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Que penser du coronavirus ?
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chatdoc
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chatdoc
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La liste des facteurs de risque de faire une forme grave du COVID se précise, d,ou l’importance de bien la connaître !
Y a-t-il un lien entre l'apnée du sommeil et le COVID ?
Certaines recherches indiquent que l'apnée du sommeil est liée à un risque plus élevé de contracter le COVID-19. De plus, certains facteurs de risque de l'apnée du sommeil sont également des facteurs de risque de la maladie grave du COVID-19.
L'apnée du sommeil est corrélée à plusieurs conditions médicales qui augmentent le risque de maladie grave COVID-19. Elle peut également constituer un facteur de risque indépendant de maladie grave, d'hospitalisation et de décès.Bien que les chercheurs ne l'aient pas encore étudié en profondeur, des recherches préliminaires suggèrent qu'un faible taux d'oxygène dans le sang pourrait être un facteur qui augmente l'inflammation et accroît le risque de COVID-19. Les personnes atteintes de SAOS devraient traiter leur maladie ou demander à un médecin d'utiliser une machine CPAP.
Quelques extraits :
L'apnée du sommeil peut également être un facteur de risque indépendant de la maladie COVID sévère.
Une étude de 2021 suggère que le manque d'oxygène pendant le sommeil pourrait expliquer le risque plus élevé chez les personnes atteintes de SAOS. Le taux de COVID-19 grave était plus élevé chez les personnes dont le taux d'oxygène sanguin était inférieur à 90 % pendant de plus longues périodes la nuit.Globalement, le risque d'hospitalisation et de mortalité était supérieur de 31 %.
Une étude de 2020 a révélé que, même après avoir contrôlé les facteurs de risque associés à la maladie grave COVID-19, les personnes souffrant d'apnée du sommeil étaient plus susceptibles de :* d'être hospitalisées* d'avoir besoin d'un ventilateur* d'être admises dans une unité de soins intensifs (USI).Ces données suggèrent que les perspectives sont moins bonnes pour les personnes souffrant d'apnée du sommeil, mais elles ne permettent pas de prédire l'issue de la maladie pour chaque individu.
Il est important de noter que cette étude a été menée en 2020, avant que les vaccins et la plupart des traitements COVID-19 ne soient disponibles. À partir de 2022, les vaccins et les traitements sont plus largement disponibles, de sorte que les perspectives générales sont probablement meilleures.
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Chatdoc
12byron
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https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/measles
la grippe de la tomate, autrefois dite: ROUGEOLE
😂😂😂😂
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12 Byron
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bibimet75
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Un peu d’humour ne fait pas de mal 😂
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maritima
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Ben non ..... pas vraiment ! ce sont 2 virus différents .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@Philou75FR ... Tu l'as dit ! Il en est à suivre mon fil d'actualité sur mon profil... et pas que lui d'ailleurs !! Certains s'ennuient visiblement 😄
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Bonne soirée.
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il y a des tricheurs sur ce forum
inutile de les nommer, ils se reconnaîtront !!
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bibimet75
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Urgence urinaire, pour le moment, même les auteurs de l'article sont prudents (!!). :
Les auteurs de l’étude rappellent que les causes de ces troubles urinaires demeurent incertaines, mais ils avancent plusieurs hypothèses.
"Les résultats peuvent s'expliquer par la réponse immunitaire générée par le vaccin, indiquent-ils. Les voies liées au système immunitaire sont déclenchées après la vaccination, ce qui se reflète d'une manière ou d'une autre dans l’urine."
D’après de précédents travaux, les protéines urinaires peuvent indiquer la réponse immunitaire de l’organisme à la vaccination dans les heures suivant l’injection.
Cet effet secondaire pourrait aussi être une conséquence de la réponse inflammatoire engendrée par le vaccin, qui se concentre alors sur les muscles de la vessie et provoque les troubles évoqués précédemment.
"D’autres études sont nécessaires pour prouver une association causale entre la vaccination et les symptômes urinaires", estiment les auteurs.
@bibimet75 quel article du JAMA ?
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Chatdoc
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Ce besoin d'occuper l'espace de mr. le pseudo-savant... 😤
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Après la 4eme dose, c'est couche garantie !
Attention @nicolas2 le risque vous guette !!!
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N'oubliez pas d'être un peu fêlé pour faire passer la lumière...
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L’urgence urinaire et vaccins Covid-19.
Il convient d’abord de préciser les faits. Puis de répondre à la question : corrélation ou causalité ?, et enfin de prendre en compte qu’un vaccin est un médicament qui par son mode d’action entraîne une réaction de l’organisme comme le souligne l’OMS.
"Il est courant de ressentir quelques effets indésirables d'intensité légère à modérée après avoir reçu un vaccin, rassure l’Organisation mondiale de la santé. Ils sont dus au fait que votre système immunitaire demande à votre organisme de réagir de plusieurs manières : il augmente le flux sanguin afin que davantage de cellules immunitaires puissent circuler, et il élève votre température interne afin de tuer le virus."
Les trois principaux vaccins reçus étaient celui d’AstraZeneca, de Moderna et celui de Pfizer-BioNTech.
13,4% des participants à l’étude, femmes et hommes confondus, ont subi des effets secondaires liés à leur système urinaire
Le trouble le plus fréquent était l’urgence urinaire, soit le besoin impérieux d’uriner, suivi par une augmentation des envies d’uriner, puis par les réveils nocturnes pour aller aux toilettes et l’incontinence.
D’après de précédents travaux, les protéines urinaires peuvent indiquer la réponse immunitaire de l’organisme à la vaccination dans les heures suivant l’injection. Cet effet secondaire pourrait aussi être une conséquence de la réponse inflammatoire engendrée par le vaccin, qui se concentre alors sur les muscles de la vessie et provoque les troubles évoqués précédemment. "D’autres études sont nécessaires pour prouver une association causale entre la vaccination et les symptômes urinaires", estiment les auteurs.
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Chatdoc
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Hervé49
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Hervé49
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Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?