Patients Trouble bipolaire
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Bon bon bon,
j'ai lu les deux dernières pages, à part grosso-modo chantre75 qui s'en sort très bien et peut-être une autre personne, sans médicaments, l'essentiel de ce qui ressort est que souvent la rechute arrive tôt ou tard. Donc visiblement mieux vaut continuer sinon patatra
Ce qui est compliqué dans tous les témoignages c'est que nous sommes tous bipolaires ok, mais que chacun a sa forme spécifique et surtout son degré d'intensité ds les phases de changement d'humeur.
Peut-être que Chantre75 a-t-elle une forme très soft de la maladie bipo?
Ou sa vie sous tous ses aspects : familial, entourage affectif, situation financière et professionnelle, etc sont tellement solides et épanouissements, structurants que l'absence de médicament est plus facile à gérer? (seul elle le sait)
c'est compliqué lorsqu'on cherche une réponse pour s'orienter personnellement du coup. Sur quoi se fier. (?)
sur notre petite lumière intérieure, oui, écouter son corps et faire une "comparaison mieux-être" de sans et avec médicaments?
d'accord, mais j'ai l'impression, enfin j'vais parler pour moi, qu'il y a une part de déni dans l'acceptation de la maladie sous-jacente, et que parfois on est tenté de suivre la pente de celles et ceux qui s'en sortent sans médicaments aucuns. En se disant oh, pourquoi pas moi, surtout si les effets secondaires sont lourds.
deux autres choses dont j'ai envie de parler :
à partir de quand on sait si le médicament n'est pas adapté puisque les effets secondaires s'estompent voire disparaissent plus ou moins lentement selon les cas?
Et donc à partir de quand en essayer un nouveau?
Ou est-ce que ce n'est pas plutôt un complément à apporter?
Ce sont les psychiatres que l'on consulte qui sont le plus appropriés pour en juger?
j'en doute vu mon expérience perso, je suis sûre qu'il tâtonnent avec tous, évidemment en fonction du retour de ce qu'on vit.
et enfin nous ne sommes pas à égalité au niveau de la tolérance des médicaments donc ceux qui sont bipolaires et ayant un organisme qui supportent mal les neurolept et thymo sont doublement pénalisés.
j'suis pas en train de faire une échelle de valeur du style toi tu souffres moins que moi etc (ça n'a aucun sens et personne ne pourra jamais être dans l'esprit et le corps d'un autre), mais j'pense que c'est pour cela, entre autres, que certains flancheront plus facilement vers l'arrêt d'un ttt vraiment mal supporté et auront plus de mal avec l'acceptation de la maladie.
peut-être je me trompe ou ma vision des choses ne prends pas en compte d'autres éléments, mais j'voulais partager ces sensations avec vous.
mistikelfe
Bon conseiller
mistikelfe
Dernière activité le 27/08/2016 à 10:39
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Iseult tu as entièrement raison tous dépend de l'acceptation de la maladie et de la tolérance aux médocs maintenant dire que sans médoc on peut être tranquille non on gère si on connaît parfaitement sa maladie (c'est mon cas) mais tout évènement extérieur peut nous déstabilisé et nous plongé dans l'enfer vivre sans médoc c'est possible mais comme tu l'as si bien remarqué il faut vraiment avoir beaucoup de stabilité (financière, sentimentale, sociale) et je pense que tous ca est dans un monde utopique.
chantre75 tu nous dis que nous nous centrons trop sur notre nombril je ne pense nous sommes malade au même titre que quelqu'un qui a un cancer ou une maladie orpheline ce n'est pas une question de douleur c'est une question d'acceptation de la maladie une reconnaissance tu juge les bipo en disant qu'on se centre trop sur nous pourquoi ne pouvons nous pas le faire? combien d'association se crées pour le cancer pour mucoviscidose mais rien pour les bipo ou les schizophrènes les maladies psychique sont ignorés et pourtant combien souffre et meurent sans la moindre reconnaissance. le psychique fait peur alors ont l'ignore et nous ne l'acceptons pas
bizous a tous
une bipo déjanté
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a chaque jour suffit sa peine
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mistikelfe,
Dans un monde utopique j'irai pas jusque là mais c'est sûr que les cas de bipolaires où tout va bien dans tous les domaines sont rares, y'a souvent le bas qui blesse quelque part (moi instabilité partout, hop-là c'est réglé) ;-)
D'ailleurs je rebondis sur ce que tu dis : le psychique fait peur, oui les bipolaires font fuir, les schizophrènes aussi (entres autres)
certains ont la chance d'avoir un entourage plus compréhensif que d'autres, moi ce que je remarque c'est qu'on me préfère en hypomanie que sous traitement, c'est terrible ça.
Une connaissance à moi (une des deux qu'il me reste^^) a l'air d'insinuer qu'il faudrait que j'arrête les cachetons et que les psychiatres pensent trop "médocs" tout le temps, j'abonde dans ce sens dans certains cas, mais pour nous c'est un peu incontournable visiblement à part cas exceptionnel (9 ans sans rien du tout ça m'fait rêver).
(j'lui ai expliquée qu'j'étais pas maso, et comme n'importe quelle autre personne normalement constituée, j'aimerais me passer de ces médicaments aux effets secondaires tjs très très lourds, bin y'a rien à faire : il croit que j'suis lobotomisée par le discours de la psychiatrie occidentale, alors que j'suis très très méfiante, ayant eu jusqu'à présent que de mauvaises expériences avec les neuro et thymo, ce dernier étant encore testé un mois et j'lâche l'affaire si pas moins d'effets indésirables)
bonne soirée à tous
grand pere
Bon conseiller
grand pere
Dernière activité le 08/11/2024 à 17:31
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J-ai eu une expérience intéressante durant mes 4 années d'HP (par tranche de 6 mois maxi)chargé comme un petit LU, plombé de médocs, j'ai dit au médecin/d'accord je suis fou, j'accepte de rester à l'asile, ...mais ..on a le droit de choisir sa mort...donc j'arrête tout traitement d'un seul coup...résultat , au bon milieu d'une partie d'échecs avec un infirmier, tout le sang m'est remonté au cerveau, j'étais écarlate, j'avais chaud...et le médecin psychiatre m'a prié de reprendre mon traitement, ce que j"ai fait ...c'était en 1985...je risquais simplement une destruction du cerveau par amas de sang...tout ça pour vous dire que nos pilules ne sont pas anodines...à la question à mon psy, "quel est l-influence des médicaments sur le vieillissement du cerveau ?"(j'ai 56 ans) mon psy après un long silence m'a répondu:"Ca serait mieux sans la maladie et sans les médicaments"...il nous faut faire avec....au moins pire...A ma dernière hospitalisation en UHP il y a 2 ans, je me suis poser la question qu'est-ce que m'apporte une nouvelle journée d'hôpital et qu'est-ce que m'apporte mon traitement "effaceur de rêves"..ma réponse était rien et je suis sorti avec l'accord du médecin...la vie est faite de choix, la qualité de notre vie mise à mal par les effets secondaires de nos médicaments, nous pousse à nous poser cette simple question est-ce ue ça vaut le coup d'être parfois si mal...à vous de trouvez votre réponse, la mienne est oui car elle m'a apporté une stabilité familiale et professionnelle depuis 23 ans...j'ai eu de la chance , vous pouvez en avoir aussi, je vous le souhaite...
Philippe
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grand père
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Merci Philippe pour ce que tu nous apprends :
je me demande ce que tu prenais parce que c'est pas rien ton expérience,
tu nous expliques que pour ton cas, avoir arrêté tout d'un coup était super dangereux pour ton cerveau.
sur la dizaine de cas qui me reviennent à l'esprit là tout de suite, le retour essentiel étaient le sevrage très dur, comme après arrêt de drogues dures, et souvent une rechute pour la majorité des cas (au bout de six mois, 2 ou 3 ans, et ici chantre75 vit très bien sans médocs depuis 9 ans !!) mais en aucun cas parlaient de danger vitaux, ou si graves, d'ailleurs ici non plus mis à part toi.
"quel est l-influence des médicaments sur le vieillissement du cerveau ?"(j'ai 56 ans) mon psy après un long silence m'a répondu:"Ca serait mieux sans la maladie et sans les médicaments"... Tu vois ça Philippe, ça me pousserait à arrêter, j'ai énormément de mal à accepter d'être malade et en plus d'e m'abîmer le cerveau via les médicaments y'a franchement de quoi être révoltée. Double peine!!
Si j'commence à me demander s'il faut que j'arrête les médicaments c'est que clairement j'peux quasi plus sortir le soir depuis eux, (enfin lui) ça m'a isolé, franchement ça me stabilise mais ça détruit tout le reste alors à choisir? (c'est absurde là, j'tiens parce qu'une nana à tenu un mois de plus que moi et que tout était quasi parti)
La molécule me stabilise les effets secondaires me détruisent (enfin y'a plus rien qui avance du tout)
et en plus j'ai l'impression d'être un rat de labo depuis quatre ans, j'en ai marre d'essayer différentes molécules, j'te dis on est vraiment pas à égalité, ceux qui ne supportent que très mal ces molécules puissantes et dont je fais partie auront plus facilement tendance à "lâcher l'affaire" et ce n'est effectivement pas sans danger (le taux de suicide est assez élevé chez les bipolaires...)
grand pere
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grand pere
Dernière activité le 08/11/2024 à 17:31
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Bonsoir Iseult,
Il nous faut absolument garder une vie sociale, même si la maladie fait le vide autour de nous , mais il faut reconnaître que l'arrêt d'un traitement doit être progressive et en accord avec son Psy, pour ma part mes 21 ans de mariage et mes 23 ans de travail dans la même société n'auraient pas été possibles sans traitements, je vous souhaite de trouver avec votre Psy le traitement qui vous convient et de pouvoir dire comme moi, malgré ma bipolarité:Je suis heureux
Philippe
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grand père
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Bonjour Philippe, merci pour ton soutien.
L'isolement social est déjà enclenché depuis deux mois passés mais des plans b actuellement (et j'apprends à vivre en solitaire ,j'adore lire 'tombe bien ça se fait tout seul)
et j'suis pas prête actuellement à réessayer un énième molécule : ça va bien là!
J'ai deux trois autres pistes pour essayer de les diminuer (eff sec) si pas de mieux.
Après on verra.
Steph1969
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Steph1969
Dernière activité le 25/08/2021 à 10:29
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Bonjour,
Quand je lis la liste des effets secondaires de tous ces médicaments qu'on nous prescrit, et que je regarde des documentaires sur les médicaments psychotropes qu'on peut voir sur youtube (cf lien en fin de message), je me pose vraiment la question de savoir si ce n'est pas pire de prendre des médicaments que de ne pas en prendre, dans certains cas, et s'il ne vaudrait pas mieux mettre en place d'autres stratégies qui seraient moins dangereuses pour notre santé.
Oui mais, cela ne rapporterait pas autant d'argent aux firmes pharmaceutiques et aux psys.
Personnellement, quand je regarde ces documentaires et que je fais le bilan de ma vie avec les psys je ne peux pas oublier qu'à cause des médicaments, et surtout des psys qui ne m'ont pas prévenu ou qui n'ont rien remarqué, j'ai eu un grave accident de voiture et j'ai perdu mon travail.
Je dois préciser ces deux événements.
Il y a 14 ans environ, j'ai commencé à souffrir de dépression. Elle ne m'est pas tombée dessus par hasard. J'ai certes une sensibilité et un terrain favorable mais ce sont bien les événements extérieurs qui m'ont fait chuter : le stress au travail, la difficulté à échanger avec d'autres, l'isolement. Une psy m'a mis sous anti-dépresseur et anxyolitique. Un jour je devais prendre ma voiture pour aller à une réunion. Je me sentais en capacité de conduire mais je ne l'étais pas. La psy ne m'avait jamais prévenu des dangers de conduire une voiture. Arrivé à un carrefour, j'ai bêtement suivi la voiture qui démarrait devant moi, croyant être à un feu passé au vert. Mais il n'y avait pas de feu et j'ai percuté une voiture qui arrivait sur ma gauche. Par chance, il n'y a pas eu de blessés, mais les deux voitures étaient mortes et cela a mis dans des difficultés financières les passagers de la voiture percutée et moi-même. Jamais la psy ne s'est excusée de ne pas m'avoir prévenu. J'ai perdu aussi de l'argent dans cette affaire car j'ai dû racheter une voiture, la mienne étant irréparable.
Plus récemment, le stress au travail m'a fait replonger dans la dépression. Et j'ai repris des anti-dépresseurs prescrits par un psy. Entre temps, pendant trois ans j'avais déjà pris des thymorégulateurs que j'avais arrêtés trois ans plus tôt. Le psy le savait. Il savait donc qu'il y avait un terrain bipolaire, mais il m'a prescrit des anti-dépresseurs seuls pendant plus d'un an. Je l'ai vu pendant plus d'un an donc avec ce traitement, et il ne s'est pas rendu compte que mon humeur oscillait entre dépression et hypomanie. Arrivé à l'été 2012, j'ai fait une hypomanie qui a provoqué mon licenciement. L'effexor que je prenais seul avait provoqué cette phase comme il avait provoqué d'autres phases pendant l'année précédente. Le psy a vaguement accepté qu'il n'avait pas bien vu la situation, mais j'ai bien perdu mon emploi. Et depuis, je n'arrive pas à en retrouver. Dans 6 mois, je n'aurai plus d'allocations et ma situation sera très difficile.
Les documents que je vois sur youtube montrent que la psychiatrie ne se base pas sur des analyses scientifiques. Quand on va voir notre psy, pas de prise de sang, ni radio, ni scanner, ni irm pour constater notre état et prescrire un traitement en fonction de cet état. On nous prescrit des traitements qui vont avoir des répercussions énormes sur notre métabolisme en fonction uniquement de ce qu'on lui dit. Mais on n'a pas de fièvre, pas de boutons, pas de symptômes visibles.
Dans mon cas, qui n'est peut-être pas très grave, on m'a prescrit en 15 ans un tas d'anti-dépresseurs différents. Depuis deux ans et demi, je ne suis toujours pas vraiment stabilisé bien que j'ai testé plusieurs thymo-régulateurs : le lithium, l'abilify, le seroquel, le tegretol, et j'en ai d'autres à essayer dans mon armoire.
Entre temps, ma situation de chômeur a accentué les causes de mon mal. Le stress du chômeur est au moins aussi fort que celui du travailleur.
Et pendant ce temps, mes reins et mon foie sont peut-être en train d'être détruits par ces médicaments que je prends tous les jours et qui ont déstabilisé mon système organique.
Il faut savoir que les entreprises pharmaceutiques ont tout intérêt à nous avoir comme clients et les psys aussi d'ailleurs, car nous sommes captifs jusqu'à notre mort. Mais tout cela repose-t-il vraiment sur un réel besoin de notre part. Est-ce que ce n'est pas la société qui fonctionne de travers ? Il n'y a jamais eu autant de bipolaires. Les maladies psys explosent. Et on prescrit des médicaments alors qu'on ne connait pas vraiment le fonctionnement du cerveau. En revanche, on mesure très bien les dégâts causés sur le foie, les reins, et les dégâts sur notre vie.
Je ne fais pas de prosélythisme. Je prends toujours mon tegretol mais j'envisage sérieusement de l'arrêter quand je vois que mes analyses rénales ne sont pas très bonnes et que j'ai pris 8 kilos en deux ans, ce qui n'est pas sans risque. Je suis curieux d'avoir des avis à ce sujet.
https://www.youtube.com/watch?v=pnM-VGnGJMg
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Steph1969
mistikelfe
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mistikelfe
Dernière activité le 27/08/2016 à 10:39
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bonjour,
steph69 je suis entièrement d'accord avec toi les seules prises de sang que l'on m'a faite c'est l'hors de mon hospitalisation en HP depuis on me donne des traitements mais aucun suivi médical pour vérifier j'ai stoppé mes traitements il y a 5ans et j'arrivais a gérer ma vie un gros stress émotionnel et financier ma fait rechuter dans une mélancolie immense qui a durer 2ans et me voila encore sous traitement (xeroquel, Atarax) mais toujours sans prises de sang sans rien et franchement étant rentré dans une période d'hypomanie j'ai l'impression que les médocs ont accentué mon état. la bipolarité étant une maladie génétique et non un virus je ne comprend pas qu'on déclare autant de personne bipo a partir du moment ou il y a une dépression.
gros bisous a tous
une bipo déjanté
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a chaque jour suffit sa peine
Utilisateur désinscrit
Bonjour Steph1969, j'ai lu ton premier paragraphe c'est fou on fait le même constat en même temps je me suis re-regardée la vidéo suivante :
(la vidéo ne dit pas que tous on doit arrêter de prendre des médocs, ça veut dire que le marché pharmaco marche sur la tête et que y'a comme un gros souci pour s'y retrouver là-dedans, les médecins y compris, tout ça pour une histoire de fric)
http://youtu.be/HXJlB7WESmw
bon j'lis le reste
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Pour ou contre un traitement pour soigner les troubles bipolaires ?
ChriChrid'amour
Bonjour, http://www.psychomedia.qc.ca/tests/dsm-iv/bipolaire.
Tu peux consulter l'intérêt du test, perso moi je n'ai pas été testée.
D'après la psychiatre, les bipolaires ont tendance à faire un virage maniaque au printemps.
Dans l'euphorie, la personne bipolaire a tendance à perdre le sommeil, le plus embarrassant c'est qu'elle n'est pas fatiguée pour autant.
"Sors toi les doigts, motive toi et ca repart", jusqu'à la prochaine...:ces remarques désobligeantes ne servent à rien, ça ne fonctionne pas comme ça la bipolarité, il faut bien sûr essayer de se"mettre des coups de pieds au cul", il faut surtout se faire aider par qqn avec qui on peut échanger, exprimer ses sentiments et qui soit à votre écoute.
Bon courage à toi, n'hésites pas à revenir vers moi, je t'aiderais si je le peux et bien sûr si je ne sombre pas à nouveau dans le cœur obscur.
Mes amitiés
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ChriChrid'amour
Bonjour, http://www.psychomedia.qc.ca/tests/dsm-iv/bipolaire.
Tu peux consulter l'intérêt du test, perso moi je n'ai pas été testée.
D'après la psychiatre, les bipolaires ont tendance à faire un virage maniaque au printemps.
Dans l'euphorie, la personne bipolaire a tendance à perdre le sommeil, le plus embarrassant c'est qu'elle n'est pas fatiguée pour autant.
"Sors toi les doigts, motive toi et ca repart", jusqu'à la prochaine...:ces remarques désobligeantes ne servent à rien, ça ne fonctionne pas comme ça la bipolarité, il faut bien sûr essayer de se"mettre des coups de pieds au cul", il faut surtout se faire aider par qqn avec qui on peut échanger, exprimer ses sentiments et qui soit à votre écoute.
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DEDELLE
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DEDELLE
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Bonjour à tous,
J'aimerai savoir si d'autres personnes ont fait le choix de ne prendre aucun traitement, et si oui , pourquoi?
Personnellent j'ai fait ce choix en connaissance de cause mais ce n'est pas sans risques.
Ma démarche est essentiellement de m'affranchir de toute dépendance aux traitements (dans la mesure du possible) et par la même de garder une certainne qualité de vie.En aucun cas je ne fais l'apologie de cette approche, mais de juste partager ma modeste expérience sur plus de 40 ans de maladie.
Par contre j'ai essayé d'organiser ma vie en fonction des effets pervers de la maladie, c'est à dire : se forcer (le mot n'est pas excessif) à un minimum de vie sociale,
rechercher des stimuli intellectuels constructifs au travers d'activitées diverses, ce qui dans mon cas est mon meilleur traitement.
Il ne faut pas oublier un point d'ancrage très utile pendant les crises aigues (mes enfants dans mon cas).
La liste n'est pas exhautive , li n'y a pas de recette miracle , tout est lié à notre propre volonté qui souvent nous fait défaut.
jean-marc