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Violence conjugale : 1 homme sur 5 l'avoue
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gisela
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gisela
Dernière activité le 14/01/2024 à 08:11
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heureusement que chantre est parti avec ses propos j ai une fille trisomique
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gislaine
Chris31
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Chris31
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Dernière activité le 03/10/2024 à 09:58
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Bonjour Gisela , et prends le d'où ça vient , ne te sens pas blessée pour ta fille car tout le monde ici a été choqué à juste titre ... apparemment une grande malade !
Bonne journée
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
gisela
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gisela
Dernière activité le 14/01/2024 à 08:11
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la violence verbale fait aussi mal que la violence physique
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gislaine
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Parfois plus
gisela
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Dernière activité le 14/01/2024 à 08:11
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c est comme ca que l on perd confiance en soi
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gislaine
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Ne la perdez pas , des abrutis , il y en a partout , sur le net , comme dans la vie , n'en tenez pas compte
gisela
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gisela
Dernière activité le 14/01/2024 à 08:11
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j en n ai fait les frais deux fois et le deuxieme fois ce a duree vingt cinq ans
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gislaine
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Il existe encore , heureusement des gens bien , n'écoutez que ceux la , les nases , n'y prétez pas attention , on ne peu les éviter , mais on peu toujours les ignorer
Utilisateur désinscrit
tout a fait raison
cette personne est néfaste .;méchante ...d'ailleurs me demande bien
si un seul de ses écrits étaient vrai pour dire autant d’horreur après
juste une personne qui se délecte de faire du mal
Utilisateur désinscrit
juste un tout petit mot...cette personne est bipolaire. (voir son statut) et hier elle était en crise...carenity est un forum concernant les pathologies.
En phase de manie :
- Estime de soi augmentée ou idées de grandeur
- Énergie débordante et bonheur intense ou irritabilité excessive
- Réduction du besoin de sommeil
- Débit de la parole accéléré ou besoin de parler sans arrêt
- Pensées rapides ou sensation d'un trop plein d'idées
- Distractivité : incapacité à fixer son attention
- Recrudescence de l'activité aux plans social, professionnel ou scolaire
- Agitation psychomotrice, augmentation de l'énergie
- Plaisirs augmentés de façon excessive et à haut risque de conséquences négatives : achats, sexualité, investissements financiers
- Les personnes affectées peuvent également faire l'expérience d'idées délirantes (des croyances fermes, mais impossibles) et d'hallucinations. Les périodes de manie peuvent varier en intensité.
En phase dépressive :
- Sentiment de tristesse, humeur dépressive pratiquement toute la journée, presque tous les jours et pendant au moins deux semaines
- Perte d'énergie et fatigue
- Perte de l'intérêt et du plaisir
- Troubles du sommeil (insomnie ou hypersomnie)
- Troubles de l'appétit avec perte ou gain de poids
- Agitation ou ralentissement psychomoteur
- Baisse de concentration ou de l'aptitude à penser, ou indécision
- Sentiments de culpabilité
- Soudain retrait social ou comportements agressifs subits
- Pensées de mort récurrentes (60 % des cas); idées suicidaires récurrentes (15 % des cas)
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La prévalence de la violence conjugale (ici aux États-Unis) dépasse celle du diabète, selon cette étude de l'Université du Michigan, représentative au niveau national, et qui marque d’abord avec ce ratio : 1 homme sur cinq aux États-Unis reconnait avoir déjà fait preuve de violence envers son conjoint ou partenaire intime. Seconde conclusion, certains symptômes physiques apparaissent associés à la violence conjugale. Nouveau zoom dans le Journal of the American Board of Family Medicine sur une forme d’agressivité masculine désormais mieux détectable, lors d’examens de routine, grâce à des signes d’alerte dont certains étaient jusque-là inconnus.
L’étude a porté sur les données de 530 hommes âgés de 42 ans en moyenne à 84% professionnellement actifs et de tous niveaux de revenus de la National Comorbidity Survey-Replication (2001-2003), une enquête sur la violence masculine et conjugale et ses caractéristiques. . La violence conjugale a été définie comme pousser, empoigner, bousculer, jeter quelque chose, donner des gifles ou des coups, des coups de pied, mordre, battre, étouffer, brûler ou menacer avec un couteau ou un pistolet.
1 homme sur 5 aux États-Unis reconnait avoir usé de violence à l’égard de sa partenaire intime. Contrairement à ce que les gens racontent sur la violence masculine, en faisant souvent référence à des personnes qu'ils n’ont jamais rencontrées ou à des faits d’actualité, un homme sur 5 au moins l’a déjà pratiquée, et une femme sur 5 l’a donc subie, explique l'auteur principal, le Dr Vijay Singh, du Département de médecine d'urgence et familiale de l'Université du Michigan. Un ratio valable pour toutes les communautés, les ethnies, les niveaux de revenus, et quel que soit le facteur sociodémographique, souligne l’auteur. Pour les Etats-Unis, ces données d’enquête concordent avec les données épidémiologiques : Chaque année, environ 320.000 visites en ambulatoire et 1.200 décès chez les femmes sont dus à la violence conjugale dont les coûts sociaux et de santé sont estimés à 8,3 milliards de dollars.
Une menace détectable :
Car l’étude constate aussi que plus de la moitié des hommes qui s’avouent violents ont passé au moins une visite médicale de routine au cours l’année précédente et près d'un tiers au moins une visite aux urgences. Une opportunité pour le dépistage de ce trouble du comportement, bien que peu de travaux aient été jusque-là réalisés sur la façon d'identifier les auteurs de violence conjugale. Pourtant certains signes bien détectables sont associés au risque de comportement violent. Précisément, l’analyse montre que, si le taux moyen de perpétration de la violence conjugale masculine est de 19,2%,
· le syndrome du côlon irritable est associé à une probabilité double de violence conjugale sur sa partenaire (OR : 2,61),
· l'insomnie, à une probabilité accrue de 33% (OR : 1,33),
· l'abus de substances et la toxicomanie, à une probabilité accrue de 76% (OR : 1,76),
· avoir été victime ou témoin de violence à l‘enfance à une probabilité double (OR, 1,99/2,02).
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