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Violence conjugale : 1 homme sur 5 l'avoue
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scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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S'il y en a qui ont du temps à perdre, peut-être !
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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Utilisateur désinscrit
Tout est possible pour des études de marchés , changer des produits en faire d'autres etc....
Je ne pense pas que ce que l'on dit reste , juste pour le plaisir d'étre lue
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Utilisateur désinscrit
En effet, c'est possible. Il y a tellement qui ne servent à rien autant que les sondages à la noix.
Serena
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Utilisateur désinscrit
Je n'ai jamais pensé que ces forums étaient la pour rien , je ne crois pas que les gens qui travail pour ce site ou pour d'autre ne sont la que pour modérer , ce que nous disons étudier , décortiqué LA VERITE EST AILLEURS
Si non , ce serait un travail qui m'irait bien moi , de faire la police sur un site , mais , ils ne font pas que ça , j'en suis sur
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Utilisateur désinscrit
je postule aussi alors promis j’essayerais d’être transigeante mdr
fadada
Bon conseiller
fadada
Dernière activité le 19/02/2025 à 10:00
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Un homme qui frappe une femme est une merde. Il a aucun respect vis à vis des personnes. Ces hommes qui tapent leur femmes n'ont pas de C.....s , car il ne s'attaquerait pas à un autre homme peur de se faire démolir le portrait.
Hélas de nos jours de voir encore cela
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fadada
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05/02/2025 | Témoignage
Handicap et parentalité : le combat de l’association Action Visible et Handicap
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La prévalence de la violence conjugale (ici aux États-Unis) dépasse celle du diabète, selon cette étude de l'Université du Michigan, représentative au niveau national, et qui marque d’abord avec ce ratio : 1 homme sur cinq aux États-Unis reconnait avoir déjà fait preuve de violence envers son conjoint ou partenaire intime. Seconde conclusion, certains symptômes physiques apparaissent associés à la violence conjugale. Nouveau zoom dans le Journal of the American Board of Family Medicine sur une forme d’agressivité masculine désormais mieux détectable, lors d’examens de routine, grâce à des signes d’alerte dont certains étaient jusque-là inconnus.
L’étude a porté sur les données de 530 hommes âgés de 42 ans en moyenne à 84% professionnellement actifs et de tous niveaux de revenus de la National Comorbidity Survey-Replication (2001-2003), une enquête sur la violence masculine et conjugale et ses caractéristiques. . La violence conjugale a été définie comme pousser, empoigner, bousculer, jeter quelque chose, donner des gifles ou des coups, des coups de pied, mordre, battre, étouffer, brûler ou menacer avec un couteau ou un pistolet.
1 homme sur 5 aux États-Unis reconnait avoir usé de violence à l’égard de sa partenaire intime. Contrairement à ce que les gens racontent sur la violence masculine, en faisant souvent référence à des personnes qu'ils n’ont jamais rencontrées ou à des faits d’actualité, un homme sur 5 au moins l’a déjà pratiquée, et une femme sur 5 l’a donc subie, explique l'auteur principal, le Dr Vijay Singh, du Département de médecine d'urgence et familiale de l'Université du Michigan. Un ratio valable pour toutes les communautés, les ethnies, les niveaux de revenus, et quel que soit le facteur sociodémographique, souligne l’auteur. Pour les Etats-Unis, ces données d’enquête concordent avec les données épidémiologiques : Chaque année, environ 320.000 visites en ambulatoire et 1.200 décès chez les femmes sont dus à la violence conjugale dont les coûts sociaux et de santé sont estimés à 8,3 milliards de dollars.
Une menace détectable :
Car l’étude constate aussi que plus de la moitié des hommes qui s’avouent violents ont passé au moins une visite médicale de routine au cours l’année précédente et près d'un tiers au moins une visite aux urgences. Une opportunité pour le dépistage de ce trouble du comportement, bien que peu de travaux aient été jusque-là réalisés sur la façon d'identifier les auteurs de violence conjugale. Pourtant certains signes bien détectables sont associés au risque de comportement violent. Précisément, l’analyse montre que, si le taux moyen de perpétration de la violence conjugale masculine est de 19,2%,
· le syndrome du côlon irritable est associé à une probabilité double de violence conjugale sur sa partenaire (OR : 2,61),
· l'insomnie, à une probabilité accrue de 33% (OR : 1,33),
· l'abus de substances et la toxicomanie, à une probabilité accrue de 76% (OR : 1,76),
· avoir été victime ou témoin de violence à l‘enfance à une probabilité double (OR, 1,99/2,02).
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