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Patients Dépression
Voyage ou un seul mot peut changer votre chemin...
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blandi63
Bon conseiller
blandi63
Dernière activité le 27/10/2024 à 16:59
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423 commentaires postés | 21 dans le forum Dépression
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Pierre, "La boite à chagrin": la tristesse remonte rien que de lire cela, pourtant j'aime bien... (pas maso pour autant!!!)
Je te propose:
Voyage secret où un seul mot peut suffire à changer ton destin
A+
copinegateaux
Bon conseiller
copinegateaux
Dernière activité le 09/11/2024 à 23:44
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Ami
moi aussi tres contente
Utilisateur désinscrit
ok blandi
e te laisse installer ce post, car e ne suis pas callé pour cette manip
bon week end à toutes et tous
blandi63
Bon conseiller
blandi63
Dernière activité le 27/10/2024 à 16:59
Inscrit en 2012
423 commentaires postés | 21 dans le forum Dépression
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Bonjour Pierre
Ok, mais toi ça vas?
Utilisateur désinscrit
Dur!!!! et..... fermer les yeux....
Utilisateur désinscrit
oui blandine
on fait aller en ce moment; mais je commence à m ennuyer dur depuis que recherche un nouveau job. il y a des jours sans, avec du decouragement...
bon dimanche à tout le monde.
ninice42
Bon conseiller
ninice42
Dernière activité le 19/11/2018 à 12:59
Inscrit en 2014
74 commentaires postés | 46 dans le forum Dépression
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Ami
Il ne faut pas avoir honte d'avoir un jour penser au pire... Même si ce n'est plus mon cas le soleil est dur a trouver derrière les nuages!!! Je pense qu'il manque des associations ou nous pourrions nous réunir et faire des activités. En tout cas dans ma région. Grosses bises et bon dimanche a tous
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ninice42
Utilisateur désinscrit
C'est vrai. Il ne faut pas avoir honte! Mais parfois, quand on tente d'expliquer nos "maux" à l'entourage, ils ne veulent pas entendre. Comme si ne plus avoir le goût de vivre était honteux, ou tabou...? alors on met une couche de "paraître" pour faire semblant...
"...Le mal de vivre
Le mal de vivre
Qu´il faut bien vivre
Vaille que vivre..." Barbara
Utilisateur désinscrit
Utilisateur désinscrit
Merci ,Nass pour le message
Blandi, chasse vite cette moite froideur, si tu as une cheminée, allume la, elle réchauffe aussi les yeux et le coeur.
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Perceval46
@JeromeChauveau
Comme cela a été dit plus haut par d'autres et j'en rajoute une couche, la base c'est de ne pas avoir honte et se culpabiliser... Mais ce qui n'arrange rien, c'est vrai c'est qu'on a tendance à s'isoler et d'ailleurs pour la plupart d'entre nous c'est aussi une façon de nous protéger des autres ceux qui n'ont pas vécu ça et ne peuvent comprendre et sans forcément nous critiquer pensent nous aider en nous donnant des conseils...
Mais quand on est "cassé" c'est impossible de faire la plupart de ce qu'on nous propose...
Dans mon cas le psychiatre m'a rajouté un AD à celui que je prends... Au bout d'un mois je commence à sentir des améliorations au niveau psychique mais les effets secondaires augmentent aussi, il paraît que ça devrait s'estomper mais ce n'est pas le cas et c'est contraire au but recherché puisque c'est pour que je puisse sortir plus de chez moi et que les effets secondaires me donnent des malaises et je sors encore moins qu'avant...
Un truc qui nous aide bien c'est de sentir qu'on est pas seul à galérer, c'est pour ça que c'est important ce genre d'endroit comme ici, On n'a pas forcément de solutions pour les autres mais on se juge pas et on s'encourage virtuellement...
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vivi31
@Madison20
Bonjour Madison, bienvenue au club si je puis dire.... Je vais me présenter rapidos et en synthèse. Je fais depuis 5 ans une dépression chronique due à une coupure de ponts avec mon fils unique pendant 3 ans que j'ai élevé pratiquement seule puisque divorcée lors de ses 7 ans, il est revenu vers moi m'appelle assez souvent, il a 2 petits mais je ne les vois que 2 apresm par an !!! Pourtant, il habite Bourges et moi Toulouse, ce n'est pas le bout du monde !!! Cette situation est liée en grande partie à sa femme. Bon, bref, le pb est que l'on n'arrive pas à me trouver un anti-dépresseur qui me convienne car je suis intolérante à beaucoup d'entre eux avec des effets secondaires très invalidants. Alors, j'ai des doses faibles et je prends plusieurs médocs en même temps. J'ai essayé pas mal de thérapies parallèles, l'EMDR, la psychothérapie, le reiki, la sophrologie, et depuis l'an dernier la RTMS qui est celle qui me fait un peu d'effet, le reste rien. Alors, je comprends t.bien ton état, et, surtout, ne sois pas gênée du pourquoi de ton état, le pb est que tu souffres et qu'il faut trouver une solution. Sache que je compatis vraiment. Moi, en ce moment, ça ne va pas non plus, je ne sais plus quoi faire, je suis mal tte la journée, sauf la nuit où j'arrive à dormir depuis que je prends du norset. Je sais qu'il ne faut pas lâcher et garder espoir mais c'est dur, et comme dit Prunelle on arrivera à la stopper cette satanée maladie. C'est bien que tu te sois exprimée, c'est déjà t.bien. Moi, sur ce site , je communique avec Prunelle et Griffonia qui sont des personnes formidables et très courageuses. Alors, ne lâche rien, prends ton traitement et communique. Je te dis à bientôt si tu le désires, bien sûr. Prnds soin de toi.
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Perceval46
@JeromeChauveau
Comme cela a été dit plus haut par d'autres et j'en rajoute une couche, la base c'est de ne pas avoir honte et se culpabiliser... Mais ce qui n'arrange rien, c'est vrai c'est qu'on a tendance à s'isoler et d'ailleurs pour la plupart d'entre nous c'est aussi une façon de nous protéger des autres ceux qui n'ont pas vécu ça et ne peuvent comprendre et sans forcément nous critiquer pensent nous aider en nous donnant des conseils...
Mais quand on est "cassé" c'est impossible de faire la plupart de ce qu'on nous propose...
Dans mon cas le psychiatre m'a rajouté un AD à celui que je prends... Au bout d'un mois je commence à sentir des améliorations au niveau psychique mais les effets secondaires augmentent aussi, il paraît que ça devrait s'estomper mais ce n'est pas le cas et c'est contraire au but recherché puisque c'est pour que je puisse sortir plus de chez moi et que les effets secondaires me donnent des malaises et je sors encore moins qu'avant...
Un truc qui nous aide bien c'est de sentir qu'on est pas seul à galérer, c'est pour ça que c'est important ce genre d'endroit comme ici, On n'a pas forcément de solutions pour les autres mais on se juge pas et on s'encourage virtuellement...
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vivi31
@Madison20
Bonjour Madison, bienvenue au club si je puis dire.... Je vais me présenter rapidos et en synthèse. Je fais depuis 5 ans une dépression chronique due à une coupure de ponts avec mon fils unique pendant 3 ans que j'ai élevé pratiquement seule puisque divorcée lors de ses 7 ans, il est revenu vers moi m'appelle assez souvent, il a 2 petits mais je ne les vois que 2 apresm par an !!! Pourtant, il habite Bourges et moi Toulouse, ce n'est pas le bout du monde !!! Cette situation est liée en grande partie à sa femme. Bon, bref, le pb est que l'on n'arrive pas à me trouver un anti-dépresseur qui me convienne car je suis intolérante à beaucoup d'entre eux avec des effets secondaires très invalidants. Alors, j'ai des doses faibles et je prends plusieurs médocs en même temps. J'ai essayé pas mal de thérapies parallèles, l'EMDR, la psychothérapie, le reiki, la sophrologie, et depuis l'an dernier la RTMS qui est celle qui me fait un peu d'effet, le reste rien. Alors, je comprends t.bien ton état, et, surtout, ne sois pas gênée du pourquoi de ton état, le pb est que tu souffres et qu'il faut trouver une solution. Sache que je compatis vraiment. Moi, en ce moment, ça ne va pas non plus, je ne sais plus quoi faire, je suis mal tte la journée, sauf la nuit où j'arrive à dormir depuis que je prends du norset. Je sais qu'il ne faut pas lâcher et garder espoir mais c'est dur, et comme dit Prunelle on arrivera à la stopper cette satanée maladie. C'est bien que tu te sois exprimée, c'est déjà t.bien. Moi, sur ce site , je communique avec Prunelle et Griffonia qui sont des personnes formidables et très courageuses. Alors, ne lâche rien, prends ton traitement et communique. Je te dis à bientôt si tu le désires, bien sûr. Prnds soin de toi.
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Utilisateur désinscrit
Société
Prévenir le suicide, c'est l'affaire de chacun
Vingt-sept personnes se donnent la mort chaque jour en France et 700 tentent de le faire. Le suicide est la huitième cause de décès dans le pays et malgré la création d’associations, les structures de prise en charge des personnes en mal-être, susceptibles de passer à l’acte, manquent cruellement de moyens, notamment humains. Pour susciter les vocations, l’Union nationale pour la prévention du suicide (UNPS) organise ce mercredi une journée nationale de mobilisation sur le thème de l’engagement.
Les médecins ne suffisent pas
«Une conduite suicidaire a des origines multiples, explique Marc Fillâtre, vice-président de l’UNPS, psychiatre et président de l’association régionale Vies37. La prise en charge médicale ne peut donc pas suffire.» Si les médecines préventives, notamment la médecine scolaire et celle du travail, intègrent de plus en plus une dimension préventive sur les risques «psycho-sociaux», les personnes qui n’ont pas accès à ces structures restent seules face à leur médecin traitant. A qui, bien souvent, elles n’osent pas parler de leurs idées noires: «Les personnes qui appellent nous disent qu’elles n’osent pas en parler à leur médecin pour ne pas lui faire peur ni à leur psychiatre par peur d’être hospitalisé», témoigne Pascale Dupas, écoutante bénévole à l’association Suicide écoute.
De leur côté, les médecins généralistes ne sont pas souvent formés à recueillir les confidences des personnes aux tendances suicidaires ou n’en ont simplement pas le temps. «Prendre le temps d’écouter quelqu’un nécessite d’oublier la pression de la salle d’attente, reconnaît Matthieu Lustmann, médecin généraliste et sociologue de la santé. Les médecins doivent aussi oser poser des questions: un adolescent qui revient trop souvent au cabinet, il faut s’interroger.»
Des gestes simples pour éviter l’isolement
Psychologues, travailleurs sociaux, infirmières, associations… Personne n’est réellement en charge de prévenir le suicide, mais chacun peut à son niveau repérer les signes de tendances suicidaires. «Cela peut aussi être le fait de monsieur et madame Tout-le-monde, estime François Jeannot, président de la fédération des Portes ouvertes, des structures d’accueil et d’écoute. La prévention du mal-être en général passe par le lien social, le respect, l’écoute, l’attention à son voisin, son collègue, son camarade…» Des gestes qui peuvent sembler anodins comme dire bonjour, sourire, prendre des nouvelles, peuvent éviter de sombrer dans l’isolement qui conduit parfois à commettre l’irréparable. Pascale Dupas entend souvent des personnes en détresse lui dire «Heureusement que la caissière m’a dit bonjour aujourd’hui».
Si «parler de suicide avec quelqu’un que l’on sent fragile ne le fera pas passer à l’acte», assure le psychiatre Marc Fillâtre, attention toutefois à ne pas chercher à devenir un super-héros ou à commettre des impairs. Il existe de nombreuses structures avec des personnes formées à cela qui peuvent venir en aide à une personne en détresse. «Si vous observez quelqu’un dont le comportement se modifie, dont le caractère change à la suite de bouleversements dans son environnement, il faut être vigilant, conseille Matthieu Lustmann. Même si les signes sont très divers d’une personne à l’autre, ces modifications brutales de la façon d’être peuvent inciter à contacter un médecin ou un psy.»