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Violence conjugale : 1 homme sur 5 l'avoue
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Chris31
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Chris31
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Dernière activité le 26/01/2025 à 12:22
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Bonjour à toutes qui répondez sur un sujet si délicat et grave , et ...respects car pas facile de se dévoiler ! Lucykat a abordé un type de souffrance bien particulier qui peut être infligé , la souffrance psychologique , et je connais bien , et pour cause....je ne me suis pas enfuie mais un jour j'ai fini par dire stop et ai demandé le divorce ! Je connais les galères en tout genre mais la "warrior" que je suis n'a et ne baissera jamais les bras ! Alors violence verbale et torture "invisible" surtout ne la gardez pas pour vous ! comme d'une violence physique ... Il faut essayer d'avoir la force et le courage de dire NON !
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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encore une fois d'accord avec toi chris
savoir dire NON ....(oui je sais encore d'accord lol)
Chris31
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Chris31
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Dernière activité le 26/01/2025 à 12:22
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mdr ...
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
gisela
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gisela
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pendant plusieurs annees j ai ete victime de violences verbales de la part de mon ex mari c etait un enfer comme beaucoup il trouvait ca normal
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gislaine
Chris31
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Chris31
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Dernière activité le 26/01/2025 à 12:22
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mais tout comme moi gisela .... ce n'est pus qu'un EX lol , l'enfer a pris fin et nous ne nous en portons que mieux ! conclusion : Nous sommes les + fortes (et surtout les + intelligentes )
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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en fait je ne crois pas qu'un homme violent ait besoin de soins, il a surtout besoin d'une bonne correction.. je le pense... je ne crois pas qu'un homme violent soit un malade, c'est un lâche simplement, car comme par hasard il ne s'en prend qu'aux êtres " plus faibles " que lui et non à un autre homme de sa taille voire plus costaud..
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enfin je pense que la violence est naturelle chez un homme, intrinsèque à sa sexuation.. c'est hormonal..
la testostérone... seulement la plupart la refoule cette violence innée et par éducation.. par la construction d'une instance morale, et d'un surmoi qui tiennent et font office de barrage..
il n'y a qu'à regarder un homme faire du sport pour s'apercevoir que son agressivité et sa violence existent, sont bien là, mais encadrées..
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les femmes elles créent la vie, elles donnent la vie, elles la portent..
les hommes eux créent la bombe atomique, les camps de concentration, les guerres, les armes chimiques, les chambres à gaz, partout où ils passent ils ne créent que mort et désolation..
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certains et certaines évoquent les femmes dans la sphère professionnelle, or les femmes dans le domaine professionnel sont obligées d'être " salope " pour réussir, si elles sont gentilles elles resteront en bas de l'échelle.. elles sont obligées d'être plus agressives, plus incisives, moins empathiques, ce qui ne signifie nullement que dans leur vie privée elles sont ainsi comme au travail..
le domaine professionnel n'est pas probant.. au boulot on met tous un masque, ne vous fiez pas aux apparences, moi au travail je me méfie des personnes trop gentilles.. la gentille c'est l'hypocrite.. ce n'est pas au travail que l'on peut se faire une idée claire de ce qu'est une personne..
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tous mes employeurs ont été des femmes, et je n'ai travaillé presque dans ma vie qu'avec des femmes..
sauf une fois, employeur homme, avec quelques collègues homme, je ne suis pas restée longtemps.. j'étais la plus jeune, la seule célibataire sans enfants, et je peux dire que c'était vraiment horrible l'ambiance..
j'étais carrément presque placardisée, limite black listée parce que je n'avais leur vie aux autres.. je m'en foutais concrètement mais quand même pour bosser ce ne sont pas des conditions..
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et 15 jours après je retrouvais un autre poste, et c'est ma patronne actuelle
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05/02/2025 | Témoignage
Handicap et parentalité : le combat de l’association Action Visible et Handicap
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La prévalence de la violence conjugale (ici aux États-Unis) dépasse celle du diabète, selon cette étude de l'Université du Michigan, représentative au niveau national, et qui marque d’abord avec ce ratio : 1 homme sur cinq aux États-Unis reconnait avoir déjà fait preuve de violence envers son conjoint ou partenaire intime. Seconde conclusion, certains symptômes physiques apparaissent associés à la violence conjugale. Nouveau zoom dans le Journal of the American Board of Family Medicine sur une forme d’agressivité masculine désormais mieux détectable, lors d’examens de routine, grâce à des signes d’alerte dont certains étaient jusque-là inconnus.
L’étude a porté sur les données de 530 hommes âgés de 42 ans en moyenne à 84% professionnellement actifs et de tous niveaux de revenus de la National Comorbidity Survey-Replication (2001-2003), une enquête sur la violence masculine et conjugale et ses caractéristiques. . La violence conjugale a été définie comme pousser, empoigner, bousculer, jeter quelque chose, donner des gifles ou des coups, des coups de pied, mordre, battre, étouffer, brûler ou menacer avec un couteau ou un pistolet.
1 homme sur 5 aux États-Unis reconnait avoir usé de violence à l’égard de sa partenaire intime. Contrairement à ce que les gens racontent sur la violence masculine, en faisant souvent référence à des personnes qu'ils n’ont jamais rencontrées ou à des faits d’actualité, un homme sur 5 au moins l’a déjà pratiquée, et une femme sur 5 l’a donc subie, explique l'auteur principal, le Dr Vijay Singh, du Département de médecine d'urgence et familiale de l'Université du Michigan. Un ratio valable pour toutes les communautés, les ethnies, les niveaux de revenus, et quel que soit le facteur sociodémographique, souligne l’auteur. Pour les Etats-Unis, ces données d’enquête concordent avec les données épidémiologiques : Chaque année, environ 320.000 visites en ambulatoire et 1.200 décès chez les femmes sont dus à la violence conjugale dont les coûts sociaux et de santé sont estimés à 8,3 milliards de dollars.
Une menace détectable :
Car l’étude constate aussi que plus de la moitié des hommes qui s’avouent violents ont passé au moins une visite médicale de routine au cours l’année précédente et près d'un tiers au moins une visite aux urgences. Une opportunité pour le dépistage de ce trouble du comportement, bien que peu de travaux aient été jusque-là réalisés sur la façon d'identifier les auteurs de violence conjugale. Pourtant certains signes bien détectables sont associés au risque de comportement violent. Précisément, l’analyse montre que, si le taux moyen de perpétration de la violence conjugale masculine est de 19,2%,
· le syndrome du côlon irritable est associé à une probabilité double de violence conjugale sur sa partenaire (OR : 2,61),
· l'insomnie, à une probabilité accrue de 33% (OR : 1,33),
· l'abus de substances et la toxicomanie, à une probabilité accrue de 76% (OR : 1,76),
· avoir été victime ou témoin de violence à l‘enfance à une probabilité double (OR, 1,99/2,02).
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