Comment annoncer sa maladie à son nouveau partenaire ?

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Personne ne répondra  Depuis les années 80, je l'ai toujours dit, dès le premier soir, sans détours ni blablas inutiles et aucun refus de la part d'un garçon. J'expliquais ce que cela impliquais pour la personne questions risques. Je n'ai perdu qu'un homme, qui après la rupture d'un préservatif a fait une psychose et nous nous sommes séparés. Ne pas le dire est un crime, retarder l'échéance est une perte de temps. Ce qui m'étonne le plus c'est l'intolérance de cette génération. En 1987 le sida c'était le gros méchant loup, la peste du XXème sciècle et malgré tout les jeunes se soutenaient, avaient une vue trés différente sur le VIH. Les campagnes de préventions n'ont pas fait le bien,  au contraire, par transgression beaucoup on riqué de s'infecter, de tomber malade. Je peux témoigner que malgré mon statut de sidaïque, beaucoup refusaient de se protéger en inventant des excuses abracadabrantes du genre le sida n'existe pas ou que comme je n'étais pas stygmatisées par la maladie eux ne pouvaient rien attraper. Dire blanc devant et faire noir derrière c'est aussi une spécialité de certaines personnes. Le fait que peu le disent entretient un climat malsain que j'ai toujours refusé. Et tant pis si on a pû me regarder de travers ou parler dans mon dos, je ne changerai jamais et celui qui refuse ma maladie, me refuse moi et ne me mérite pas. Maintenant si quelqu'un veut polémiquer sur mes opinions, je l'attend de pied ferme . Je ne demande pas à tout le monde de faire comme moi, mais le partage concerne tous les sujets dans un couple (en formation ou déjà engagé). Amicalement, bonne fin de Week End à tous.

Bonjour Steemic, je suis d'accord avec toi, je le dis à mon futur partenaire dès que ma relation devient sérieuse et personnellement personne n'est parti si ce n'est mon mari, après 10 ans de non protection, nous voulions un enfant, je sais c'est pas bien mais nous étions tous les 2 d'accord, il est toujours négatif et ceux sont les médecins qui lui ont fait peur et depuis il est parti, car nous avions la peur entre nous,même après en utilisant des préservatifs. Aujourd'hui, je le dis toujours dès le début car si nous attendons c'est plus dur à dire après et si la personne doit partir il vaut mieux qu'elle parte dès le début. J'attends avec impatience le vaccin. Bisous à toi et bon courage

Je me souviens il y a 10 ans, je n'avais pas le vih a l'époque, et j'ai rencontré un mec sur un chat, et quand il fallu donner mon adresse, il m'a dit qu'il avait le vih et me demandait si ça me dérangeait. J'ai répondu non et que de toute manière j'utilisais la capote. Nous nous sommes vu et nous avons fait ce que nous avions a faire. Mais, honnêtement même si j'ai refuser de le voir, j'ai quand même senti chez moi une gène. Gène que j'ai du communiquer, je l'ai vu dans les yeux du gars. Non pas gêner d'avoir fait ça avec un mec séropo, mais gêné parce que je me sentais mal a l'aise (ce qui est très con je le sais). Donc, maintenant que je suis dans le rôle inverse de mon expérience passée, je peux mieux comprendre ce que lui a du endurer et avoir a subir ce type de réactions. Réactions non pas de rejet mais de... mal a l'aise. Je n'ai jamais revu ce gars, dommage, j'aurai du chercher a le retrouver. Pour ma part,maintenant, je ne dis pas que j'ai le vih, je dis que je ne suis pas malade (c'est vrai en plus), mais que j'ai un virus sans épiloguer la dessus. De toute manière, il n'y aura rien sans capote, donc le risque est nul. Après chacun fait ce qu'il veut.

Bonjour, 

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bonjour

Quand je le dit des le début le regard s instale une hesitation.........Et plouffffffffff plus personne du coup je lit un livre.Au moin lui il reste..............

Bonjour à tous et à toutes,

Comment allez-vous aujourd'hui ? 

Y a-t-il un bon moment d'annoncer sa maladie au début d'une nouvelle relation ? Comment l'annonce est-elle accueillie selon vos expériences passées ?

Belle journée,

Candice de l'équipe Carenity