Que penser du coronavirus ?

Que sait-on de Khosta-2,

ce nouveau virus proche du Covid-19 découvert en Russie ?

VIRUS Ce nouveau coronavirus, identifié chez des chauves-souris, pourrait se transmettre à l’homme et échapper à l’immunité conférée par les vaccins anti-Covid

Décès de COVID : plus de 10 millions d'enfants ont perdu un parent ou un soignant !!

Les conséquences exactes du COVID sont progressivement de mieux en mieux évaluées. Elles ne se limitent pas aux seuls chiffres des décès. . . 

Les conséquences de la perte d'un parent peuvent être profondes, mais un soutien adapté peut en réduire l'impact.

Quelque 7,5 millions d'enfants ont perdu un ou deux parents à cause du COVID-19.

Selon une étude de modélisation1, environ 10,5 millions d'enfants dans le monde ont un parent ou un soignant décédé du COVID-19.

Ce chiffre représente une augmentation considérable par rapport aux estimations précédentes. L'Inde, l'Indonésie et l'Égypte sont les pays les plus touchés ; d'autres régions d'Afrique et d'Asie du Sud-Est ont également été durement frappées.

L'étude, publiée le 6 septembre dans JAMA Pediatrics, est la troisième mise à jour du nombre d'enfants rendus orphelins par la pandémie.

"J'apprécie vraiment l'effort de cette équipe pour essayer de maintenir la question des orphelins liés au COVID devant les communautés de recherche et de politique", déclare Michael Goodman, épidémiologiste social. "Nous, en tant que communauté de recherche, en tant qu'influenceurs politiques - nous, en tant que société, ne sommes pas tirés d'affaire pour ces enfants."Ce chiffre s'ajoute aux 140 millions d'enfants qui étaient déjà orphelins avant la pandémie, précise-t-elle.

Pour établir leurs estimations, les auteurs ont pris en compte les données sur les décès excédentaires de l'Organisation mondiale de la santé, de l'Institute for Health Metrics and Evaluation de Seattle (Washington) et de The Economist : Les décès excédentaires sont la différence entre les décès prévus et les décès observés au cours d'une période donnée, en l'occurrence du 1er janvier 2020 au 1er mai 2022.

Le modèle suggère que 7,5 millions d'enfants ont perdu un ou deux parents, tandis que 10,5 millions d'enfants ont perdu des parents ou des soignants. Hillis explique que les estimations du nombre d'enfants orphelins ont augmenté au fur et à mesure que le test COVID-19 devenait disponible et que davantage de pays à revenu faible ou intermédiaire communiquaient des données tout au long de la pandémie." Pour l'enfant, ce qui a tué ses parents n'a aucune importance", explique Hillis. "Ce qui compte pour eux, c'est que leurs parents soient morts".

Elle ajoute que des décennies de recherche sur les enfants dont les parents sont morts du sida montrent que trois "accélérateurs" sont essentiels pour aider les enfants à se rétablir : le soutien éducatif, l'aide économique et l'aide au parent restant ou à la personne qui s'occupe de l'enfant. C'est en identifiant les enfants qui ont besoin d'aide, et en la leur fournissant rapidement, que "nous devons passer à l'action".

. Il faut davantage de données, non seulement sur les enfants orphelins, mais aussi sur ceux dont les parents ont perdu une partie de leur capacité à s'occuper d'eux en raison d'un long COVID, et sur la manière de soutenir ces enfants.

. "Les enfants et les jeunes ne sont pas seulement des personnes vulnérables. Ce sont des personnes résilientes."

Plus de 1000 enfants on fait un syndrome sérieux (PIMS) depuis le début de la pandémie : Covid-19 : on connaît désormais mieux le PIMS, ce syndrome inflammatoire post-infection qui touche les enfants

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, un peu plus d'un millier d'enfants ont contracté le PIMS, ce syndrome inflammatoire pédiatrique relativement rare. les médecins traitent mieux le PIMS, cette affection rare mais potentiellement grave, survenant principalement chez les enfants ayant été infectés par le Sars-CoV-2.

"Au début, nous ne comprenions pas puisque nous avions des enfants accueillis en soins intensifs de cardiologie, en réanimation, avec une maladie qui ressemblait à une maladie ancienne, la maladie de Kawasaki", explique Damien Bonnet, professeur de cardiologie pédiatrique à l’hôpital Necker (Paris). "Mais des particularités nous troublaient, et ce n'est que secondairement que nous avons pu faire le lien avec l'infection par le Covid-19."

Fièvre, éruption cutanée, troubles digestifs...

Aujourd'hui, les signaux sont bien connus. "Une quinzaine de jours après l’infection par le Covid, l’enfant a de la fièvre, une éruption cutanée un peu rosée, des troubles digestifs et une fatigue inexpliquée", précise Damien Bonnet. "Il faut consulter. Il faut ensuite faire quelques tests biologiques pour savoir si on s'oriente vers un PIMS et si tel est le cas, il ne faut pas être inquiet puisque les traitements sont aujourd'hui extrêmement efficaces très rapidement et restituent parfaitement la fonction cardiaque."

Certains enfants auraient-ils des prédispositions génétiques liées à cette maladie ? "Chez l'adulte, il y a une base génétique pour les formes graves du Covid-19", confirme Damien Bonnet à nos confrères. "Et la même chose a été identifiée par le consortium 'Human Genetic Effort', coordonné par le professeur Jean-Laurent Casanova. Il a permis d'identifier des gènes de susceptibilité aux PIMS chez les enfants. Autrement dit, certains enfants vont avoir des prédispositions génétiques pour développer cette maladie."

https://www.ladepeche.fr/2022/09/29/covid-19-on-connait-desormais-mieux-le-pims-ce-syndrome-inflammatoire-post-infection-qui-touche-les-enfants-10701569.php

Covid-19 : on connaît désormais mieux le PIMS, ce syndrome inflammatoire post-infection qui touche les enfants

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, un peu plus d'un millier d'enfants ont contracté le PIMS, ce syndrome inflammatoire pédiatrique relativement rare. Aujourd'hui, grâce aux avancées scientifiques, médecins et...

La 8ème vague de Covid-19 n'a pas le profil des précédentes... pas de quoi s'inquiéter !

La 8ème vague de Covid-19 qui touche actuellement la France, avec 42 000 cas par jour en moyenne, "ne nous inquiète pas", a déclaré ce vendredi 30 sur France-Info Brigitte Autran, présidente du nouveau Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires (Covars), qui a succédé ce jeudi au Conseil scientifique.

De plus "pour l'instant, il n'y a pas de spectre d'un méchant variant qui arrive à l'horizon".

Que les plus fragiles se protègent s'ils redoutent néanmoins de faire une forme grave du Covid-19.

Covid-19 :

La circulation du virus s’intensifie, les hospitalisations augmentent

CONTAMINATIONS La « quasi-totalité du territoire métropolitain » est touchée d’après Santé Publique France

Bonjour @maritima @nicolas2 , à tous,

https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees

et oui, c'est reparti avec ...

@Candice.S impossible de copier/coller du texte ... ? Une fois le post validé, c'est possible ...

Mise à jour : 27/09/2022

Nombre moyen de nouveaux cas confirmés quotidiens : 37 503 cas positifs
30.72 % en 7 jours

Mise à jour : 27/09/2022

Taux d'incidence : 412.79 nombre de cas par semaine pour 100 000 habitants
30.94 % en 7 jours

Mise à jour : 30/09/2022

Nombre moyen de nouvelles hospitalisations quotidiennes : 686 nouvelles personnes hospitalisées
59.16 % en 7 jours

Bises et amitiés et courage ...
🍀 !!!!!!!!!!!!!!!

Coronavirus : chiffres clés et évolution de la COVID-19 en France et dans le Monde (santepubliquefrance.fr) https://www.santepubliquefrance.fr/dossiers/coronavirus-covid-1

Nous ne sommes pas les seuls à avoir souffert des confinements !!

Comment les lockdowns ont changé le comportement des oiseaux.

Les oiseaux ont modifié leur comportement pendant les lockdowns au Royaume-Uni.
Mais loin des joyeuses histoires de dauphins dans le Bosphore, par exemple, toutes les espèces d'oiseaux britanniques communes n'ont pas bénéficié de la réduction des déplacements humains. 

- Les petits oiseaux, tels que les mésanges bleues d'Eurasie (Cyanistes caeruleus) et les moineaux domestiques (Passer domesticus), ont été observés moins fréquemment que les années précédentes, peut-être parce que les gens à la maison ont perturbé leur habitat.

- Les corvidés et les goélands semblaient être plus nombreux, peut-être parce que les gens jetaient davantage de déchets alimentaires à l'extérieur.

- Les pigeons des villes (Columba livia) ne semblent pas affectés. "Ils n'en ont rien à faire de ce que nous faisons", explique Miyako Warrington, écologiste du comportement et co-auteur de l'étude.

Covid-19 : la France va-t-elle devoir détruire ses 30 millions de doses de vaccins ?https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/covid-19-la-france-va-t-elle-devoir-detruire-ses-30-millions-de-doses-de-vaccins_2181153.html

Remarquable gestion de crise sanitaire, informations se contredisant, affirmations non fondées, rejet de traitements efficaces, remise en cause de médecins sincères, commandes disproportionnées de produits, c'est à croire que les finances publiques n'ont pas de limite.

Ca manque vraiment d'une démarche critique, jusqu'ou ces imprécisions et incertitudes vont-elles aller ?

Conclusion

Nous avons précédemment recommandé un moratoire aux prestataires de soins de santé concernant les prescriptions d'hydroxychloroquine.

Depuis lors, aucun avantage significatif n'a été trouvé dans les récentes preuves randomisées pour la prophylaxie post-exposition et chez les patients hospitalisés. En ce qui concerne le risque, l'hydroxychloroquine a obtenu un profil de sécurité rassurant grâce à des décennies de prescriptions pour des maladies auto-immunes dont la prévalence est plus élevée chez les femmes jeunes et d'âge moyen, dont les risques d'issues fatales dues à des allongements de l'intervalle QTc sont très faibles.
En revanche, les risques associés au COVID-19 sont beaucoup plus élevés car les taux de mortalité liés au COVID-19 et les effets secondaires de l'hydroxychloroquine sont tous deux plus élevés chez les patients plus âgés et chez ceux qui présentent des comorbidités, ces deux catégories étant majoritairement des hommes.
L'ensemble des preuves actuelles soutient plus fortement nos recommandations précédentes concernant le manque d'efficacité et la nocivité possible de l'hydroxychloroquine dans le traitement et la prévention du COVID-19.