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Le diagnostic de votre diabète
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Bonjour LARSENEVOLUTION , nous avons eu un diabète à 40 ans et ensuite comme vous un licenciement économique suite a cette maladie , en 2007 j'ai fais également un infarctus ,mais depuis 33ans j'ai une bonne glycémie en respectant mes féculants , je vais vous donner mon traitement pour le diabète Novorapid matin ,midi et soir - Lantus le matin = pour l'infarctus 1/2 Tenormine , 1 Odrik - midi 1Kardegic . VOICI MON TRAITEMENT , et je vais trés bien ,il faut aller voir votre diabètilogue tous les ans et non tous les deux ans ils vous suiverons mieux , bon courage . CHENE
Utilisateur désinscrit
Bonjour, j'ai apprise que j'étais diabétique de type 1 le 31 octobre dernier alors que j'étais enceinte de 12 semaines. Mon médecin traitant m'a téléphonée pour me voir et a demandé l'hospitalisation immédiate... Un simple rendez-vous a fini en hospitalisation de 8 jours. Les médecins m'ont dit que mon hémoglobine glycé je crois, était à 12,4, deux fois la normal et m'on parlé des risques pour mon bébé puisque je ne savais pas que j'étais diabétique, le bébé s'est développé dans des conditions non optimum... ils (les médecins) craignaient des malformations cardiaques ou autres, donc, à la suite de l'hospitalisation où on a réussit à me stabiliser tant bien que mal, je suis sortie, contente que bb ait bien, mais stressée car je dois passer des examens important... 3 semaines plus tard, le 21 novembre, je vais à mon rendez-vous chez ma gynécologue, encore le cauchemar, on entends pas le coeur du bb, donc vite au urgence encore une fois et le diagnostique tombe, mon bb est décédé, son coeur a cessé... ce que les médecins craignaient arriva.. Donc, quand on me demande comment je prends ma maladie, présentement, je ne l' a prend pas du tout, cette maladie a tué mon bb, je suis perdue, c'est tout récent et avec toutes les traitements que j'avais dû subir pour en arriver à tomber enceinte (ca fait 4 ans que nous essayons, après deux grossesses ectopiques, me voilà enceinte par fécondation in vitro (2ième essai). Donc, je dois absorbée le tout, d'avoir trouver ce site, me donne de l'espoir de parler avec des gens qui vivent comme moi avec cette maladie. Merci à vous tous de m'avoir lu et excusez moi de n'être pas très positive.... ca va revenir j'imagine.
Utilisateur désinscrit
Melanie310 , c'est terrible de perdre son BB je suis de tout coeur avec vous , pour le diabète vous allez vite comprendre cette maladie qui ne fait pas souffrir mais détruit notre organisme ,il faut bien suivre les recommendations de votre diabétologue ,je ne comprends pas en étant enceinte qu'ils n'ont pas détectés plus vite votre diabète ,vous deviez être fatiguée et surtout avoir très soiffe ? il ne faut plus vous poser de question ,pour l'équilibre du diabète il faut se fixer un but le travail , votre conjoint ,votre famille pour bien remonter la pente l'être humain a énormément de ressource votre confiance en vous vous donnera du courage c'est ce que je vous souhaite ,avec toutes mes plus sincères amitiés. CHENE
Utilisateur désinscrit
Merci Chene, effectivement, j'étais très fatiguée depuis un certain temps, mais je mettais le tout sur le compte des traitements en fertilité ainsi que ma grossesse une fois enceinte. Pour la suite, je buvais en moyenne 6 litres de liquide par jour, j'avais toujours soif et j'avais toujours envie d'aller à la toilette également... Mais bon, ils ont découvert mon diabete à mon premier contrôle sanguin qui a eu lieu à 12 semaines et les risques se font entre la 5ième et 8 ième semaine, donc il était trop tard, il nous restait qu'à espérer, mais ca n'a pas été assez.... :( Je sais que je vais m'en sortir, mais présentement, je trouve ca difficile, 1 la perte de mon bb, et 2- l'acceptation de la maladie, mais je sais que je vais y arriver, je vais chercher l'aide que j'ai besoin pour m'aider... Merci de m'avoir répondu.
Utilisateur désinscrit
Utilisateur désinscrit
Je ne comprend pa votre banque n'a pas le droit de vous refuser un prêt ? cordialement Chene
Utilisateur désinscrit
bonsoir tous a 5ans j avais des signes de diabète une soif anormal etc on sait tous les signes ma mère étais sur car mes tantes paternelles sont diabétiques a l age de 5ans cette maladie a causes a ma mère une petite souffrance mais après on c est habitue car c est le destin comme tout le monde aujourd'hui hui a14ans j ai pas pu régler mon diabètes pour mon entourage c était tranquille tous mes collègues mes amis mes proches m ont acceptées
Utilisateur désinscrit
Bonjour Salamita en effet c'est un diabète de famille ,une maman qui souffre de voir son enfant malade c'est normal et le temps prend le dessu c'est la vie , comment se fait-il que vous n'avez pas pu régler votre diabète ? êtes vous suivit par un diabètologue ? pour moi je trouve normal que vos collègues et vos amis vous accèptent ,il ne faut pas que le diabète vous bloc pour prendre des décisions ,montrez-vous fort . Cordialement CHENE
diveenn
diveenn
Dernière activité le 10/08/2023 à 17:09
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3 commentaires postés | 2 dans le forum Diabète de type 1
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Après avoir lu vos nombreux commentaires, je m'y mets.
J'ai découvert mon diabète à l'âge de 21 ans. A l'époque je travaillais dans une chaîne de restauration rapide, et je vivais avec 2 générations au dessus de la mienne (ma mère et ma grand-mère), la cohabitation n'était pas au beau fixe. Un jour je me suis très fortement disputée avec ma grand-mère, et de là j'ai commencé à fuir mon domicile: sorties, alcool, cigarettes. Dans la nuit d'un jeudi à un vendredi, je rentre dans un sale état, et je m'endors assez facilement. Le vendredi ma mère tente de me sortir de mon "somnambulisme" il faut aller travailler, je ne lui réponds que vaguement: "je suis fatiguée, appelle le travail et dis leur que je suis malade". Je bois, je bois et bois encore, le pire c'est que je bois de l'eau, moi, alors que je n'en bois jamais et que je ne bois que du coca. Je me lève pour boire et aller aux toilettes, je bois en même temps que j'urine souvent, et parfois je m'endors sur le trône. Ma grand-mère s'inquiète, ce n'est pas normal de boire autant (6L d'eau par jour), mais ma mère dis que c'est parce que je sors trop surtout que je bois trop et que je mange mal. Le lendemain elle me secoue encore mais cette fois ci je n'arrive plus à lui répondre, je dors et dors encore. Lorsque j'émerge enfin, elle m'engueule "il faut que tu ailles travailler". Je ne comprends pas sa réaction, un jour de repos ce n'est pas si grave, sauf que nous ne sommes pas samedi mais lundi, semi-coma de 4 jours. Lorsque je réalise, je me dépêche d'aller voir mon médecin, qui par chance se trouve pas très loin de mon domicile. Mais c'est très dur, je suis extrêmement fatiguée, je rase les murs, ils me tiennent debout. Quand je lui explique ce qu'il m'arrive, il devient blanc, lui qui ne s'inquiète jamais car il y a plus grave dans la vie. 11h40 le labo ferme dans 20 minutes, il les appelle pour leur annoncer qu'une patiente soupçonnée de diabète arrive pour une prise de sang "attendez là c'est très urgent" sur l'ordonnance, il écrit même "urgent +++". Il me fait peur "tu attends les résultats mais SURTOUT NE T'ENDORS PAS!". Cependant le laboratoire m'annonce que je n'aurais pas les résultats avant mercredi. Enfin de ce que je croyais, le soir même le médecin m'appelle pour me dire d'aller aux urgences immédiatement, verdict: 5,84g de sucre dans le sang, je ne sais même pas ce que ça représente. Mais toute la journée, pour ne pas m'endormir, je mangeais les petits plats que ma grand-mère avait fait pour le week-end et comme j'ai soif je bois...du coca.
Arrivée aux urgences avec ma mère, l'urgentiste ne comprend pas, je suis très petite et très maigre mais le lecteur de glycémie ne "fonctionne" pas "HIGH", ce n'est pas possible pour elle car j'ai un trop petit gabarit; finalement la prise de sang annonce un truc comme plus de 7g dans le sang, j'aurais dû être largement dans le coma. Ma mère pleure, elle culpabilise, j'aurais pu mourir et elle passait son temps à m'engueuler. La pauvre, j'ai eu beau tenté de la calmer je n'y arrivais pas. L'attente d'une chambre pour une hospitalisation fut un calvaire, je ne devais pas m'endormir et nous y sommes restées toute la nuit.
Une fois dans ma chambre d'hôpital, les médecins commencent à nous expliquer la maladie, je n'y comprends absolument rien, tout cela sort du néant. Je pense que ce n'est pas grave et le prends plutôt bien, mais les médecins m'augmentent la dose d'insuline à chaque repas, des doses de cheval qu'ils me disent, ils n'ont jamais vu ça pour un si petit bout (1,52 m pour 37 kg). Je monte jusqu'à environ 180 unités d'insuline par jour et presque aucune amélioration. Mais au fil des jours je commence à faire des hypoglycémies, et cette fois ci un "LOW" s'affiche pendant que je dormais (dextro de nuit), le médecin me donne même une gifle pour me réveiller mais je ne faisais que dormir, j'étais consciente. Les médecins n'en reviennent pas, mon corps supporte énormément, il supporte même trop et ça peut être dévastateur.
Le retour à la maison, au bout de 3 semaines a été facile, au début. Je trouvais ça drôle de peser mes aliments, puis ça a été le début de la descente aux enfers. Je n'ai pas si bien pris le diagnostique finalement, je ne fais plus mes dextros, je ne pèse plus les aliments, je ne me pique plus. Déclarée inapte dans l'exercice de mes fonctions je retourne à l'hôpital en août 2007 pour 2 semaines. Là encore, les médecins n'arrivent toujours pas à m'équilibrer. Puis jusqu'à décembre 2008, tout va bien, je crois même que je ne suis plus diabétique (lune de miel) mais je rechute, et je décide de moi-même d'aller à l'hôpital sauf que nous sommes le 23 décembre. Ils veulent que je passe Noël et m'accorde un séjour: hospitalisation le 26 jusqu'au 3 Janvier.
Depuis ce jour je n'ai plus été à l'hôpital mais mon diabète ne va pas bien pour autant. Aujourd'hui à l'âge de 27 ans, l'envie d'un enfant devient très importante, mon gynécologue a été clair "si tu tombes enceinte, je te fais avorter de gré ou de force, tu n'as pas l'état de santé nécessaire pour concevoir un enfant". Coup dur, je dois m'occuper de mon diabète. Malgré cela, je n'y arrive pas, je ne fais pas mon dextro et mes doses d'insuline sont faites par hasard. Je suis diabétique, je ne suis pas normale et ça me bouffe la vie, enfin presque car je suis toujours aussi gourmande qu'avant et je ne me prive de rien donc je fais le yoyo avec ma glycémie. Mon compagnon insiste pour que je m'occupe de moi, mais ne connais pas ma maladie, et ne s'y intéresse pas vraiment.
Désolée d'avoir été si longue, j'avais peut être envie de tout dire, de parler, enfin, à des personnes qui peuvent me comprendre. Et je vous passe les détails des soucis de santé que j'ai eu à cause de cette foutue maladie. Bien sur il y a plus grave dans la vie, mais je n'arrive pas à prendre soin de moi. Merci pour votre considération.
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diveenn
NICKITA03
Bon conseiller
NICKITA03
Dernière activité le 03/11/2024 à 20:04
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1 330 commentaires postés | 146 dans le forum Diabète de type 1
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Bonjour à tous,
Soif intense et envie d'uriner à ne plus pouvoir se retenir, comme tout le monde voilà comment ça a commencé.
Mais il faut dire qu'à l'époque en 1974, le diabète c'était l'inconnu, on en parlait pas, c'était comme entrer dans une autre dimension.
Le traitement n'en parlons pas. Seringue en verre a faire bouillir tous les matins, aiguilles épaisses de 12;5 mm, pas de lecteur de glycémie, analyse d'urine avec une pipette c'était vraiment la "préhistoire" avec le recul; attendre 1/2 heure après l'injection pour le petit déj, c'était vraiment une autre époque !
Et à l'époque j'étais complètement paumée, beaucoup de questions (pourquoi moi, qu'est-ce j'ai fait pour mériter ça), j'avais l'impression d'être la seule à vivre cela, c'était très dur à vivre. Alors oui je me sentais différente, oui je ne voulais pas qu'on le sache, j'avais honte de cette maladie.
J'ai très mal vécu toute cette période, maintenant c'est vrai qu'a un moment il faut savoir l'accepter, de toute façon on n'a pas le choix, car le diabète c'est à vie. Je ne vais pas dire que c'est facile tous les jours, il faut toujours être rigoureux (se).
Maintenant pour la vie privée c'est vrai que personnellement je ne veux pas vivre en couple, pas envie d'imposer mes coups de fatigue, mes baisses de tonus, mon moral souvent en berne plus souvent que je ne le voudrais, et en lisant quelques commentaires je pense que je ne dois pas être la seule !
Voilà mon histoire, mon vécu chers membres de Carenity et franchement ça fait du bien d'en parler.
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Nickie
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
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Bonjour.
Comment avez-vous vécu l’annonce du diagnostic de votre diabète (âge, circonstances) ?
Quels ont été les premiers symptômes?