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Patients Trouble bipolaire
Relations entre le psychiatre et son patient
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Moi j'ai un psychiatre en qui j'ai toute confiance pour le traitement médicamenteux. Mais à part me demander en début de séance comment je vais, il ne me dit rien. J'ai commencé avec un autre psychiatre une psychothérapie qui m'a permis d'aller beaucoup mieux. Enfin, la première psychiatre que j'ai rencontrée, à qui je confiais mes idées suicidaires, mon mal être, m'a tout de même dit qu'elle ne pouvait rien faire pour moi! Tiens prends ça dans les dents !
Saturnienne
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Saturnienne
Dernière activité le 25/07/2024 à 15:15
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Steph1969, je pense que tu ne devrais pas arrêter les médicaments. J'ai les mêmes effets secondaires que toi : perte de mémoire, faiblesse musculaire etc... mais sans les médicaments, je souffre tellement psychiquement durant mes phrases dépressives que je finis paralysée (au sens littéral du terme) dans mon lit. Si tu te sens encore vraiment très mal avec les médicaments, il faudrait que tu fasses réévaluer ton traitement pour que tu ailles mieux. Je crois que tu dois accepter que tu n'iras jamais complètement bien et que tu fasses le deuil de celui que tu étais avant que la maladie se déclare. C'est ce que je fais en ce moment, c'est pas facile, je m'imagine toujours qu'un matin je sortirai de mon lit en allant complètement bien comme avant... Non, tu n'iras jamais complètement bien, tu ne seras jamais "normal" mais tu peux vivre une vie riche et satisfaisante malgré tout. On aura jamais la putain de vie "normale" qu'on nous promet tout le temps : c'est à nous de trouver une voie qui puisse nous convenir et qui prenne en compte notre handicap. Les psychiatres sont rarement des malades mentaux traités alors ils nous pompent le cul avec "la vie normale". Tout ce que j'attends de mon psychiatre, c'est qu'il me prescrive des médicaments qui atténuent suffisamment la douleur pour que je puisse faire des choses qui me plaisent et qui m'intéressent. Le reste, je m'en fous royalement. Qu'ils se la foutent dans le cul "leur vie normale"!
Bises,
Courage!
Utilisateur désinscrit
Bonsoir c'est un long parcours pour trouver le bon psy j'en ai eu plusieurs et enfin J'ai trouvé la bonne je la vois tous les mois où tous les 15 jours quand j'ai un passage à vide . Pose des questions me laisse m'exprimer sur mon ressenti envers ma maladie mon traitement écoute sur ce qui me travaille me félicite elle est aussi psychothérapeute et addictologue. Il y a de bons psys pas assez nombreux hélas mais quand on cherche on trouve et il faut de la patience. Bonne soirée
Matique
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Matique
Dernière activité le 20/11/2024 à 04:15
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@Saturnienne ce qu’un bipolaire demande avant tout à son psy c’est d’être stabilisé cad ni maniaque ni dépressif pour avoir une vie lui permettant de vivre correctement. Bien sûr on est meurtri par cette maladie qui change notre vie mais le but des soins c’est quand même de pouvoir travailler à peu près normalement, avoir une vie de famille et affective comme tout le monde et grâce aux médicaments c’est possible il faut garder l’espoir. Je vois mon psy tous les 3 mois c’est indispensable pour éventuellement corriger mes prescriptions.
brassens
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brassens
Dernière activité le 18/10/2024 à 13:56
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Moi j'en veux aux premiers psy avec qui j'ai eu commerce au début de ma pathogie. Ce n'est qu'à 38 ans qu'elle a été découverteparce que j'avais fait une dépression sévère avec TS.
mais en 1981 je n'avait jamais entendu parler de maladie bipolaire. On m'a dit que j'étais cyclothymique, que j'avais donc des variations d'humeur et qu'il fallait donc réguler celle-ci.
Moi je me suis attaché a essayer de comprendre ce qui m'avait conduit là. En général pour la plupart d'entre nous
Ce sont les accidents de la vie: rupture divorce, difficultés professionnelles occassionées par une promotion par exemple.
On trouve toujours une ou des coupables, mais ce que l'on ignore c'est que même en l'absence de tout problèmes on serait quand même tombés un jour ou l'autre en dépression.
En fait ce qu'il faut recherché c'est la cause ou les causes premières.
Et là c'est beaucoup plus difficile. Car il vous faut faire acte de contrition.
J'ai beaucoup cherché dans mes expériences personnelle dans les ouvrages sur les maladies psychosomatiques.
Je suis persuadé que tout commence dans la petite enfance, notre grand problème ce n'est pas l'amour mais le désamour ou le manque cruel d'amour. L'abandon est la première épreuve que l'on subit, garçon on s'aperçoit que nous ne sommes pas l'unique objet d'amour de notre mère, il y a une pièce de la maison qui nous est interdite quand nos parents y sont on on imagine des tas de choses qui se passent entre nos parents et d'oû l'on est exclut.
Mais la vie n'est qu'une succession de premières fois, vivre grandir c'est évoluer, il faut à chaque fois renoncer.
au c'était mieux avant.
On a beau faire on suit tous le même chemin.
Il faut renoncer car la vie continue, nous avons d'autres épreuves à affronter, le complexe d'Oedipe. Comprenant qu'on ne peut pas lutter on va s'attacher à essayer de ressembler à son père, cela servira pour plus tard quand il nous faudra lutter contre les autres mâles pour la conquête d'une femme.
Il a plusieurs étapes à franchir on doit passer du stade oral au stade anal puis sexuel. Tout le monde n'arrive pas obligatoirement à dépasser ces étapes indispensables pour devenir un homme.
L'enfant est d'abord Dieu puis dans la partie triangulaire il s'aperçoit peu à peu qu'il y a l'autre et qu'il doit abandonner la toute puissance, tout le monde n'y arrive pas ( les pervers et les psychopathes par exemple)
J'ai toujours cru que mon père ne m'aimait pas, plus tard j'ai compris pourquoi, le jour où il avait perdu sa mère (la douleur était beaucoup trop grande pour lui) j'ai vu mon père avoir les larmes aux yeux quand il a évoqué ce qui s'était passé, sa mère l'avait repoussé alors qu'elle allaitait un nouveau né "son petit frère" pire elle l'avait humilié en se moquant de lui. (mon père avait alors 55 ans environ et n'avait probablement jamais évoqué cette scène beaucoup trop chargé d'émotions, nos grand-parents d'alors ne donnaient pas tellement dans la dentelle. En raccourci j'ai eu un père alcoolique, bipolaire comme moi je l'ai compris quand j'avais cinquante ans. Mon père n'arrivait pas à céder la place à l'enfant. Pourquoi la plupart des gens n'y arrive bien?
Je n'en ai jamais voulu à mon père, çà c'est formidable les enfants sans père l'adore, le père absent est idéalisé si bien que personne ne peut rivaliser avec celui-ci. Ma belle fille a été abandonné par son père à quatre ans , je l'ai élevé pendant 15 ans et lorsque celui-ci a repris contact avec elle , elle a fini par abandonner sa mère et moi qui n'était rien*, les fantasmes sont beaucoup plus puissants que la réalité..
Je prononce souvent la phrase suivante "mon père disait", beaucoup plus que le commun des mortel vers la quarantaine.
La vie est bizarre, dans les rapports amoureux on court toujours après les personnes dont on sait inconsciament qu'ils ne nous aimeront jamais, c'est comme ci on voulait inconsciement, rejouer la même pièce mais avec des acteurs différents ( peut-être est-ce une sorte d'exorcisme).
Les gens qui vous aiment sont souvent à côté de vous, derrière vous mais vous ne les voyez pas car ils ne font souvent pas de bruit ils vous aiment en silence, regardez autour de vous fermez votre portable n'achetez pas une voiture aux vitres teintées vous risquez de ne pas être aperçu par la femme de votre vie peut-être!
J'ai eu un camarade qui fesait du vélo le casque du walkman vissé sur les oreilles. Moi je tendait l'oreille à tout les bruits de la nature un vol de passereaux le vent dans les blé et surtout les parfums celui du blé vert puis muissant.
Lui n'avait rien aperçu, il ne vivait pas il voulait consommer un maximum de choses à la fois , la vie ne se consomme pas elle se déguste quelques fois et il serait dommage de passer à côté.
On voit maintenant moult gens cheminant dans la rue absorbés complétement par le monde virtuel, ils en oublient qu'ils sont vivants, et encore une fois ils pourront maintes fois croiser la plus belle fille qu'ils auraient pu conquérir peut-être .Pour la philosophie orientale il est impératif d'être toujours attentif, vigilant sinon beaucoup de choses vous échapperont, si vous oubliez de regarder votre femmes d'autres s'en chargeront, et les femmes ont beaucoup plus besoins que nous de nos attentions. Je pense que le téléphone portable est une arme de destruction massive, depuis que les enfants en possèdent un plus personne ne réponds au téléphone on passe son temps à discuter avec des répondeurs, ou par sms qui n'est que du style télégraphique qui ne véhicule pas les sentiments les émotions.ce ne sont plus que des mots sans significations.
Saturnienne
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Saturnienne
Dernière activité le 25/07/2024 à 15:15
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Matique : Bien sûr que la stabilisation c'est ce qui est recherché et on peut y prétendre très justement mais il arrive que la maladie reprenne parfois le dessus sous forme de rechutes atténuées. Je trouve simplement que les conséquences des effets secondaires et la prise en charge personnelle de la maladie en mettant en place des rituels quotidiens, ça n'est en rien "normal". On peut avoir un travail, on peut avoir une vie de couple mais je trouve que c'est leurrer le monde entier que de dire que tout ira normalement jusqu'à la fin de nos jours. Le conjoint doit apprendre à faire avec les coups de mou le soir quand on rentre et ça n'a aucun rapport avec un coup de mou dit "normal" puisque le stress est plus difficile à gérer. Je n'aime simplement pas qu'on me dise que je vis normalement alors que c'est juste apparent : je vois pas en quoi c'est normal de se bouffer des médicaments toute la journée. Je pense simplement qu'il faut apprendre à vivre avec sa maladie, trouver une façon toute personnelle de la gérer et trouver un moyen d'avoir une vie satisfaisante même lors des rechutes dépressives colossales comme celles de Steph. Voilou!
Saturnienne
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Saturnienne
Dernière activité le 25/07/2024 à 15:15
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Brassens : Tu as pensé à une psychothérapie? Il y a des bipolaires qui ont eu une enfance heureuse donc je pense que ta bipolarité se nourrit de ta problématique personnelle douloureuse. Du coup tes rechutes dépressives doivent être ignobles à gérer et à vivre. J'ai eu une enfance malheureuse moi aussi, je fais une psychothérapie depuis 6 ans et ça m'aide beaucoup lorsque je fais des rechutes parce que la dépression fait toujours ressortir des choses de mon passé et me donne l'impression que je suis malheureuse à cause d'elles (alors que c'est la maladie qui parle). En plus ça doit te fragiliser et donc activer plus facilement les rechutes. Après moi c'est comme ça que j'ai solutionné le problème : vois ça avec ton psychiatre. Je sais qu'ils recommandent plus les thérapies comportementales... Courage en tout cas, y a un bouquin qui pourrait te parler si tu as un complexe d'abandon, c'est "pourquoi m'as-tu abandonné?" de Christophe André...
Steph1969
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Steph1969
Dernière activité le 25/08/2021 à 10:29
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Bonjour,
A propos du complexe d'abandon, l'animatrice de la libre antenne d'Europe 1 expliquait hier soir que lorsqu'on en souffre, on a toujours besoin de soutien. Je me suis assez retrouvé là-dedans. D'ailleurs, dans un stage lié à la recherche d'emploi, une psychologue m'a dit qu'il me manquait des fondations (peut-être ce sentiment d'abandon)...L'architecte a salopé le boulot...
Saturnienne,
Comme tu le sais, ce n'est pas facile d'accepter de perdre sa rapidité de fonctionnement intellectuel, de chercher ses mots, d'avoir l'impression de ne plus être comme tout le monde parce qu'on n'a plus de boulot et de se demander comment à 49 ans on va en retrouver, de se sentir comme quelqu'un qui regarde depuis la berge d'un fleuve les autres suivre le cours de leur vie sur leur bateau, alors que soi-même, on se sent en panne. Bon, je suis sans doute un peu trop négatif, mais c'est un peu ce que je ressens.
Et je ressasse le passé pour essayer de voir où ça n'a pas fonctionné, où je me suis trompé et tout n'est pas dû à la maladie. Ceci-dit, ça ne sert à rien, car cela ne change ni le présent, ni l'avenir.
Sinon, oui, j'ai du mal à faire le deuil. Jamais un soignant ne m'a dit de le faire d'ailleurs.
Concernant le boulot, je n'ai pas envie de me retrouver un simple exécutant par exemple. Je n'ai pas encore abandonné l'idée retrouver un job intéressant pour le moment, mais je vois que ça devient difficile et que j'aurais du mal à assumer dans un premier temps.
Je suppose que je ne suis pas le seul dans cette situation.
Certains d'entre vous ont-ils dû retourner dans leur famille, pour se sentir moins seul, avec les difficultés que cela représente d'être chez ses parents. C'est mon cas, un grand garçon de 49 ans ;) qui passe régulièrement du temps chez ses parents ? Est-ce que l'entourage est compréhensif, bienveillant ?
Bonne journée à tous et désolé si mon récit peut être décousu...
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Steph1969
Jeann3
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Jeann3
Dernière activité le 22/10/2024 à 18:20
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Ami
Bonjour à tous,
Je suis dans une impasse, je ne sais plus où j en suis, je pense que je suis bi-polaire
Connaissez-vous un médecin spécialiste de la maladie bi-polaire ou troubles comportementaux dans la région toulonaise ?
Mon généraliste me dit que je ne suis pas bi-polaire mais comme peut-elle savoir?, je la consulte 3 à 4 fois par an
Ma mère était psychomaniacodepressive, elle a fait plusieurs hospitalisations dans sa vie, elle s est suicidée à l âge de 56 ans.
Avec mes frères et ma soeur nous avons été placés à la Ddass après le divorce de nos parents, je devais avoir 4 ou 5 ans
Mon plus jeune frère était schizophrène, il est décédé cette année à 58 ans. Il n a jamais accepté sa maladie et refusait tout traitement.
Je vous raconte tout cela pour savoir si c'est héréditaire ?
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Jeanne
Matique
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Matique
Dernière activité le 20/11/2024 à 04:15
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Ami
@Jeann3 @brassens @Saturnienne @Steph1969 En 1972 j’ai eu la chance d’être soigné dans un HP par 2 pontes de l’antipsychiatrie Torrubia et Gentis qui a écrit un livre qui m’a bcp aidé à me comprendre ( « Guérir la vie » par le Dr Roger Gentis) car à l’époque j’étais régulièrement hospitalisé pour un comportement hyper-agressif que je n’arrivais pas à comprendre et les psy ne me disaient pas ce que c’était ils me donnaient des neuroleptiques et je rechutais aussitôt. Torrubia m’a enfin expliqué ce que j’avais, une humeur variable avec des moments d’excitation entrecoupés de dépression, à l’époque on osait à peine parler de psychose maniaco-dépressive pour ne pas faire peur, c’est devenu plus tard la bipolarité. Dans son livre Gentis explique que c’est la société qui fabrique les maladies mentales, c’est en soignant la société que l’on soignera le malade. J’étais d’accord avec ça, ce n’était pas héréditaire, j’ai refusé les médicaments à cause de leurs effets secondaires, on m’a mis en congé maladie 3 ans en hôpital de jour logeant chez mes parents avec obligation de suivre des séances de psychothérapie de groupe que j’adorais et qui permettaient aux malades de s’exprimer. Je m’en suis sorti guéri, seule rechute en 2016 crise maniaque avec HP 1 mois et demi, thymorégulateur (Dépakote) et psy tous les 3 mois.
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ChriChrid'amour
Bonjour, http://www.psychomedia.qc.ca/tests/dsm-iv/bipolaire.
Tu peux consulter l'intérêt du test, perso moi je n'ai pas été testée.
D'après la psychiatre, les bipolaires ont tendance à faire un virage maniaque au printemps.
Dans l'euphorie, la personne bipolaire a tendance à perdre le sommeil, le plus embarrassant c'est qu'elle n'est pas fatiguée pour autant.
"Sors toi les doigts, motive toi et ca repart", jusqu'à la prochaine...:ces remarques désobligeantes ne servent à rien, ça ne fonctionne pas comme ça la bipolarité, il faut bien sûr essayer de se"mettre des coups de pieds au cul", il faut surtout se faire aider par qqn avec qui on peut échanger, exprimer ses sentiments et qui soit à votre écoute.
Bon courage à toi, n'hésites pas à revenir vers moi, je t'aiderais si je le peux et bien sûr si je ne sombre pas à nouveau dans le cœur obscur.
Mes amitiés
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ChriChrid'amour
Bonjour, http://www.psychomedia.qc.ca/tests/dsm-iv/bipolaire.
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D'après la psychiatre, les bipolaires ont tendance à faire un virage maniaque au printemps.
Dans l'euphorie, la personne bipolaire a tendance à perdre le sommeil, le plus embarrassant c'est qu'elle n'est pas fatiguée pour autant.
"Sors toi les doigts, motive toi et ca repart", jusqu'à la prochaine...:ces remarques désobligeantes ne servent à rien, ça ne fonctionne pas comme ça la bipolarité, il faut bien sûr essayer de se"mettre des coups de pieds au cul", il faut surtout se faire aider par qqn avec qui on peut échanger, exprimer ses sentiments et qui soit à votre écoute.
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Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Depuis plusieurs séances, je me sens très mal dans la relation avec ma psychiatre. Lorsque j'arrive dans sa salle d'attente, je suis hyper anxieux et lorsque je ressors de l'entretien, je sui complètement décomposé. D'un autre côté, ce médecin m'indique un problème de violence liée à des traumas du passé et m'indique que je me déresponsabilise de cette violence par la maladie. Elle se montre souvent très froide et rigide dans ses propos. Je ne sais pas quoi faire, j'ai pris rendez-vous avec un autre psychiatre sans lui dire, histoire d'avoir un deuxième avis. J'en parlerai également avec ma psychothérapeute (heureusement avec elle ça a toujours été).
Avez-vous, vous aussi, eu ce genre de sentiments. Cela vous est-il passé avec le temps ?
Merci d'avance pour vos réponses et bonne journée