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Le diagnostic de votre diabète
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Amandine76 , bien venue au club , vous êtes jeune donc le pompe c'est une bonne chose pour votre équilibre .Bon courage. Chêne
Utilisateur désinscrit
en faite je ne suis pas bien épaisse (contrairement à bien des idée reçu sur les diabétique, beaucoup peuvent le dire je pense^^) et les piqûres me faisaient très mal, au point de réduire la nourriture pour réduire l'insuline. Si je peux me permettre même si la pose du KT est impressionnante il n'y a pas photo niveau douleur...^^ D’ailleurs si certain on des questions je me ferais une joie de répondre en toute sincérité.
Utilisateur désinscrit
White Lotus , je ne connaissais pas la Humalog et la Levenier , moi aussi je me fais des compléments d'insuline Novo rapid lorsque je suis sucré .
Bonne soirée Chène.
Utilisateur désinscrit
Amandine 76 , les diabètiques type 1 ne sont pas épais c'est ceux du type 2 , leurs surpoids avec un pancréace faignant il fait du diabète , pour les piqures le stylo est super avec des toutes petites aiguilles de 6 , 8 ou 10mm ,en ne sent absolument rien en pince la peau et en se pique à la base .
Bon courage Chêne
Utilisateur désinscrit
Pour ma part je prends des aiguilles 4 ou 5mm. En temps normal je ne sens rien mais quand je suis en crise de fibro se sont des moments horribles à passer.
Sincèrement, moi ça me fait très peur de devoir mettre des KT car en plus j'imagine qu'il faut "scotcher" et je fais des allergies à la colle de tous les pansements, même ceux dits "pour peaux sensibles" c'est une horreur, mais je veux bien que tu me parles de ton expérience Amandine, ça m'intéresse.
@ Chêne, La lévémir peut remplacer la Lantus qui fait plus grossir. L'Humalog est une insuline rapide. Elle existe aussi en mixte. Ces deux-là me conviennent pas trop mal maintenant qu'on s'approche des bons dosages.
Bon courage à vous et bonne soirée.
Utilisateur désinscrit
J'ai testé les plus petite aiguille, et j'ai eu bien mal......Le kt j'ai du me faire mal 1 fois sincèrement depuis 5 mois, certes le début avec le KT n'ont pas étais un plaisir. Je pense que c'est comme les piqûres il faut prendre le plis....
Mais pour les allergie il y a différent type de colle et sparadrap aussi que des spray de protection fait pour les personne sensible.
mellie
mellie
Dernière activité le 08/10/2024 à 07:27
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5 commentaires postés | 1 dans le groupe Vivre avec le diabète de type 1
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Bonjour,
j'avais 10 ans, j'avais perdu un peu de poids, je buvais beaucoup. Même la nuit il me fallait ma bouteille à côté du lit et je me levais 2 ou 3 fois pour aller aux WC. Ma mère n'a pas tardé à me ramener chez mon médecin traitant qui m'a fait un dextro et une analyse d'urine .Et le verdict: sucre+ acétones dans les urines et glycémie à 6.56.Du coup direction les urgences, je ne comprenait pas ce qui m'arrivait mais dès que j'ai entendu le mot hôpital, je me suis mise à pleurer. J'y suis restée 10 jours pendant lesquelles ma mère et moi avons appris à vivre avec la maladie. Entre les injections, le régime, le dosage... c'était un peu beaucoup pour moi mais ma mère s'est beaucoup impliquée et résultat, une hb entre 6 et 7 pendant quelques temps. Puis est arrivé l'adolescence, moment où ça a été plus difficile car je n'ai jamais accepté la maladie, j'en avais marre des dextros, des piqûres, du régime...J'avais honte de la maladie, je me sentais pas normale. Quand je me suis retrouvé toute seule pour gérer la maladie, ça a été la cata...jusque depuis peu, car j'ai décidé de me reprendre en main depuis quelques mois, après une visite chez l'ophtalmo qui m'annonce un micro anévrisme au niveau de mon œil droit. Ce n'est pas trop grave, mais ça a été le déclic pour ma prise de conscience. J'ai donc changé de diabétologue, car je ne m'entendais pas avec l'ancien,. Aujourd'hui, je suis suivie par une diabéto de Clermont-Ferrand qui est très gentille et qui m'aide beaucoup. Je pense, qu'en plus de notre comportement face à la maladie, un diabéto qui nous offre son soutien, et avec qui on s'entend bien est nécessaire pour bien gérer le diabète. Aujourd'hui j'essaie de prendre la vie du bon côté, et je me dis qu'il y a pire que le diabète, même si c'est pas facile tous les jours et que c'est une maladie de m****.
Bon courage à tous
Utilisateur désinscrit
Bonjour mellie, c'est dure à 10 ans d'avoir du diabète , votre maman vous a sauvez , c'est bien d'avoir compris qu'il fallait avoir un bon suivi , et une fois que nous sommes sur les railles cela devient une habitude , il ne faut surtout ne pas avoir honte de notre maladie je me pique depuis 34ans courage mellie. A+ CHENE.
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Allez, je vais raconter ma vie également !
Diagnostiqué quand j'avais 5 ans (ça fait 17 ans), j'allais tout le temps aux toilettes et je buvais anormalement. Hop une petite bandelette urinaire et j'étais diabétique.
Je dirais que je ne m'en suis pas rendu compte et que c'est pour mes parents que ça a été le plus dur, sans compter le peu de diplomatie appliquée par les médecins envers mes parents qui ne comprenaient pas ce que j'avais. Finalement, ma mère m'a pris en charge pendant quelques temps et à 8 ans je faisais absolument tout, seul.
Plusieurs choses m'ont aidé, en premier lieu l'accompagnement journalier de ma mère, au début quand on est petit on ne se rend pas bien compte mais à l'adolescence, cette maladie devient lourde à porter et ma mère m'a toujours bien accompagné et m'a poussé à vivre avec à certains moments de ma vie. D'autre part, les colos AJD m'ont été d'une grande aide, entre autre parcequ'elles ont permis à mes parents quand j'étais tout jeune de se rendre compte que leur fiston diabétique n'était pas le seul et que l'on pouvait faire tout comme quelqu'un de normal.
Aujourd'hui, je continue de vivre avec cette chose qui fait partie intégrante de ma vie, je dirais même que je n'en serai pas arrivé là aussi vite sans cette maladie qui m'a forcé à grandir plus vite, à devenir plus responsable rapidement... Bref d'avoir sauté quelques étapes d'innocence. Je n'ai pas de ressentiment, on n'est pas les plus à plaindre et finalement tout roule !
Rachel51
Rachel51
Dernière activité le 20/08/2024 à 21:22
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30 commentaires postés | 16 dans le groupe Vivre avec le diabète de type 1
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Je viens d'être diagnostiquée diabétique de type 1, j'ai 51 ans, et me savais diabétique depuis environ 3 ans mais le médecin croyait qu'il s'agissait d'un diabète de type 2. Pourtant, j''étais mince. Mais depuis 14 mois, mon état s'était aggravé subitement, j'avais perdu 10 kg, tout en ayant une soif et une faim augmentées. Aux derniers contrôles il y a une quinzaine de jours, ma glycémie à jeun était à 3,38g et mon hémoglobine glycquée était passée de 7,5 % à 14,9%, d'où une décision de mon médecin de m'hospitaliser d'urgence. Mon premier choc a été la découverte du résultat des analyses. Là, j'ai su que c'était grave et je me suis préparée à l'annonce de l'insulinothérapie à vie. Cependant, j'espérais toujours qu'il s'agissait d'un diabète de type 2 et que je pourrais revenir à un traitement de type Metformine. Malheureusement, l'annonce des résultats concernant les anticorps GAD positifs n'a laissé aucun doute : il s'agit d'un diabète de type 1 tardif et lent. J'ai été hospitalisée une dizaine de jours et j'ai appris à me faire les injections. Dans un premier temps, j'étais partagée entre l'effet de mauvaise surprise causé par le diagnostic et le soulagement de me voir enfin guérie de ma soif, ma faim, mes problèmes cutanés. Pour l'instant, je me sens très fatiguée et j'ai des problèmes visuels transitoires dus à l'administration d'insuline. J'accepte le traitement, mais je sens que cela va être difficile à vivre sur la durée, car il est très contraignant. Je vise à une stabilité d'humeur par rapport à ça, en me disant que j'ai une fille à élever, et aussi que j'ai eu la chance de vivre 51 ans sans traitement, contrairement à d'autres. Et également que je n'ai pas le cancer... Pourtant, ce type de traitement demeure assez difficile à accepter car il faut se piquer plusieurs fois par jour, et je le vis aussi comme une agression par rapport à mon corps, vécu comme défaillant désormais. Finie l'insouciance. Il y a aussi le regard des autres. Pour ma part, j'ai choisi la sincérité, je ne veux pas me faire passer pour une personne que je ne suis plus. Dans mes meilleurs moments, je me réjouis d'être toujours en vie et me dis que ce diabète en fait partie.
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Rachel
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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10 075 commentaires postés | 288 dans le groupe Vivre avec le diabète de type 1
25 de ses réponses ont été utiles pour les membres
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Bonjour.
Comment avez-vous vécu l’annonce du diagnostic de votre diabète (âge, circonstances) ?
Quels ont été les premiers symptômes?