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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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salut @Prostatite51
qui c'est "ils" ? Le labo ou l'urologue ?
Une bactérie est pathogène si elle ne doit pas se trouver à un endroit ou il ne faut pas, (il y a un soucis si une bactérie censée se retrouver sur la peau finit dans ta prostate...)
ou si elle provoque des symptômes, ce qui a l air d être le cas.
Prend tes analyses et va consulter un autre doc pour un 2eme avis. Perso je me ferait traiter, ne serais ce que pour éliminer une cause possible de mes problemes.
Bon WE
Prostatite51
Prostatite51
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@tawan77
C est le labo qui m' a di sa. Que c'est des bacteries naturelles qui a sur la peau. Et quand tu regarde sur internet c'est vrai... ils m'ont dit peut être un mauvais prélèvements ou genre c était sur ma verge extérieur ou je sais pas... mais oui je verrais avec le doc mais il me donnera pas de traitement si sur les résultats c est ecris pas d infection...
tawan77
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tawan77
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Si ton prélèvement a été contaminé, refait ton test l'ami. Il faut en être sur de tes résultats.
Scarasm
Scarasm
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@Luminessence0088 des nouvelles ? Tes symptômes sont toujours présent ?
@Prostatite51 mon urologue n'a pas voulu me prescrire de spermoculture, pas utile selon lui. Sur certains sites on peux lire que les résultats du tests sont controversés pour établir une prostatite chronique. Je ne sais plus quoi penser.
De mon côté j'ai toujours des petites brûlures que je gère avec du tramadol.
Prostatite51
Prostatite51
Dernière activité le 30/11/2023 à 22:44
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Moi je ne sais plus quoi faire. J'ai décidé d'accepter mon sort et de vivre avec sa. Les medecin m'ont redonner des antibiotiques mais a l'aveugle. J'ai deja eu 4 traitements antibiotique en moins de 1 ans avec des effets secondaires . Et sa me fatigue. Les medecins ne savent pas se que j'ai. C est souvent le cas.
Les antidepresseurs aident sinon. Mais a faible dose et a courte duree. La j'espère que je vais en devenir dependant et me creer un autre probleme
renard12
renard12
Dernière activité le 03/06/2021 à 14:53
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@Prostatite51
Je viens de relire pour enieme fois des messages sur le theme de la prostatite chronique. En faisant cela je desobeis a mon urologue et a mon spy. Docteur Google n est pas votre ami!
Je sors toujours de ce genre de lecture avec un peu de tranquilite( mon cas n est si severe que certains, je ne suis pas seul avec ces symptomes) mais aussi avec de la de peur et de la confusion.
C est difficile pour moi de m en tenir a la consultation de pages officielles fiables telle que celle de la association des Urologues Suisses. Tout est dit froidement et sans emotion : traitement long difficile et incertain
L emotion le vecu c est ici dans ce forum qu il s exprime pour le bien et pour le mal.!!!
Je veux rester positif comme certaines personnes s efforcent de l etre ici. J ai commence depuis une semaine un traitement dit naturel. Je ne souhaite pas ici entrer dans les details faciles a trouver sur Internet.
Je le fais sachant que si il ya un resultat cela sera a moyen terme et que de toute facon ce que je prends est bon pour la sante prostatite ou pas.
Ci apres un lien interessant canadien sur la maniere de vivre avec une douleur chronique
https://sqha2.hypertension.qc.ca/wp-content/uploads/2018/10/43_douleur_juin2018.pdf
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Bonjour à tous,
Je vois que le forum est toujours actif, même si il y a moins de messages ces derniers temps des forumeurs "historique".
Tu as raison @renard12 la positive attitude est importante car il y a une dimension psychologique dans ces problèmes de prostate. On ne la voit pas beaucoup au début de la maladie, mais ça se révèle au fur et à mesure. La gestion du stress, des émotions fortes, de la douleur...met à rude épreuve le moral.
De mon coté je vais plutôt bien. Pour rappel j'ai pris une décision assez radicale puisque j'ai carrément tenté l'opération (résection prostatique et vésicale) et avec maintenant presque 4 mois de recul, c'est tres positif.
Pas de nouvelle infection pour le moment. Douleur réduite de 70-80%
Bonne journée à tous
Luminessence0088
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Luminessence0088
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Salut les gars.
Comment allez-vous dans l'ensemble ?
je constate des nouveaux membres salut à vous ! vous n'etes pas seuls à souffrir
Désolé de mon absence, j’ai essuyé encore des nouveaux mirages médicaux donc un peu lasse et fatigué d’en parler à mon entourage et à vous aussi
Pourtant je suis enfin optimiste.
Je m'explique : en janvier je monte a paris a l'Institut Fournier pour effectuer un test de stamey/4 verres. J’attendais beaucoup de ce test car je le rappelle, on m'avait déjà fait :
· Des scanners, uro scanners
· Des radios
· Des cystographies (affreux)
· Des cystoscopies (...)
· Des prélèvement urétraux (ok ça, ça va encore )
· D'innombrables prises de sang et ecbu,
le tout sempiternellement négatif.
devinez quoi ? Résultats de Fournier vides, absolument aucune anomalie. Même pas la moindre petite trace, le moindre petit vestige d'une infection passée. Que dalle a se mettre sous la dent, et en attendant mes crises de fièvres s'intensifient, une tous les deux trois jours avec des migraines, des spasmes et d'autres trucs inquiétants.
Un soir en traînant sur Facebook dans mon fils d'actu (sur des groupes anglais de pelvic chronic pain / prostatitis) je tombe sur le témoignage d'un gars qui après 20annees de grosse galère et de symptômes insupportables, a fait par hasard un test sibo/candida et en traitant ces champignons il a perdu la totalité de ses symptômes, je vous passe les détails mais il en a bavé lui aussi.
Le candida se développe dans des intestins surtout lors d’un traitement aux antibiotiques, ou un déséquilibre de la flore intestinale. en surpopulation, il génère de l'éthanol et de l'ammoniac
quand j'y ai repensé, il est vrai mes symptômes se sont déclarés quelques années après une méchante intoxication alimentaire et que je souffre d’une très mauvaise digestion, qui s’est depuis aggravée entre autre en prenant des antibiotiques, (je vous avais raconté ça une fois par message, l'antibio rocefine qui m’avait mis en PLS en me redéclanchant une crise)
J’ai donc fait un test de module fongique ( au laboratoire barbier par internet) de détéction de candidose par urine et bingo, enfin un diagnostic « positif » je suis fortement infecté par une candidose intestinale profonde... un taux très élevé
(Je rappelle mes symptômes @sarcasm :douleur à l'éjaculation, douleurs rénales, urétrales, pelvienne, abdominale, mictionnelles, fievre etc.)
Mon médecin m’a dit que c’était un peu comme une maladie cachée, en s’en désolant. Les médecins et uro n’en parlent pas parce que c’est une catégorie spécifique de la médecine, j’ai pas tout compris mais ce sont plutôt les nutritionniste qui sont habilités à traiter cette maladie. il m’a cependant mis sous antifongiques, j’entame donc un lent processus de désintoxication de plusieurs mois par différents angles d'attaque (régime stricte, anti fongique chimique puis naturels, puis pré/probiotique etc).
Voilà, j'espère que ça pourra en aider certains. Si vous vous reconnaissez dans les symptomes, bien entendu je vous laisse chercher sur Google la longue symptomatologie du candida (ex douleurs abdominales, douleurs articulaires, infection urinaires, cystite, constipation, diarrhée, démangeaisons, ballonnements,irritation et démangeaisons au niveau de l'anus) n'hésitez pas le dépistage MOU métabolites organiques urinaires / Module fongique ça coute 65 euros et pour une fois, ça a servi a quelque chose!
Je vous tiendrais bien entendu au courant
A bientôt peut etre sur Carenity Candida hehe
Luminessence0088
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Luminessence0088
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@tawan77 content pour toi enfin du répit ! Tu ne prends plus d'antidouleur ?
comme quoi, tu as bien fait de faire du forcing auprès du corps médical pour te faire opérer
@renard12 Oui internet est a double tranchant, entre les innombrables informations précieuses qu'on a gratuitement, mais aussi le manque de recul psychologique qu'on peut avoir en n'y mettant pas des limites saines. Les articles, les forums, les médecins... Et quand ces voix discordent entre elles il y'a de quoi devenir fou. Mais rassure toi c'est normal d'être un peu désemparé ou même désespérer par moment. Il faut continuer a se battre et tendre vers la vie la plus saine
Luminessence0088
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Luminessence0088
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J'ai retrouvé le témoignage du gars, traduit sur Google traduction :
Comment j'ai guéri mon CPPS chronic pelvic pain ( douleurs pelviennes ou prostatite) après 20 ans d'enfer
Veuillez noter que je ne suis ni médecin, ni naturopathe ou quoi que ce soit de ce genre. C'est simplement mon histoire pour guérir mon CPPS de longue date et débilitant. Je fais partie de ces forums depuis des années, ayant moi-même souffert de CPPS pendant plus de 20 longues années. J'ai tout vu, des gens prétendant avoir toutes sortes de remèdes miracles, certains étant marginalement valables mais la plupart du temps des absurdités complètes. Je n'ai rien à vendre et aucune motivation sous-jacente autre que de partager mon histoire et peut-être que cela aidera les autres.
Il y a environ 21 ans, j'ai développé ce que je croyais à l'époque être une prostatite. Mes médecins m'ont imposé un antibiotique après un antibiotique et, bien qu'ils me soulagent temporairement, ils finiraient toujours par aggraver la situation. Au fil du temps, j’ai finalement développé d’autres symptômes que je ne pensais pas liés, mais que j’ai compris qu’ils étaient très certainement liés à mon CPPS. J'ai développé et eu des phases de syndrome des jambes sans repos, des problèmes de peau, des cheveux clairsemés et cassants, un «syndrome du côlon irritable», des calculs rénaux et je me sentais souvent fatigué. Au fil des ans, mon CPPS a traversé de nombreuses phases de montée et de descente, mais était constamment là d'une manière ou d'une autre. Parfois, je passais des mois à ressentir un 2 sur 10 sur l'échelle de la douleur et parfois je passais plusieurs mois à un 8 sur 10. Pendant très longtemps, j'ai pensé que c'était ainsi que la vie serait à partir de maintenant et juste pour vivre avec.
J'ai eu un urologue trou du cul (tous les urologues ne sont-ils pas des connards?) Qui m'a prescrit des benzodiazépines et Cymbalta qui ont amélioré les choses pendant une courte période, mais non seulement cela s'est rapidement estompé mais j'étais sur le point d'entrer dans une phase prolongée de douleur comme je ne l'avais jamais expérimenté avant. Non seulement cela a provoqué une douleur de rebond débilitante, mais cela a duré 4 ans et le retrait des médicaments a été absolument l'expérience la plus horrible de ma vie. À ce stade, j'étais suicidaire et à bout de nerfs. Je ne pouvais plus le supporter, mais d’une manière ou d’une autre, j’ai réussi à persévérer et à rassembler toute sorte de positivité et d’espoir que je pouvais trouver, même si elle était accrochée à une ficelle! J'ai essayé quelques choses qui ont un peu aidé avec les symptômes - la quercétine, la physiothérapie et le CBD principalement et parfois elles aidaient mais rien ne fonctionnait vraiment.
Par chance, j'ai attrapé un vilain virus de l'estomac le jour de Noël de l'année dernière (2019) que mon enfant de 1 an avait ramené à la maison de la garderie. Lorsque le gastro-virus est parti, je me suis retrouvé avec un reflux acide constant, dont j'ai également souffert à divers moments de ma vie. Je suis allé faire une batterie de tests, l'un d'eux étant un test respiratoire au lactulose que mon gastro-entérologue avait commandé pour vérifier la présence de SIBO (petite prolifération bactérienne intestinale). Je pensais que c'était loin mais BINGO, j'avais en effet SIBO. J'avais un taux élevé d'archées produisant du méthane dans mon intestin grêle, pas une bactérie pour être exacte comme les chercheurs viennent de le découvrir, mais plutôt juste une archée. J'ai essayé plusieurs traitements pour m'en débarrasser mais rien n'a fonctionné au début. J'ai travaillé avec mon médecin de famille et mon gastro-entérologue et ils étaient complètement inutiles. Je suis également passé par deux naturopathes ici à Toronto - également inutiles. Je suis devenu tellement frustré que j'ai ouvert ma banque et contracté un prêt pour payer certains des meilleurs naturopathes au monde qui avaient une expertise en santé intestinale. J'ai eu des résultats mitigés avec eux. L’un d’eux m’a fait remarquer, en se basant sur mes symptômes, qu’il me semblait que mon problème n’était peut-être pas le SIBO mais plutôt le candida qui a une morbidité partagée très proche avec le SIBO. Candida est une levure opportuniste qui peut proliférer pour de nombreuses raisons. Le coupable le plus probable est des antécédents d'antibiotiques, de médicaments antiacides, de stress, de mauvaise alimentation, etc. Nous avons besoin de nos bonnes bactéries intestinales et de notre acide pour tuer ces organismes opportunistes de la croissance et de la perte de contrôle. Lorsque vous supprimez l'acide ou tuez les bons insectes intestinaux, les proliférations pathogènes comme le candida deviennent très courantes. Et souvent, lorsque vous avez SIBO ou candida, vous avez les deux en même temps. Pas toujours, mais ces organismes sont en commun les uns avec les autres et semblent se nourrir les uns des autres.
Pour être honnête, au début, je me suis dit que tout cela ressemblait à un tas de bêtises hippies, mais à ce stade, je n'avais plus rien à perdre. J'ai décidé de suivre un protocole pour tuer la prolifération de candida et de méthane.
Alors, comment ai-je traité ces problèmes de santé intestinale? Eh bien, vous êtes sur le point de découvrir qu’il n’existe pas de remède miracle et que cela ne se produit pas du jour au lendemain. Il faut BEAUCOUP de discipline et BEAUCOUP de diet pour résoudre ce problème.
Pour commencer, j'ai suivi un régime très strict. J'ai téléchargé l'application Fast Tract Diet et l'application Low Fodmap Diet de l'université Monash sur mon téléphone et les ai utilisées conjointement lorsque je faisais mes listes d'épicerie. Vous n'êtes pas obligé d'utiliser ces applications. Il existe de nombreuses ressources fodmap faibles, mais j'ai trouvé que ces deux fonctionnaient mieux pour moi, surtout lorsque je les utilisais ensemble. Low fodmap signifie simplement manger des aliments qui ne fermentent pas dans votre intestin et dont les mauvaises bactéries peuvent se nourrir. En plus de cela, et peut-être plus important encore, j'ai également suivi un régime anti-candida. Le régime anti-candida n'est pas une tâche facile. J'ai dû couper TOUS les glucides et TOUS les sucres pendant des mois. Oui c'est vrai. Pas de fruit. Pas de grains, pas de pseudograins. RIEN! Pas d'alcool. De plus, l'apport en fibres était temporairement limité. Mon régime alimentaire se composait de quelques aliments, notamment du poulet, de la dinde, du poisson (pas de viande rouge car elle est inflammatoire) et des légumes verts cuits à la vapeur à faible teneur en fodmap comme la roquette, le bok choy, le persil, la coriandre, le chou frisé et le concombre, la laitue romaine, parmi quelques autres . J'ai mangé d'autres aliments au hasard en plus de cela en petites quantités comme du yogourt à la noix de coco non sucré, des graines de lin moulues, du beurre de graines de citrouille, du nori et des shakes de lactosérum avec des huiles de noix de coco et d'olive pour aider à garder du poids.
Environ un mois après mon régime, j'ai commencé à ajouter des herbes antimicrobiennes dans des capsules d'huile d'origan émulsionnée, de l'allicine (un dérivé de l'ail) et une souche probiotique appelée s boulardii. J'ai également pris un complexe enzymatique perturbateur de biofilm. Ces organismes dans notre intestin forment un biofilm pour se protéger.Par conséquent, dans les cas difficiles, vous devez d'abord décomposer la paroi cellulaire avec des enzymes pour que les antifongiques et les antimicrobiens soient efficaces. L'huile d'origan et l'allicine sont connues pour avoir de puissants effets antimicrobiens et antifongiques. J'ai trouvé que l'allicine aggravait mon reflux, mais l'origan était une aubaine. S boulardii est une souche de probiotique à base de levure qui réduit l'inflammation dans l'intestin et tue le candida albicans lors de son passage dans l'intestin. L'inconvénient de ces suppléments est qu'ils ont également la capacité de tuer les bonnes bactéries intestinales et les levures. Vous aurez besoin de reconstituer cette flore bactérienne autant que possible avec des prébiotiques et des probiotiques après le traitement. Cependant, les prébiotiques peuvent également alimenter la prolifération pathogène et les probiotiques peuvent augmenter les symptômes, il est donc déconseillé de les prendre avant le traitement. J'ai pris ces herbes pendant environ 4 semaines au total. Certaines personnes peuvent avoir besoin de jouer avec différentes combinaisons de médicaments ou de suppléments. Je suggère de faire la recherche par vous-même. Il y a plein de bons livres sur le sujet. Un que j'ai aimé était The Candida Cure par Ann Boroch. De plus, le protocole sur la santé intestinale était assez bon pour SIBO et candida. Certains antibiotiques sont plus naturels, ne traversent pas la barrière hémato-encéphalique et restent dans l’intestin grêle comme la rifaximine pour l’hydrogène sibo et la nystatine pour le candida. La nystatine est un organisme naturel à base de sol qui tue le candida et a un profil très sûr. La rifaximine n’est pas un antibiotique naturel, mais elle reste dans l’intestin grêle et ne tue pas les bactéries dans votre gros intestin. S'il vous plaît, pour la vie de Dieu, ne prenez aucun antibiotique systémique à large spectre !!
Revenons à l'histoire…
Et puis tout l'enfer se lâcha! Je suis tombé malade en tant que chien au point que j'ai pensé que j'allais mourir. J'ai été cloué au lit pendant 7 semaines avec une anxiété invalidante, un brouillard cérébral, mon CPPS était BIEN PIRE, une vision trouble, de la constipation, un terrible reflux acide, de l'insomnie, des jambes sans repos, des éruptions cutanées, des douleurs abdominales du côté droit (qui se sont avérées être des douleurs hépatiques), douleurs rénales, picotements musculaires - vous l'appelez! C’est le pire que j’ai jamais ressenti de ma vie. Avez-vous déjà entendu parler d'une réaction d'herxheimer, autrement connue en termes simples comme «die off»? Je n'avais jamais entendu parler de cela. Healthline décrit une réaction Herxheimer comme suit: «La réaction Herx fait référence à une réaction indésirable aux toxines libérées par des bactéries et des champignons lorsqu'elles sont tuées par des antibiotiques et des médicaments antifongiques. Les symptômes de la mort de Candida peuvent être effrayants car ils apparaissent soudainement et vous font vous sentir très mal, très vite.
Oui, ça devient TRÈS mauvais TRÈS vite. C'était le pire. Les réactions Herx provoquent une inflammation systémique. Je vous suggère de commencer par tuer les suppléments plus lentement que moi pour que la mort soit plus tolérable.
Mais lentement, au fil des semaines, mes symptômes ont progressivement commencé à s'améliorer. Ils ont juste disparu jusqu'à ce qu'ils aient complètement disparu. Mon CPPS était parti, mes jambes sans repos étaient parties, ma fatigue était partie, l'anxiété était partie, l'insomnie était partie. Je me sentais comme une personne complètement différente. J'en suis venu à comprendre que ce n'est pas non plus un accord unique. Que je devais être prudent pour aller de l'avant car cela revient souvent à ceux qui y sont sensibles. J'ai décidé de rester sur s boulardii pour la vie pour garder le candida sous contrôle et je prends quelques souches de probiotiques et je reçois ma part de prébiotiques naturels. Je prends également de la quercétine qui abaisse l'histamine - activation des mastocytes = intolérance à l'histamine. C'est pourquoi on voit souvent la quercétine répertoriée comme un remède miracle pour le CPPS. Cela aide certaines personnes. Je m'en tiens également à un régime paléo pour la vie. Pas d'aliments transformés ou de malbouffe. Je mange à nouveau des céréales mais uniquement des pseudograins sans gluten. Je ne mange pas de produits laitiers. Je ne toucherais pas une goutte d’alcool si vous me payiez. J'essaie de faire plus d'exercice et de réduire le stress autant que possible, ce qui est difficile avec un enfant de 1 an et un autre sur le chemin.
Quelques ressources à lire…
Le CPPS et d'autres conditions inflammatoires telles que la cystite sont bien versés dans le monde des candida et sibo. Il existe de nombreux livres et articles qui énumèrent ces conditions comme un symptôme.
Le CPPS est causé par l'activation des mastocytes (causée par le candida et le sibo). Les médecins appellent cela le syndrome du côlon irritable, ce qui ne veut vraiment rien dire. C’est juste un terme vague pour sibo et candida. Il existe de nombreuses autres études sur le sujet. Je vous suggère de mettre les mots-clés dans Google et de voir ce qui se passe
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
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1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel