Relations entre le psychiatre et son patient

voilà je viens d'avoir mon rdv avec mon infirmière psy mercredi 12 mars

et comme je suis bien stabilisée : elle a proposé que l'on ne prenne plus de rdv fixe

mais juste quand j'en ai besoin

mais par contre de ne surtout pas arrêter la psy tous les 2 mois (je n'en ai pas du tout l'intention : c'est le

fondement de la stabilité avec la prise de médicaments très bien ajustés et régulière)

j'ai tout de même gardé le rdv du mois prochain et on avisera avec l'infirmière à ce moment-là si je ne garde

pour le moment que la psy tous les 2 mois et l'infirmière si besoin

voilà pour moi : ce sont plutôt des bonnes nouvelles après des années très difficiles

mais contente d'être parvenue là où j'en suis

amitiés à toutes et tous

et espoir pour vous tous

senga

bonsoir, en ce qui me concerne ma psy veut me revoir tous  15 jours elle pense que j'ai une hyperémotivité et que j'ai encore des choses à creuser. Je lui fais confiance.

A vous tous une excellente nuit

Bonjour Verveine, moi aussi j'suis hyper-émotive, (bcp de bipo en fait, sinon tous?) mais c'est le lamictal le thymo qui amplifie ça (suis pas la seule non plus), et comme toi, quand y'a trop de stress, surtout quand j'y suis pas préparée, quand c'est pas prévu ni prévisible ça entraîne une énoooorme instabilité émotionnelle, j'décompense bien comme il faut. 

bonne journée à tous. :)

pareil : les choses soudaines ou imprévues

me déboussolent et j'ai du mal

j'aime la planification

car elle m'apporte une stabilisation

et bien on est 3 sur la même longueur d'ondes!

ben du coup

je planifie tout

et gare (mdr) à qui essaie

de me surprendre ou changer mes habitudes

amitiés à toutes et tous

bonjour,

grande question la relation entre un patient et son psy. j'ai été suivie par un psychiatre merveilleux pendant 5ans avec lui pas besoin de médoc il m'aidait a faire face a mes dépression mais ne cherchait en aucun cas d'inhibé mais hypo bien au contraire il me disait de laissé mes idées et mes envies dans ces moment s'épanouir. hélas j'ai du déménagé et m'en séparé mon nouveau psychiatre c'est purement médical (médoc, médoc, médoc) il m'a juste dit que dans quelque jour il me prendrait rendez vous avec un psychologue et une infirmière pour travaillé sur le fond je comprend pas sa démarche.

biz une bipo déjantée

j'ai un gros souci j'développe une phobie des psychiatres

c'est pas une blague!

hier j'ai rencontré un nouveau psychiatre qui m'a l'air bien, mais euh il parle déjà de mon traitement à affiner (ça m'a foutu ds l'trou, cette phrase a été hier le déclencheur d'un belle phase dépressive, si un psychiatre a cet effet là sur moi, j'suis pas sortie d'l'auberge)

et même pas une demi heure il voulait déjà bouleverser mes trucs, il y pense déjà ça me semble très prématuré.

bon il veut qu'on apprenne à se connaître et après il verra s'il continue à me suivre. J'sais pas comment expliquer que j'suis sur un fil de funambule et qu'un rien va me faire basculer. dans le vide. 

(ça sent l'augmentation du lamictal alors qu'il me démange et il ne le sait pas et mieux vaut pas d'ailleurs)

Bonjour à toutes et à tous

Je crois que la première chose dont il faut se soigner c'est des psychiatres, de la psychiatrie, et des traitements..

et la seule manière de s'en dédouaner c'est de ne plus y croire tout simplement... parce qu'en y croyant à tout cela, on ne croit plus en nous, et en notre potentiel.. quand notre propre confiance nous la déléguons à autrui, il ne peut rien advenir de bon..

Courage !!

chantre, toujours fidèle au post ;) , jamais de changements d'humeur (en tout cas ici) toujours le même ton, une sorte de régularité. une vraie régularité. et sans médicaments aucuns.

 vraiment : soit t'es bipo ultra light, soit diagnostiquée à tort. j'persiste et signe aussi. :)

Par contre choix du psychiatre ultra important, la façon d'aborder les choses étant limite radicalement différente d'un psychiatre à l' autre.

suis intimement persuadée de leur part importante sur la suite de notre vie, comme s'ils avaient une sorte d'emprise sur notre futur, donc en csqce j'veux plus qu'on fasse n'importe quoi avec ma vie, une aide oui mais éclairée, avec comme pilote de ma vie, MOI. Je trouve que cette exigence est bien normale et j'devrais même pas en arriver à écrire ce genre de phrase.

Et il est clair que je ne laisse plus ma "destinée" uniquement entre leurs mains, j'm'auto-gère et j'prends l'temps d'en trouver un qui n'me foute pas le couteau sous la gorge (j'exagère mais l'impression y est) pour me faire ingérer tel médoc nouveau.

Mon atout restant : mon généraliste qui je crois a vraiment compris mon usure et même s'il exige un suivi psychiatrique j'pense qu'il sera plus souple quant au délai pour en trouver un qui m'écoute VRAIMENT AVEC SÉRIEUX ET NE DOUTE PAS DE MON VECU + QUE PENIBLE AVEC MEDI. et me laisse le choix, le temps.

autre problème : faut qu'un psychiatre veuille de moi, et ça c'est pas acquis d'avance, j'arrive encore à masquer une méfiance, mais de moins en moins, ça se sent de plus en plus que je ne vais pas de gaieté de cœur en consult (d'ailleurs j'ai pas honoré un rdv d'un 2ème psychiatre, ce jour là IMPOSSIBLE de me confier, aucune envie. J'ai juste vu le cabinet avec les 5 personnes attendant. J'ai fui. J le sentais pas.

merci pour le courage chantre :)