Que penser du coronavirus ?

Le vaccin SANOFI vient d’obtenir un AMM, ses résultats et surtout son indication comme rappel des vaccins ARNm sont intéressants.

 « Le vaccin du laboratoire français, qui devait initialement être disponible en juin 2021, a accumulé les revers. Il sera utilisé comme rappel quels que soient les premiers vaccins reçus et sans limitation « 

https://www.lefigaro.fr/societes/covid-le-vaccin-de-sanofi-enfin-approuve-par-l-agence-europeenne-du-medicament-20221110

Covid-19 : le vaccin de Sanofi enfin approuvé par l'Agence européenne du médicament

DÉCRYPTAGE - Le vaccin du laboratoire français, qui devait initialement être disponible en juin 2021, a accumulé les revers. Il sera utilisé comme rappel quels que soient les premiers vaccins reçus et sans limitation d'âge.

Si trop de personnes s'efforcent d'oublier, moi ce n'est pas le cas, au contraire

Merci éternel à tout mes AMIS CORSES

https://www.youtube.com/watch?v=qtG1R6fi70I

1914-1918, hommage aux 30 000 corses tués.

Cette vidéo est un hommage au 173e Régiment d'Infanterie, aux 30 000 corses tués, aux 15 000 autres blessés, et à tous les corses qui ont participé à la guer...

Point épidémiologique du 10/11/2022

En semaine 44, même si le taux d’incidence corrigé calculé à partir des seuls tests antigéniques (TAG) était toujours en baisse, il l’était de manière moins marquée que les semaines précédentes, et le taux de positivité calculé via les TAG était en légère hausse. Les indicateurs hospitaliers, quant à eux, ont poursuivi leur diminution.

En Outre-mer, le taux d’incidence corrigé issu des tests antigéniques était en hausse ou stable dans toutes les régions.

Au 07 novembre, les couvertures vaccinales avaient peu évolué : seuls 39,9% des 60-79 ans et 52,6% des 80 ans et plus parmi les personnes éligibles (selon le délai depuis leur dernière injection) avaient reçu un deuxième rappel.

(Santé Publique France)

si tu n'es pas vacciné, tu finiras ainsi !!

Covid-19 en Australie :

Un navire de croisière avec 800 passagers positifs accoste à Sydney

CLUSTER A la descente du bateau, un isolement de cinq jours a été conseillé aux personnes malades

Vous vous souvenez de Mulhouse ?

Suite à nos échanges, un commentaire de l’article de Nature sur l’espérance de vie

1ère Partie 

## C’est quoi l’espérance de vie?

Simplement, l’espérance de vie se calcule en tenant compte du risque de mourir aux différents âges. Il y a deux façons de la calculer, la première est logique, optimiste, et passablement approximative , et la seconde est pessimiste mais basée sur des données factuelles [2].

*1* L’espérance de vie de génération.

● Il s’agit du nombre d’années moyen restant à vivre pour une personne si le taux de mortalité évolue au cours du temps (progrès de la médecine, progression de l’hygiène de vie, diminution de l’incidence de certaines maladies etc.)

● Exemple : un homme de 53 ans en 2022, sera soumis 

○ En 2022, au taux de mortalité des hommes de 53 ans en 2022○ En 2023, au taux de mortalité des hommes de 54 ans en 2023○ En 2024, au taux de mortalité des hommes de 55 ans en 2024○ Etc.

➜ Il faut estimer ces taux de mortalité futurs… Plus on part dans le futur, plus c’est  une estimation problématique.

*2* L’espérance de vie du moment ou périodique.

● Il s’agit ici du nombre moyen d’années restant à vivre pour une personne si le taux de mortalité reste constant au cours du temps.

● Exemple : un homme de 53 ans en 2022, sera soumis ○ En 2022, au taux de mortalité des hommes de 53 ans en 2022○ En 2023, au taux de mortalité des hommes de 54 ans en 2022○ En 2024, au taux de mortalité des hommes de 55 ans en 2022○ Etc.

➜ L’espérance de vie augmentant chaque année dans la plupart des pays développés, mécaniquement, cette espérance de vie sera généralement plus courte que la première (sous-estimation).

➜ Mais elle est plus conservatrice, puisqu’elle repose sur des données factuelles et non des estimations potentiellement hasardeuses.

➜ Elle représente surtout un très bon indice de l’état de santé d’une population une année donnée (puisque l’on considère les taux de mortalité aux différents âges, cette année là), et c’est elle que cette étude parue dans Nature traite.

N.B. :

● Certains affirmaient que puisque les morts de la COVID avaient en moyenne 80 ans, et que l’espérance de vie était de 80 ans, la COVID ne modifierait pas l’espérance de vie [3].

● C’était très contestable puisque 80 ans, c’était l’espérance de vie d’un NOURRISSON né en 2020, pas celle d’une personne de 80 ans en 2020 !!(cette semaine l’INSEE a donné sa dernière estimation, un enfant né en 2022 a une espérance de vie de 90 ans)

➜ Les nourrissons nés en 2020 ont toute leur vie devant eux, et il est quasi impossible  de connaître les risques auxquels ils seront confrontés. 

➜ Une personne de 80 ans en 2020 a déjà échappé, entre autres,  à toutes les maladies infantiles, aux accidents  dont ceux de voiture, à plusieurs pandémies grippales, à plusieurs épisodes caniculaires, à un grand nombre de pathologies graves, comme de cancers et de maladies diverses (cardio-vasculaires) etc. . 

➜ L’espérance de vie d’une personne de 80 ans en 2020 était de… 11 années supplémentaires environ, et non zéro, bien entendu.

@kanpanstu suite à nos échanges sur ce sujet

Alors que le Covid continue de circuler, une récente étude alerte sur le fait que les réinfections font augmenter les risques de développer des problèmes de santé et des Covid longs.Les personnes qui ont eu le Covid deux fois, trois fois, voire plus sont désormais nombreuses. La faute à des variants plus contagieux, qui continuent de circuler fortement. Et si la réinfection est courante, elle n'en est pas pour autant bénigne. C'est en tout cas l'alerte que donne l'épidémiologiste Ziyad Al-Aly, qui a mené une étude, publiée le 10 novembre dans la revue Nature Medecine, rapporte le Monde.

Virus du chameau :

présent au Qatar, ce coronavirus dangereux est-il une menace pendant la Coupe du monde ?

Alors que la Coupe du monde de football va débuter, il est recommandé d'éviter les contacts avec les chameaux à cause du Mers, le virus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient.Le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (Mers) est provoqué par un coronavirus qui peut s'avérer mortel dans près de 35 % des cas chez l'homme. Il se transmet via les chameaux ou les dromadaires par contacts directs ou indirects.

"Rien ne dit que ça va se terminer un jour" : le calvaire de Claire, qui souffre d'un Covid long depuis neuf mois

Alors que des scientifiques montpelliérains ont peut-être percé le mystère du Covid long, ouvrant ainsi la voie à un potentiel traitement, Claire, 35 ans, nous raconte son quotidien contrarié. Neuf mois à l’arrêt. Claire, 43 ans, directrice d’école en Occitanie, mariée, mère de deux adolescents de 14 et 17 ans, décrit une vie stoppée par une banale infection au Covid, en janvier 2022, quinze mois après une première infection. "J’étais vaccinée depuis un mois et demi, les symptômes étaient légers…". Sportive, active, elle "retourne travailler vite."

Des symptômes étranges

Avant d’être foudroyée par une série de symptômes étranges : "J’avais tous les jours une nouvelle maladie, une gastro-entérite fulgurante, une laryngite, un rhume comme jamais, une otite surgie en pleine nuit… comme si mon système immunitaire se dégradait."

Passée par le dispositif de prise en charge de Covid long, vingt semaines dans une clinique puis à domicile, elle a le sentiment de "n’avoir récupéré que 30 % de (ses) capacités". "Vous en êtes sûr, les gens ne meurent pas du Covid long", a-t-elle demandé à son premier contact avec le réseau. Chaque geste du quotidien reste une épreuve, chaque imprévu, émotion négative, effort physique, peut avoir des conséquences imprévisibles : "Le mot fatigue ne veut rien dire. Je n’arrive plus à me lever de mon canapé, je n’ai plus de vie sociale, familiale, je suis en arrêt maladie depuis le 1er février."Elle espère retravailler "un jour par semaine"IRM, scanners, tests sanguins, électrocardiogramme… ne disent pourtant rien de son mal, qui lui a valu quelques sarcasmes et quelques doutes, et l’a amenée à tester toutes sortes de traitements : "Qu’est-ce que j’ai pris comme granules, comprimés, de l’aspirine à haute dose, de l’Ivermectine, des antidépresseurs, j’ai même marché pieds nus dans la forêt et j’ai embrassé les arbres !"À son meilleur, Claire imagine "retravailler un jour par semaine". Quand elle n’a pas le moral, elle pense que "rien ne dit que ça va se terminer un jour".

« De l’huile sur le feu des maladies neurodégénératives ?

Le covid-19 pourrait accélérer le développement de la maladiede Parkinson.

Le Covid affecte un grand nombre d’organes, dont le cerveau. Les problèmes neurologiques sont d’ailleurs très fréquents parmi les personnes souffrant d'un Covid long.

Plusieurs études ont montré que l’infection au coronavirus cause de l’inflammation dans le cerveau, suivie d’une mortalité neuronale accrue. Cette inflammation est déclenchée principalement par des micro-hémorragies qui asphyxient les cellules cérébrales, mais le virus lui-même pourrait participer directement à cette inflammation.

Des chercheurs australiens de l’Université de Queensland ont montré que le SARS-CoV-2 active des cellules immunitaires du cerveau et cause ainsi un état inflammatoire. Ce processus serait amplifié chez des personnes atteintes par la maladie de Parkinson, ce qui pourrait accélérer le développement de cette maladie neurodégénérative. Leur découverte a été publiée le 1er novembre 2022 dans le journal Molecular Psychiatry. »

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cerveau-et-psy/le-covid-19-pourrait-accelerer-le-developpement-de-la-maladie-de-parkinson_167619

Le Covid-19 pourrait accélérer la maladie de Parkinson - Sciences et Avenir

Le virus entraine un état inflammatoire dans le cerveau, processus qui est amplifié en présence des protéines responsables de la maladie de Parkinson.