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Patients Trouble bipolaire
Qu'est-ce qui vous pousse à fuir ponctuellement la personne qui est en couple avec vous ?
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Est-ce que votre ou vos compagnes ont pensé que vous ne les aimiez plus ? Est-ce que vous-mêmes le leur avez dit que c'était le cas ?
Utilisateur désinscrit
Qu'est-ce qui vous faisait revenir ? Qu'est-ce qui vous rassurait alors ? Ou au contraire, condamnait votre relation ?
Utilisateur désinscrit
Et si votre compagne vous interrompait dans ce moment de fuite, ou s'obstinait à chercher le dialogue, qu'est-ce qui se passait pour vous ? Entre vous ? A quel moment parveniez-vous à penser que cela redevenait possible ?
Utilisateur désinscrit
Est-ce que dans ces moments-là, il vous arrivait d'oublier que vous étiez aimé par votre compagne? Et carrément d'oublier sa présence, votre besoin de l'avoir à vos côtés ?
sylefi
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sylefi
Dernière activité le 11/10/2023 à 15:39
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Ami
@SCHMEUH,
En fait, cela fait plus de vingt ans que j’ai fait une décompensation (psychotique) suite la rupture subite et subie de la part de ma seconde épouse. J’ai passé vingt-deux mois (1998 -2000) en hôpital psychiatrique (hôpital de jour) avec de la chimiothérapie par neuroleptique essentiellement qui a duré trois années en tout avant un retour à la vie professionnelle étant alors professeur des écoles et devenant à la sortie formateur médico-technique en matériel médical car ma formation initiale est d’être infirmier DE.
Depuis ces années 2000, j’ai fait des rechutes plus tardives qui ont été prises en charge régulièrement en psychiatrie de ville avec des traitements par anxiolytiques uniquement.
Donc en résumé, mon précédent commentaire explique mon attitude réactionnelle quasi systématique au cours de ma vie, étant actuellement retraité. C’est-à-dire que mes réactions n’ont quasiment pas variées que ce soit avant ma décompensation de 1997 ou après puisqu’aujourd’hui je ne prends plus de traitement par psychotropes bien qu’il m’arrive dernièrement à cause du confinement et en post-confinement de reprendre au cas par cas du Xanax pour calmer mon anxiété voire mon angoisse face au COVID-19.
Pour gérer au mieux le type de situation qui vous préoccupe, la mise à distance même subie de votre part me semble opportune du moins un certain temps. Ce qui m’enlève rien à vos sentiments mais peut vous permettre de préserver votre amie d’une pression psychologique qu’elle ne peut pas supporter pour le moment.
Il est souhaitable de faire baisser la tension de part et d’autre pour des motifs qui sont propres à chacun. C’est une mesure de bon sens pour garantir un avenir en commun à mon avis. En fait, il est préférable d’écarter toute situation conflictuelle qui pourrait aboutir à une rupture définitive.
Donc toujours laisser une porte entrouverte à un avenir à reconstruire si nécessaire sur d’autres bases que celles qui vous ont mené tous les deux dans une impasse que je souhaite momentanée en vous lisant.
Bon courage pour la suite.
Patience et détermination sans abandon.
Amicalement.
Sylvain
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Sylvain
sylefi
Bon conseiller
sylefi
Dernière activité le 11/10/2023 à 15:39
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Ami
@SCHMEUH,
Vous me posez la question de l’oubli. Malheureusement ou non, en amour en général l’un aime plus que l’autre. C’est difficile d’être en phase voir en symbiose au point de vivre les sentiments au même rythme au point de tout partager avec la même intensité. C’est mon avis par expériences.
Quand l’autre est perçu arbitrairement et subjectivement comme « un agresseur » ou tout simplement comme une menace, dans la psychopathologie de la personne malade, il y a une certaine logique à tout couper d’où l’oubli pour panser la blessure narcissique.
L’oubli momentané et la mise à distance ne sont que des moyens pour la sauvegarde de mon point de vue.
En plus, à vous lire, j’ai compris que votre amie n’est pas dans une démarche de soins. Ce qui complique les choses puisque, si c’est là cas, c’est pratiquement « open-bar » avec une personne écorchée vive sans garde-fou.
Tout cela pour vous dire que l’éducation thérapeutique apporte une sacrée aide dans la compréhension des situations et leur maîtrise.
Comme piste de résilience, vous pourriez lire des ouvrages spécialisés en relation avec les troubles de la personnalité bipolaire. Cela pourrait vous éclairer et vous permettre d’ajuster vos attitudes et comportements à son égard et ainsi mieux la comprendre par amour pour elle.
Tous mes encouragements à persévérer.
Sylvain
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Sylvain
Utilisateur désinscrit
Je vous entends, et effectivement elle me craint et n'est pas dans une démarche de recherche des causes de son mal, et se contente d'un premier diagnostique de dépression qui date (vraisemblablement de ses 2 divorces), mais alors comment repreniez-vous contact avec votre compagne, quand cela revenait-il ? Sentiez-vous le manque ? N'étiez-vous pas surpris de ne pas avoir de ses nouvelles si elle acceptait d'attendre votre reprise de conscience qu'elle n'était votre ennemie ? Est-ce que ça durait longtemps ?
Utilisateur désinscrit
Je vous remercie Sylefi et je vous en prie, ne perdez pas patience avec moi, vos réponses me sont extrêmement importantes. Et peut-être me permettront de convaincre des sceptiques dans notre entourage, et dont nous aurons besoin pour aider peut-être ma compagne. S'il vous plaît, pouvez-vous poursuivre avec mes autres questions complémentaires ?
sylefi
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sylefi
Dernière activité le 11/10/2023 à 15:39
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Ami
@SCHMEUH,
Je vais essayer d’être introspectif pour vous aider du mieux que je peux sous toutes réserves car chaque parcours de vie est unique et la généralisation peut être hasardeuse.
Mais bon, l’expérience des uns peut être utile pour engager une réflexion pouvant aboutir à des modifications des comportements en particulier en supprimant ceux qui sont bloquants dans la relation.
Quatre facteurs sont déterminants dans l’équilibre psychique :
1) le travail
2) le logement
3) l’affectif
3) la santé
Au regard de ces quatre items, essayez de positionner votre compagne où elle en était au moment de la crise. Cela pourrait vous donner à faire une évaluation de son état de stress psychologique. Les changements d’humeur et de comportement relationnel sont interactifs avec ces quatre items.
Tout cela pour vous extraire d’une éventuelle culpabilité même si dans une crise de couple personne n’est tout noir ou tout blanc.
Je n’ai pas en mémoire de recette toute faite que j’aurais appliquée pour reconquérir une de mes ex-compagnes.
L’essentiel me semble d’éviter à tout pris la rupture définitive. Comme les mots tuent, il est fondamental de ne pas blesser ni de culpabiliser l’autre en mettant l’accent sur ses comportements déviants ou pas.
Dans le cadre d’un profil de psychopathologie, la personne n’est pas responsable en totalité de ses troubles du comportement.
Il faut donner du temps au temps sans rompre mais maintenir un état de veille au point d’être ouvert à toute reprise du dialogue à tout moment.
L’opération de mise à distance n’est pas sans risque mais la vie n’est pas un long fleuve tranquille.
La richesse d’une relation de ce type, c’est son intensité dans un vécu hors norme loin des sentiers battus. Et je comprends votre désarroi de la perdre et par-delà votre source de vie amoureuse.
Pour revenir à vos dernières questions, avec l’âge (66 ans) mes souvenirs s’estompent lentement mais sûrement.
J’ai eu des positions tranchées, du type « plus jamais ça comme ça ». J’avais plutôt tendance à effacer le tableau noir et de réécrire une autre histoire dans la foulée . De tourner la page en quelque sorte pour passer à autre chose au gré de mes nouvelles envies et/ou de m’écarter de mes déceptions existentielles.
Et puis l’inattendu peut surgir de l’improbable. J’ai encore en mémoire un épisode au tout début de mon histoire avec ma seconde épouse. Après quelques mois de vie commune en concubinage avec cette jeune célibataire et une promesse de mariage bien qu’étant déjà divorcé avec deux petites filles, je me suis soudainement rétracté et je lui ai demandé subitement de quitter mon appartement plus préoccupé par mes deux filles que par mon futur mariage avec elle.
Et tout aurait pu s’arrêter là sauf qu’elle a réussi à obtenir en location un appartement juste en face du mien. Il nous auras fallu quelques mois de rencontres amicales avec des sorties communes pour de nouveau nous projeter à deux et finalement nous marier 18 mois plus tard et au final avoir deux garçons ensemble.
Donc tous les espoirs sont permis à condition d’y mettre du sien de part et d’autre. Mais on est d’abord et avant tout acteur de sa vie sans reporter ses malheurs sur les comportements de l’autre,
Je croise les doigts pour vous deux car l’amour mérite bien qu’on y accorde un maximum d’attention pour ne pas le gâcher bêtement.
Sylvain
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Sylvain
Utilisateur désinscrit
Merci beaucoup pour vos éclairages et vos encouragements. Sylvain, vous me permettez, je vais tout faire, tout.
1/ cela fait presque 2 ans que son travail l'ennuie et qu'elle a été réorientée professionnellement sans choix. Et qu'elle n'en changera car elle y a trouvé une place bien entourée de collègues sympas (dont j'étais il y a un an quand nous avons fait connaissance) ,et où elle sait faire ce qu'il faut. Confortable.
2/ elle se sent bien dans son appartement et me répète souvent comme son refuge, son cocon depuis 3 ans. Et je l'ai aidée à finaliser sa déco: évidemment elle était sans bricoleur depuis 2 ans!
3/ l'affectif: je débarque dans sa vie au printemps 2019! Le printemps! Tout est beau, et comme elle me rencontre quand je divorce et que je partage beaucoup, et qu'elle doute de mon engagement (sans doute par manque de confiance en elle et de mon amour): car voyant son impatience, je suis contraint de la protéger et elle comprend malheureusement: que je ne veux plus d'elle!). Pendant notre petite vie d'amants, elle a eu 3 crises majeures qui ont duré 1 mois en moyenne (chaque fois à cause de mes événements de divorce (thérapie de couple, où encore elle a cru à mon renoncement), et cette 4ème en cours où elle dit ne plus m'aimer du tout (vous avez raison: l'importance des mots à ces moments-là!), quand: je suis enfin libre, elle a les clés de chez moi, ses petits chaussons roses rangés, elle annonce mon existence à ses parents, son oncle, elle demande la permission à son fils de 20 ans (auquel j'ai été le seul homme en 3 ans à avoir été présenté) pour passer des week-ends avec moi, et nous venons de fêter son anniversaire où elle était radieuse, et déjà se projetait de sortir un peu de son appartement... son cocon... Je pense qu'elle s'est avancée enthousiaste et fantasque, un peu trop, et s'est générée une crise d'angoisse, me voyant libre enfin (1 an d'attente, court pour des personnes sans souci de santé comme le sien), comme à pouvoir l'étouffer en plus de tout mon amour, car il a fallu tellement le lui prouver de mes tripes pour qu'elle se resaisisse à chaque fois! Elle culpabilise (là-aussi des angoisses) en imaginant que je divorce pour elle! Alors que mon choix était fait, et qu'elle n'est que l'espérance d'une autre vie, arrivée peut-être un peu vite.
4/ sa santé ? Ses parents ont une expression: "elle a l'oeuf", ça se dit dans notre sud, et ça veut dire qu'elle est tout le temps malade, l'équivalent du "pet de travers"! Effectivement, elle s'est construite toute petite avec cette réflexion dont elle est parfaitement convaincue depuis toujours! En fait, elle a quelques allergies psychosomatiques évidemment, et elle est très réactive, à l'aérologie saisonnière, à l'alimentaire (elle n'est pas régime très varié, légumes verts bannis avec le poisson où il y a toujours des arrêtes!), et aux humeurs de son entourage... Une véritable éponge !!! De plus, ne pratiquant pas trop d'exercice physique depuis sa ménopause, elle a pris un peu de poids, a encore moins envie de bouger. Elle a eu un genre d'AVC à 43 ans (elle en a 57), où elle a failli mourir, elle a des blocages sexuels depuis toujours (et pour l'avoir vécu avec elle et l'avoir rassurée peut-être que nous serions 2 toujours pour progresser et nous en sortir ensemble), qui ont été la cause de ses 2 divorces précédents! Et je ne suis pas sûr qu'elle ait été bien suivie: ni par son psy ni par son médecin, qui ont vu de la dépression corrélée à ses problèmes de couple (son mari la trompait déjà après 10 ans de vie commune, à laquelle ils ont mis fin 10 ans après dans une ambiance des plus détestables). Son médecin est un "vieux de la vieille", et j'ai pris rdv pour le rencontrer!!!
Je lui ai fait connaître ma kinésiologue, mais je ne sais ce qu'elles ont abordé ensemble, ni si elle y est retournée.
Le psy: j'en ai pris un moi, et je vais me faire guider et accompagner pour elle et pour moi, en espérant!
A cela s'ajoute une constitution osseuse et de circulation sanguine délicate: elle est hypertendue et traitée, des varices, de la rétention dans les jambes (manque d'exercice!), et une surveillance régulière de kystes aux seins. Elle a été beaucoup recousue (parties génitales) après son accouchement (un gros bébé), déchirée...
Pour elle, c'est la faute à pas de chance, c'est le fameux "oeuf" de ses parents! Calimero!
J'ai essayé de la convaincre de positiver (verre à moitié vide, à moitié plein) pour qu'elle regarde du bon côté: j'y arrive parfois, travail de longue haleine à expliquer. Mais comme la réflexion analytique lui prennent la tête, il faut être très patient et bien choisir les mots: car elle déteste et fuit, croyant à une manipulation, même venant de moi !!!
A chaque fois qu'elle a eu ses crises, elle est allée voir son médecin, qui a priori lui a prescrit: des antidépresseurs!!! Et vous savez qu'ils ne sont guère ou pas forcément efficaces pour cette pathologie, surtout si un traitement adapté au plus près de sa bipolarité n'est pas la règle de base, ou perturbé par des oublis ou refus de prise de médicaments qui conviendraient mieux!!! Son médecin traitant, je pense, doit savoir qu'elle a quelqu'un dans sa vie, en fonction des besoins de ses visites pour l'apaiser (surtout depuis 1 an!). Elle a dû lui dire ce qu'elle vivait. J'espère. Et je vais lui apporter la partie manquante dans le meilleur des cas, en croisant les doigts pour qu'il ne doute pas de ma sincérité, en son âme et conviction seules!!!
Je vais être persévérant et me représenter à elle, avec des recettes qui marchent et qui l'emballent, même si la porte est chaque fois un peu plus étroite. Lui montrer la voie, et que nous avons un beau chemin devant nous, si elle veut essayer...
Vous êtes un sage et vous ne pouvez savoir combien je vous en remercie. Si mes propos vous invitent à continuer, vous savez presque tout de notre vie, et vous pouvez encore y trouver matière à m'éclairer j'en suis sûr. Je n'ai ni honte ni peur de tout déballer pour en sortir par la plus belle des portes et abuser de votre expérience comme de vos conseils. Je vous en prie.
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ChriChrid'amour
Bonjour, http://www.psychomedia.qc.ca/tests/dsm-iv/bipolaire.
Tu peux consulter l'intérêt du test, perso moi je n'ai pas été testée.
D'après la psychiatre, les bipolaires ont tendance à faire un virage maniaque au printemps.
Dans l'euphorie, la personne bipolaire a tendance à perdre le sommeil, le plus embarrassant c'est qu'elle n'est pas fatiguée pour autant.
"Sors toi les doigts, motive toi et ca repart", jusqu'à la prochaine...:ces remarques désobligeantes ne servent à rien, ça ne fonctionne pas comme ça la bipolarité, il faut bien sûr essayer de se"mettre des coups de pieds au cul", il faut surtout se faire aider par qqn avec qui on peut échanger, exprimer ses sentiments et qui soit à votre écoute.
Bon courage à toi, n'hésites pas à revenir vers moi, je t'aiderais si je le peux et bien sûr si je ne sombre pas à nouveau dans le cœur obscur.
Mes amitiés
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ChriChrid'amour
Bonjour, http://www.psychomedia.qc.ca/tests/dsm-iv/bipolaire.
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D'après la psychiatre, les bipolaires ont tendance à faire un virage maniaque au printemps.
Dans l'euphorie, la personne bipolaire a tendance à perdre le sommeil, le plus embarrassant c'est qu'elle n'est pas fatiguée pour autant.
"Sors toi les doigts, motive toi et ca repart", jusqu'à la prochaine...:ces remarques désobligeantes ne servent à rien, ça ne fonctionne pas comme ça la bipolarité, il faut bien sûr essayer de se"mettre des coups de pieds au cul", il faut surtout se faire aider par qqn avec qui on peut échanger, exprimer ses sentiments et qui soit à votre écoute.
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Utilisateur désinscrit
Je m'aperçois que lors de crises en phase "dépressive", alors que tout semblait aller bien, ma compagne m'ignore, me jette ou m'oublie complètement pour une durée variable mais surtout indéterminée. Pourquoi vous est-il arrivé de faire ça, et qu'est-ce qui se passe en vous alors ? Comment avez-vous trouvé peut-être à y remédier? Prévenez-vous votre moitié ? Que dois-je faire avant ? Après ? Et si l'amour disparaît de son côté, tellement la violence et la soudaineté semblent exprimer l'angoisse d'un sujet non assumé ?