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Violence conjugale : 1 homme sur 5 l'avoue
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
je précise : il n'a jamais frappée notre mère.. non non, il se défoulait sur nous, c'était encore mieux.. enfin sur mon frère beaucoup, parce qu'il ne défendait pas aussi.. moi très jeune je me suis défendue, donc après il n'osait plus, il avait peur de moi
Utilisateur désinscrit
mais bon je te rassure, c'est vraiment très agréable d'être homo, les femmes j'adore.. elles sont tendres, curieuses, sexy parfois, capricieuses aussi, elles ont des formes magnifiques, bref pleins de raisons pour les aimer..
scoobidoo
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scoobidoo
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Rassures toi, je ne mettais surtout pas en cause ta maman.
Est ce que tu sais qu'on peut poursuivre quelqu'un pendant 30 ans après la majorité, pour des violences sur mineur ?
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
certes mais il faut le prouver..
Utilisateur désinscrit
moi personnellement je m'en moque désormais.. la meilleure sanction infligée à mon géniteur c'est d'être heureuse et bien dans mes pompes.. lui il vieillit et il finira seul.. dans le fond c'est un type paumé et négatif, qui n'a rien fait pour retrouver son chemin et qui a détruit tout ce qui l'entourait.. il s'est fait une vie de merde..
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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Les témoignages ont valeur de preuves, mais bon, il n'est pas facile d'entreprendre ça. Moi, je conseille toujours de faire un travail sur soi avant.
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
c'est inadmissible de voir tant de violence envers les femmes et les enfants !!!
supporter les coups !!!! (j'ai eu un ami il y a bien longtemps ....il ne supportait pas que je vois d'autres
personnes ..;que je m'habille féminine ...bref des qu'il en avait l'occasion me rabaissait et des fois levait la main
j'ai encaissé parce que au départ je l'aimais profondément... je cachais un bleu par ci par la ..ou disait que j’étais tombé
et puis un jour j'ai rencontré par le biais de mon travail un homme qui avait toujours un mot gentil .;de la douceur dans ses paroles
etc... bref grâce à lui j'ai pu me libérer de ce tortionnaire il a su me faire comprendre que ce n’était pas aimé.;grâce a lui j'ai pu essayer de me reconstruire mais ai toujours gardé cette méfiance pour les hommes .j'ai rencontré mon mari grâce a lui ..mais j'ai mis des années a reprendre confiance en moi .;à m'épanouir réellement ....
des histoires de femmes battues ont en entend tout les jours c'est sur ...mais il ne faut pas oublier non plus
qu'il existe des HOMMES BATTUS eh oui ..au départ on se dit mais ce n'est pas possible !!!!mais triste réalité de voir que les hommes aussi sont dans cette situation et qu'il est encore plus dure de se faire comprendre ..
je dit bravo à ceux qui arrivent à faire reconnaitre ce fait..ainsi qu'à ces femmes qui arrivent à sortir de ce calvaire
Utilisateur désinscrit
Des fous , il y en a partout , nous n'y pouvons hélas rien , mais tous les hommes ne sont pas violent , pour l'avoir vécus , je rejoins Francine sur le fait qu'un lieux ou travail beaucoup de femmes est plus violent qu'un lieux , ou ne travail que des hommes , Une entreprise ou je travaillais quand j'étais très jeune était dirigée par une femme et n'employait que des hommes , tout ce passait plutot bien , puis cette dame et partie a la retraite , le nouveau directeur a rendut l'entreprise mixe , ça n'a jamais été bien aprés.
Rien ne justifie qu'un des deux sexes en frappe en autre , les violences conjugales , ne devraient pas existé , sur les enfants encore moins ,il n'est pas admissible que cela arrive encore et que par amour des personnes supporte ça.
Je pense , ne pas me tromper en disant , que je suis sur qu'ici , il y a des femmes battues , dénoncez celui qui vous bat , cela ne peu continuer , les services sociaux , vous prendrons en charge tous les deux , lui pour le soigner , vous pour vous protéger
LadyKat
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LadyKat
Dernière activité le 13/07/2019 à 08:58
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Ami
Bonjour à tous. Tout d'abord j'aimerai dire à Chantre, Scoobidoo et Sandrine que je compatis à vos expériences douloureux et je sais que le mot "douloureux" est faible. Bravo à vous pour votre courage pour en sortir d'une situation qui ne devrait pas arriver entre les gens qui "s'aiment".
Scoobidoo, vous avez tout à fait raison quand vous avez dit, "mais la violence verbale peut faire encore plus de mal, détruire encore plus profondément."
Mon ex-compagnon était trop malin pour lever la main sur moi, il savait que je n'aurai jamais accepté cela. Mais il y a d'autres moyens pour garder le contrôle sur quelqu'un sans que la personne se rendre compte que l'autre est en train de la manipuler. Il était content d'avoir une femme qui était très docile sans pour autant être une écervelée. Il a cru qu'il pouvait tout faire, y compris me tromper et si ça ne me plaisait pas, ben, tant pis pour moi. Le jour où j'ai ouvert mes yeux et j'ai compris cela et je ne voulais plus de lui c'était la catastrophe, il ne pouvait pas accepter que moi, une simple femme, OSE dire stop! et veut mettre fin à notre relation. A partir de là j'ai appris ce que c'est de vivre dans la terreur dans sa propre maison. Il refusait qu'on se sépare, il refusait de partir et il ne comprenait plus pourquoi je ne lui obéissait plus. Il n'a jamais rien dit ou fait devant mes enfants ou d'autres personnes. Quand il était mécontent il s'arrangeait pour proférer des menaces quand nous étions seuls. Derrière son apparent calme et une certaine timidité se cachait en réalité un homme malsain et violent. De ce fait même encore aujourd'hui des personnes dans mon entourage ont du mal à croire qu'il serait capable de faire du mal. J'ai fini par m’enfuir de la maison parce que j'avais trop peur de lui. Je ne sais pas comment j'ai eu la force de le faire parce que j'étais très malade, j'avais fait une grave dépression, mais je l'ai fait. Mais j'ai payé un prix, les absents ont toujours tort, il a raconté des mensonges à mon égard, il a sali ma réputation, alors maintenant je suis la "méchante sorcière" de mon ancienne petite ville. Même de loin il cherche et il arrive encore à me faire mal. Et pourquoi cela? Parce j'ai osé lui désobéir. Quand je suis arrivée dans ma ville actuelle, mes thérapeutes m'ont dit que j'avais tous les symptômes d'une femme battue malgré que je n'ai pas subi des violences physiques... à part un petit bleu par ci, par là...ou quand il m'a saisie à la gorge, et cela toujours sans témoigne.
La torture mentale est parfois pire que les sévices physiques.
Je souhaite beaucoup de courage à toute personne, enfant, femme ou homme qui ont subi ou subissent encore des violences physiques ou psychologiques, voir même les deux.
Bonne journée à tous
Utilisateur désinscrit
merci de ce témoignage ladycat et je vous rejoint aussi ainsi de scoobidou car la violence verbale
est terrible aussi ..elle ne laisse pas de marque physique mais psychologique
et c'est tout aussi dure a vivre ..et vous laisse aussi de profonde blessure (manque de confiance .;peur ..bref vous connaissez)
a vous aussi ladycat bon courage a vous que la vie vous sourit
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La prévalence de la violence conjugale (ici aux États-Unis) dépasse celle du diabète, selon cette étude de l'Université du Michigan, représentative au niveau national, et qui marque d’abord avec ce ratio : 1 homme sur cinq aux États-Unis reconnait avoir déjà fait preuve de violence envers son conjoint ou partenaire intime. Seconde conclusion, certains symptômes physiques apparaissent associés à la violence conjugale. Nouveau zoom dans le Journal of the American Board of Family Medicine sur une forme d’agressivité masculine désormais mieux détectable, lors d’examens de routine, grâce à des signes d’alerte dont certains étaient jusque-là inconnus.
L’étude a porté sur les données de 530 hommes âgés de 42 ans en moyenne à 84% professionnellement actifs et de tous niveaux de revenus de la National Comorbidity Survey-Replication (2001-2003), une enquête sur la violence masculine et conjugale et ses caractéristiques. . La violence conjugale a été définie comme pousser, empoigner, bousculer, jeter quelque chose, donner des gifles ou des coups, des coups de pied, mordre, battre, étouffer, brûler ou menacer avec un couteau ou un pistolet.
1 homme sur 5 aux États-Unis reconnait avoir usé de violence à l’égard de sa partenaire intime. Contrairement à ce que les gens racontent sur la violence masculine, en faisant souvent référence à des personnes qu'ils n’ont jamais rencontrées ou à des faits d’actualité, un homme sur 5 au moins l’a déjà pratiquée, et une femme sur 5 l’a donc subie, explique l'auteur principal, le Dr Vijay Singh, du Département de médecine d'urgence et familiale de l'Université du Michigan. Un ratio valable pour toutes les communautés, les ethnies, les niveaux de revenus, et quel que soit le facteur sociodémographique, souligne l’auteur. Pour les Etats-Unis, ces données d’enquête concordent avec les données épidémiologiques : Chaque année, environ 320.000 visites en ambulatoire et 1.200 décès chez les femmes sont dus à la violence conjugale dont les coûts sociaux et de santé sont estimés à 8,3 milliards de dollars.
Une menace détectable :
Car l’étude constate aussi que plus de la moitié des hommes qui s’avouent violents ont passé au moins une visite médicale de routine au cours l’année précédente et près d'un tiers au moins une visite aux urgences. Une opportunité pour le dépistage de ce trouble du comportement, bien que peu de travaux aient été jusque-là réalisés sur la façon d'identifier les auteurs de violence conjugale. Pourtant certains signes bien détectables sont associés au risque de comportement violent. Précisément, l’analyse montre que, si le taux moyen de perpétration de la violence conjugale masculine est de 19,2%,
· le syndrome du côlon irritable est associé à une probabilité double de violence conjugale sur sa partenaire (OR : 2,61),
· l'insomnie, à une probabilité accrue de 33% (OR : 1,33),
· l'abus de substances et la toxicomanie, à une probabilité accrue de 76% (OR : 1,76),
· avoir été victime ou témoin de violence à l‘enfance à une probabilité double (OR, 1,99/2,02).
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