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Que penser du coronavirus ?
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Pendant qu'une partie des soignants en France s'arc-boute contre l'avis de la HAS et ses conséquences pourtant positives par idéologie, les recommandations s'allègent partout....
Covid-19 : les adultes en bonne santé n'ont plus besoin de se faire vacciner, annonce l'OMS
Désormais, pour l’Organisation mondiale de la santé, les adultes en bonne santé n’ont pas besoin d’une nouvelle dose de vaccin anti-Covid.
C’est une recommandation majeure et un tournant dans la vaccination contre le Covid-19. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) estime désormais que les adultes en bonne santé ne nécessitent pas de dose supplémentaire de vaccins anti-Covid, au-delà de la vaccination primaire et d’un premier booster, les bénéfices pour la santé étant minimes.
Pour ce groupe de personnes de moins de 60 ans dit à risque moyen - auquel s’ajoutent aussi enfants et adolescents avec des comorbidités de 6 mois à 17 ans - il n’y a aucun risque à recevoir des injections supplémentaires mais "les retours en termes de santé sont faibles", ont déclaré les experts en vaccins de l’OMS.
Et pour lire la suite....
Covid-19 : les adultes en bonne santé n'ont plus besoin de se faire vacciner, annonce l'OMS
Désormais, pour l’Organisation mondiale de la santé, les adultes en bonne santé n’ont pas besoin d’une nouvelle dose de vaccin anti-Covid.
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Histoire de relativiser beaucoup, d'ironiser un peu et de surtout se dire que la santé vue ainsi * est loin d'être l'apanage du plus grand nombre ........sinon .... comment expliquer que tant de gens se plaignent des " déserts médicaux" ? des RDV qu'il faut attendre des mois etc.
* La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité." ( définition de l'OMS )
Ajout : j'allais oublier !
"Les adultes en bonne santé ne nécessitent pas de dose supplémentaire de vaccins anti-Covid, au-delà de la vaccination primaire et d’un premier booster" ( OMS )
.......Ce qui n'est pas dire qu'il n'est nul besoin de se faire vacciner pour qui ne le serait pas du tout...
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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L’avis de la Haute Autorité de santé (HAS) en fa ...
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Quand on aura eu tous les articles sur ce même sujet, on aura bien compris: colère en France. Nos voisins immédiats ont depuis longtemps remarqué que c'est l'attitude préférée chez nous.
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A méditer...
Covid-19 : la pandémie a révélé les discriminations dont les seniors sont victimes
Quarantaine ciblée, exclusion numérique, appauvrissement, infantilisation...
Il faut repenser la place faite aux personnes âgées dans la société, tranche lundi 3 avril un vaste réseau d'universitaires, qui revient sur les discriminations subies par les seniors pendant la pandémie de Covid-19
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Un rapport évoquant plus spécifiquement la situation de la France serait intéressant. . et certains sujets sont connus depuis plus longtemps comme la fracture numérique..
Et oui, nous vivons en société, sujet qui a fait l’objet de débats sur ce forum (!) lorsque l’on évoquait la vaccination . . Mais, n’oublions pas que la Société, c’est nous tous . .
Cela me rappelle l’engagement des Espagnols et des Portugais pour adhérer massivement à la vaccination pour eux et leurs aînés ( en les prenant en charge) , avec d’excellents résultats dès le printemps 2021.
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» Une recherche récente identifie toutefois deux groupes de gens qui ont eu plus d’impact que les autres pendant la COVID: les non-vaccinés (!) et les gens avec un système immunitaire affaibli. »
CORONAVIRUS : LES NON-VACCINÉS ONT CONTRIBUÉ AUX VARIANTS
Agence Science-PresseLundi 3 avril 2023
Bien des facteurs peuvent contribuer à l’émergence de variants, lorsqu’une épidémie sévit à l’échelle mondiale. Une recherche récente identifie toutefois deux groupes de gens qui ont eu plus d’impact que les autres pendant la COVID: les non-vaccinés et les gens avec un système immunitaire affaibli.
À la base, l’émergence (ou non) d’une version mutante d’un virus est toujours une question de statistiques: plus un virus circule, et plus augmente le risque de voir apparaître un mutant suffisamment différent pour qu’on le désigne comme « variant ». Qui plus est, une plus grande circulation du virus augmente le risque que ce variant remplace peu à peu les autres, s’il s’avère que ses mutations le rendent plus transmissible.
Par conséquent, il n’est pas statistiquement étonnant que, pendant la pandémie, les non-vacccinés aient davantage contribué à la circulation des variants du SRAS-CoV-2, mais encore fallait-il le démontrer.
C’est ce à quoi se sont appliqués 11 chercheurs de Chine et d’Australie. Leur recherche, parue le 31 mars dans la revue Nature Communications, s’appuie sur le décodage des gènes de 2820 échantillons du virus récoltés dans les poumons d’autant de malades entre juin 2020 et septembre 2022. Les auteurs y ont cherché des corrélations entre l’émergence de différentes lignées du virus et les conditions dans lesquelles l’infection s’est produite, les différentes vagues de la pandémie, ou les campagnes de vaccination.
Au final, écrivent-ils, « chez les individus non-vaccinés, les variants préoccupants Alpha, Delta et Omicron » avaient une plus grande « diversité génétique ». Ou bien, si on regarde le problème par l’autre bout: la vaccination ne favorisait pas la capacité du virus à acquérir de nouvelles mutations.
Ces chiffres viennent renforcer des constats faits tout au long de 2022: proportionnellement, les non-vaccinés (!) étaient systématiquement plus à risque d’être l’objet de cas graves de COVID conduisant à des hospitalisations, voire plus à risque d’en mourir.
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Oui mais vaut mieux éviter l'infection par la vaccination , @bibimet75 car rien n'est moins sûr que l'infection se passe sans complications ....
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Ca dépend pour qui... et de plus, aujourd'hui le virus est devenu beaucoup moins agressif.
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@bibimet75 réf 15h28
Ca dépend pour qui ??? nul n'est à l'abri , ne jouons pas à la roulette russe et espérons que le virus devenu moins agressif le reste définitivement
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Ne soyez pas si pessimiste... désormais ce virus est devenu comparable à celui de la grippe, c'est officiel.
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De l’influence de l’effet « nocebo « sur les effets secondaires post-vaccinaux . . .
Les attentes négatives à l'égard des vaccins COVID peuvent amplifier les effets secondaires.
Selon une étude publiée cette semaine, les personnes qui n'espéraient pas grand-chose d'un vaccin COVID-19 ont signalé davantage d'effets secondaires négatifs liés aux injections.
Selon les chercheurs, cela correspond au rôle psychosomatique des "effets nocebo", lorsque des "caractéristiques psychologiques telles que l'anxiété, la dépression et la tendance à amplifier des sensations corporelles bénignes" amènent les participants à signaler plus d'effets négatifs que les autres.
En août 2021, des chercheurs de Hambourg, en Allemagne, ont suivi 1 678 adultes recevant une seconde injection de vaccins Pfizer ou Moderna à base d'ARNm. Les participants ont consigné leurs symptômes dans un journal, en commençant deux semaines avant les vaccinations et en continuant sept jours après.
Certains participants ont déclaré qu'ils ne s'attendaient pas à un grand bénéfice. Selon les chercheurs, ces personnes étaient plus susceptibles de "catastrophiser au lieu de normaliser des sensations corporelles bénignes". Les personnes qui avaient eu une mauvaise expérience avec leur première injection étaient plus susceptibles de dire qu'elles ressentaient des douleurs et d'autres effets secondaires lors de la seconde.
"Les interactions entre le clinicien et le patient ainsi que les campagnes publiques de vaccination pourraient bénéficier de ces connaissances en optimisant et en contextualisant les informations fournies sur les vaccins COVID-19", ont déclaré les chercheurs.
"Les effets nocebo défavorables pourraient alors être évités et l'acceptation globale des vaccins pourrait être améliorée.
Plus de la moitié des participants, soit 52,1 %, s'attendaient à ce que la piqûre ait des effets néfastes. Par ailleurs, 7,6 % des participants ont déclaré qu'ils seraient hospitalisés en raison de ces effets néfastes et 10,6 % ont déclaré que les effets dureraient à long terme.
Selon le Washington Times, "un nombre important de patients ont signalé des effets indésirables après la vaccination", mais les personnes ayant des attentes positives les ont jugés mineurs.
"Ceux qui ont obtenu des résultats plus élevés en matière d'anxiété, de dépression et d'autres facteurs psychosociaux étaient plus susceptibles de qualifier ces problèmes de graves.
https://jamanetwork.com/journals/jamanetworkopen/fullarticle/2802767
Expectations and Prior Experiences Associated With Adverse Effects of COVID-19 Vaccination
This cohort study investigates whether positive and negative expectations are associated with systemic adverse effects among adults receiving their second dose of COVID-19 vaccines.
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@maya78 ..... Le cerveau vit sa vie ! 🙂
"Toute pensée que nous avons en tête devient réalité. Toute pensée occupant uniquement notre esprit devient vraie pour nous."
Cette phrase d'Emile coué dont on s'est bien moqué, à tort car sa théorie est autrement plus complexe que ce qu'on a retenu de sa " méthode" montre que l ’on peut se rendre malade aussi bien avec des soucis réels qu’avec des soucis imaginaires, et qu'à l'inverse l'on peut se rendre heureux avec des bonheurs imaginaires aussi bien qu’avec des bonheurs réels. ( nocebo vs placebo )
Dans un domaine parallèle les illusions d'optique ont un cheminement semblable : Les neurosciences grâce à l’imagerie ont démontré que la perception visuelle et l’imagination sollicitent les mêmes zones du cerveau.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@maya78
Pour la substance de l'eau sucrée suffira 😊 @chatdoc le confirmera surement
Et pour l'effet Placebo , je vais me convaincre d'avoir retrouvé les poumons de mon enfance et ... je te dirai quand je commencerai à courir 😊
Bonne soirée
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@serpico1 en effet l'eau sucrée c'est possible .n'importe quel produit peut faire effet placebo ou nocebo d'ailleurs . voilà où je voulais en venir .
bonne soirée
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@maya78
Tout à fait, c’est un produit dit inerte, pas forcément du sucre, . mais il doit présenter la même forme que le produit testé, couleur, aspect, taille et s’il s’agit d’une injection le placebo est injecté et doit avoir des caractéristiques visibles similaires. .
Pour les vaccins COVID ARNm, que ce soit Pfizer ou Moderna, il y a eu plus de 40 000 patients « injectés « pour chaque dont la moitié avec placebo (et en double aveugle). Et, lors des essais, il y a eu peut d’effets secondaires, ce qui a surpris après certains échos lots des campagnes de vaccination.
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@maya78 d’autres facteurs que la seule prise d’une substance sont pris en compte, cf. ci-dessous. .
Une étude avec des résultats surprenants, concernant l’effet placebo. .
L'effet placebo est un facteur important de la réduction de la douleur dans les essais sur le cannabis.
Les résultats d'une nouvelle méta-analyse suggèrent qu'une forte réponse placebo pourrait être largement responsable de la réduction significative de la douleur observée dans les essais cliniques des thérapies à base de cannabis.
Les chercheurs ont constaté que si l'ampleur de l'effet des cannabinoïdes sur l'intensité de la douleur était significative, l'effet placebo était à peu près le même."
Les données de la présente méta-analyse, portant sur 1459 patients souffrant de douleurs cliniques, suggèrent que les réponses placebo contribuent de manière significative à la réduction de la douleur observée dans les essais cliniques randomisés sur les cannabinoïdes", écrivent les chercheurs dirigés par Filip Gedin, PhD, un post-doctorant de l'Institut Karolinska de Solna, en Suède.
Les chercheurs supposent que l'importance de l'attention médiatique entourant les essais sur le cannabis peut avoir contribué à un fort biais positif (!!) en faveur de l'efficacité des cannabinoïdes dans le traitement de la douleur.
Les résultats ont été publiés en ligne le 28 novembre 2022 dans le JAMA Network Open.
Si l'effet des cannabinoïdes sur l'intensité de la douleur était important, celui du placebo était à peu près le même, selon les résultats (P < 0,001 pour les deux groupes).
L’importance des « forces de l’esprit « !!
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@chatdoc oui je suis convaincue de la force de l'esprit sur le corps .
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@maya78 ........... Je me doutais que tu étais convaincue de cela .....
" Nombre de gens lorsque des médecins, sûrs de leur savoir, annonce un pronostic et un calendrier précis, se conforment intérieurement à ce pronostic et meurent au bout de quelques mois ou années qu'on leur avait donné à vivre . François Mitterrand m'écoute avec une grande attention " A en croire les médecins ,je devrais être mort , répète-t-il . Vous m'ouvrez une porte,je vous en remercie "
....................................................Marie de Hennezel / Croire aux forces de l'esprit
@chatdoc .........cf 8h44 : " L’importance des « forces de l’esprit « !! même si considérée dans un autre contexte .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@maritima oui un petit coté " Mitterrand "........😉
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Compte suspendu
@bibimet75
A ce jour, plus de 2 millions de personnes en France seraient touchées par un Covid long.
SIMPLE RAPPEL !!!!!
Une pathologie qui affecte le quotidien des patients, pour qui il existe un parcours de soins dédié, mais qui n’est pas toujours accessible.
Pour les malades, cette première journée de sensibilisation est un moyen de mettre en lumière une affection qui n’est pas toujours comprise par l’entourage comme par les médecins.« Il faudra que j’aille m’allonger après vous avoir parlé. » Ancien militaire et grand sportif amateur de trail, Matthieu Lestage n’a jamais eu peur de l’effort et du dépassement de soi. Il y était même accro. Mais ça, c’était avant. Depuis deux ans et demi, il vit avec un Covid long et désormais, le moindre effort lui coûte au centuple.
Comme lui, plus de 2 millions d’adultes seraient touchés par un Covid long dans l’Hexagone, selon Santé publique France. Une affection dont la prise en charge reste pour de nombreux patients difficilement accessible faute de structures en nombre suffisant. Un Covid sans fin encore nébuleux, pour lequel aucun traitement n’existe à ce jour. A l’occasion ce mercredi de la toute première journée internationale de sensibilisation au Covid long, des patients racontent leur quotidien bouleversé par cette maladie.
« Un épuisement d’une violente intensité »C’est en octobre 2020 que Matthieu, 42 ans à l’époque, contracte le Covid-19 : « Une primo-infection de trois semaines et demie qui a affecté mes poumons. J’ai failli y passer. » Mais jugé jeune et en bonne santé à ce moment de la pandémie où le chaos règne dans les hôpitaux, Matthieu, sans comorbidités ni antécédents, est renvoyé chez lui « le soir même », raconte-t-il. Quelques jours plus tard, déclaré officiellement guéri du Covid-19, le quadragénaire reste à bout de forces, et ses analyses révèlent un risque accru de thrombose, de phlébite et d’accident cardiovasculaire. « On m’a dit "dans votre état, vous pouvez simplement vous lever pour aller pisser. Là, c’est repos total et surveillance accrue". Ça a été un choc ! »
Non, le COVID ,'a pas disparu, pour le moment il hiberne
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Et... ? Auriez-vous malheureusement un Covid long ?
Sinon... vous découvrez que le Covid n'a pas disparu... ben oui !
L'OMS classe désormais le Covid au même niveau que la grippe, après bien des pays qui voient que la pandémie est terminée. Même la France lève certaines obligations... Saviez-vous que cette maladie a été déclassée ? Elle n'a pas disparu, elle est bien moins grave qu'au début.
Vous pouvez vous détendre à ce sujet. Bonne journée.
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Mais la notion de pandémie n’est qu’une question d’ampleur :
D'après le Larousse, une épidémie est « le développement et la propagation rapide d'une maladie contagieuse, le plus souvent d'origine infectieuse, dans une population ». Quant à elle, la pandémie est « une épidémie étendue à toute la population d'un continent, voire au monde entier ». Tout est donc une question d'ampleur.
Comment se définit une pandémie ?
Pandémie : une épidémie mondialisée.
C’est le plus souvent à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) que revient le passage de l'une à l'autre. Le virus Ebola, qui a frappé l’Afrique de l’Ouest entre 2014 et 2016, a ainsi été principalement cantonné en Guinée, au Libéria et en Sierra Leone. Quelques cas sporadiques ont bien été enregistrés dans d'autres pays, mais sans diffusion massive sur tous les continents.
À l'inverse, le Covid-19, qui a débuté en Chine, est passé du statut d’épidémie à celui de pandémie le 12 mars 2020, après que le cap de 110.000 personnes a été passé, dont 20.000 cas dans la région européenne. « Le Covid-19 peut être qualifié de pandémie en raison de la hausse rapide du nombre de cas en dehors de la Chine au cours de ces 2 dernières semaines, et du nombre croissant de pays touchés », indiquait ainsi l'OMS dans son communiqué.
On parle aujourd'hui de pandémie, y compris pour des affections chroniques, comme l'obésité, le diabète, le tabagisme, le cancer, ou encore la résistance aux antibiotiques.
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Le Coronavirus en France
D'après le dernier bilan de Santé Publique France
On recensait le vendredi 7 avril 2023, + 28 morts supplémentaires / +8.786 nouveaux cas confirmés en 24h / 726 ( +23 ) malades en réanimation.
Le taux de reproductivité R est de 1,06 , le taux d'incidence à 82,58 et la tension hospitalière à 14,4 %.
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j'ai en tête une anecdote sur les pronostics médicaux: c'est une dame qui va voir son médecin après des examens pour une suspiçion de tumeur. Celui-ci la reçoit et, après avoir examiné les résultats de ses examens, lui dit "madame, je suis désolé de vous apprendre une telle nouvelle, mais vous êtes atteinte d'un cancer généralisé et vous n'avez plus que quelques semaines à vivre. La dame, catastrophée, s'effondre en larmes et lui dit "docteur , je voudrais un deuxième avis". Celui-ci la regarde alors et lui répond "vous êtes moche"...Ok, je sors..
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Les coronavirus ont des caractéristiques bien connues depuis des années, en particulier celles de muter facilement et d´être peu immunogènes. ., surtout au niveau humorale donc de la protection contre les reinfections !!
Il circule depuis fin 2022, de nombreux nouveaux variants, donc en cas de doute face à des symptômes compatibles se faire tester est la solution pour savoir, car de. nombreux autres virus circulent et il y a aussi les allergies printanières qui présentent des symptômes assez proches.
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Un commentaire quelque peu inapproprié !!
les personnes non vaccinées et jamais infectées sont sans doute extrêmement peu nombreuses . . 3 ans après le début de la pandémie !!
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@chatdoc bonjour et merci pour votre réponse
Pour les allergies printanières c'est exactement ce que m'a dit la pharmacienne ou j'ai chercher le test qui s'avère négatif , c'est vrai que les symptômes y ressemblent ce qui m'étonne pour une allergie c'est la gêne pulmonaire et l'essoufflement qui ressemble à celle du covid
bonne journée
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Les allergies aux pollens peuvent se transformer en une sorte d'asthme allergique avec inflammation au niveau des bronches . D'où toux éventuelle, oppression ressentie et essoufflement ( entre autres ....)
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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chatdoc
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Ami
Qui est le plus susceptible d'obtenir un long COVID ? Des données sur les patients peuvent le dire . .
Bonnes et mauvaises nouvelles sur le front de la COVID longue :
Certains groupes de personnes - comme les femmes, les fumeurs et ceux qui ont eu des infections graves à COVID-19 - ont un risque plus élevé d'avoir une COVID longue, selon une étude portant sur plus de 800 000 patients (!)
.Voilà pour les mauvaises nouvelles.
Cependant, les chercheurs ont également constaté que les patients qui avaient reçu au moins deux doses du vaccin COVID présentaient un risque significativement plus faible de contracter une infection à COVID longue. "Il est non seulement important d'identifier les personnes présentant un risque élevé de développer une PCC [affection post-COVID-19] et d'offrir des soins de suivi, mais il est également impératif de planifier des mesures de santé publique au niveau de la population", a écrit l'auteur principal de l'étude, Vassilios Vassiliou, docteur en médecine.
L'étude, publiée dans la revue JAMA Internal Medicine , a regroupé 41 articles publiés antérieurement qui contenaient des informations sur 860 783 patients. L'étude a mis en évidence une série de caractéristiques démographiques significativement liées à la durée de la COVID, notamment le sexe féminin, le fait d'être âgé de plus de 40 ans, le tabagisme, un indice de masse corporelle (IMC) élevé et une hospitalisation due à une infection par le COVID-19.
Le COVID long, tel que défini par l'Organisation mondiale de la santé, est la poursuite des symptômes du COVID ou l'apparition de nouveaux symptômes au moins trois mois après l'infection initiale.
Selon les chercheurs, le fait de souffrir d'autres affections - comme l'anxiété, la dépression, l'asthme, le diabète et l'immunodépression - est également lié à une plus grande probabilité de contracter une infection à COVID de longue durée.
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Chatdoc
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Près de 30 soignants concernés au CHU de Toulouse par la levée de l’obligation vaccinale
Au CHU de Toulouse, 29 soignants non-vaccinés pourraient être réintégrés, après la recommandation de la Haute Autorité de santé (HAS) de lever l’obligation vaccinale des professionnels de santé. Un décret devrait bientôt être pris par le gouvernement pour faire évoluer cette obligation.
Ils sont suspendus depuis un peu plus d’un an et demi. La Haute Autorité de santé (HAS) a préconisé ce jeudi 30 mars de lever l’obligation de vaccination des soignants et professionnels de santé contre la Covid-19. Pour rappel, cette mesure est entrée en vigueur le mercredi 15 septembre 2021. Peu de temps après l’annonce de la HAS, le ministre de la Santé, François Braun, a indiqué qu’il allait « suivre » son avis, « comme la loi le prévoit. »
« À l’issue de concertations avec les représentants des professionnels de santé, un décret sera pris pour faire évoluer l’obligation vaccinale des soignants », a ajouté le ministre. Ainsi, les professionnels de santé non-vaccinés, et suspendus depuis 18 mois maintenant, pourront bientôt réintégrer leur poste.
« Symboliquement, ce serait quelque chose pour ces professionnels de santé qui ont subi un véritable préjudice. Ils n’ont pas eu de salaire et n’ont pas pu participer aux cotisations sociales durant des mois », rappelle le secrétaire adjoint du syndicat Sud santé sociaux qui souhaite également que la direction du centre hospitalier universitaire toulousain fasse « un point sur les éventuelles réintégrations et les conditions dans lesquelles celles-ci se feront. »
Le Journal Toulousain - 7/04/2023
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Ami
@bibimet75 réf 5 /04/ 18h50 ...Concerne réintégration du personnel suspendu .....Emission "Ma France" sur France bleu le 5 /04 2023 à 16h08 , le ministre F. Braun s'exprime
Les autorités scientifiques nous donnent un avis , il va y en avoir d'autres à ajouté le ministre , qui s'est engagé à signer un décret après avoir consulté les fédérations hospitalières et des professions des ordres de santé Il va y avoir l'avis du conseil consultatif national d'éthique , les syndicats et puis l'avis de la HAS en juillet , donc ce débat n'est pas fini , abordons le de la manière la plus calme possible à t'il insisté .......
Les Toulousains devront patienter car la réintégration ne sera pas pour demain et les conditions ne seront pas celles espérées par les partis politiques et le syndicat Sud santé
Bonne fin de journée
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« À l’issue de concertations avec les représentants des professionnels de santé, un décret sera pris pour faire évoluer l’obligation vaccinale des soignants », a ajouté le ministre. Ainsi, les professionnels de santé non-vaccinés, et suspendus depuis 18 mois maintenant, pourront bientôt réintégrer leur poste.
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@bibimet75 réf 18h18
C'est le ministre qui a dit que les non vaccinés suspendus pourront bientôt réintégrer leur poste ? ou ce sont des suppositions ?
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Hervé49
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Hervé49
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Ami
Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?