire un mot
A l''arrivée sur Amiens, je me suis rendue compte que j'avais besoin de parler et de vider mon sac, du coup, j'ai demandé à voir le psychologue du CAD en attendant de voir la psychiatre car je n'avais rdv qu'en septembre
En ce moment j'ai toujours un traitement par 4 Ixel par jour, j'attends la fin du protocole auquel je participe pour voir si je peux le diminuer ou non
Je comprends très bien ton raisonnement et le fait que toi tu n'ai ni envie, ni le besoin d'aller voir un psy, chacun est libre de faire comme il veut
Bon courage à toi et bonne nuit à toi
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lorsque le jour de l injection approche elle a parfois mal (1 injection tous les 15 jours qu'elle se fait elle même). C'est le produit qui arrive en bout de potentiel, mais dès la nouvelle injection ça va tout de suite mieux. Elle prend quand même du tramadol en complément.
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Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Beaucoup d'entre nous sur ce forum sont amenés à cause de leur spondylarthropathie à être amenés à prendre des antidépresseurs ou autres neuroleptiques qui peuvent vous amener à relever l'humeur dépressive. Car je pense qu'il ne faut pas se voiler la face, les lourds traitements, le rejet social, les problèmes de communications personnels ou professionnels beaucoup de personnes rencontrent ses problèmes et sommes sujet à la dépression.
Que pensez vous d'avoir recours à un suivi psychologique par un spécialiste ?
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