Que penser du coronavirus ?

Par ailleurs ce mot s'écrit avec un trait d'union , "grand-guignolesque"

grand-guignolesque selon l’Académie Française : Qui évoque les spectacles d’épouvante et les mélodrames du Grand-Guignol ; par extension,outrancier, invraisemblable

Ajout 19:03

branquignol \bʁɑ̃.ki.ɲɔl\ masculin ou branquignol(l)e masculin et féminin identiques(Populaire) Personne excentrique, qui se met dans des situations tragi-comiques ou se plait à les provoquer..

Mais vous pouvez avoir un avis différent, j’assume pleinement cet adjectif contenu du contexte.

@kanpanstu Merci à vous 🌺 il mérite d'être signalé à la modération, son incivilité n'a d'égale que sa morgue.

Autre chose, le mot branquignolesque n'existe pas, mais le mot branquignol est une insulte... cf. définition du Robert.

@chatdoc décidement, vous êtes très approximatif, je vous cite "j'assume pleinement cet adjectif contenu du contexte", contenu ou plutôt compte tenu?

Pour compléter :

Une infection préalable par un autre virus, le cytomégalovirus, mais aussi la diversité génétique des populations humaines jouent un rôle dans les réactions immunitaires variables au Covid-19, selon une étude publiée mercredi dans la revue Nature.

Des scientifiques ont étudié les variations des réponses immunitaires au SARS-CoV-2 en fonction des origines. Ils ont exposé au virus des cellules sanguines immunitaires obtenues à partir de 222 donneurs sains d'Afrique centrale, d'Europe de l'Ouest et d'Asie de l'Est.

Ils ont ainsi identifié environ 900 gènes au comportement différent selon les populations. Or, parmi les facteurs influant sur ces différences cellulaires, figure l'exposition au cytomégalovirus (infection, généralement inoffensive, de la famille des herpès). 99% de la population d'Afrique centrale est séropositive pour le cytomégalovirus, contre 50% de celle d'Asie de l'Est et 32% des Européens.

Une infection latente par le cytomégalovirus pourrait ainsi accroître le risque de sévérité du Covid. La singularité génétique joue aussi: elle contrôle l'expression d'environ 1.200 gènes face au Covid, selon l'étude. L'étude établit aussi un lien entre une part d'héritage préhistorique et les disparités immunitaires.

Entre 1,5 et 2% des gènes des Européens et des Asiatiques sont issus de Néandertal. Ces travaux sont une nouvelle illustration des apports de la génétique pour comprendre la pandémie. Encore mi-juillet, une étude dans Nature a montré que les personnes porteuses d'un certain variant génétique ont deux fois plus de chances de ne pas tomber malades lorsqu'elles contractent le Covid-19.

@chatdoc

"La singularité génétique joue aussi: elle contrôle l'expression d'environ 1.200 gènes face au Covid, selon l'étude. L'étude établit aussi un lien entre une part d'héritage préhistorique et les disparités immunitaires"

Je retiens cette phrase car déjà en 2020, deux ans avant son Nobel de médecine, le Suédois Svante Pääbo avait mis en évidence, avec d’autres chercheurs, la présence d’une portion particulière d’ADN, héritée de l’homme de Néandertal, chez les malades les plus graves du Covid.

La paléogénétique pourrait donc être bcp plus importante qu'on ne l'avait supposé et .... le passé très lointain se révéler une voie d'avenir dans l'exploration des systèmes immunitaires et de leurs disparités .

@maritima

Plus proche de nous :

« Des gènes qui nous rendent aujourd'hui plus susceptibles à certaines pathologies auto-immunes auraient-ils pu être jadis protecteurs ? « 

Peste noire : la découverte de gènes protecteurs au Moyen-Âge éclaire l'évolution de notre système immunitaire.

Des gènes qui nous rendent aujourd'hui plus susceptibles à certaines pathologies auto-immunes auraient-ils pu être jadis protecteurs ? C'est ce que met en évidence une étude publiée ce 19 octobre dans « Nature » par des scientifiques de l'Institut Pasteur, de l’Université McMaster et de l’Université de Chicago.

Les chercheurs ont travaillé sur la peste bubonique qui a sévi en Europe, Asie et Afrique il y a près de 700 ans, au Moyen-Âge. Cette « peste noire », dont l'agent pathogène est la bactérie Yersinia pestis, est l'évènement le plus meurtrier de toute l'histoire, tuant 30 à 50 % de la population. « Quand une pandémie de cette ampleur a lieu, il y a nécessairement chez l'Homme une sélection en faveur des allèles protecteurs, ce qui implique que les personnes susceptibles au pathogène circulant vont décéder. Le moindre avantage sélectif fera la différence entre survie ou décès. Bien entendu, les survivants en âge de procréer transmettront leurs gènes », explique le biologiste spécialiste de génétique évolutive Hendrik Poinar, co-dernier auteur de l’étude, directeur de l’Ancient DNA Centre de l’Université McMaster.

Les auteurs se sont penchés sur 206 échantillons d'ADN anciens exploitables, extraits de restes d'individus décédés avant, durant ou après la peste noire, mais aussi au Danemark. En comparant l’ADN de victimes et de survivants de la pandémie de peste noire datant de plusieurs siècles, les scientifiques ont identifié des différences génétiques clés expliquant la survie ou le décès des malades et l’évolution de notre système immunitaire depuis.

40 à 50 % de chance de survie

Ils ont en particulier identifié quatre gènes soumis à une sélection, tous impliqués dans la production de protéines de défense contre des pathogènes. Les chercheurs ont découvert que certains allèles (des versions du gène) conféraient une protection contre la maladie : les individus porteurs de deux copies identiques d’un gène particulier, nommé ERAP2, avaient un taux de survie 40 à 50 % supérieur par rapport à ceux dotés d’allèles différents.

À partir de cellules humaines, les scientifiques ont étudié l’interaction entre la bactérie Y. pestis et les cellules immunitaires en fonction de leurs allèles ERAP2. Ils ont analysé comment les macrophages neutralisaient la bactérie Y. pestis. « Les résultats étaient catégoriques. Les « bonnes » copies du gène ERAP2 permettaient une neutralisation plus efficace de Y. pestis par les cellules immunitaires. Avoir la bonne version d'ERAP2 semble avoir été déterminant pour que les cellules immunitaires soient capables de détruire les bactéries Yersinia pestis », commente Christian Demeure, chercheur au sein de l'unité Yersinia à l'Institut Pasteur.

Un avantage devenu un handicap

« L’avantage sélectif associé aux loci sélectionnés est l’un des plus puissants jamais rapporté chez l’Homme, ce qui témoigne de l’importance de l’impact que peut avoir un seul pathogène sur l’évolution du système immunitaire », déclare le généticien Luis Barreiro, co-auteur senior de l’étude et professeur de médecine génétique à l’Université de Chicago.

Cette variabilité génétique existe encore dans nos génomes actuellement. Selon les scientifiques, ces gènes qui conféraient autrefois une protection contre la peste noire sont aujourd’hui associés à une susceptibilité accrue aux maladies auto-immunes, comme la maladie de Crohn et la polyarthrite rhumatoïde. « L’identification d’ERAP2 renforce l’idée que ce qui permet de survivre à une époque peut altérer la survie à une autre époque », conclut Javier Pizarro-Cerda, co-auteur de l'étude, directeur de l'unité de recherche Yersinia de Pasteur. 

Le Quotidien du Médecin, le 19/10/2022

@chatdoc

« L’identification d’ERAP2 renforce l’idée que ce qui permet de survivre à une époque peut altérer la survie à une autre époque »
Une belle leçon pour apprendre la fragilité des certitudes trop facilement acquises .

@chatdoc

A ce sujet il y a 3 semaines j'avais posé la question ... pour le vaccin contre la grippe c'est sans conditions pour le Covid 19 c'est wait and see

bonne journée

Malheureusement, plusieurs personnes de ce site ont attrapé le Covid sous des formes sévères ou prolongées en dépit de leur 3ème ou 4ème dose... c'est la réalité du terrain qu'on ne peut ignorer.

@chatdoc ...9h18

"Ce que de nombreux pays, dont la France, ont bien compris en proposant une 4e dose aux plus de 80 ans" Oui et :
Une 5éme dose ( adaptée aux derniers variants du printemps ) a même été proposée à celles et ceux qui, sans avoir pour autant 80 ans , présentaient des pathologies à surveiller de très près .

Un couplet révélateur d'une interprétation qui n'intègre pas les données virales et immunologiques du Coronavirus et des patients . . Et pourtant depuis 3 ans, on a appris beaucoup de choses !!

Ce n'est pas l'empathie qui vous caractérise... quand le dogmatisme ou la rage (que de points d'exclamation...) l'emportent sur la compassion, c'est insipide.

je ne suis pas sûr que l’empathie soit à l’origine de votre réponse . ., vos nombreux commentaires anti-vaccins sont bien connus sur ce forum et témoignent du moteur principal qui vous anime sur le sujet.

Et, alors le mot insipide, vous le réutilisez mais à mauvais escient !

Encore une interprétation caricaturale et malveillante de votre part... qui vient confirmer mon 11h42.

Cf. 14h34....

"Il est important de rappeler certains faits, qu’étranglement vous ne contestez pas."................ Important de cautionner vos délires ? Vous êtes le seul à le croire.

"De plus, vous ne pouvez pas vous empêcher de répondre".................... Ne serait-ce pas votre cas ? 😂

ce ne sont nullement des délires, continuez vous pourrez le constater . .

D’ailleurs comme le fait que vous ne signalez plus rien à la modération, suite à un certain courrier ?

Vous ne savez ni ce que je fais, ni ce que je pense, et vous vous montrez de plus en plus ridicule avec vos affirmations fallacieuses, vous ne semblez pas en avoir conscience.

@chatdoc si maintenant on en vient à l'étranglement, où cela s'arrêtera donc?

@bibimet75 tu me fais tellement rire que je me roule parterre !!!!!

@nicolas2 ...... 😂 Au moins ça t'aidera à oublier tes misères du Covid long un moment 😉

Encore une pirouette pour éviter d'argumenter. . Un grand merci de fournir une preuve de plus . . .

Cf. 22h57.... Je vous plains.