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Que penser du coronavirus ?
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Les soignants non vaccinés contre le Covid pourraient être réintégrés. La Haute autorité de santé (HAS) vient de donner un avis temporaire en ce sens. Elle réserve un avis définitif pour fin mars, quand certains cumuleront donc 18 mois de suspension de travail. Ceux qui sont concernés n'entendent pas pour autant stopper leurs actions en cours de route.
La Dépêche - 27/03/2023
chatdoc
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Quelques semaines après l’entrée en vigueur de l’obligation vaccinale en 2021, les autorités sanitaires estimaient à 15 000 le nombre de personnels soignants et non soignants qui seraient probablement suspendus.
Un an plus tard, finalement, leur nombre réel est bien moins important : le ministre de la Santé François Braun évoquait début novembre « 1 050 infirmiers, un chiffre donné par le président de l’Ordre des infirmiers, sur 300 000 » environ.
Et dans les Ehpad, « 100 infirmières seraient concernées, soit en moyenne une pour 70 Ehpad ».
Sans oublier quelque 75 médecins et pharmaciens, sur 85 000 en exercice, comme a récemment précisé le porte-parole du gouvernement Olivier Véran.«
Il faut ramener le débat à sa juste place » remarque la Fédération hospitalière de France, « nos enquêtes chiffrent à 4 000 le nombre de professionnels suspendus sur un total de 1,2 million d’agents. Ce n’est pas avec cette mesure (NDLR : de réintégration), susceptible de créer des tensions sur le terrain, que l’on va régler le problème de ressources humaines qui affecte nos établissements depuis des années. » La fédération ajoute que cette mesure serait « un très mauvais signal aux personnels hospitaliers vaccinés qui sont, eux, tout à fait défavorables à ces réintégrations
Moins de 1 pour mille médecins ou pharmaciens !!
Beaucoup aurait pu se faire vacciner, ce qui aurait été important pour eux, pour leurs collègues, pour leurs patients en étant un exemple.
En effet comme l’ont montré de très nombreuses études de qualité ont prouvé que les vaccins diminuaient de façon importante le nombre de malades graves du Covid, d’hospitalisation en soins critiques et en réanimation et aussi de décès (estimé à plus de 150 000 en France) !!
Et si, l’éthique existe particulièrement en Médecine !!!
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Chatdoc
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@bibimet75 oui.. hormonothérapie il y a 18 jours et ce matin la deuxième radiothérapie... J'ai attaqué la première hier pour mon anniversaire 🤣
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@Philou75FR Tu le prends avec le sourire, mais je me doute que ce n'est pas facile. ET.... un Joyeux Anniversaire en te souhaitant une meilleure santé après ce traitement 🌺
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@bibimet75 Merci beaucoup... En fait je le prends très bien comme tout ce qui arrive...je trouve que c'est une expérience intéressante ! J'avais ressenti la même chose quand j'ai eu mon cancer... Aucune angoisse
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@Philou75FR Tant mieux 👍 la sérénité, c'est tout bénéfice pour recouvrer la santé 🌺
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L’Ethique en Médecine :
Un lien, qui pourrait servir de base pour parler de ce sujet:
Un extrait :
« La bienfaisance et la non malfaisance découlent directement de la tradition médicale. Dans sa conception hippocratique, la relation soignants-soignés se fonde sur la morale aristotélicienne et sur le « primum non nocere » (7). Historiquement, l’action médicale ayant pour finalité de faire du bien, en s’abstenant de nuire, elle se réfère au principe de bienfaisance ; il s’agit d’un principe moral selon lequel on fait ce qui est avantageux pour un patient.
Ceci suppose que l’action médicale se veut forcément bonne par nature. Ceci suppose aussi qu’un acte médical soit validé médicalement (on dirait aujourd’hui scientifiquement) et qu’il ait fait ses preuves au sens positif du terme. Mais comme tel n’est pas toujours le cas et que la balance bénéfice/risque peut être incertaine, on adjoint au principe de bienfaisance celui de non malfaisance ; car en effet le risque de nuire à un patient peut exister. Il faut le prendre en considération, le mettre en balance. »
https://www.espace-ethique-normandie.fr/9531/
Principes et fondements de l’éthique médicale et de l’argumentation éthique d’une décision - EREN
Les questions induites dans la pratique médicale par l’évolution de la science et de notre société imposent une réflexion individuelle et collective qui permet de penser les conséquences des décisions et d’arbitrer des choix parfois complexes dans les pratiques de soins ou l’organisation du système de santé. Pr Grégoire Moutel & Guillaume Grandazzi
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Chatdoc
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LES PRINCIPES ÉTHIQUES DE LA CHARTE EUROPÉENNE
Principe 1. Le médecin défend la santé physique et mentale de l'homme. Il soulage la souffrance dans le respect de la vie et de la dignité de la personne humaine sans aucune discrimination, de quelque nature qu'elle soit, en temps de paix comme en temps de guerre.
Principe 2. Le médecin s'engage à donner la priorité aux intérêts de santé du malade.
Principe 3. Le médecin donne au malade, sans aucune discrimination, les soins indispensables les plus appropriés.
Principe 4. Le médecin tient compte du cadre de vie et de travail du patient comme éléments déterminants de sa santé.
Principe 5. Le médecin est le confident nécessaire du patient. Il trahit sa confiance en révélant ce qu'il a appris de lui.
Principe 6. Le médecin utilise ses connaissances professionnelles pour améliorer ou maintenir la santé de ceux qui se confient à lui, à leur demande ; en aucun cas il ne peut agir à leur détriment.
Principe 7. Le médecin fait appel à toutes les ressources des sciences médicales pour les appliquer d'une manière adéquate à son patient.
Principe 8. Dans le respect de l'autonomie de la personne, le médecin agit selon le principe d'efficacité du traitement en prenant en considération l'utilisation équitable des ressources.
Principe 9. La protection de la santé s'accompagne de la recherche constante du maintien de l'intégrité de la personne.
Principe 10. Le médecin n'admet pas des actes de torture ou autre forme de traitements cruels, inhumains ou dégradants quels que soient les arguments, et ce, dans toutes les situations y compris en cas de conflit civil ou militaire. Il n'y assiste jamais, ni n'y participe.
Principe 11. Le médecin, qu'il intervienne comme simple praticien auprès d'un malade, comme expert ou comme membre d'une institution, veille à la plus grande transparence sur ce qui apparaîtrait comme un conflit d'intérêt et agit en toute indépendance morale et technique.
Principe 12. Si les conditions morales et techniques ne permettent pas au médecin d'agir en toute indépendance, le médecin en informe le malade. Le droit aux soins du patient doit être garanti.
Principe 13. Lorsqu'un médecin décide de participer à un refus collectif organisé de soins, il n'est pas dispensé de ses obligations éthiques vis-à-vis des malades à qui il garantit les soins urgents et ceux nécessaires aux malades en traitement.
Principe 14. Le médecin n'a pas à satisfaire des demandes de soin qu'il n'approuve pas. Cependant, l'exercice de la médecine implique le respect de la vie, de l'autonomie morale et du libre choix du patient.
Principe 15. Le médecin exerce sa profession envers lui-même et autrui, avec conscience, dignité et indépendance.
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@kanpanstu Merci ton excellente remarque de 13h03 🌺
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@maritima oui mais il est aussi simple de relayer un appel aux dons sans mettre en avant le sien.
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@kanpanstu ......très équivoque votre façon de dire .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Moi je trouve que c'est on ne peut plus limpide 🙂
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La Haute Autorité de santé publie la première partie de ses travaux relatifs aux obligations et recommandations vaccinales des professionnels.
Ce premier volet est consacré aux vaccins pour lesquels une obligation est actuellement en vigueur (Covid-19, diphtérie, tétanos, poliomyélite et hépatite B). La HAS préconise que la vaccination contre la Covid-19 soit fortement recommandée pour les professionnels. La vaccination contre la diphtérie, le tétanos, et la poliomyélite est également fortement recommandée pour les étudiants et les professionnels, sauf à Mayotte où elle devrait rester obligatoire. Elle préconise enfin le maintien de l’obligation vaccinale pour l’hépatite B, et son extension aux professionnels libéraux.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE - 30 mars 2023
- Un avis intelligent qui laisse le choix pour la vaccination contre le Covid qui devient une pathologie au niveau de la grippe -
Entre 2.000 et 4.000 soignants sont en ce moment suspendus car non-vaccinés contre le Covid-19, selon les estimations. La Haute autorité de santé (HAS) préconise de lever l'obligation vaccinale des soignants. Et le ministre de la Santé François Braun annonce qu'il "suivra l'avis" de la HAS.
AFP - 30 mars 2023
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@bibimet75 réf 10h20...."Des propos caricaturaux ne sont pas convainquants"
Je réponds à d'autres caricatures dont la votre 🤓
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Ce n'est pas ce qu'on peut lire... 😉
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@bibimet75
Vous n'avez pas bien lu ... 😉
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Des résultats très rassurants au sujet du vaccin bivalent :
l'étude française réalisée par EpiPhare, basée sur les données de l'Assurance maladie et l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, balaie ces doutes.
Que dit l'étude?
Première donnée rassurante: il n'y avait aucune preuve d'une augmentation du risque de faire un AVC après un vaccin monovalent. L'étude publiée porte sur près de 500 000 Français. "Toutes les personnes âgées de 50 ans ou plus et ayant reçu une dose de rappel entre le 6 octobre et le 9 novembre 2022 ont été incluses dans l'étude, précise l'article paru dans le New England Journal of Medicine. Cette fenêtre temporelle correspond à la seule période pendant laquelle les deux vaccins ont été administrés en France." Résultat? Grâce au suivi des deux groupes, l'étude assure qu'il n'y a aucun risque accru de faire un AVC avec le vaccin bivalent par rapport au vaccin monovalent. Et les résultats vont au-delà. En effet, 21 jours après l'injection, "nous n'avons trouvé aucune preuve d'un risque accru d'événements cardiovasculaires chez les receveurs du vaccin bivalent par rapport aux receveurs du vaccin monovalent", poursuivent les chercheurs. Sachant que les événements cardiovasculaires comprenaient les AVC ischémiques, hémorragiques, l'infarctus du myocarde, l'embolie pulmonaire et les quatre événements combinés.
Les autorités sanitaires françaises peuvent donc continuer à recommander les derniers vaccins, tous bivalents, à toutes les personnes vulnérables.
Covid-19: le vaccin bivalent n'est pas plus dangereux que le vaccin...
Une étude française parue fin mars prouve que les vaccins bivalents, qui ciblent deux souches du coronavirus, ne provoquent pas un risque accru d'avoir un AVC chez les seniors. Un résultat rassurant, alors que l'OMS confirme que les rappels sont importants dans cette population.
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La France était l’un des deux derniers pays européens, avec la Hongrie, à ne pas avoir réintégré les soignants non vaccinés contre la Covid.
Covid-19 : les soignants non vaccinés vont être réintégrés, confirme le ministère de la Santé
Le gouvernement a annoncé la levée de l’obligation vaccinale des soignants, suivant un avis de la Haute Autorité de Santé. De cette décision, découle la réintégration des soignants non vaccinés, a confirmé l’entourage du ministre de la Santé. Mais les modalités doivent encore être précisées.
Covid-19 : les soignants non vaccinés vont être réintégrés, confirme le ministère de la Santé
Le gouvernement a annoncé la levée de l’obligation vaccinale des soignants, suivant un avis de la Haute Autorité de Santé. De cette décision, découle la réintégration des soignants non vaccinés, a confirmé l’entourage du ministre de la Santé. Mais les modalités doivent encore être précisées.
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@maritima tout à fait et cela n'a aucun rapport... C'est juste une question de bénéfices/ risques sans mettre de côté ce risque qui existe...
Ceci dit, je ne suis pas opéré car c'est inopérable !
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Cf votre 23h35 d'hier ....
Bonjour @Philou75FR et ...... si les suites sont maintenant inopérables , au temps pour moi si je me suis trompée car il me semblait bien que vous aviez subi une opération en septembre 2021 mais peut-être n'était-ce pas en France...... ????
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@maritima En effet j'ai été opéré par robotique à Montsouris en 2021, ma cœlioscopie limitant les risques... a présent ce sont 3 métastases osseuses non opérables, donc le parcours est différent 😉 mais tout aussi intéressant !
(Je note également qu'en France, pour avoir accès à certains dépistages, il faut se battre ! C'est ce que j'ai encore pu vérifier ayant été obligé de remplir le dossier médical par moi-même pour un Pet-Scan spécifique et de le signer, sous couvert de l'hôpital, en tant que Médecin nucléaire/Cancérologue en Thaïlande ! Personne en France ne voulait me remplir le dossier et surtout le signer, me disant que cela ne servirait à rien pour un dépistage de métastases ! En fait le gros problème, c'est qu'on enseigne et suit ensuite un protocole basé sur des statistiques et que le corps médical est infoutu de prendre du recul au cas par cas ! On me soutenait à Montsouris que si j'avais des métastases, elle pouvaient être statistiquement osseuses à moins de 10% alors que je remplissais les conditions pour du >90%!)
Mais là, on s'éloigne vraiment su sujet initiale ;-)
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@Philou75FR ..... effectivement , l'essentiel restant que le traitement que vous suivez devrait ralentir la croissance des métastases lesquelles quand elles existent comme suites de la pathologie qui vous concerne sont à 90% osseuses .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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la loi rist, qui n'avait pas été appliquée à cause du covid, destinée à plafonner le montant des indemnités pour les médecins intérimaires, va prochainement être appliquée par le ministre de la santé. Le gros souci est que cette loi ne va concerner que le secteur public, ce qui veut dire que cela va aggraver la situation des hôpitaux qui auront de plus en plus de difficultés à compenser le manque de médecins, ne serait-ce que dans les urgences. On voudrait faire disparaître l'hospitalisation publique au profit de la privée qu'on ne s'y prendrait pas mieux, mais peut-être est-ce l'objectif réel de cette loi...
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@kanpanstu ..... votre 13h44 .....ou peut-être cette loi a -t-elle été conçue pour limiter les dérives du système actuel sachant qu' une garde de 24 h peut être payée 2 000 €, 3 000 € voire plus . No comment et 'ajoute qu'il est des hôpitaux où les médecins embauchés sont quasiment tous à temps partiel pour pouvoir pratiquer en tant qu’intérimaire ailleurs ( plus gratifiant ...évidemment )
Bref.... une loi " double face" ..... dont les patients paieront le prix tant que les effets de la suppression du numérus clausus ne se produiront pas ( il faudra compter 10 ans d'attente : le temps de formation en Fac. des futurs médecins )
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@maritima le 01/04 à 14h29, je ne critique pas le bien fondé de cette loi supposément destinée à mettre fin aux abus que vous citez à juste raison, mais l'appliquer uniquement au secteur public est clairement favoriser le secteur médical privé mercantile qui n'aura aucun mal à trouver des médecins intérimaires par rapport à l'hôpital public qui n'en trouvera plus guère. C'est incompréhensible et dangereux pour les patients , principalement ceux entrant en urgence, service nettement moins assuré dans le secteur privé.
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@kanpanstu .....votre 22h16 .....
Si vous avez une solution , perso je n'en vois guère avant longtemps ! Et ..... opposer hôpitaux publics et cliniques privées n'a plus, à présent, l'évidence de jadis d'autant que ce sont souvent les mêmes médecins qui y exercent . Et quant aux suppléments d'honoraires demandés aux patients ( aspect mercantile ? ), ils ne sont pas seulement l'apanage des cliniques privées .
Pour en revenir à la loi Rist , rien ne dit que certaines cliniques privées ne vont pas l'appliquer ou s'en inspirer après qqs comptes d'apothicaire .
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Pour mettre les chiffres français en perspective :
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis estiment que 5 % de toutes les admissions à l'hôpital entraînent une infection liée aux soins de santé, aboutissant à environ 722 000 infections et 75 000 décès chaque année, ainsi qu'à un surcoût de 28 à 33 milliards de dollars.14 août 2020.
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@chatdoc votre 17h36, idem en France , 5% des patients hospitalisés selon l'inserm , comme aux usa.
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Ca va pouvoir changer.... grâce à la décision prise par la HAS ce 31 mars:
- Une généraliste suspendue à Carmaux faute de vaccin, 1.300 patients sans médecin - Depuis fin janvier, 1.300 patients se retrouvent sans médecin à Carmaux (Tarn). Leur généraliste a été suspendue par l’ARS car elle n'est pas vaccinée contre le Covid-19. Un collectif multiplie les actions pour tenter de trouver des solutions et pose la question de la réintégration des soignants.
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Refuser un vaccin ARNm mais en accepter un autre évitait d'être suspendu .
Ne pas oublier que c'est le refus de vaccination qui entrainait la suspension pas le choix du vaccin !
ET ..... si la HAS recommandait de privilégier l’utilisation des vaccins à ARNm , je n'ai pas constaté qu'elle les imposait .
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Tout cela est évident.
Concernant la généraliste de Carmaux, je vous fais remarquer que jusqu'à mi-janvier 2023 où elle a attrapé le Covid, elle n'était pas vaccinée... alors que l'obligation existait depuis des mois et des mois.
Entre sa promesse "je veux bien le faire" (mais ce ne sera plus obligatoire !!) et sa non-vaccination jusqu'à ce jour, je crois vraiment pouvoir dire que son profil est celui de nombreux soignants qui ont refusé les vaccins à ARNm et peut-être même tous les vaccins anti-Covid.
Son cas n'est pas si particulier que ce que votre commentaire du 2/04 à 20h58 voulait le laisser penser, au début de cet échange.
Tel a été son choix ... plutôt judicieux, qui lui a permis de soigner ses patients jusque -là.
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Pour info ...... cette généraliste avait déjà été contaminée par le covid et donc ..... 1ère suspension temporaire en attendant de pouvoir se faire vacciner quand , jouant le malheur ,elle rattrape de nouveau le covid et ..... fin janvier, elle se voit à nouveau interdite d’exercer .
"« Pas vaccinable, je suis vraiment dans la m…, et surtout mes patients », ponctuait - elle mardi 28 février
Par ailleurs Le 22 février, D. Jaffre, ( directeur de l'ARS ) avait déjà écrit au docteur, répondant à une demande de dérogation faite le 7 février, pour lui signifier que n’ayant pas fourni la preuve de [sa] vaccination nulle dérogation n’était possible et qu'il informait le Procureur de cette situation
Je maintiens donc que ce cas est particulier .
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Pas si particulier puisque... n’ayant pas fourni la preuve de [sa] vaccination !
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Le masque est de plus en plus présent dans les media, devrons nous le porter bientôt dans la rue, les transports, en forêt, à la plage ?
Mais est-il utile, nécessaire, indispensable, incontournable ?