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Patients Trouble bipolaire
Relations entre le psychiatre et son patient
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
bonjour
j'avais pas vu que mistikelfe et loulie sont aussi ici et ça me fait bien plaisir de vous lire malgré les contenus.
faut pas arrêter les médics toutes seules, vraiment pas. J'en parle comme proche de malades psychiques qui me suis bcp investie, ensuite comme soignante de la santé mentale pendant 10 ans et comme personne concernée depuis 5 ans.
je connais plusieurs médecins en Suisse romande assez spécialisés dans l'accompagnement de patients dont leur corps a de la peine à accepter des médics qui leur conviennent. Je sais que c super pénible de vivre ça mais c super important de changer de médics sous contrôle d'un bon médecin et de trouver un médic qui convient.
j'ai fait des centaines, voire milliers de km dans ma vie pour aller voir des thérapeutes pendant un certain temps et j'encourage à faire la même chose, au moins jusqu'à trouver un soignant qui arrive à collaborer avec vous pour trouver les bonnes substances et les bons dosages. Courage à toutes et à tous, aronia
Utilisateur désinscrit
re-moi Iseult
@Chantre plus particulièrement : j'pense souvent à ton "cas" (qu'on s'entende bien, au sens ton chemin à toi /à la plupart)
Je t'ai lu au moins quatre fois, ta façon d’écrire ne dénote aucun stress (juste une révolte on ne peut plus légitime au vu de ton expérience, et encore je te trouve tjs dans la mesure) ; aucun emportement, aucune hésitation, aucun changement d'humeur, écrit super construit qui va pas dans tous les sens, comme moi un peu quand même lorsque j'interviens (on va pas s'mentir hein)
Ça me fascine parce qu'effectivement, absolument rien, mais rien, ne dénote une fragilité psychologique. Tu sembles ultra équilibrée, esprit très clair, très structuré. Même une sorte de calme, enfin tu as l'air vraiment en phase avec toi-même (alors j'sais pas si tu mets quatre heure pour écrire tes interventions et tu te relis au moins 10 fois avant de poster, mais ça m'étonnerait grandement)
Pour les psychiatres : j'comprends ton point de vue, au vu de ce que tu as vécu et paradoxalement / c'est au final assez similaire (pour développer une phobie des psychiatres...) l'impression que j'ai d'eux. Paradoxal parce qu'en résulte une décision contraire, encore m'accrocher au lamictal alors que l'enfer continue. Et effectivement à tord j'passe pour une maso.
Donc présence psy ici :
j'pense tout simplement qu'ils n'ont pas le temps. C'est tout simple. Et ils voient des patients toute la semaine, j'pense qu'ils ont envie de se vider la tête et de vivre pour eux. 2 arguments qui me paraissent crédibles, non?
Il faudrait qu'une psychiatre soit atteinte de bipolarité en arrêt maladie qui viendrait s'inscrire ici, et là effectivement ce serait intéressant. (si elle s'exprime sur les forums).
Enfin : je te renvoie à la présentation succincte de Speciale, nouvelle inscrite souffrant de troubles bipolaire, médecin. Tu verras que pour elle ça ne s'est pas bien passé. Du tout. L'arrêt des ttt.
ps : moi j'dois me relire 4 fois au moins, et pour écrire des choses simples. parce que j'suis dans une phase d'extrême fatigue et j'ai des pbs de concentration qui s'accentueront à l'arrêt du ttt. Tu vois rien que ça, ça me freine.
Utilisateur désinscrit
Attention attention, oyez oyez braves gens
accès de nombrilisme en vue, besoin irrépressible de me sentir comprise de façon excessive : (zappez, flot de paroles assommantes)
J'vais essayer de faire comprendre pourquoi j'suis coincée/ au ttt.
point de départ hypomanie pendant 6 mois et demi : j'en étais consciente, et étais persuadée que c'était dû à un virage hypo à la suite du xéroquel arrêté pas brutalement, puisque j'étais au plus petit dosage.
Impression de revivre, de voir enfin le bout du tunnel, changement de psychiatre qui me laisse gérer et laisse vérifier mon hypothèse.
puis : fin novembre 2013 :
- HC, Hospitalisation sous Contrainte sur un malentendu de mail ; ce même psychiatre croyait avec une phrase lue en diagonale dans un de mes écrits, que j'voulais attenter à mes jours... pas du tout, j'pétais le feu de dieu, la joie de vivre (hypomanie, normal); ils m'ont gardé à l'hosto pour ça.
* je suppose que vous l'savez (c'est la loi Sarko), les psychiatres ont ce droit là désormais, plus possible de faire intervenir un parent qui peut signer une décharge et faire sortir son enfant contre avis du psy.
(merci papa! : à l'époque de ma TS, c'est ce qu'il avait fait, j'suis sortie au bout de 4 jours, et j'n'ai plus merdé. Et même la colère de ce qui m'avait amené à m'ouvrir les veines je l'ai utilisé pour la transformer en énergie dans un boulot de merde. Je serais restée là-bas + de 5 jours, donc au moins 15 comme le souhaitais la psy, sûre que j'aurais déprimé, l'hp me déprime, comble pour soigner une dépressive, et je n'aurai plus eu d'jus, toute raplapla et j'aurais jamais eu ce taff.)
Maintenant c'est la justice qui tranche au bout de 15 jours (si les délais sont respectés) autant vous dire que l'étiquette de patient malade du cerveau face aux psychiatres devant le juge, si l'on veut sortir, c'est quasi perdu d'avance.
Donc compte tenu du pouvoir des psychiatres et de cette nouvelle loi, j'fais ultra gaffe maintenant, méfiance augmentée (j'rappelle qu'une pétition avait été signée à l'époque par des psychiatres également, 2 dans ma ville actuelle d'ailleurs, dénonçant une possibilité d'abus) et il ne faut absolument plus que j’atterrisse là-bas ; ma vie est en jeu.
Pourquoi à ce point là, pourquoi cette dernière phrase dramatique qui fait se demander si j'exagère pas grave de chez grave là.
j'vais raconter un truc dont j'ai un peu honte mais qui est lourd de sens :
Donc à l'hp ils décident de soigner ma bipo avec depakote avec introduction progressive de lamictal
je 'rappelle que risperdal, abilify, zyprexa, xéroquel ça l'a pas fait du tout du tout (inefficace plus effets secondaires ultra-pénibles, donc déjà ras l'bol de chez ras l'bol)/ et dernièrement avec tercian tout soft mon cœur il faisait n'importe quoi.
Bon. alors je sors au bout de 3 semaines. trop long déjà.
Le dépakote n'avait pas encore fait un truc pas cool, une fois de plus, un nouveau truc de plus, c'est trop trop bien, ça change, j'expérimente énormément d'effets secondaires (me manque encore le plafonnement du regard après j'pense que j'aurais fait l'tour...ah non! j'ai pas encore bavé c'est vrai)
J'me disais : tiens ça a l'air d'aller à peu près avec ce machin pour une fois.
......10 jours plus tard dérégulation de la sensation de satiété, enfin y'en a plus du tout: crise de boulimie, juste horrible, j'mangeais jusqu'à avoir du vomi qui me montait à la gorge, c'était incontrôlable, j'mangeais jusqu'à ce que mon estomac ne puisse plus rien recevoir + un trou de 100 euros en une semaine dans budget juste pour la bouffe, ingérable. (j'suis au RSA p'tit rappel c'est pas anodin non plus)
Et là ça a été la goutte qui a fait déborder le vase :
J'ai eu une sorte de choc, une sorte de flash de toutes les molécules qu'on m'avait fait gober, j'voyais défiler très vite dans ma tête les 4 dernières années de ma vie en condensé, avec mes expériences chimiques handicapantes physiquement.
La certitude et pour le coup le constat que ça m'avait fait perdre trois années de ma vie (la première était une dépression liée à un deuil, et pas dû au chimique), même si je sais que c'était involontaire, le résultat était là, imparable. je n'avais pas avancé d'un pouce. Et avais souffert énormément dans mon corps.
Et puis cette dernière expérience de boulimie super intense à laquelle je ne m'attendais pas... C'était trop.
J'ai réalisé, d'un coup, ou du moins eu la sensation horrible, de ne plus être une personne. Non ; j'étais devenu un rat de labo, un vrai et un gentil petit rat trèèès obéissant, qui laissait décider le psy et avait accepté toutes les propositions avec beaucoup de bonne volonté, en vue d'un mieux-être, et ça avait fait tout le contraire.
N'étant plus une personne et n'ayant plus de fric (+ le lamictal qui augmentait mes envies suicidaires, celui-ci je continuais à le prendre) j'ai décidé subitement de me prostituer, enfin de racoler sur le net.
je n'étais plus une personne, j'étais devenu un objet, et avec la prostitution pas besoin de cv (vide depuis trois ans puisque les médocs m'enfonçaient et ou me maintenaient dans une dépression quasi tout le temps)
Donc en tant qu'objet, pourquoi pas utiliser mon corps pour du fric, j'm'en foutais de moi, puisque j'me sentais finalement abîmée, voire maltraitée par des soit-disant personnes aidantes. J'y comprenais rien, c'était juste plus absurde et désespérant d'avoir vécu tout ça.
alors j'ai eu des conversations très glauques sur un site dont je tairai le nom
(combien tu demandes, tu avales, c'est quoi tes tarifs, envoie moi des photos, tu pèses combien, t'as des gros seins, il est comment ton cul, et pour la totale, j'veux qu'tu mettes des porte-jarretelle, est-ce que j'pourrais te la foutre dans l'cul ? etc)
J'envoyais des photos j'm'étais renseignée sur les tarifs j'jouais l'jeu, ça me faisait bizarre mais ça m'choquait même pas, c'était dans l'ordre logique de ce que j'avais vécu, mais en ne se racontant plus d'histoire. Bousillée pour bousillée... Pas d'chance ; c'est l'jeu ma pauvre Lucette.
(j'suis féministe à la base...)
Ce qui m'a sauvé et empêché (enfin quasi) de passer à l'acte c'est que : un objet ça se consomme et c'était tout d'suite en général (tu viens dans 2 heures alors?). J'm'y attendais pas à ça. J'étais novice.
et j'souvent j'étais pas lavée dvt mon ordi, pas possible d'aller là-bas parce que pas de permis, y'avait l’hôtel mais y'en avait qu'un qui voulait payer, et autant vous dire qu'avec les tarifs en vigueur, écarter les jambes et subir ça me rapporterait rien, frais d’hôtel déduits, et j'étais trop mal en point avec tous les effets secondaires pour faire de mon studio...comment dire... un lieu commercial^^.
(bordel pas possible à l'époque, pas moyen de voir mon parquet tant y'avais des trucs partout par terre, oui j'étais au 34.ième dessous, j'arrivais plus à grand chose à part racoler essentiellement)
J'me suis entrainée qd même avec un qui me plaisait pas, il m'a embrassé j'ai eu envie de vomir il avait été lourd et mon champ de bataille ne l'avait pas fait fuir... J'me suis toujours respecté à ce niveau là, enfin jusqu'à ce moment de ma vie. d'façon plus grand chose n'avait de sens.
Et enfin en réalisant les "démarches que j'entreprenais" que j'aurais jamais cru faire de ma vie, de me rendre compte de tous les éléments déclencheurs de tout ça, donc essentiellement vouloir m'aider, j'ai voulu me flinguer et j'ai failli y arriver . Sur ce fameux site j'avais mis le pseudo, le dernier "partouzecontreflingue" oui j'ai pas trouvé sur le net un flingue ou alors j'avais pas la tune, ou fallait un permis. quand j'me lis j'ai moi même du mal à me croire, j'en reviens pas. au vu de ma personnalité...
et y'a un connard qui s'est proposé mais il ne m'offrait aucune garantie d'avoir un flingue. donc non.
Et ça a été mieux petit à petit. enfin comme j'suis maintenant, j'ai plus envie de faire ça du tout. C'est tjs pénible les effets secondaires, mais plus comme au début, j'me respecte à nouveau, enfin, ça me semble trop dingue de faire ça.
Alors : j'ai pas vécu tout ça pour m'arrêter maintenant alors que peut-être dans 2 mois j'aurai un mieux très notable.
et raison deux : une autre molécule me bousille encore, j'me grille le cerveau, j'ai atteint mes limites, j'vous ai fait une méga tartine pour que vous compreniez un peu mieux pourquoi j'm'accroche à ça.
Si j'arrête la molécule j'risque tôt ou tard de finir à l'hp et j'peux pas m'permettre. C'est trop risqué.
J'suis fatiguée d'avoir écrit tout ce verbiage indigeste. Je m'en excuse. J'crois que ça devait quand même sortir. D'façon vous n'êtes pas obligés de lire ce torchon. ;) moi ça m'a soulagée. J'sais pas si c'est correct de poster ça. c'est un chemin de vie. C'est le moi début janvier de cette année. J'reviens de loin.
bisous. J'vous laisse j'suis à 2 doigts de tomber dans les vap. (Julien supprime si c'est pas recevable je me rends plus compte)
Utilisateur désinscrit
ET DONC AU VU DE TOUt CA ma relation avec mon psy avec être très très compliquée. Hop j'suis re-dans le sujet et on passe à autre chose. /°
ciao.
Utilisateur désinscrit
Rhooo j'ai trop envie de te prendre dans mes bras, pourtant je suis pas papouille mais voila..... t’inquiète j'en posté des trucs indigeste, mais tu vois même si c'est trash, c'est nos vies ballottées dans tout les sens que l'on déballent ici, est-ce que c'est l'endroit pour le faire? Ben oui, si non à quoi sert ce site! Je t'envoie le peu d’énergie et surtout cette putain de foi tout au fond de moi qui maintien debout pour mes garçons, et pour le soleil me fais du bien, l'odeur des fleurs et de la terre mouillé, mon chat qui me fais délirer, voili voilou, des bisous !
Utilisateur désinscrit
:-))))... merci solotude... j'prends tout c'que tu me donnes.
mistikelfe
Bon conseiller
mistikelfe
Dernière activité le 27/08/2016 à 10:39
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Iseult j'en ai les larmes aux yeux pas parce que j'ai pitié de toi mais parce que je sais et connais très bien ce que tu as vécu à une différence près c'est que pour ma part j'ai donné mon corps gratuitement avant d'être diagnostiqué je voyais un psy incapable de me dire ce que j'avais je me détruisais et lui ne voyait rien même pas l'abus de cocaïne. puis sortie d'hp sous dépakote j'ai fais des cam très hot je racolais sur le net puis je me rendais aux rendez vous petit coup rapide dans une bagnole sans même connaître le prénom et je rentrais chez moi prenais mes cachetons buvais et me couchais en larme de honte de ce que j'étais devenu (quelle exemple pour ma fille?) et la une psy formidable a détectais mon mal être m'a aidé a reprendre confiance en moi et m'a stoppé tous traitement.
biz
une bipo déjantée
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a chaque jour suffit sa peine
Utilisateur désinscrit
Bonjour à toutes et à tous
Petit signe rapide au passage
de toute façon les médicaments ça fait faire, dire et avoir des idées complètement délirantes..
moi en 2004 j'avais même des idées de meurtre, mais seulement sur les psychiatres, je voulais tuer les psychiatres.. ils avaient peur de moi
en y pensant c'est vraiment ahurissant d'en être rendue à ce point déréglée par des molécules..
Bisous
Utilisateur désinscrit
@Misti : j't'embrasse très très fort. J'vois bien c'que tu décris et ce que tu as dû sentir. Enfin non, je crois que j'peux pas sentir à ta place pardon j'suis pas délicate .
parce que moi en quelque sorte j'finissais le bousillage involontaire. Oui y'avait de l'autodestruction d'mon côté aussi. Mais t'explique trop bien j'trouve. Pourquoi j'peux pas traverser l'écran et prendre des gens dans mes bras grr des fois j'ai vraiment fort envie!
@Chantre : j'ai eu envie de foutre une fois une baffe au fameux psy du xéroquel mais un peu pour le réveiller du genre " hé ho t'entend c'que t' raconte?! toi avoir toutes tes facultés mentales ou bien?!"
et pour l'envie de meurtre j'trouve pas ça si dingue à vrai dire (hihi), enfin euh... j'sais plus.
j'ai juste fait un rêve une fois où j'obligeais le premier psy rencontré à Stras à gober toutes les merdes qu'il m'avait fourgué et j'crois que dans mon rêve j'disais un truc du style : " tiens à ton tour de déguster!" C'était pas un meurtre mais bien du sadisme histoire d'inverser les rôles un peu (gnark gnark)
bisous à tous (et à l'ange avec des visites de son fantôme :)). C'est finalement assez drôle avec le recul, enfin sur le coup moins.
J'parle du témoignage de Chantre pas le tien Misti. C'est pas drôle du tout tu te faisais du mal. voilà. bizz misti.
mistikelfe
Bon conseiller
mistikelfe
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lorsque j'ai eu des idées de meurtre c'étais envers un ex compagnon (il me battait) le psy m'a filé plein d'antidépresseur dont je me rappelle même plus les noms bin j'ai tous pris en même temps j'ai fini en hp a cause de ma mort raté et quand je suis sorti je suis retourné voir ce psy pour lui demandé pourquoi il n'a pas vu et il m'a dit qu'il ne pouvait plus être mon psy justement parce qu'il n'avait pas vu ma détresse et ma souffrance. il n'avait pas vu non plus que j'étais bipo borderline après plus de 3ans de métier je suis arrivé a le faire douté de lui. la plus part des psy que j'ai pu rencontré m'ont trouvé très fine psychologue mais refuse que j'applique mes diagnostiques c'est un peu controversé leur discourt
une bipo déjantée
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a chaque jour suffit sa peine
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ChriChrid'amour
Bonjour, http://www.psychomedia.qc.ca/tests/dsm-iv/bipolaire.
Tu peux consulter l'intérêt du test, perso moi je n'ai pas été testée.
D'après la psychiatre, les bipolaires ont tendance à faire un virage maniaque au printemps.
Dans l'euphorie, la personne bipolaire a tendance à perdre le sommeil, le plus embarrassant c'est qu'elle n'est pas fatiguée pour autant.
"Sors toi les doigts, motive toi et ca repart", jusqu'à la prochaine...:ces remarques désobligeantes ne servent à rien, ça ne fonctionne pas comme ça la bipolarité, il faut bien sûr essayer de se"mettre des coups de pieds au cul", il faut surtout se faire aider par qqn avec qui on peut échanger, exprimer ses sentiments et qui soit à votre écoute.
Bon courage à toi, n'hésites pas à revenir vers moi, je t'aiderais si je le peux et bien sûr si je ne sombre pas à nouveau dans le cœur obscur.
Mes amitiés
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ChriChrid'amour
Bonjour, http://www.psychomedia.qc.ca/tests/dsm-iv/bipolaire.
Tu peux consulter l'intérêt du test, perso moi je n'ai pas été testée.
D'après la psychiatre, les bipolaires ont tendance à faire un virage maniaque au printemps.
Dans l'euphorie, la personne bipolaire a tendance à perdre le sommeil, le plus embarrassant c'est qu'elle n'est pas fatiguée pour autant.
"Sors toi les doigts, motive toi et ca repart", jusqu'à la prochaine...:ces remarques désobligeantes ne servent à rien, ça ne fonctionne pas comme ça la bipolarité, il faut bien sûr essayer de se"mettre des coups de pieds au cul", il faut surtout se faire aider par qqn avec qui on peut échanger, exprimer ses sentiments et qui soit à votre écoute.
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Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Depuis plusieurs séances, je me sens très mal dans la relation avec ma psychiatre. Lorsque j'arrive dans sa salle d'attente, je suis hyper anxieux et lorsque je ressors de l'entretien, je sui complètement décomposé. D'un autre côté, ce médecin m'indique un problème de violence liée à des traumas du passé et m'indique que je me déresponsabilise de cette violence par la maladie. Elle se montre souvent très froide et rigide dans ses propos. Je ne sais pas quoi faire, j'ai pris rendez-vous avec un autre psychiatre sans lui dire, histoire d'avoir un deuxième avis. J'en parlerai également avec ma psychothérapeute (heureusement avec elle ça a toujours été).
Avez-vous, vous aussi, eu ce genre de sentiments. Cela vous est-il passé avec le temps ?
Merci d'avance pour vos réponses et bonne journée