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Que penser du coronavirus ?
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Suite à une discussion que j'ai eu hier, il serait très intéressant de connaître le taux de personnes dans le milieu médical fictivement vaccinées... Cela doit représenter plusieurs (dizaines de ?) milliers...🤔
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@chatdoc Vous n'avez rien compris : Je me contrefous de vos données que je n'ai jamais remis en questions (mais là encore, vous inventez pour vous faire mousser !)
Je parlais juste des personnes fictivement vaccinées et de leur nombre potentiel : C'est tout ce qu'il faut retenir .. Tout le reste et vos interventions ne sont que diarrhée !
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Et oui, mais je n’invente rien, ayant effectué plusieurs fois un peu d’enregistrement dans un centre de vaccination . .
Non, il faut retenir le nombre de doses injectées et il est bien connu et indique l’essentiel et non l’exceptionnel. .
Et, je ne souffre nullement de problème digestif, quoique que vous en disiez ce qui montre le niveau de vos observations !!
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il répond au vôtre et précise ce que l’on désigne actuellement comme soignants, en particulier pour les non vaccinés . . c’est à dire très très peu !!
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"Il est plus que temps de réintégrer les soignants non-vaccinés"
Dans une tribune, le kinésithérapeute Nicolas Védrines et le sociologue spécialiste des questions de santé (CNRS-Arènes) Frédéric Pierru défendent la réintégration des soignants non-vaccinés et s'insurgent contre « le caractère inique de la loi du 5 août 2021 » contraire au droit et pouvant mener à des drames.
L’obligation vaccinale contre le Covid-19 des professionnels de santé ne peut se justifier ni par le peu d’ampleur résiduelle de l’épidémie sur une population largement immunisée, ni par l’efficacité vaccinale aujourd’hui incertaine, marginale et éphémère sur l’infection et plus encore sur la transmission. Il s’agit d’un consensus scientifique admis au niveau mondial. La Haute Autorité de Santé (HAS) a donc publié le jeudi 30 mars 2023 un avis favorable à la réintégration des suspendus : l’État devra réintégrer les suspendus. Cependant, afin de pouvoir rétablir cette obligation, il n’abrogera certainement pas cette loi. Alors n’oublions pas la grave disproportion des mesures liées à la loi du 5 août 2021, coûteuse tant pour les suspendus (parmi lesquels nous déplorons même des suicides) que pour notre système de soin et pour la société dans son ensemble, avec des défauts de prise en charge et des décès. Une récente proposition de loi préconise d’abroger cette obligation vaccinale ; il faut donc espérer son adoption pour en finir avec le risque d’un retour de telles suspensions...........
Marianne - 11/04/2023
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@kanpanstu
mon message auquel vous venez de réponse, j'ai modifié l'heure et le contenu en utilisant éditer, les trois points en haut à gauche !!
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@chatdoc je ne vois que 3 points en haut à droite où, si l'on clique dessus, il est indiqué "signaler"
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@kanpanstu
retournez sur votre messagerie de 17:56, cliquez sur les 3 points . . . vous voyez apparaître Éditer.
Vous modifiez votre message puis vous cliquez sur Éditer en bas à droite, votre message apparaît alors modifié et au nouvel horaire.
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@chatdoc ok j'ai pigé, merci.
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Les tribunaux administratifs confirment :
La cour administrative d’appel de Nantes a rejeté, ce vendredi 7 avril, les requêtes de neuf soignants et agents travaillant dans des hôpitaux d’Ille-et-Vilaine et des Côtes d’Armor. Non vaccinés, ils avaient été suspendus de leurs fonctions.
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@maritima , qu'ils auraient été licenciés pour faute professionnelle, cela aurait été plus juste, les recours au prudhomme auraient tranché pour les indemnités éventuelles et ils auraient eu droit de toute façon aux indemnités de chômage légales en cas de licenciement, contrairement à la double peine qu'on leur a imposé, interdiction d'exercer leur métier et impossibilté de bénéficier des indemnités légales de chômage, quel régime autoritaire! Je regrette de devoir employer ce terme, mais ce sont des mesures dictatoriales.
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@kanpanstu ......Pourquoi alors , si le recours aux Prud'hommes permettait infailliblement tant de compensations, les soignants n'ont-ils tous choisi cette solution? car : ajout : certains l'on fait .
Le Droit est compliqué ,subtil, précautionneux et toute situation qui parait similaire à une autre ne l'est généralement pas quand on l'étudie scrupuleusement .
De plus :
" la loi du 5 août 2021 ne prévoit pas expressément la possibilité de prononcer le licenciement d’un salarié qui ne serait pas en mesure de présenter un passe sanitaire valide et donc faisant mention d’une vaccination contre la Covid-19." .....Me Guillaume Champenois ( avocat ) le 4/09/21
.................................................D'où l'entre -deux de la " Suspension" puisque néanmoins ce texte législatif instaure à son article 12 une obligation vaccinale pour différents salariés et agents publics ressortant notamment des établissements sanitaires et médico-sociaux.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@maritima j'ai noté "compensations éventuelles" , on est loin de l'infaillibilité, d'autant plus que les prudhommes interviennent souvent en cas de licenciement abusif ou en droit du travail, mais là il n'y a pas de licenciement..Quant à la loi du 5/08 2021, si elle ne prévoit pas de licenciement, elle aurait dû prévoir une mise à pied limitée dans la durée.
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@kanpanstu ..... A mon avis( mais peut-être discutable ) la longueur de la mise à pied était temps- dépendante de l'acceptation des soignants à être vaccinés . Certains ont préféré se faire vacciner pour éviter une trop longue mise à pied ( suspension ) d'autres non et c'est la " réintégration " de ces soignants là qui fait débat aujourd'hui .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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D'autres voix s'élèvent:
"Il est plus que temps de réintégrer les soignants non-vaccinés"Dans une tribune, le kinésithérapeute Nicolas Védrines et le sociologue spécialiste des questions de santé (CNRS-Arènes) Frédéric Pierru défendent la réintégration des soignants non-vaccinés et s'insurgent contre « le caractère inique de la loi du 5 août 2021 » contraire au droit et pouvant mener à des drames.
Suite encore....:
Ceux qui y ont résisté ont manifesté force et droiture (refusant par exemple de faire des faux malgré, certainement, des possibilités). Ces professionnels avaient proposé des alternatives scientifiquement fiables selon les autorités, telles que le masque FFP2 ou le dépistage (protocole réaliste puisqu’utilisé en septembre 2021), alors que la loi du 5 août, interdisant le télétravail ou la possibilité d’être remplacé, illustre clairement qu’il ne s’agit plus de science ou de santé, mais de soumission. Redisons ici la violence de cette loi ne permettant ni chômage, ni indemnités de congé, ni toute autre indemnité, ni arrêt de travail, ni un autre travail, ni une aide à la reconversion… un piège irrespectueux et cruel..............;
Marianne - 11/04/2023
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Suite encore.....:
UNE LOI INDÉFENDABLE
Pourtant, cette loi concerne des professionnels dévoués à l’aide envers autrui, et ils l’ont été, en première ligne au printemps 2020 face à un virus inconnu. Si le système sanitaire explose aujourd’hui, ces professionnels ont travaillé dans un milieu où pèse un manque de moyens humains et financiers depuis des années ; le manque d’attractivité est connu et ancien. Le ras-le-bol d’une déshumanisation, aggravée par une telle obligation, n’arrange rien. La population s’en offusque. Et on comprendra que cette loi fasse fuir de potentiels étudiants en école de soins infirmiers.
Si les professionnels de santé sont plus vaccinés que la population générale, concernant le Covid, certains veulent respecter les usages habituels de la science, à savoir un retour sur l’efficacité et la toxicité sur le long terme. C’est la première fois que l’on rend obligatoire un vaccin en phase 3, en AMM conditionnelle. Et c’est la première fois que l’on développe un vaccin ARNm, qui plus est pour un type de virus ayant jusqu’ici toujours fait échec à la vaccination. Concernant les risques, ces professionnels ont compris dès 2020 qu’ils n'étaient que peu ou pas concernés par les risques du Covid, la médiane des décès en 2020 étant de 85 ans.
Ils ont pu constater depuis fin 2021 et Omicron que le vaccin n’est pas efficace contre l’infection, et que les risques du Covid sont encore plus faibles qu’avant. Ils ont pu remarquer que les jeunes sont concernés par des risques d’effet secondaire du vaccin comme les myopéricardites, ou le dérèglement des menstruations (signal en cours d’analyse). Le doute est aussi compréhensible compte tenu des nombreux scandales sanitaires en lien avec l’industrie pharmaceutique, malgré les autorités de contrôle.............
Marianne - 11/04/2023
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Suite encore:
Enfin, cette loi a été associée à de nombreux discrédits scientifiques. Ceux qui bénéficiaient d’une immunité post-infection ont été injustement discriminés, puisque celle-ci est aussi voire davantage protectrice que la vaccination (constat habituel dans les autres maladies). De plus, alors qu’il était martelé « une infection = une injection », trois certificats de rétablissement n’équivalent pas à un schéma vaccinal complet, car l’objectif n’est pas l’immunité mais de vacciner, ce qui tient du dogme. Aussi ces professionnels non contagieux ont-ils pu constater que des collègues positifs pouvaient travailler : quel bel esprit scientifique ! On a aussi eu des étrangers non soumis à l’obligation qui ont pu venir travailler en France ! Et alors que le vaccin bivalent est disponible depuis octobre 2022, seuls 14 % des soignants avaient reçu cette quatrième dose au 13 mars 2023. Plus de 86 % ayant une vaccination datant de plus de trois mois, leur risque d’infection n’est pas inférieur à celui des suspendus. Or, on ne traite pas ces soignants d’« anti-vax »….........
Marianne - 11/04/2023
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Vos messages sont de l’ordre du bavardage pour parler d’un sujet sans le connaître, lisez déjà sérieusement les textes que vous mettez en avant, qui mélangent beaucoup de sujets différents et qui disent des contrevérités par mélange des sujets, des informations . .
D’ailleurs, les tribunaux administratifs valident régulièrement les décisions prises.
Et toujours, essayez de commenter en prenant en compte les points suivants : chronologie, coronavirus et ses spécificités, variants, immunité humorale et cellulaire et enfin Éthique . . et on pourrait rajouter connaissances scientifiques !!
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Si vous le dites.... mais ce n'est qu'un avis 😉
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Peut être plus intéressant que de « saucissonner « un article de Marianne pour occuper le terrain . .et que vaut l’avis du kinésithérapeute Nicolas Védrines?
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Commentaire ni plus ni moins intéressant qu'un autre....😉
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Suite encore:
UNE OBLIGATION VACCINALE NI SCIENTIFIQUE NI ÉTHIQUE
S'ajoutent à tout cela les discrédits politiques. La santé publique ne peut être ni martyrologie, ni un dogme intangible, ni une affaire de calculs politiciens. Par exemple, que penser de l’obstruction éhontée par le parti présidentiel faite à la proposition de loi de Madame Fiat visant à la réintégration des suspendus ? Est-ce là également une notion d’exemplarité ?
De plus, il n’est ni scientifique ni éthique de dire qu’un problème ne devrait pas être évalué car il concernerait peu de personnes. Ces professionnels qui aiment leur travail voulaient aider leurs collègues, surchargés, parfois ne pouvant plus soigner. Si toute aide est essentielle car utile, ne pas vouloir lutter contre une seule discrimination est un fait grave. Cela correspond à un extrémisme dangereux.
Selon l’Académie de médecine, « Il n’y a aucune raison d’arrêter l’obligation vaccinale » : ce grave déni explique que la France soit le dernier pays au monde à maintenir cette obligation [sauf la Hongrie]. Ces propos ressemblent à un dogme menant les autorités sanitaires à une perte de crédibilité. De manière pédante, ce pseudo-consensus serait supérieur à la HAS et aux autres autorités des pays du monde entier… Et selon les « covidistes », ces dernières seraient toutes d’extrême droite ou d’extrême gauche. Quel esprit complotiste !
Marianne - 11/04/2023
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@maritima polémique veut dire critique violente et agressive, je n'ai rien trouvé de violent et d'agressif dans ce texte, simplement des vérités argumentées (et pas par des citations..)
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je fais référence à le discussion du 13/04 au sujet du texte paru dans Marianne.
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@kanpanstu ...pour répondre à votre 18h15 : étymologiquement polémique = qui évoque la guerre ou la concerne ( cf grec π ο λ ε μ ι κ ο ́) .....
Or il existe des guerre de tranchées et ..... en filigrane il m'a bien semblé voir ça dans l'article de Marianne Et quand aux " vérités argumentées" elles peuvent n'être aussi que des arguments considérés comme vérités , ce qui n'est pas tout à fait la la même chose .
Les citations peuvent paraitre non signifiantes mais elle peuvent aussi prendre tout un sens et tout leur sens quand on en connait le contexte.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Bref, concernant le retour des non vaccinés : Je pense réellement que toute personne qui se montre contre fait soit partie des gens sans neurone, soit partie des gens qui estime s'être fait avoir... Je ne vois pas d'autres alternative !
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@Philou75FR .... le contraire m'eût étonnée ! cela dit, plutôt amusée chaque fois que je lis que vous ne voyez pas où est le pb ou comme ici d' autres alternatives . Seriez-vous un " zèbre" ( non , le terme n'est pas péjoratif) que vous raisonneriez autrement .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@Philou75FR Ton cf.16h43...
Effectivement, comme le dit aussi l'avocat qui défend une infirmière suspendue:
Le rejet de l'abrogation de l'obligation vaccinale par la commission des affaires sociales relève plus d'une posture de fierté mal placée que du bon sens : " la vaccination est une obligation arbitraire et pas du tout sanitaire (...) Le Gouvernement, le ministre de la santé veulent sortir la tête haute. Ils ne veulent pas reconnaître qu' aujourd'hui, l'obligation vaccinale est une hérésie ! "
France-Info - 13/04/2023
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vous avez vraiment du mal à gérer vos méconnaissances en sciences médicales. . en neurologie et immunologie !
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A qui parlez-vous ???
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Suite et fin de la tribune du kinésithérapeute Nicolas Védrines et du sociologue spécialiste des questions de santé (CNRS-Arènes) Frédéric Pierru:
LIBERTÉ MENACÉE
La science est parfois biaisée. Mais de nombreux réseaux scientistes sont remplis de certitudes : tout avis divergent est une hérésie. Cela permet d’éviter toute critique, tout débat… ce qui est le contraire de la science. Concernant l’hygiénisme actuel ambiant, il néglige toute approche basée sur la santé publique globale, sur le coût et l’intérêt bio-psycho-social pour la société. On en arrive à des soignants déshumanisés, transformés en objets dociles, dépouillés de leur conscience, de leur libre-arbitre et de leur responsabilité.
Enfin, avec une condamnation morale, c’est notre liberté à tous qui est menacée. Si nous ne revenons pas sur cette forfaiture, à qui le tour ? Les obèses ? Les non-sportifs ? L’avocat François Sureau alerte depuis des années sur une inquiétante dérive vers la « démocrature ». Afin de revenir à une confraternité et une solidarité vertueuse et non violente, cette loi du 5 août 2021 doit être abrogée.
Marianne - 11/04/2023
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cf supra 19h19 (extrait de Marianne 11/04/23 )
"L’avocat François Sureau alerte depuis des années sur une inquiétante dérive vers la « démocrature ». Afin de revenir à une confraternité et une solidarité vertueuse et non violente, cette loi du 5 août 2021 doit être abrogée."
L'étonnant François Sureau ,
"Proche d’Emmanuel Macron qu’il connaît depuis de nombreuses années.Il l'a même aidé à rédiger les statuts de la République en Marche puis conseillé pendant la campagne présidentielle et même au-delà.
Egalement proche de François Fillon, il est un des avocats les plus influents de France, même s’il écrit davantage qu’il ne plaide. "
https://www.grands-avocats.com/avocats/francois-sureau/
François Sureau - Grands Avocats
Avocat et écrivain, François Sureau (62 ans) est un des avocats les plus influents de France, même s’il écrit davantage qu’il ne plaide.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Pour éviter le recommencement de l’histoire :
Les scientifiques saluent le "projet Next Gen" destiné à financer de nouveaux vaccins contre le COVID.
Le projet de l'administration Biden de relancer les efforts de mise au point de nouveaux vaccins et traitements contre les coronavirus est salué par les scientifiques et les experts en pandémie.Le projet Next Gen succéderait à l'opération Warp Speed, qui alloue un budget à des sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques pour développer rapidement des vaccins et des anticorps monoclonaux qui ont été utilisés avec succès pendant les phases initiales et aiguës de la pandémie de COVID-19.Mais aujourd'hui, alors que le COVID est sur le point de devenir endémique, une stratégie différente s'impose. Les vaccins actuels n'offrent qu'une protection limitée sur l’infection et les anticorps monoclonaux ont perdu de leur efficacité, laissant notamment les personnes immunodéprimées et les personnes âgées sans protection, estiment les experts.
Le plan, révélé pour la première fois par le Washington Post, s'articulerait autour de trois priorités :
* la création d'anticorps monoclonaux améliorés* Développer des vaccins - tels que des vaccins nasaux - qui peuvent renforcer l'immunité des muqueuses et potentiellement mieux prévenir la transmission ;* la mise au point d'un vaccin "universel" ou pan-coronavirus qui pourrait cibler les variantes du SRAS-CoV-2 et potentiellement d'autres coronavirus.
Par exemple, le développement de l'ensitrelvir (Xocova), un inhibiteur de protéase anti-COVID oral, qui a été approuvé au Japon. Le fabricant cherchera à le faire approuver aux États-Unis également.
Les anticorps monoclonaux qui étaient initialement efficaces mais qui ont été rendus inefficaces par les variants de COVID : sotrovimab; bebtelovimab et les combinaisons de bamlanivimab et d'etesevimab ; casirivimab et imdevimab; et tixagevimab et cilgavimab.
Défis scientifiques :
De nombreux experts ont demandé la mise en place d'un programme axé sur une nouvelle génération de vaccins, d'anticorps et d'antiviraux contre les coronavirus, d'autant plus qu'il apparaît de plus en plus clairement que les vaccins actuels n'empêchent pas la transmission et n'offrent pas de protection à long terme.
La mise au point de vaccins capables de prévenir durablement la transmission changerait la donne, a ajouté M. Gellin, "mais il s'agit peut-être d'un défi scientifique qu'il nous faudra un certain temps pour relever".
Les vaccins doivent également offrir une protection plus large, "c'est-à-dire une protection large non seulement contre les virus actuels, mais aussi contre ceux qui n'ont pas encore émergé", a-t-il ajouté.
Rappelant les difficultés rencontrées dans la mise au point de vaccins contre la grippe et le VIH, M. Gellin a déclaré qu'il était difficile de prédire le temps qu'il faudrait pour mettre au point un vaccin universel contre le coronavirus. Les progrès "seront itératifs et progressifs".
Les épidémies de coronavirus - qu'elles soient dues à des variants ou à de nouvelles souches - vont se poursuivre, a déclaré M. Gellin. "Je ne suis pas un virologue spécialiste des chauves-souris, mais si l'on consulte la littérature, on constate qu'il existe de nombreux autres coronavirus, et je pense que l'on reconnaît que l'un d'entre eux pourrait causer des problèmes d'une manière différente à l'avenir. Nous ferions donc mieux d'apprendre tout ce que nous pouvons sur la façon dont ces virus agissent et sur la façon de les empêcher de le faire.
Selon lui, il est essentiel de trouver de nouveaux vaccins et de nouvelles thérapies. "Nous devons persévérer. Ce n'est pas parce que la pandémie n'est pas aussi agressive qu'elle l'était il y a un an que nous n'aurons plus besoin de ces produits à l'avenir.
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@bibimet75
Et toujours, le même commentaire qui ne signifie rien, si ce n’est votre forte propension à uniquement commenter sans vraiment réfléchir aux implications que cela sous-entend. .
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C'est ce que j'appelle se répéter... 😬
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Ami
@bibimet75
parce que vous persistez dans les propos immotivés, à moins que . .
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C'est vous qui le dites... 😉
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Hervé49
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Hervé49
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Ami
Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?