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Que penser du coronavirus ?
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Ici en Thaïlande :
*** Traduction ***
Les médicaments Covid-19 seront prêts à être distribués dans les pharmacies du pays à partir de septembre.
Le Center for Covid-19 Situation Administration (CCSA) a autorisé les pharmacies du pays à distribuer les médicaments Covid-19 pour les patients en isolement à domicile, à partir du 1er septembre.
Le Dr Taweesilp Visanuyothin, porte-parole du CCSA, a déclaré à l'Associated Press après l'assemblée générale du CCSA cet après-midi, le 19 août, que le ministère de la Santé publique avait accéléré le processus d'enregistrement des médicaments Covid-19 pour un usage général, tandis que l'Organisation pharmaceutique gouvernementale (GPO) avait préparé les médicaments pour la distribution au grand public.
Selon le porte-parole, les médicaments Covid-19 disponibles en stock comprennent 5 millions de comprimés de Favipiravir, 6,76 millions de Molnupiravir et 3,8 milliers de Remdesivir, et la quantité est suffisante pour une distribution locale.
À partir du 1er septembre, les services médicaux ne relevant pas du ministère de la Santé publique pourront acheter des médicaments et les pharmacies de tout le pays pourront distribuer des médicaments aux patients en fonction des prescriptions. Les unités de services médicaux relevant du ministère de la Santé publique pourront procéder à l'achat de médicaments à partir du 1er octobre pour les besoins de l'agence.
En ce qui concerne l'annulation du décret d'urgence et la dissolution du CCSA en octobre, le Premier ministre et le porte-parole ont mutuellement déclaré que les questions sont actuellement examinées par le comité du CCSA et que la décision n'a pas encore été prise lors de la réunion d'aujourd'hui, malgré des rapports médiatiques contradictoires.
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Interessant, les thaïlandais vont avoir un accès facilité à de vrais anti-viraux contre le Covid et ses variants . . Les pseudo médicaments précédents semblent être mis de côté. .
Cependant la prescription de certains peut sembler surprenante, pour comparer un petit rappel de ce qui est recommandé en France :
Traitements de la Covid-19 : Paxlovid, Lagevrio (molnupiravir), anticorps monoclonaux, Fluvoxamine ?
Quels traitements efficaces contre la Covid-19 ? Quelle prise en charge pour les formes graves de Covid-19 ? Peut-on prendre de l'ibuprofène ou de l'aspirine ? Herbe à pic, antidépresseurs, hydrogène... Quelles sont les nouvelles pistes? Viparic efficace?
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@chatdoc vous plaisantez j'espère !
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@Philou75FR
Il n'est question d'espérance mais de savoir !
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@chatdoc Encore une plaisanterie ?
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@Philou75FR
qui sait ? Bon après-midi.
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Ils utilisent aussi le molnupiravir
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Cf. 3h00.... "COVID: le modèle japonais"
Sauf que... l'envers du décor !
En 2021:
En 2016, le Japon était à la 14e place des pays les plus endeuillés par le suicide, selon les chiffres de l’OMS. Mais l’apparition du virus a fait de nouveau s'envoler les statistiques. À tel point qu’au Japon, le suicide a tué six fois plus de gens que le coronavirus.
En 2022:
Triste constat: deux ans après le début du Covid : au Japon, le nombre de suicides chez les enfants s'est envolé.
Il suffit de lire les articles en entier pour voir les conséquences de cette gestion du Covid et l'augmentation des suicides. Pas sûr que ce pays fasse tant d'envieux que ça... c'est hasardeux de tirer une telle conclusion !
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Ami
Concernant le Japon, le Japon a effectivement eu un augmentation du nombre de tentatives de suicides. Les causes exactes à l’origine de cette inquiétante hausse reste encore sujet de débat, et nous impose une certaine prudence.
Il faut d’abord réaliser une étude approfondie de la situation japonaise et aussi regarder ce qui a été constaté dans d’autres pays, comme la France.
Ce sujet peut être l’objet d’échanges sur ce forum, mais il est indispensable de respecter des règles d’honnêteté intellectuelle.
Un exemple :
31/01/2022
Covid-19 : les tentatives de suicide ont presque doublé chez les 12-24 ans. La pandémie de Covid-19 est catastrophique pour la santé physique, mais aussi pour la santé mentale. Les demandes de prises en charge en psychiatrie sont effectivement en hausse de 40 %.
La pandémie de Covid-19 qui sévit depuis mars 2020 en France a fait, certes, de nombreux morts (128 000), mais elle a également affecté la santé mentale des jeunes. Les confinements, les cours à distance, le port du masque, le couvre-feu, le manque de socialisation… les ont fragilisés. Ainsi, depuis le début de la pandémie, les demandes de prise en charge en psychiatrie ont augmenté de 40 %.
Les adolescentes vont mal
Debut 2020, on recensait 5 000 signalements pour tentative de suicide. On est maintenant passés à 8 000 signalements dans la tranche d’âge des 12-24 ans. Et les filles sont sur-représentées : en 2021, les adolescentes ont en effet fait 5 fois plus de tentatives de suicide que les garçons, un chiffre en hausse de 40%.
Covid-19 : deux fois plus de tentatives de suicide chez les 12-24 ans
La pandémie de Covid-19 a augmenté le malaise chez les jeunes de 12 à 24 ans. On est passé de 5 000 signalements de tentatives de suicide à 8 000. Les filles sont majoritaires.
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Chatdoc
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Augmentation de nombre de tentatives de suicides au Japon !
mais bonne nouvelle....
Je lis nippon.com et .....Le nombre de suicides au Japon en légère baisse en 2021 !!!!
bonne journée
maritima
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maritima
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Oui en 2021 ..... ( - 0,4% )
Mais depuis longtemps, le Japon est confronté à l’un des taux de suicide les plus élevés du monde industrialisé. Taux variable d'ailleurs en fonction des contextes économique, sanitaire, familial (voire historique ) que le Covid n'a fait qu'exacerber . C 'est , il me semble , bcp plus complexe qu'il n'y parait à nos yeux d'occidentaux .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Et pour rester simple a nos yeux d'occidentaux
il s'agissait de parler d'espoir plutot que de désolation !
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Sauf que...... quoi qu'on dise ici, les Japonais eux-mêmes font le lien entre l'augmentation des suicides au Japon et la gestion de l'épidémie de Covid, comme l'a publié the Japantimes ce 17/08/2022:
" Le nombre de suicides au Japon a augmenté de 8 000 en raison de la pandémie, selon une étude
La pandémie de coronavirus a entraîné 8 000 suicides de plus au Japon entre mars 2020 et juin 2022 que ce à quoi on aurait pu s'attendre sans elle, a calculé une étude récente.
Les femmes dans la vingtaine ont connu la plus forte augmentation, mais les femmes de 19 ans ou moins ont également connu une augmentation significative, selon l'étude menée par une équipe de chercheurs comprenant Taisuke Nakata, professeur agrégé à l'Université de Tokyo.
Des restrictions COVID-19 largement volontaires ont été adoptées à Tokyo et dans d'autres régions jusqu'en mars de cette année, les gens étant invités à s'abstenir de voyager à travers les frontières préfectorales et les restaurants et les bars invités à fermer tôt.
"Les femmes, qui sont plus susceptibles d'avoir des emplois non réguliers que les hommes, ont tendance à être plus touchées sur le plan économique, tandis que les jeunes sont peut-être plus susceptibles d'être contraints à l'isolement en raison de restrictions comportementales", a déclaré Nakata.
Le nombre de suicides a totalisé environ 21 000 en 2020 et 2021, selon les données du gouvernement, contre environ 20 000 au cours des deux années précédentes. Mais l'impact de la pandémie de coronavirus n'était pas clair.
Au Japon, on pense que les difficultés économiques sont l'un des moteurs du taux de suicide, car les décès ont tendance à augmenter lorsque le taux de chômage augmente.
L'équipe a estimé le nombre prévu de suicides pour la période sur la base des tendances passées, en tenant compte des fluctuations de l'emploi. Elle a ensuite comparé ce nombre au chiffre réel et a trouvé une augmentation probable de 8 088.
Les personnes dans la vingtaine avaient le plus grand nombre de suicides liés à la pandémie, à 1 837, dont 1 092 étaient des femmes. Le suicide provoqué par la pandémie représentait environ 30 % du nombre total de suicides pour le groupe d'âge.
Les personnes de 19 ans ou moins représentaient 377 des suicides liés à la pandémie, dont 282 étaient des femmes.
Bien que les suicides au Japon aient diminué de 500 à 3 000 par an depuis 2010, la tendance s'est déplacée à la hausse en 2020 pour la première fois en 11 ans. Le chiffre est resté quasiment le même en 2021. Alors que les suicides chez les hommes ont diminué pour la 12e année consécutive, ceux des femmes ont augmenté pour la deuxième année consécutive. Les suicides d'élèves du primaire, du collège et du lycée ont atteint un record de 499 en 2020 et sont restés à un niveau gonflé.
Le gouvernement adoptant des mesures strictes pour lutter contre les infections, le taux de chômage du pays est resté à un niveau élevé.
Selon le gouvernement, le taux de chômage oscille entre environ 2,5 et 3,0 % depuis mars 2020, lorsque les infections ont commencé à augmenter dans tout le pays, supérieur au taux d'environ 2,4 % prévu dans les prévisions faites avant la pandémie. Une baisse de l'activité économique est également susceptible d'avoir porté un sérieux coup au nombre de nouveaux mariages au Japon, selon une autre étude, qui a déclaré que la baisse du nombre de personnes se mariant pourrait signifier un manque de 243 000 bébés à l'avenir.
Pour éviter un impact négatif sur les activités sociales et économiques, certains experts appellent le gouvernement à assouplir davantage les mesures anti-virus, par exemple en raccourcissant la période de traitement des patients infectés.
"Il est important de peser les risques de freiner les infections à coronavirus par rapport à l'arrêt des activités sociales et économiques", a déclaré Fumio Otake, professeur spécialement nommé à l'Université d'Osaka, appelant le gouvernement à modifier sa politique en tenant compte de données telles que le nombre de suicides.
"Pour maintenir les activités socio-économiques, il est nécessaire d'assouplir les mesures, telles que le raccourcissement de la période d'isolement des patients infectés, et de se concentrer sur les personnes à haut risque de développer des symptômes graves", a déclaré Otake, qui est également membre du groupe gouvernemental. sur les mesures COVID-19. "
Alors je reprends la "consigne" (!!) du 9h49 : Ce sujet peut être l’objet d’échanges sur ce forum, mais il est indispensable de respecter des règles d’honnêteté intellectuelle... et j'ajouterai "indispensable de ne pas tirer de conclusions hâtives" 😁
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@bibimet75
Moi non plus je ne vais pas m'étaler davantage sur l'incomparable d'autant que je disais simplement que les suicides au japon en 2021 étaient officiellement en baisse et que c'était une bonne nouvelle !
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@serpic On est en 2022... ! Bonne nuit.
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@bibimet75 bonjour
Oui nous sommes en 2022 merci je suis au courant , et c'est cette année qu'ils ont fait le décompte pour 2021 et c'est en 2023 qu'ils le feront pour l'année complète de 2022
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@serpic Ça ne change rien au problème qu'a publié l'article. Bonne journée.
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LE PREMIER MINISTRE JAPONAIS POSITIF AU COVID-19,
ET PRÉSENTE DES SYMPTÔMES LÉGERS
dim. 21 août 2022 - Le Japon subit depuis juillet une vague record de Covid-19, avec plus de 200.000 nouveaux cas quotidiens en moyenne dans le pays sur les sept derniers jours
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Utilisateur désinscrit
Auto-gestion des Japonais qui n'est pas non plus un modèle, vu les résultats sur leur santé mentale. Je l'avais aussi mis en évidence en couleurs dans mon post plus haut de 11h00.
Merci de l'avoir souligné à votre tour.... un modèle donc ni dans un cas ni dans l'autre.
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@bibimet75
Un peu un pas de côté.
Et pourtant, il y aurait tant de choses à dire . .
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@nicolas2 certainement la rançon du succès de la lutte contre le covid au japon mise en exergue et en exemple par chatdoc
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@kanpanstu
Se renseigner est parfois intéressant, c’est la 7eme vague avec le variant B.A.5 (plusieurs semaines après nous), et rappellez vous combien il y avait de positifs par jour.. . c’est très compréhensible !! Et, il y a peu de décès.
P,S, : me mettre en pièce jointe eut été plus correct !!
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En a peine plus de 18 mois : la couverture vaccinale des pays pauvres atteint 50% !!
L’alliance Gavi et l’OMS ont longtemps déploré le manque de solidarité concernant l’accès à la vaccination contre le Covid-19. Bien que des inégalités demeurent, « les pays à faibles revenus ont réalisé des avancées remarquables », atteignant un « seuil décisif dans la couverture » vaccinale contre le Covid-19, a souligné l’alliance Gavi dans un communiqué.
Des progrès spectaculaires ont été réalisés depuis le début de l’année 2022, seuls 31 % des habitants de ces 92 pays ayant alors reçu leurs deux premières doses. Auparavant, la couverture vaccinale dans 34 de ces pays atteignait moins de 10 %, ce qui n’est le cas aujourd’hui que dans dix pays, a précisé Gavi.
« Un progrès vital » :
L’alliance a notamment fait l’éloge des gouvernements qui ont privilégié la vaccination du personnel soignant, catégorie à hauts risques, plus de 80 % des professionnels de santé ayant été vaccinés dans la plupart des pays à faibles revenus
@Alain08
Covid-19 : la couverture vaccinale dans les pays pauvres atteint 50 %
La moitié de la population des pays pauvres a désormais reçu deux doses de vaccin contre le Covid-19, a annoncé jeudi l’alliance internationale Gavi, se félicitant des progrès accomplis pour surmonter les inégalités dans l’accès à la vaccination
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Variole du singe:
Un touriste italien meurt du virus à Cuba, le premier cas dans le pays
MONDE Selon les autorités cubaines, les personnes ayant eu des contacts avec cet homme ont été placées à l’isolement et sont pour le moment asymptomatiques
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@nicolas2 et savez-vous pourquoi dans les églises de cuba les chaises sont en acier? ...........parce que les fidèles cassent trop.
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@kanpanstu bonjour, connais tu l'île de Pâques ? sais tu pourquoi il n'y a plus d'arbres ?
si tu as la réponse, tu auras l'explication de ta remarque
bonne journée
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@nicolas2 d'après ce que j'en sais, les arbres ont été remplacés au fil des siècles par des terres agricoles, mais je ne vois pas trop le rapport avec mon calembour.
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@kanpanstu mauvaise réponse
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COVID-19 : les pics de pollution aggravent fortement la mortalité selon une étude française.
Une étude suisse puis une étude allemande, publiée ces derniers mois, avaient trouvé une corrélation entre pollution et mortalité due dû au Covid. La causalité est très probable !
Quelques extraits :
« Ce sont les villes les plus polluées qui ont connu les taux de mortalité les plus élevés, constate l’expert, directeur de recherche au CNRS au sein du Laboratoire de physique et de chimie de l’environnement et de l’espace. A contrario, des villes comme Bordeaux ou Brest, beaucoup moins polluées du fait de l’influence océanique, ont été largement épargnées. »
« A chaque fois qu’on a un pic de pollution au-dessus de 15 à 20 microgrammes par mètre cube pendant une semaine, derrière, on observe une brusque montée de la mortalité »,
« Une des hypothèses est que les particules fines altéreraient les cellules de l’épithélium de l’arbre respiratoire et du tissu pulmonaire, facilitant la transmission des virus respiratoires comme ceux du Covid-19 ou de la grippe, et favorisant les formes graves et les complications de la maladie, donc les hospitalisations et les décès », détaille l’épidémiologiste Antoine Flahault.
Et les auteurs concluent :
Pour éviter que ces « tempêtes » ne se reproduisent, en dépit de la vaccination, il faut que les autorités intègrent davantage la dimension pollution dans la gestion de la pandémie de Covid-19, recommandent les auteurs de l’article publié dans Science of the Total Environment. « Jusqu’ici, la question de la pollution, comme celle de l’aération des espaces publics, à commencer par les écoles, a été l’angle mort des politiques sanitaires pour endiguer l’épidémie, commente Isabella Annesi-Maesano. De manière plus globale, pour l’ensemble des maladies cardio-pulmonaires, les résultats de cette étude rappellent à quel point il est primordial de mettre en place des politiques publiques capables de réduire significativement les niveaux de pollution dans les grandes villes. »
Covid-19 : les pics de pollution aggravent fortement la mortalité, selon une étude
Dans la revue « Science of the Total Environment », des chercheurs du CNRS et de l’Inserm montrent que les villes les plus polluées ont payé le plus lourd tribut pendant l’épidémie de Covid-19.
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Alors qu'ils la supposait déjà au printemps 2020 ,
" des chercheurs de l’université d’Insubria à Varese (Italie) ont établi un lien entre une hausse du nombre de cas au Covid-19 parmi les populations les plus exposées à la pollution atmosphérique, en étudiant le rôle de plusieurs polluants (particules fines de 2,5 micromètres de diamètre ou PM2,5, les PM10, des oxydes nitreux et l’ozone troposphérique " Le Figaro 17/01/2022
Ainsi, une concentration en augmentation de 1 microgramme par mètre cube d’air des PM2,5 accroit de 5% le taux d'infection au covid-19 ( soit 300 cas pour 100 000 habitants )
Outre les études suisse et allemande , des chercheurs de l'Inserm et du CNRS ( lire à 18h28 ) confirment aussi les liens négatifs constatés entre pollution et Covid-19 .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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@chatdoc quoi de plus logique, on estime à 40.000 le nombre de décès annuels causés par la pollution aux particules fines en France. D'ailleurs, parmi ces 40.000, combien de grippes "aggravées" ; quelle que soit la maladie ou insuffisance respiratoire possiblement létale, l'exposition aux particules fines est un facteur aggravant prépondérant, la covid ne fait pas exception à la règle. il sera intéressant de connaître l'estimation des décès "pollution" pendant la période covid car la grippe a été quasi inexistante depuis le printemps 2020, et la covid l'a remplacée, sans oublier les 2 ou 3000 décès épargnés pendant le confinement et la baisse d'activité et de transports.
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@kanpanstu Je confirme, c'est logique... rien de nouveau sous le soleil !
Avant l'apparition du Covid, on savait déjà que la pollution atmosphérique par les particules augmente les taux de mortalité toutes causes confondues, et en particulier en lien avec les troubles cardiaques et pulmonaires. Or la Covid-19 est une maladie virale respiratoire.
Voici par exemple le résumé d'un article médical publié en 2007:
La pollution atmosphérique est composée d'un mélange complexe d'éléments gazeux, liquides et solides. On distingue les polluants primaires, comme les oxydes d'azote, le dioxyde de soufre et des particules, émis directement dans l'atmosphère par les principales sources de pollution que constituent le trafic routier et les industries, et les polluants secondaires, comme l'ozone et des particules, qui résultent de la transformations physicochimique des polluants primaires. De nombreux travaux expérimentaux et épidémiologiques démontrent que plusieurs polluants, particulièrement l'ozone et les particules, sont directement responsables d'effets délétères sur la santé respiratoire à la fois lors des pics de pollution et en cas d'exposition chronique. L'exposition chronique aux particules notamment est associée à une augmentation de la mortalité totale, de la mortalité par maladie cardiorespiratoire, de l'incidence des cancers bronchiques, et aussi à une réduction de la croissance pulmonaire chez l'enfant. Des travaux expérimentaux ont apporté des informations sur les mécanismes biologiques des effets délétères des agents polluants : ces mécanismes font en général intervenir stress oxydant et inflammation. Même si le risque est relativement faible aux niveaux de pollution couramment rencontrés dans nos villes, il n'en reste pas moins qu'il concerne l'ensemble de la population pendant de nombreuses années. Il est important de souligner que les programmes d'amélioration de la qualité de l'air s'accompagnent en général d'une amélioration des indicateurs sanitaires.
(EM-consulte)
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Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?