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Violence conjugale : 1 homme sur 5 l'avoue
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scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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Ce chiffre est énorme, il me surprend vraiment. J'ai du mal à le croire.
Même si on détecte la menace, que pourrait on faire ?
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Il faut faire comme moi : être homo..
mais oui, concrètement je n'ai jamais eu aucune confiance en aucun homme.. j'ai toujours pensé que même le plus gentil, le plus inoffensif pouvait un jour décompenser et être violent, que ce soit verbalement ou physiquement..
Et les femmes quoique l'on en dise, et peu importe ce qu'elles peuvent être individuellement avec leur personnalité, leur caractère etc.. me rassureront toujours plus..
scoobidoo
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Je ne suis pas d'accord avec toi Chantre, j'ai toujours trouvé l'ambiance plus dure là où il y avait une majorité de femmes. Certes, elles ne vont pas s'envoyer des coups de poing, mais la violence verbale peut faire encore plus de mal, détruire encore plus profondément.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Oui c'est vrai parfois mais ce sont des femmes, ce n'est rien, enfin je suis beaucoup plus clémente avec les femmes..
Utilisateur désinscrit
je ne me sens pas choquée, pas atteinte, et juste cool avec la véhémence et parfois la dureté de certaines femmes.. cela a plutôt tendance à me faire sourire même.. enfin j'ai du recul par rapport à cela.. dans le pire des cas, je ressens de la pitié, parce que fondamentalement une femme ne devient affreuse que parce qu'il y a derrière probablement une souffrance très crue..
Utilisateur désinscrit
pour être honnête mon point de vue se justifie par une enfance marquée par la violence paternelle extrême, la maltraitance qu'elle soit verbale, physique, morale et psychologique..
et un frère aîné extrêmement violent qui a déjà été condamnée à du sursis et une obligation de soin pour violence aggravée sur une ex.. toutes les femmes avec qui il a été, il les a battues.. même la mère de son fils.. j'ai coupé les ponts avec lui depuis bien des années déjà..
donc mon opinion des hommes est clairement issue de ma propre histoire.. en somme je n'ai que ma mère..
scoobidoo
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scoobidoo
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Souvent, les garçons reproduisent le comportement du père, surtout si la mère ne s'est pas défendue et n'est pas allée en justice.
A une époque, c'était pratiquement impossible. Pour exemple : mon premier mari m'a touchée une seule fois, j'ai porté plainte avec certificat médical à l'appui, réponse du procureur : s'agissant de coups entre époux et une procédure de divorce étant engagée, aucune suite n'est donnée.
Les choses ont changé, si les coups sont donnés par un conjoint (mari, pacsé, concubin) c'est considéré comme circonstance aggravante comme le fait d'être alcoolisé ou drogué.
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
donc pour moi : homme = violence
et c'est tellement ancré dans les méandres et la profondeur de ma psyché, de ma structure émotionnelle et dans ma rationalité aussi que c'est indéboulonnable en moi.. en plus moi à la violence je réponds par la violence alors bon.. je trouve que le jeu n'en vaut pas la chandelle.. je ne tiens pas à faire un séjour en prison juste parce que j'aurais éclater le visage d'un type qui aura eu le malheur de m'insulter...
Utilisateur désinscrit
Certes mais bon une femme qui mesure 1.50m, je ne vois pas ce qu'elle peut faire concrètement même en terme de démarches pour défendre ses enfants... après ces histoires de répétition je n'y crois pas..
comme dit un militaire dans le film Platoon : un prétexte c'est comme un trou du cul, on en a tous un..
c'est un peu trop facile de dire : mon papa m'a mis des baffes donc je baffe des femmes..
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La prévalence de la violence conjugale (ici aux États-Unis) dépasse celle du diabète, selon cette étude de l'Université du Michigan, représentative au niveau national, et qui marque d’abord avec ce ratio : 1 homme sur cinq aux États-Unis reconnait avoir déjà fait preuve de violence envers son conjoint ou partenaire intime. Seconde conclusion, certains symptômes physiques apparaissent associés à la violence conjugale. Nouveau zoom dans le Journal of the American Board of Family Medicine sur une forme d’agressivité masculine désormais mieux détectable, lors d’examens de routine, grâce à des signes d’alerte dont certains étaient jusque-là inconnus.
L’étude a porté sur les données de 530 hommes âgés de 42 ans en moyenne à 84% professionnellement actifs et de tous niveaux de revenus de la National Comorbidity Survey-Replication (2001-2003), une enquête sur la violence masculine et conjugale et ses caractéristiques. . La violence conjugale a été définie comme pousser, empoigner, bousculer, jeter quelque chose, donner des gifles ou des coups, des coups de pied, mordre, battre, étouffer, brûler ou menacer avec un couteau ou un pistolet.
1 homme sur 5 aux États-Unis reconnait avoir usé de violence à l’égard de sa partenaire intime. Contrairement à ce que les gens racontent sur la violence masculine, en faisant souvent référence à des personnes qu'ils n’ont jamais rencontrées ou à des faits d’actualité, un homme sur 5 au moins l’a déjà pratiquée, et une femme sur 5 l’a donc subie, explique l'auteur principal, le Dr Vijay Singh, du Département de médecine d'urgence et familiale de l'Université du Michigan. Un ratio valable pour toutes les communautés, les ethnies, les niveaux de revenus, et quel que soit le facteur sociodémographique, souligne l’auteur. Pour les Etats-Unis, ces données d’enquête concordent avec les données épidémiologiques : Chaque année, environ 320.000 visites en ambulatoire et 1.200 décès chez les femmes sont dus à la violence conjugale dont les coûts sociaux et de santé sont estimés à 8,3 milliards de dollars.
Une menace détectable :
Car l’étude constate aussi que plus de la moitié des hommes qui s’avouent violents ont passé au moins une visite médicale de routine au cours l’année précédente et près d'un tiers au moins une visite aux urgences. Une opportunité pour le dépistage de ce trouble du comportement, bien que peu de travaux aient été jusque-là réalisés sur la façon d'identifier les auteurs de violence conjugale. Pourtant certains signes bien détectables sont associés au risque de comportement violent. Précisément, l’analyse montre que, si le taux moyen de perpétration de la violence conjugale masculine est de 19,2%,
· le syndrome du côlon irritable est associé à une probabilité double de violence conjugale sur sa partenaire (OR : 2,61),
· l'insomnie, à une probabilité accrue de 33% (OR : 1,33),
· l'abus de substances et la toxicomanie, à une probabilité accrue de 76% (OR : 1,76),
· avoir été victime ou témoin de violence à l‘enfance à une probabilité double (OR, 1,99/2,02).
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