Que penser du coronavirus ?

Chine : prendre un shot de gaz pour se vacciner contre le Covid-19 c'est possible grâce à ce nouveau vaccin

En Chine, depuis une semaine, un nouveau vaccin uniquement utilisé pour les doses de rappel est utilisé. Ce dernier se prend par voie orale et se présente sous la forme d'un gaz contenu dans un verre en plastique.

Curieuse date de mise en service !!

• fin du Congrès du PC chinois
• vague Covid à Shanghai et usines Foxcom
• nécessité de mettre fin au 0 Covid

« L’aérosol, se présente sous la forme d’une verre en plastique. Il suffit de mordre l’ouverture sur le dessus du verre  et aspirer profondément pour faire rentrer le gaz dans la bouche. Précision importante, ce vaccin a été élaboré pour servir de dose de rappel uniquement. Seules les personnes ayant déjà été vaccinées avec des vaccins traditionnels peuvent l’utiliser.   Des essais ont été réalisés par le laboratoire CanSinoBio. Les résultats indiquent que, six mois après avoir été vaccinées, les personnes ont une immunité largement supérieure à celles des personnes ayant reçu une dose de rappel par voie intramuscilaire.

La solution semble adaptée au cas de la Chine qui pratique toujours une stricte politique zéro Covid et où la couverture vaccinale est jugée largement  insuffisante. Ce vaccin sans injection, utilisable en moins de 20 secondes pourrait convaincre les nombreux Chinois qui sont encore réticents à se faire  vacciner, notamment les personnes âgées. »

Ah. les soupes chinoises !!

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/en-direct-du-monde/covid-19-ce-qu-il-faut-savoir-sur-vaccin-oral-propose-en-chine-une-premiere-mondiale_5428774.html

Covid-19 : ce qu'il faut savoir sur le vaccin oral proposé en Chine, une première mondiale

Toujours soumise à une stricte politique zéro Covid, la Chine vient de se doter d’un troisième vaccin. Une petite révolution car il est sous forme gazeuse et fonctionne comme un masque invisible.

Covid-19 :

Positif pendant 411 jours, un malade enfin guéri par des médecins

ATTENTE Ce patient, qui avait subi une greffe de rein, a été soigné par une combinaison d’anticorps

Concernant le coronavirus rien ne l'arrête comme la grippe

Après 4 doses mon beau-frère et ma sœur ainée (80 ans et 75 ans) qui son fragilisé par leur maladie viennent de l'avoir beaucoup moins fort que sans dose du tout

Météo-France :

Guadeloupe, Martinique, Saint-Martin et Saint-Barthélemy en vigilance orange fortes pluies et orages

INTEMPERIES Les services météorologiques prévoient de maintenir l’alerte jusqu’à mardi ou mercredi

Le port du masque redevient nécessaire, selon l’Académie nationale de médecine mais pas obligatoire. 

La huitième vague de Covid-19 en France persiste en parallèle de l’épidémie de grippe saisonnière et de l’épidémie de bronchiolite chez les enfants de moins de deux ans.

Le masque est-il sur le point de refaire son apparition dans notre quotidien ? C’est en tout cas la recommandation formulée par l’Académie nationale de médecine, d’après un communiqué publié mercredi 2 novembre et révélé par nos confrères de 20 Minutes.

La société savante recommande notamment « le port d’un masque de type chirurgical dans les hôpitaux, les dispensaires, les centres de soins et les pharmacies, et dans les espaces fermés accueillant du public, tels que les transports en commun en période d’affluence ».

Le port du masque FFP2 est aussi recommandé « dans les espaces publics clos pour les personnes âgées ou porteuses de comorbidités, pour l’entourage et les professionnels de santé qui sont en contact avec des personnes vulnérables et pour les femmes enceintes, même quand elles sont à jour dans leurs vaccinations ».

Pas d’obligation mais une forte recommandationL’Académie nationale de médecine ne recommande toutefois pas une obligation, la situation ne l’exige pas. Mais elle s’inquiète de la « huitième vague de Covid-19 qui semble se stabiliser à un niveau élevé » et qui persiste en parallèle de l’épidémie de grippe saisonnière « précoce » et l’épidémie de bronchiolite chez les enfants de moins de deux ans.

Selon les derniers chiffres publiés par Santé publique France, la vague actuelle de Covid-19 en France semble pourtant être sur la pente descendante. Mais même avec une accalmie, la circulation du virus est « toujours très active », prévient l’agence de santé publique qui encourage les personnes à risque, de plus de 60 ans, notamment, à faire leur vaccination de rappel.

@Alain08 de l’intérêt du masque même avec un variant moins inquiétant.

Situation épidémiologique (Santé Publique France, 4/11/2022)

En semaine 43, le ralentissement de la circulation du SARSCoV-2 se poursuivait avec des taux de nouvelles hospitalisations et un nombre de décès en diminution.

Variants en cause:

Sous-lignages d’Omicron : BA.5 omniprésent avec 92% des séquences lors de l’enquête Flash S42 (17/10)

Parmi les sous-lignages de BA.5, BQ.1.1 toujours en augmentation (31% vs 20% dans Flash S41)

Les sous-lignées Omicron proviennent d'une seule partie de l'arbre généalogique du SRAS-Cov-2, contrairement aux variants antérieurs préoccupants comme Alpha et Delta.

La famille des variants du COVID s'agranditDepuis que le variant Omicron du SRAS-CoV-2 est apparu à la fin de 2021, il a donné naissance à une série de sous-variants qui ont provoqué des vagues d'infection à l'échelle mondiale.

Au cours des derniers mois, les scientifiques ont identifié plus d'une douzaine de sous-variants supplémentaires à surveiller.

Il y en a tellement qu'on les appelle un essaim, ou "soupe de variants".

BQ.1.1 (un descendant de BQ.1) et XBB semblent se hisser au sommet, peut-être parce qu'ils présentent de nombreuses mutations dans une région clé de la protéine de pointe virale appelée domaine de liaison au récepteur, qui est nécessaire pour infecter les cellules.

@Alain08 pour comprendre le rôle des variants et des sous-variants, et de leur influence sur les vagues ( et vous aussi @bibimet75 )

(cf. schéma n°1)

https://www.nature.com/articles/d41586-022-03445-6

COVID ‘variant soup’ is making winter surges hard to predict

Descendants of Omicron are proliferating worldwide — and the same mutations are coming up again and again.

8e vague de COVID : « patients asthmatiques, protégez-vous », recommande le Dr Tcherakian

Cette 8e vague de COVID-19, avec un nouveau variant Omicron, comporte de nouvelles spécificités : contagiosité, tropisme, symptomatologie, COVID-long… Le Dr Colas Tcherakian, pneumologue à l’hôpital Foch, explique l’évolution de la maladie et surtout met en garde les patients asthmatiques qui constituent désormais une population bien plus à risque.

On voit qu’Omicron, aujourd’hui, est plutôt, par son tropisme bronchique, une cause d’exacerbation d’asthme.

L’idée, aujourd’hui, est vraiment de dire : « attention, le virus change, la symptomatologie change. » Je ne crois pas que, pour autant, si vous êtes vacciné et triple-vacciné, vous retournerez à l’hôpital. Mais,

Et si vous êtes asthmatique, ou si vous avez une maladie bronchique, j’aurais plutôt tendance à vous mettre en garde et à vous dire « prudence. » Et si vous avez une indication à la vaccination, courez vous faire vacciner, maintenant.

Vaccin et grossesse : une étude qui confirme l’innocuité du vaccin Pfizer, en particulier.

Résultats :

Au 4 novembre 2021, 191 360 femmes âgées de 15 à 49 ans dont l'état de grossesse était connu avaient répondu à l'enquête sur la première dose de vaccin et 94 937 avaient répondu à l'enquête sur la seconde dose. 180 388 ont reçu une dose et 94 262 ont reçu une seconde dose d'un vaccin à ARNm, 5597 participantes enceintes ayant reçu la première dose et 3108 la seconde, et 174 765 participantes non enceintes ayant reçu la première dose et 91 131 la seconde. Sur les 6179 participantes témoins non vaccinées incluses, 339 étaient enceintes et 5840 n'étaient pas enceintes. Dans l'ensemble, 226 des 5597 femmes enceintes vaccinées ont signalé un événement de santé significatif après la première dose d'un vaccin à ARNm, et 227 des 3108 après la deuxième dose, contre 11 des 339 femmes enceintes non vaccinées. 

Les femmes enceintes vaccinées présentaient une probabilité accrue de survenue d'un événement de santé significatif dans les 7 jours suivant le vaccin après la deuxième dose de mRNA-1273(Moderna) par rapport aux témoins enceintes non vaccinés au cours des 7 derniers jours, mais pas après la première dose de mRNA-1273 ou toute dose de BNT162b2 (Pfizer). 

Les femmes enceintes vaccinées présentaient un risque moindre d'événement de santé significatif par rapport aux femmes non enceintes vaccinées après la première dose et la deuxième dose de n'importe quelle vaccination par ARNm. Il n'y avait pas de différences significatives dans les analyses lorsqu'elles étaient limitées aux événements qui ont conduit à une attention médicale.

Interprétation

Les vaccins à ARNm COVID-19 ont un bon profil de sécurité pendant la grossesse. Ces données peuvent être utilisées pour informer de manière appropriée les femmes enceintes sur la réactogénicité des vaccins COVID-19 pendant la grossesse, et doivent être prises en compte parallèlement aux données d'efficacité et d'immunogénicité pour formuler des recommandations appropriées sur la meilleure utilisation des vaccins COVID-19 pendant la grossesse.

@Alain08 une étude qui devrait tempérer votre inquiétude !!

Safety of COVID-19 vaccines in pregnancy: a Canadian National Vaccine Safety (CANVAS) network cohort study - The Lancet Infectious Diseases