Que penser du coronavirus ?

Bronchiolite :

L’épidémie ne faiblit pas, les hospitalisations augmentent

 La bronchiolite frappe cette année les bébés français d’une manière sans précédent depuis une dizaine d’années

Face à la crise du coronavirus, l’humour des imbéciles font de la résistance

La variante Omicron du COVID-19 fête en quelque sorte son anniversaire. Il y a un an aujourd'hui, elle a été étiquetée "variant préoccupant » par l'Organisation mondiale de la santé.

Depuis lors, l'OMS n'a pas nommé d'autres COV, mais seulement des sous-variants d'Omicron avec un enchevêtrement de lettres, de points et de chiffres pour les identifier. Les plus répandus actuellement sont BQ.1 et BQ.1.1, parfois appelés "les BQ".

Initialement identifiés au Botswana et en Afrique du Sud, les scientifiques ont ensuite réalisé que les premiers cas connus d'Omicron se sont produits aux Pays-Bas, résume Yale Medicine. Le CDC a confirmé le premier cas américain en Californie le 1er décembre 2021. De nombreux chercheurs émettent l'hypothèse qu'Omicron "est apparu chez une seule personne, peut-être avec un système immunitaire compromis, qui a eu un cas chronique de Covid qui a duré des mois", a rapporté le New York Times. 

À partir de décembre 2021 et jusqu'au début de la nouvelle année, la forte transmissibilité d'Omicron a fait grimper les cas à des niveaux records.

"Les pays qui avaient jusqu'alors réussi à tenir le COVID-19 à distance grâce à des mesures de santé publique et des mesures sociales se retrouvaient maintenant à la peine", résume l'OMS dans un article rétrospectif sur Omicron. « Pour les individus, le plus grand prix a été payé par ceux qui risquaient de contracter une maladie grave mais qui n'étaient pas vaccinés, et nous avons vu les hospitalisations et les décès augmenter dans un certain nombre d'endroits dans le monde."

Le nombre considérable de cas a créé de nombreuses opportunités pour le virus d'évoluer. Aujourd'hui, il existe plus de 500 sous-lignées connues d'Omicron.

Les experts du COVID-19 ont déclaré au Times qu'ils espéraient que les leçons apprises par les communautés scientifiques et de santé publique permettraient au monde d'être bien équipé pour faire face à tout ce que le virus a en réserve, et peut-être même de prévoir ses prochains mouvements.

@Alain08 pour mieux comprendre le rôle des variants sur l’évolution de la pandémie !!

Bretagne :

Covid, grippe et bronchiolite…

Le plan blanc déclenché dans plusieurs hôpitaux  L’Agence régionale de santé alerte la population sur la nécessité de porter le masque dans les transports en commun

Grippe aviaire:

près de 1,3 million de volailles abattues en quatre mois

La 9eme vague arrive et, avec l’épidémie de grippe, la fin de l’année s’annonce difficile ! Le retour du masque dans certains lieux est très probable.

De plus, la campagne de vaccination pour le second rappel contre le Covid-19 devrait s’accélérer : les vaccins bivalents sont désormais ouverts à tous les publics, bien au-delà des personnes fragiles!!

Le ministère de la Santé a donc suivi les recommandations de la HAS en priorisant les publics à vacciner :

• les personnes de plus de 60 ans, les femmes enceintes, les adultes à risque de forme grave et leur entourage (dès 6 mois après le dernier rappel) ; ainsi que les personnes de plus de 80 ans, les résidents en Ehpad et USLD et les personnes immunodéprimées (dès 3 mois après le dernier rappel ou la dernière infection).
• Et, c’est désormais officiel : « une personne jeune, sans comorbidité, qui voit régulièrement des proches dans la cible est donc éligible » souligne une note du ministère de la Santé cette semaine. Et pour les personnes ayant été récemment infectées, un délai de trois mois avant vaccination est recommandé.

https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/vaccin/covid-19-quels-sont-les-vaccins-pour-les-doses-de-rappel-pour-quel-public-et-comment-en-beneficier-13188586.php

Covid-19 : quels sont les vaccins pour les doses de rappel ? Pour quel public ? Et comment en bénéficier ?

La campagne de vaccination pour le second rappel contre le Covid-19 devrait s’accélérer : les vaccins bivalents sont désormais ouverts à tous les publics, bien au-delà des personnes fragiles. Mode d’emploi

Je trouve intéressant de connaître le pourcentage des vaccinés 2ème rappel en fonction de l'âge, tout comme ceux qui ont publié ces chiffres (sinon nous n'y aurions pas accès.):

42 % des 75 ans et plus ont reçu le second rappel.

33% des 65-74 ans et à peine 13 % des 50-64 ans.

2 % des 30-49 ans ont eu le second rappel.

Et 1 % des 18-29 ans.

... Intéressant de remarquer que ce pourcentage est proportionnel aux risques cumulés avec l'âge de faire peut-être une forme grave du Covid.

L’avis de 2 experts sur qui doit se faire vacciner : La population cible :

Colas Tcherakian –Les plus de 60 ans parce que cela reste la population la plus à risque. Et après vous avez toujours les mêmes catégories de patients qui sont les multi-comorbides, les déficits immunitaires, les femmes enceintes qui font des formes plus graves… Bref, c’est cette population qu’on connaît depuis le départ de l’histoire du COVID, qui reste la population élective.

Benjamin Davido – Cela me permet de rebondir, parce que ce que tu as dit est très important : les femmes enceintes qui sont souvent oubliées. Et par définition, les femmes enceintes sont des femmes jeunes.

Et puis cette définition avec laquelle on a beaucoup de mal dans la rapidité ou dans l’inconscient collectif des patients, c’est celle des comorbidités.

. D’abord cela représente 15 à 20 millions de Français – on l’oublie – et quelqu’un qui a fait un infarctus, qui est cardiaque, qui est suivi pour de l’hypertension sévère, qui est asthmatique – et on l’a bien vu, notamment avec l’Omicron – sont des gens qui doivent se faire vacciner et donc probablement consulter leur médecin pour avoir un avis particulier.

Parce que c’est vrai que la différence est qu’à un moment donné on a statué sur le fait qu’on vaccinait tout le monde, et donc les comorbidités, sans dire qu’elles arrivaient au deuxième plan, étaient parfois méconnues des patients et qu’on peut avoir des pathologies générales et être une excellente cible de cette vaccination.

Colas Tcherakian – Nous l’avons vu dans la fibrose pulmonaire… Il y a plein de gens qui avaient des petites fibroses pulmonaires qui allaient très bien et qui se sont retrouvés dans des états catastrophiques, hospitalisés, avec une exacerbation de fibrose. Donc c’est vrai qu’on ne se sait pas toujours malade. C’est un des vrais problèmes.

Covid-19 en Ile-de-France :

Le rebond épidémique est là, et ce n’est pas rassurant

 Alors que les températures plongent, le nombre de cas positifs de Covid-19 augmente sensiblement en Ile-de-France

9e vague de Covid : cas positifs, hospitalisations…

Tous les indicateurs en forte hausse« Un renforcement de la vaccination s’impose » et « l’adhésion aux gestes barrière, dont le port du masque, devrait être accentuée pour protéger les plus vulnérables », écrit Santé publique France dans son rapport hebdomadaire.

« Il nous reste trois semaines effectives avant Noël, c’est maintenant que la vaccination se joue pour garantir une protection la plus forte possible, passer de bonnes fêtes de fin d’année et éviter une saturation des structures hospitalières ! », exhortait mardi le ministère de la Santé.

@bibimet75 ce rapport hebdomadaire vous a échappé !! ou plutôt . . .

9e vague de Covid : cas positifs, hospitalisations… Tous les indicateurs en forte hausse

« Un renforcement de la vaccination s’impose » et « l’adhésion aux gestes barrière, dont le port du masque, devrait être accentuée pour prot