Que penser du coronavirus ?

pour le moment, j'ai le covid long

les toubibs ne comprennent toujours pas et mon coeur résiste toujours

Comment le Covid affecte le cœur ? Suite et fin.

 Comment les vaccins réduisent le risque.

Des recherches ont montré que les personnes vaccinées sont environ 40 à 60 % moins susceptibles d’avoir une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral suite à une infection à Covid que celles qui ne sont pas vaccinées. 

Cela peut être dû au fait que les personnes vaccinées sont moins susceptibles de développer un Covid grave, ce qui réduit le risque de bon nombre de ces problèmes cardiaques. Le vaccin peut également aider à protéger le système cardiovasculaire lui-même – en réduisant les effets inflammatoires du Covid, par exemple.

Il existe un faible risque de développer une myocardite (inflammation du muscle cardiaque) dans les semaines qui suivent l’administration d’un vaccin à ARNm Covid fabriqué par Pfizer-BioNTech ou Moderna.

Cependant, le risque de myocardite après avoir eu le Covid est beaucoup plus élevé.

Une étude des Centers for Disease Control and Prevention a rapporté que les hommes âgés de 12 à 29 ans – qui présentent le plus grand risque de complications liées au vaccin – étaient quatre à huit fois plus susceptibles de développer une myocardite suite à une infection à Covid que dans les trois semaines suivant la réception d'une dose. de vaccin.

Pour les hommes de 30 ans et plus, le risque de myocardite était 28 fois plus élevé avec Covid qu’avec le vaccin.

« Bien qu’il soit important de comprendre que cet événement lié au vaccin est réel », a déclaré le Dr Glassberg, « le risque pour votre cœur est beaucoup plus grand avec le Covid qu’avec le vaccin.

* Comment gérer votre risque

Si vous avez récemment eu Covid et que vous présentez des symptômes cardiovasculaires, comme des douleurs thoraciques ou un essoufflement, ou si vous présentez un risque accru de maladie cardiaque, vous devez contacter votre médecin pour lui en informer.

« Je demande à tous mes patients lorsque je les vois : « Avez-vous eu le Covid depuis notre dernière visite ? » », a déclaré le Dr Glassberg. « Mes antennes sont braquées sur ces gens. Je regarde un peu plus leur tension artérielle. Je m’assure de contrôler agressivement leur taux de cholestérol.

Si vous ne présentez aucun facteur de risque et ne présentez aucun symptôme, vous pouvez simplement informer votre médecin que vous avez eu le Covid lors de votre prochain examen annuel. En attendant, assurez-vous d’adopter des comportements sains pour le cœur, comme faire régulièrement de l’exercice et bien manger.

@Alain08 des informations intéressantes et validées !

La saga des vaccins ARNm continue, bientôt la grippe :

Moderna MRNA.O a déclaré mercredi que son vaccin contre la grippe avait généré une réponse immunitaire plus forte contre les quatre souches A et B du virus de la grippe que les vaccins traditionnels dans un essai de phase avancée.

.L'efficacité du vaccin antigrippal de Moderna a été démontrée dans tous les groupes d'âge, y compris les personnes âgées, et s'est avérée sûre et tolérable

Covid-19. Des essais « prometteurs » pour obtenir un vaccin efficace contre tous les variants. ( lu dans Ouest France)

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a indiqué vendredi 8 septembre 2023 avoir participé à une étude qui envisage la piste d’un vaccin efficace contre tous les variants. Les premiers essais sont « prometteurs ».

Une nouvelle avancée dans la lutte contre le Covid-19. Un vaccin pourrait être efficace contre tous les variants, indique une étude publiée dans la revue Frontiers in immunology en juin 2023.

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a indiqué, vendredi 8 septembre 2023, avoir participé aux premiers essais jugés « prometteurs » en collaboration avec l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni (UKHSA), la société française Osivax et le Vaccine Formulation Institute, qui se trouve en Suisse.

« Le vaccin testé est aussi efficace contre la souche originale que contre les variants Delta et Omicron », précise l’Anses sur son site. « Sur les hamsters, ce vaccin a la même efficacité sur tous les variants du virus du Covid-19 étudié », ajoute l’Agence.

Un essai clinique de phase 1 en 2024

La particularité de ce nouveau vaccin se trouve dans sa conception, toujours selon l’Anses : « Il cible la protéine de nucléocapside (N) du virus et non la protéine Spike (S), présente sur l’enveloppe du virus. Cette dernière, plus classiquement utilisée pour développer rapidement un vaccin, a un inconvénient : elle change d’un variant à l’autre 

Bonjour

Je viens de recevoir mon bon de vaccination pour le covid

RDV exécuté !!

COVID : LA CAMPAGNE DE VACCINATION AVANCÉE AU 2 OCTOBRE . .

Face à une hausse de la circulation du virus du Covid-19, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau a décidé d'avancer la campagne de vaccination de deux semaines, au 2 octobre, a-t-il annoncé ce vendredi 15 septembre. 

La vaccination pour les plus fragiles devait initialement s'effectuer en même temps que celle de la grippe, le 17 octobre, mais le ministre va suivre l'avis du Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires (Covars) qui recommande « l’accès au rappel vaccinal dès que possible ».

Vaccins adaptés 

Les futurs vaccinés - en priorité les plus vulnérables - pourront l'être avec des vaccins mis à jour pour cibler la souche XBB du virus, devenue dominante en Europe. 

La Commission européenne vient ainsi d'autoriser le vaccin de Moderna ciblant le sous-variant XBB.1.5 d'Omicron, pour les enfants de plus de 5 ans, et les adultes, après avoir déjà donné son feu vert début septembre à la version actualisée du vaccin de Pfizer-BioNTech.

Si, depuis début mai, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ne considère plus le Covid-19 comme une urgence sanitaire mondiale, le virus continue de circuler dans tous les pays, et de nouvelles souches continuent d'émerger.

Ces deux vaccins, qui offrent plus généralement une meilleure protection contre les autres variants actuellement en circulation et s'administrent en une injection (quelles que soient les précédentes vaccinations reçues), avaient été approuvés ces dernières semaines par l'EMA, le régulateur européen.

Un nouvelle étude sur les troubles cognitifs persistants :

Covid-19 : des "déficits cognitifs" persistants détectés chez des personnes contaminées par le virus, affirme une étude.

Des chercheurs lillois affirment qu'une infection prolongée au Covid-19 peut avoir de lourdes conséquences sur notre cerveau. Les scientifiques ont décelé des "déficits cognitifs" persistants chez des personnes contaminées. 

Des pertes de mémoire, des troubles de l'attention et plus globalement, des dysfonctionnements cérébraux... Au-delà des symptômes de fièvre, de maux de tête et de fatigue, les conséquences d'une contamination au Covid-19 pourraient s'inscrire durablement dans le temps. C'est en tout cas le constat qui a été réalisé par des chercheurs de l’Inserm, du centre hospitalier universitaire et de l’Université de Lille. Dans une étude qualifiée "d'inquiétante", les scientifiques affirment qu'une infection au virus est susceptible d'entraîner des "déficits cognitifs" persistants. 

Dans un communiqué publié ce vendredi 15 septembre, les scientifiques expliquent avoir identifié un type d'hormone qui serait responsable de ces troubles cognitifs, notamment lorsque celui-ci entre en contact avec le virus. Ce type d'hormone – la gonadolibérine (GnRH) – a pour fonction de réguler les fonctions reproductrices humaines comme "la puberté, l’acquisition des caractères sexuels secondaires et la fertilité à l’âge adulte", expliquent les chercheurs. Ces hormones sont créées par des neurones qui se trouvent notre cerveau.

Une "altération" des fonctions des neurones

Les scientifiques lillois ont donc cherché à savoir si une contamination au Covid-19 était susceptible d'avoir des conséquences sur le système cognitif. Ces derniers ont suivi de près un petit groupe de 47 hommes, en analysant  leurs dosages hormonaux trois mois puis un an après leur contamination au virus. "Les scientifiques ont constaté que le contact avec le virus pouvait altérer les fonctions des neurones à GnRH, entraînant une chute du taux de testostérone chez certains patients quelque temps après l’épisode infectieux", explique l'Inserm dans son communiqué. 

Par ailleurs, les anomalies hormonales observées après une infection au virus étaient bel et bien associées à des déficits cognitifs. Des tests approfondis ont été réalisés sur les 47 personnes qui participaient à l'étude : "la proportion de patients signalant des troubles de la mémoire ou de l’attention, quelle que soit leur fréquence ou leur gravité, mais aussi des difficultés de concentration, avait tendance à être légèrement plus élevée chez les patients qui présentaient des dosages hormonaux anormaux, caractérisés par une baisse du taux de testostérone",

Pour aller plus loin, les scientifiques lillois ont scruté l'hypothalamus – une partie du cerveau humain – des personnes qui avaient été contaminées. Des traces de virus ont été identifiées dans cette partie du cerveau : celles-ci seraient responsables de la mort d'une partie des neurones chargés de produire la gonadolibérine. "Ces résultats peuvent être inquiétants sur plusieurs points au regard du rôle de ces neurones dans la reproduction et de leur implication dans certaines fonctions cognitives", déplore Vincent Prévot, directeur de recherche à l’Inserm et coauteur de l'étude. Les scientifiques appellent ainsi à "généraliser le suivi médical des personnes atteintes de symptômes persistants suite à une infection par la Covid-19".

https://www.ladepeche.fr/2023/09/15/covid-19-des-deficits-cognitifs-persistants-detectes-chez-des-personnes-contaminees-par-le-virus-affirme-une-etude-11455652.php

Covid-19 : des "déficits cognitifs" persistants détectés chez des personnes contaminées par le virus, affirme une étude

Des chercheurs lillois affirment qu'une infection prolongée au Covid-19 peut avoir de lourdes conséquences sur notre cerveau. Les scientifiques ont décelé des "déficits cognitifs" persistants chez des personnes...

@Philou75FR la suite, bonne lecture :

Quid des femmes ?

 « Bien qu’il s’agisse de mesures effectuées sur un petit échantillon de patients et uniquement masculins, ces résultats sont très intéressants et mériteraient d’être approfondis dans le cadre d’autres études menées à plus grande échelle », explique Waljit Dhillo, coauteur de cette étude.

Les femmes possèdent aussi un groupe de neurones GnRH, à l’origine de la production d’œstrogène et de progestérone. Elles seraient donc potentiellement concernées par les conséquences d’une infection au Covid au niveau des neurones.

Faut-il s’inquiéter ?

« Ces résultats peuvent être inquiétants sur plusieurs points au regard du rôle de ces neurones dans la reproduction et de leur implication dans certaines fonctions cognitives. Ils pointent la nécessité d’optimiser et de généraliser le suivi médical des personnes atteintes de symptômes persistants suite à une infection par le Covid-19 », estime Vincent Prévot, directeur de recherche à l’Inserm, coauteur de cette étude.Cette altération du fonctionnement des neurones est-elle irréversible ?

Le manque de recul vis-à-vis du Covid pousse les chercheurs à la prudence. « Certains hommes présentaient des déficits de ces neurones à trois mois et tout est revenu à la normale au bout d’un an ». À l’inverse, « d’autres, qui avaient une fonction normale à trois mois, ont eu une détérioration à un an », sans que l’on ne sache pourquoi.

La crainte d’une épidémie de cas d’Alzheimer.

Ce dernier rappelle que le cerveau est « capable de résilience et d’adaptation ». « On peut espérer que même s’il y a moins de neurones, le système arrive à prendre le dessus et à retrouver un bon fonctionnement ».

En revanche, le neuroscientifique est plus réservé sur les conséquences pour les cerveaux déjà fragilisés par des mauvaises connexions entre les neurones. « On ne sait pas si les conséquences du Covid sur les neurones vont s’aggraver, rester stables ou s’améliorer ». Le risque, pour lui, étant de se retrouver face à une épidémie de cas d’Alzheimer.

 l'obsession du dernier mot... je te le laisse 🖐

Sachez le, le dernier mot, c'est MOI qui l'aurait

Je me fais vacciner le lundi 2 Octobre à 8h

J'ai mon RDV

Les recherches concernant les Covids longs s’amplifient, la persistance du virus pourrait contribuer à des conséquences pathologies comme la coagulation, le microbiome . . .

 Des millions de personnes souffrent d'un COVID long ou de séquelles post-aiguës du COVID-19 (PASC).

Plusieurs facteurs biologiques sont apparus comme des moteurs potentiels de la pathologie PASC. Certaines personnes atteintes de PASC peuvent ne pas éliminer complètement le coronavirus SARS-CoV-2 après une infection aiguë. Au lieu de cela, le virus répliquant et/ou l'ARN viral - potentiellement capable d'être traduit pour produire des protéines virales - persistent dans les tissus en tant que "réservoir".

Ce réservoir pourrait moduler les réponses immunitaires de l'hôte ou libérer des protéines virales dans la circulation.

Nous passons ici en revue les études qui ont identifié l'ARN/la protéine du SRAS-CoV-2 ou les réponses immunitaires indiquant un réservoir de SRAS-CoV-2 dans les échantillons de PASC.

Les mécanismes par lesquels un réservoir de SARS-CoV-2 peut contribuer à la pathologie du PASC, y compris la coagulation, le microbiome et les anomalies neuro-immunes, sont décrits.

Nous identifions des priorités de recherche pour guider l'étude plus approfondie d'un réservoir de SARS-CoV-2 dans le PASC, dans le but d'accélérer les essais cliniques d'antiviraux ou d'autres thérapeutiques ayant le potentiel d'éliminer un réservoir de SARS-CoV-2. «