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Que penser du coronavirus ?
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chatdoc
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chatdoc
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Une étude en pré publication concernant l’HCQ a été soumise par l’équipe du Pr Raoult . . sa lecture est surprenante.
Commentaires à suivre.
ci-dessous le lien :
@Alain08 , @bibimet75 . . .
Viral clearance in patients with COVID-19: associated factors and the role of antiviral treatment
The role of hydroxychloroquine (HCQ) in lowering the viral load of patients with COVID-19 is controversial. In our Institute, we treated more than 30,000 people with COVID-19 in 2020 and 2021, using the same diagnostic tools and the same treatment dos
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maritima
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Le processus rappelle en bien des points "le passé prestigieux, puis la longue dérive" du Pr. Luc Montagnier .
Mort du Pr Luc Montagnier : du prix Nobel de médecine à la sphère antivax
Le prix Nobel de médecine Luc Montagnier est mort, laissant derrière lui une image contrastée par de nombreuses positions scientifiques dénoncées par ses pairs.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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serpico1
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@bibimet75
J'en ferai part .....au Covid ......🤓
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@serpico1 👍😉
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Le ministre de la Santé a annoncé la réintégration des soignants non-vaccinés pour la "mi-mai".
Suite du jeudi 30 mars où la Haute Autorité de Santé (HAS) a recommandé de lever l'obligation de vaccination covid afin de réintégrer les professionnels non-vaccinés... En effet, selon la HAS, le contexte épidémique est favorable à cette réintégration.
Ce dimanche 30 avril 2023, le ministre de la Santé, François Braun, a annoncé que les soignants non-vaccinés contre le coronavirus pourront reprendre leur travail à partir de la mi-mai. Dans un entretien accordé au Pays Briard, le ministre a précisé que « l’instruction est prête » et qu’il la signerait à « en tout début de semaine prochaine ». Ce décret de mise en application « sera pour mi-mai », a-t-il confirmé.Ce dimanche 30 avril 2023, le ministre de la Santé, François Braun, a annoncé que les soignants non-vaccinés contre le coronavirus pourront reprendre leur travail à partir de la mi-mai.
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chatdoc
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chatdoc
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Une information qui ne fait que reprendre ce qui est connu depuis des semaines. . .
Soyons patients, car ce sujet est très compliqué et il faudrait aussi abordé le point précis des fonctions exactes des soignants non vaccinés . .
Lorsque les textes exacts seront publiés, on pourra alors faire de vrais commentaires argumentés. . car, comme très souvent, selon ce que l’on pense, « le diable se cache souvent souvent dans les détails « !!
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Chatdoc
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Dimanche 30 avril 2023 encore...
Dans un entretien accordé au Pays Briard, le ministre a précisé que « l’instruction est prête » et qu’il la signerait à « en tout début de semaine prochaine ». Ce décret de mise en application « sera pour mi-mai », a-t-il confirmé.
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une tendance de plus en plus prononcée à répéter la même information sans apporter de nouveauté !!
Plusieurs étiologies possibles . . . .
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Chatdoc
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C'est vrai que vous le faites fréquemment...
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chatdoc
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la pre-publication sur l’HCQ .
Du neuf dans la nouvelle étude sur l’hydroxychloroquine? . . . Douteux
Une nouvelle étude sur l’hydroxychloroquine comme traitement contre la COVID fait parler d’elle sur les médias sociaux en français. À défaut de changer ce qu’on a appris depuis trois ans, est-elle plus solide que les études qui l’ont précédée? L’étude en question, co-signée par huit chercheurs de Marseille dont le microbiologiste Didier Raoult, n’est qu’une prépublication, ce qui signifie qu’elle n’a pas été révisée par d’autres experts, pour l’instant.
Mais elle permet d’illustrer à quel point une étude sur un médicament doit tenir compte de nombreux paramètres avant qu’on puisse conclure que le médicament fonctionne.Le travail porte sur 1276 patients hospitalisés entre mars 2020 et mars 2021 à l’Institut hospitalo-universitaire de Marseille (IHU) dont Didier Raoult était le directeur —et d’où il s’est fait connaître comme un défenseur indéfectible de ce médicament anti-malaria contre la COVID. La recherche s’est concentrée sur l’évolution de la « charge virale » de ces patients, c’est-à-dire qu’elle a tenté de mesurer si la quantité de coronavirus chez ces patients a diminué, ou non, grâce à l’hydroxychloroquine (HCQ). 776 de ces patients avaient été traités avec de l’HCQ, et 500 avec d’autres médicaments. La conclusion des auteurs est que l’élimination du virus (en anglais, viral clearance) aurait été atteinte « significativement plus tôt » dans le groupe avec HCQ.
D’emblée, cette étude arrive en retard: l’engouement face à ce médicament —que même Donald Trump avait vanté en mars 2020— a donné lieu en 2020 et 2021 à plus de 200 études cliniquesdans des dizaines de pays qui, en grande majorité, ont conclu que le médicament n’avait pas d'effets pour réduire les cas graves de COVID ou les décès.
Cette étude ajoute-t-elle quelque chose de neuf? En attendant qu’elle ait été formellement révisée par les pairs, c’est-à-dire par d’autres experts du domaine, elle a déjà fait l’objet de lectures informelles qui ont attiré l’attention sur certaines failles.
La liste qui suit n’est pas exhaustive.Sur les 2799 patients hospitalisés à l’IHU entre mars 2020 et mars 2021 et qui ont eu, en cours de route, un diagnostic de COVID, 1276 ont donc été retenus pour cette étude: il s’agit de ceux qui ont eu un test PCR positif (test visant à mesurer la charge virale chez le patient) « dans les 48 heures suivant leur admission ». Or, un premier problème est que le « jour zéro », c’est-à-dire le moment à partir duquel on a commencé à calculer si la charge virale diminue ou non, n’est pas le même pour les deux groupes. Pour les « patients sans HCQ », c’est le moment de leur admission à l’hôpital, alors que pour les patients « avec HCQ », c’est le moment du début du traitement, qui a pu survenir jusqu’à 48 heures plus tard. Cela donne un « avantage » aux patients avec HCQ: un pourcentage indéterminé était déjà d’un ou deux jours plus avancé sur la voie de la guérison avant que le traitement ne commence. Et comme le résultat de l’étude en faveur de l’HCQ est très faible, les critiques suggèrent déjà que ce facteur pourrait suffire à expliquer la différence.
Sur ce dernier point, on se rappelle qu’une des thèses des défenseurs de ce qu’en 2020, on appelait le « protocole Raoult », était que l’HCQ, pour être efficace, devait être administrée à des phases précoces de l’infection, alors que cette étude porte sur des patients hospitalisés, donc présumément infectés depuis des jours.
L’étude ne précise pas le nombre de jours pendant lesquels les doses d’HCQ ont été données.
Elle ne précise pas non plus la durée d’hospitalisation.
Comme l’étude a choisi d’écarter, sur les 2799 patients hospitalisés, plus de 1500 qui n’ont pas subi un deuxième test PCR après 10 jours, on ne peut que spéculer: s’agit-il de patients guéris ou de patients transférés dans un autre hôpital?
L’IHU n’a en effet pas d’unité de soins intensifs, ce qui veut dire qu’un patient dont l’état se détériore rapidement doit être transféré. Résultat, s’il y a des décès dans les groupes avec ou sans HCQ, ou même des patients transférés aux soins intensifs, ils n’apparaissent pas dans les tableaux.
C’est la charge virale nasale qui est mesurée (dans leur jargon, au niveau du « nasopharynx »). Or, les connaissances acquises sur la COVID depuis 2020 ont suggéré que la charge virale dans les poumons était au moins aussi importante pour expliquer les cas graves.
Le tableau 2, qui compare les groupes avec et sans HCQ, ne compte que trois variables: l’âge, la charge virale et le délai entre les premiers symptômes et le traitement. On n’a donc aucun moyen de savoir si les hommes s’en sont mieux tirés que les femmes, ou ceux souffrant de comorbidités, ou d’antécédents médicaux…
On constate toutefois par ce même tableau qu’il y a deux fois plus de patients de 80 ans et plus dans le groupe « sans HCQ » que dans le groupe « avec HCQ » (40,6% contre 22,8%). Comme c’est une étude dite observationnelle, ça n’est pas anormal: lors de telles études, les chercheurs doivent, littéralement, faire avec ce qu’ils ont. Mais comme on sait que les 80 ans et plus ont, en moyenne, un système immunitaire moins performant, ça biaise les résultats.
Les auteurs terminent par un bémol inhabituel. Alors que, traditionnellement, les chercheurs vont inclure, dans leurs conclusions, un paragraphe qui souligne les limites de leur étude, celui-ci se lit comme suit: « la faiblesse de cette étude » est que « l’efficacité du traitement est en partie due au fait qu’elle a été gérée par une équipe spécifique (…) et que la qualité générale de cette gestion et l’expérience des praticiens a probablement joué un rôle autant dans la conformité que dans l’évolution des patients traités. Cela signifie que les résultats peuvent être généralisés uniquement à des patients similaires ».
Tel que formulé, on pourrait croire que les auteurs se prémunissent contre la critique à l’effet que leurs résultats ne pourront pas être reproduits par d’autres chercheurs, sous le prétexte qu’il n’y a que dans leur institution que ces résultats auraient pu être obtenus.
@Alain08 des résultats, en fait, très discutables et d’une équipe connue . . et pas des témoignages du monde du spectacle.
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Chatdoc
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le retour du perroquet !!
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Le retour du perroquet !?! 😱
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A une heure aussi tardive, plus de doute !! sauf les emojis .
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A une heure aussi matinale, plus de doute ? (sans emoji).
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Un mode d’emploi pour le moment très vague !!
»Selon le texte, les soignants suspendus seront considérés comme réintégrés « le lendemain » de la parution du décret levant l’obligation vaccinale contre le coronavirus. Cette parution est prévue le 14 mai.
Missions de la hiérarchie
Les chefs d’établissements publics (hôpitaux, Ehpad, etc.) devront « au plus tôt, et si possible dans un délai de deux semaines, contacter chaque professionnel suspendu pour lui signifier la fin de la suspension et si possible lui indiquer le poste d’affectation et la date de reprise du travail »
.Types d’emploi
Le principe est celui d’une « réaffectation dans un emploi équivalent » dans le même établissement. Si le personnel refuse le poste proposé par l’employeur, il peut faire l’objet d’une radiation, après une mise en demeure.
Un changement d’affectation peut toutefois être proposé dans le même établissement, et une médiation pourra intervenir. Des possibilités de rupture conventionnelle existent également. »
Voici comment va se passer la réintégration des soignants non vaccinés
François Braun, le ministre de la Santé, avait annoncé la réintégration des soignants à la mi-mai. On en connaît désormais les modalités.
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Bon à savoir mais je ne vois là que la partie visible de l'iceberg car les soignants réintégrés aborderont sûrement ( entre autres ) la question financière , laquelle se révélera probablement épineuse ....
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Les principes sont posés pour leur ré-intégration, c'est un excellent début.
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COVID-19: POINT ÉPIDÉMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE du 26 avril 2023
En semaine 16, le taux de positivité (à partir des données virologiques SI-DEP) diminuait dans un contexte de taux de dépistage très bas. Les passages aux urgences étaient en diminution, ainsi que les nouvelles hospitalisations. Le nombre de décès était en légère augmentation pour la troisième semaine consécutive.
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@Philou75FR votre 17h42 ......
C'est ,en effet , pour ce que vous dites que le dark Web est essentiellement connu . Mais , en fait, on y trouve ce qu'on y cherche et si pour certains ce sont les faux certificats de vaccination, comme vous savez, pour d'autres c'est essentiellement l'anonymat et en tout bien tout honneur .
Tor est légal en France et" si le darknet est bien un supermarché géant de produits illégaux, on peut également y trouver des forums sur diverses questions "
.
Pour compléter vos connaissances ( humour )
https://korii.slate.fr/tech/darknet-tor-repaire-brigands-outil-liberte-reseau-internet-informatique
Darknet: Tor est-il un repaire de brigands ou un outil de liberté?
Les utilisateurs se servent majoritairement du réseau comme d'un navigateur privé préservant leur anonymat. Inventé dans les années 2000, le réseau Tor (abréviation de «The Onion Router», en raison de son fonctionnement en une superposition de serveurs qui rappellent les...
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@kanpanstu votre 18h24 ....... les mêmes critères dites-vous ? mais probablement pas dans la même optique .
votre 18h28 : Le Darknet est un réseau caché qui rassemble des sites web non-indexés accessibles uniquement avec un navigateur spécialisé comme Tor Browser. Là est la relation .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@maritima Non ce ne sont pas des faux certificats ! Ce sont des vrais basés sur une non-vaccination !😉
Et pour info, les dialogues entre membres ne se font pas uniquement sous des VPN, ils peuvent se faire avec certaines application comme Telegram...
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N'oubliez pas d'être un peu fêlé pour faire passer la lumière...
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@Philou75FR votre 20h09 ..... ce sont des vrais pour certifier ce qui ne l'est pas 😉 . Haute subtilité ....
.
Pour le reste .....effectivement .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Depuis 2 ans, ce sujet de santé a fait l’objet de nombreux commentaires . .
Covid-19 : une vaste étude relativise le lien entre les vaccins et les troubles menstruels .
Depuis le début des campagnes de vaccination anti-Covid, de nombreuses femmes ont fait état de perturbations dans leurs cycles menstruels.
L’étude, publiée dans le British Medical Journal, se base sur les données de santé de 3 millions de Suédoises.
Il est très difficile d’établir un lien entre les vaccins contre le Covid-19 et la survenue de troubles menstruels majeurs, conclut ce jeudi l’une des plus vastes études en date sur un sujet faisant l’objet de nombreuses interrogations depuis le début des campagnes de vaccination.
Il n’y a pas de « base solide à un lien de cause à effet entre la vaccination contre le SARS CoV-2 et le fait de consulter pour un trouble ou des saignements menstruels », concluent les auteurs de cette étude publiée dans le British Medical Journal (BMJ). Ce travail s’est basé sur les données de santé de quelque 3 millions de Suédoises, soit 40 % de la population féminine du pays, ce qui en fait une étude d’une ampleur rare sur un sujet qui manque encore de réponses tranchées.
Aucun lien clair . .
Depuis le début des campagnes de vaccination anti-Covid, voici près de deux ans et demi, de nombreuses femmes ont fait état de perturbations dans leurs cycles menstruels.Sur la base de ces déclarations, l’Agence européenne du médicament (EMA) a notamment fini par inclure la présence de saignements menstruels importants comme effet secondaire possible des vaccins à ARN messager, ceux de Pfizer/BioNTech et Moderna.
Néanmoins, il s’agit de troubles déclarés individuellement par les patientes. Or, les troubles menstruels peuvent provenir d’une multitude de facteurs et le déroulement des règles est très variable d’une femme à l’autre.«
« Ce que nous montrons, c’est que s’il y a des troubles, ils ne semblent pas assez graves pour que les femmes consultent un médecin ».
L’étude du BMJ est donc l’une des premières études de grande ampleur qui essaient de préciser la probabilité d’un lien de cause à effet entre vaccination et troubles menstruels. Elle ne va pas dans ce sens. Chez les femmes en âge d’avoir leurs règles, aucun lien clair n’apparaît entre le fait d’avoir été vaccinée - par Pfizer/BioNTech, Moderna ou AstraZeneca - et celui d’avoir ensuite consulté un professionnel de santé pour un trouble du cycle menstruel.
Mêmes conclusions au CNRS. Ces résultats se basent toutefois sur le fait d’avoir sollicité une telle consultation. Ils ne peuvent donc rendre compte de troubles menstruels qui n’auraient pas donné lieu à un contact avec un soignant. « Ce que nous montrons, c’est que s’il y a des troubles, ils ne semblent pas assez graves pour que les femmes consultent un médecin », a commenté Rickard Ljung, l’un des principaux auteurs de l’étude.
Il y a quelques semaines, une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) allait dans la même direction. Une équipe franco-britannique a analysé les résultats d’une enquête menée au Royaume-Uni en 2021 en examinant un échantillon de plus de 12 000 participantes menstruées, de tous âges, avec ou sans enfant, de toutes zones géographiques, vaccinées ou non contre le Covid-19.
Covid-19 : une vaste étude relativise le lien entre les vaccins et les troubles menstruels
L’étude, publiée dans le British Medical Journal, se base sur les données de santé de 3 millions de Suédoises
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Des doutes cependant:
- Ces résultats se basent toutefois sur le fait d’avoir sollicité une telle consultation. Ils ne peuvent donc rendre compte de troubles menstruels qui n’auraient pas donné lieu à un contact avec un soignant.
- Par ailleurs, chez les femmes ménopausées, l’étude établit une légère association entre la vaccination et le fait d’avoir consulté pour des saignements. Toutefois, cette association est « faible et non uniforme » et, dans le détail, ne cadre pas forcément avec l’hypothèse d’un lien de cause à effet, jugent les chercheurs.
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@chatdoc moralité de cette étude, les femmes si vous souffrez sans aller voir le médecin, c'est pas grave, vous êtes en tant que femmes, habituées à la souffrance...
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Vous auriez dû observer qu'il s'agit d'une étude suédoise . .
Pour en avoir passé un peu de temps en Suède, vos propos ressemblent à un simple commentaire !!
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On peut penser que les chercheurs, pour un certain nombre gynécologues dont des femmes, ont une connaissance du sujet plutôt excellente.
L’étude du BMJ est suédoise, pays où le rapport avec la médecine est différent du nôtre . .
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Obligation vaccinale : des organisations de soignants choquées par le vote des députés.
Plusieurs organisations de soignants ont dénoncé jeudi 4 mai 2023 l’adoption par les députés d’une proposition de loi PCF abrogeant l’obligation vaccinale contre le Covid-19 pour les soignants, estimant notamment qu’elle venait renforcer les positions des opposants aux vaccins.
« Remettre en cause la vaccination obligatoire des soignants est un désastre en termes de santé publique et de message adressé à la population », a estimé Daniel Guillerm, le président de la fédération nationale des infirmiers, première organisation chez les infirmiers libéraux, en réaction à l’adoption jeudi 4 mai 2023 par les députés d’une proposition de loi PCF abrogeant l’obligation vaccinale contre le Covid-19 pour les soignants.
Plusieurs organisations de soignants estiment notamment que cette adoption renforce les positions des opposants aux vaccins.
« Une décision irresponsable »«
C’est une décision irresponsable, qui fait le lit des anti-vax et hypothèque toutes les chances d’avoir une vaccination de masse de la population en cas de retour d’une épidémie de masse », a déclaré Daniel Guillerm à l’AFP.
Le vice-président du Conseil national de l’ordre des médecins, Jean-Marcel Mourgues, a évoqué son « incompréhension » devant le vote des députés, alors que « le Covid continue de rendre malade et de tuer beaucoup de monde ».Aujourd’hui encore, « le Covid tue plus que la grippe, avec 206 morts » en France sur la dernière semaine d’avril, a-t-il dit
. « Il ne faut pas baisser la garde, même si nous ne sommes plus dans la même gravité qu’il y a trois ans », a-t-il ajouté. « Malheureusement, une forme d’inconséquence et de facilité l’a emporté » chez les députés, a regretté de son côté Arnaud Robinet, maire (Horizons) de Reims et président de la fédération hospitalière de France qui regroupe les hôpitaux publics français.« Soyons clair : la vaccination fonctionne et reste un élément fondamental de protection des plus fragiles comme des professionnels », a-t-il indiqué dans une déclaration transmise à l’AFP.
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il est bien temps de regretter Monsieur le Ministre !
Le ministre de la Santé, François Braun a regretté le vote des députés à l'Assemblée, qui envoie "un message regrettable" et qui affirme que "le complotisme l'a emporté sur la science".
Des collectifs de soignants comme l'ordre des médecins et la fédération nationale des infirmiers dénoncent ce vote.
Reste à voir ce que dira le Sénat .
A noter que les soignants concernés conserveront ( à vérifier )le bénéfice de leur ancienneté . What else ?
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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La France va rejoindre les autres pays européens, en dépit des lobbyings qui font pression... une nouvelle avancée !
L'Assemblée nationale a adopté jeudi 4 mai en première lecture un texte pour abroger l'obligation vaccinale anti-Covid des soignants, plutôt que de simplement suspendre cette obligation, comme le prévoit le gouvernement.
Affaire à suivre...
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chatdoc
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chatdoc
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Ami
Mais le circuit parlementaire n’est pas finit . . et l’abrogation de l’obligation vaccinale ne change pas le problème des non vaccinés !!
Et, c’est un très mauvais signe pour la Santé publique !
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Chatdoc
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Allez... tout va bien 😉
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chatdoc
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Ami
Covid-19 : quand, où et à quel poste ?
Comment les soignants non-vaccinés vont être réintégrésLe décret mettant fin à l’obligation vaccinale des soignants contre le Covid-19 sera publié mi-mai. Dans la foulée, les chefs d’établissement devront contacter chaque professionnel suspendu pour lui proposer un poste ainsi qu’une date de reprise.
François Braun parie sur une réintégration dans « de bonnes conditions », tout en sachant que cette perspective n’enchante pas bon nombre de médecins. Le ministre de la Santé publiera, mi-mai, le décret mettant fin à l’obligation vaccinale des soignants contre le Covid-19, comme l’a recommandé le Haute Autorité de santé. Dans la foulée, ces « suspendus » pourront être réintégrés dans leurs fonctions. Les modalités pratiques sont détaillées par une instruction ministérielle datée du 2 mai, révélée par l’AFP et que Le Parisien s’est également procurée.Les soignants et autres agents hospitaliers suspendus, dont le nombre est estimé à plusieurs milliers, seront considérés comme réintégrés « le lendemain » de la publication du décret.
Aussitôt, et « si possible dans un délai de deux semaines », les chefs d’établissement devront contacter chacun des professionnels concernés « pour lui signifier la fin de la suspension et si possible lui indiquer le poste d’affectation et la date de reprise du travail ».Auprès de malades fragiles ?Une « réaffectation dans un emploi équivalent » au sein du même établissement sera le principe général. Ces soignants n’exercent plus leurs fonctions depuis, parfois, plus d’un an et demi - l’obligation vaccinale est entrée en vigueur le 15 octobre 2021. «
Par principe, l’agent suspendu a le droit de reprendre ses fonctions sur le poste qu’il occupait ou sur un emploi équivalent » si celui-ci n’entraîne pas de grosses différences d’activité et de revenus, se trouve dans la même zone, et « ne présente aucun caractère discriminatoire », décrit le document officiel.
Comme d’autres médecins, Rémi Salomon, président de la commission médicale d’établissement de l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris, se dit auprès du Parisien « favorable à ce que ces soignants ne soient pas dans des services où il y a des patients à risques ». Mais à première vue, il semblerait impossible pour un directeur d’hôpital d’interdire par principe à un personnel qui travaillait dans un service accueillant les malades les plus fragiles d’y retourner.
Seule possibilité : « dans l’hypothèse où la perspective de réaffectation d’un agent suspendu suscite des troubles au sein du service » et que ceux-ci sont « avérés », un changement d’affectation « dans l’intérêt du service » peut être envisagé sur « un poste équivalent ».
On peut imaginer le cas, par exemple, où tous les soignants restés en poste sont fortement opposés au retour d’un ou d’une ancien (ne) collègue. En tous les cas, « aucun changement d’établissement ne peut être imposé ».Rupture conventionnelle voire radiationEn cas de litige, une médiation peut être organisée afin de trouver une autre affection qui convienne à toutes les parties. Si la situation reste bloquée et que le soignant à réintégrer refuse le poste proposé, une rupture conventionnelle peut être décidée d’un commun accord. En dernier recours, le personnel peut faire l’objet d’une radiation « pour abandon de poste », après une mise en demeure.L’instruction ministérielle rappelle que « la fin de suspension entraîne l’obligation de rémunérer les agents ». En revanche, « les périodes non travaillées au regard de la suspension pour non-respect de l’obligation vaccinale ne peuvent donner lieu à aucune rémunération ».
Personne n’est en mesure de direcombien de soignants et d’agents se saisiront de cette opportunité pour retourner travailler à partir de la mi-mai. Un certain nombre d’entre eux ont changé de métier entre-temps, et ne comptent pas forcément faire machine arrière. Une chose est sûre : ces « suspendus » ne représentent qu’une très petite minorité de l’ensemble du personnel hospitalier.
Le Parisien, Mai 2023.
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Chatdoc
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Covid-19 :
L’alerte maximale sur la pandémie levée par l’OMS
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@chatdoc Vous, vous élargissez tellement que vous vous retrouvez à côté de la question... Non, désolé, je ne rentrerai pas dans votre jeu !
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N'oubliez pas d'être un peu fêlé pour faire passer la lumière...
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@chatdoc "Et toujours des mots fourre-tout !! "
C'est tout simplement parce que vous ne pouvez pas comprendre ! Vous n'en avez visiblement pas la capacité ! Ce n'est pas nouveau ! A part le copier-coller, chez vous il n'y a rien d'autre... Désolé pour vous !
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chatdoc
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@Philou75FR
Toujours dans l'incapacité de fournir des arguments !
Et quelle est la question pour vous ?
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kanpanstu
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kanpanstu
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@maritima le 6/05 11h07, l'état pourra toujours réagir très vite en cas de besoin, 49.3 et décret dans la nuit, aucun souci.
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Hervé49
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Hervé49
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Ami
Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?