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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Swarzy
Bon conseiller
Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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Bonjour
Si j ai un conseil à donner arrêtez de prendre ces antibiotiques fluoroquilone qui sont de véritables poisons pour l'organisme avec des effets secondaires parfois irréversibles et bien pire que la prostatite. Et mettre son organisme en danger juste pour des problèmes de prostate est démesure.
Comme vous tous je sais ce que c'est cette maladie et comme avec le covid il faut se dire qu il y aura une vie avant et une vie après.
Au début on est en dépression, on passe par toutes les phases.
Mais on peut largement vivre avec ça. Avec le temps on apprend a écouter son corps et a mieux gèrer les crises. Mais malheureusement il faut apprendre à vivre avec car sans être pessimiste ça revient parfois.
Lors des crises juste arrêter l alcool et le café. On peut largement aller mieux par les plantes et en faisant du sport.
Surtout arrêtez de vous focaliser la dessus et vivez normalement. Je pense que ce trouble est bien plus présent qu on le pense chez les hommes sauf que beaucoup ne doivent pas en parler.
Eztry5
Eztry5
Dernière activité le 21/06/2024 à 15:44
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@Swarzy entièrement d’accord avec toi.
Ce que je suis entrain de mettre en place pour ma part après avoir pris plusieurs antibiotiques, c’est tout d’abord de rééquilibrer la flore bactérienne qui a été mise à rude épreuve à cause des traitements, et qui pour ma part ont engendré d’autres soucis..
Il faut manger beaucoup de légume, limiter au maximum tout ce qui est inflammatoires comme la viande rouge, les produits transformés, l’alcool, le tabac, le sucre...
Mettre en place également là chrono nutrition, c’est à dire manger beaucoup le matin et peu le soir vous allez voir ça parait rien comme ça mais vous allez vous sentir mieux.
Faire du sport aussi est très important, prendre des plantes en compléments mais surtout éviter au maximum tout ce qui est traitement chimique à part si cela vital.
Comme complément alimentaire je vous conseille ceux à base d’ortie, de graine de courge, ect..: ça s’appelle protavit et franchement ils m’ont beaucoup aidé.
Je sais que c’est pas facile, que ça demande de changer d’habitude qui sont présente depuis des dizaines d’années mais si vous faites ça sur le long terme votre corp vous en remerciera plus tard.
Peut être que les résultats ne seront pas immédiat mais au bout de 6 mois, 1 an, 2 ans vous verrez vraiment la différence.
Sur ce bonne chance à tous 😉
Eztry5
Eztry5
Dernière activité le 21/06/2024 à 15:44
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Explorateur
Et aussi je vous conseil bien sûr si vous avez les moyens de prendre rdv avec un naturopathe pour ma part je suis allez en voir un qui est très compétant et ça m’a permis d’ouvrir les yeux sur certaines choses.
Également d’acheter des livres qui montre le rôle de la nourriture sur l’inflammation chronique que ça soit dès prostatites ou autres, vous allez voir que ça a un rôle beaucoup plus important que l’on pense.
Mais cela n’est qu’une partie du traitement, il est aussi important de gérer son stress au maximum, de prendre des compléments naturel si besoin... etc
Regarder aussi une piste si vous avez des soucis de prostate ou autre mais que vous ne connaissez pas la cause, renseignez vous sur le candida albicans, faites des tests de diagnostic ça peut être la cause de tout vos maux.
karimovfr
karimovfr
Dernière activité le 07/12/2021 à 23:33
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Explorateur
Bonjour à tous ,je vous explique un peu ce que prostatite chronique microbienne , je ne suis médecin mais j’ai vécu cette expérience. Après avoir consulté 3 urologues , un professeur chirurgien urologues et même un 2 eme urologue à l’hôpital américain à Neuilly, ce dernier a été le bon , car il a trouvé ce que j’avais en l’occurrence une PCB . Pour dire que bcp de médecins ne s’intéresse pas trop aux prostatites car très peu rentables pour eux , ils préfèrent les opérations de la prostate . 1500€ en moyenne par opération en 20 mn chrono . Bref , l’essentiel ce que j’ai appris il faut faire un test d’urine avec massage prostatique ( c’est très important) pour rechercher les germes , car ils sont souvent indétectables ECBU ou dans le sperme . Un antibiogramme est établi après ce test des 4 verres( Meares et Stamey) prendre les antibiotiques 2 à 3 mois . ( très important) car l’antibiotique a beaucoup de mal à pénétrer dans la prostate. Ensuite refaire le test ( stamey) pour vérifier si les microbes ont bien disparu. Pour la suite se diriger vers les plantes . Bannir le tabac l’alcool le café le poivre piment . Boire une eau peu minéralisée et faire du sport ou de la marche . Bonne chance
Mactyer93
Mactyer93
Dernière activité le 17/09/2021 à 16:17
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Maladie qui tue la vie ……
Mactyer93
Mactyer93
Dernière activité le 17/09/2021 à 16:17
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Miction fréquente pour uriner un volume bas , débit urinaire réduit , douleur qui irradie que d’un côté dans la région pelvienne , calcification dans la prostate foyer infectieux à l’échographie …. Massage avec analyse des sécrétions prostatique aucun germe apart taux élevé de leucocyte (du peu être au antibiotiques qui non pas était assez long pour éradiquer le germe ….) …. Antibiotique donner sans connaître le germe … incompétence dés médecin dès le début de mes symptôme (ordonnance de spasfon) ………….. , tout sa depuis 6 ans depuis mes 19 ans ……
Math974
Math974
Dernière activité le 02/11/2024 à 06:46
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Bonjour, moi j’aimerai savoir si vous avez eu des traces de sang dans le sperme lors de vos épisodes de prostatites. Voilà 6 ans que cela dure pour moi, j’ai fait une batterie de test à plusieurs reprises. A part quelques calcification sur ma prostate rien de probants n’a été trouvé. Et puis tout comme certains d’entre vous, ejaculations précoces lors des fortes crises, sensation de balle de golf dans l’anus, troubles urinaires et j’en passe. J’ai 32 ans et cela à commencé il y a bientôt 6 ans. Au début les antibios (oflocet) me soulageait mais plus maintenant. On me dit de vivre avec lol
Mactyer93
Mactyer93
Dernière activité le 17/09/2021 à 16:17
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non jamais de trace de sang apart pendant que jetait sous poche urinaire (normal d’après médecin) mais j’ai bien sensation de balle dans le golf , j’ai tout fait les tests je pense avoir un problème intestinal qui touche ma prostate …. Selle toujours molle depuis le temps
Swarzy
Bon conseiller
Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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Bonjour
Je souffre de prostatite chronique depuis deux ans. Ça me fait bien rire prostatite chronique non bactérienne. Ce sont forcément des bactéries qui créent les symptômes même si elles ne sont pas presentes sur les examens car trop peu nombreuses ou logees dans les calcifications.
On apprend a vivre avec avec des hauts et des bas. J en suis convaincu on attrape ça sexuellement a 99 %.
Je ne prendrai jamais les fluoroquilones qui sont des vrais poisons pour l organisme aux effets dévastateurs et irréversibles.
Incroyable que la médecine est impuissante face à.ce problème masculin....
Bref
Bichou89
Bichou89
Dernière activité le 01/11/2024 à 12:38
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Salut tout le monde on aimerait bien voir les nouvelles des anciens membres ici tels que @Nikolaï comment vas-tu ça fait longtemps on as pas reçu la mise à jour de ta part. As tu réussir à géré ta maladie !
Salut @Swarzy comment tu gère les rechutes sans que t fait recours au médecaments tels que les antibiotiques ou les anti inflammatoire ! T'as suggérer de prendre lepilobe mais ça ne marche pas pour tout le monde. Et l'éjaculation régulière mais aussi ça ne fonctionne pas vu quelle Procure plus de douleurs et de mal des fois!
Bon courage a vous tous.
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
Inscrit en 2015
1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel