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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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hayder
hayder
Dernière activité le 25/01/2021 à 17:09
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bonjour;
je comprend parfaitement votre message,en m'a diagnostiqué pour une prostatite chronique février 2015 et depuis c'est un circuit infernal,une torture sans merci,je vis les mêmes situations que vous,et le plus difficile c'est justement impacte morale.
actuellement je suis a mon énième traitement et pratiquement pas d’amélioration au point que j’espère.
accroche toi surtout,la prostatite chronique s'installe lentement et disparais subitement,mais il faut toujours traiter et consulter votre médecin pour les contrôles afin d'éviter les complications.
bien a vous
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hayder
hayder
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Dernière activité le 25/01/2021 à 17:09
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bonjour ;
est que il y des cas guéri de la prostatite chronique?
leurs expérience pourra bien m’être utile.
merci pour votre compréhension.
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hayder
hayder
hayder
Dernière activité le 25/01/2021 à 17:09
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bonjour;
envisagé pour une biopsie prostatique,je lance un appel pour des témoignages de certains d'entre vous ayant fait objet.
merci pour votre collaboration et compréhension
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hayder
tawan77
Bon conseiller
tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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salut,
j ai 36 ans et j'eu une prostatite de mai 2007 a fevier 2013. J ai fais un tas d examen et un tas de traitements. Surtout antibio, mais aussi alpha bloquant, anti dépresseurs, massages prostates, etc etc...
j ai guéri de ma prostatite avec des gestes simple, en supprimant la masturbation notamment et les rapports sexuel trop fréquent...
Ca parait ridicule comme ca, mais ca a fonctionné. j'avais l habitude de me masturber 2 ou 3 fois par jour depuis mon adolescence et ce cycle à finis par trop solliciter la prostate qui finissait par s enflammer et s infecter des qu'une bactérie normalement non pathogène pénétrait mon pénis. Je suis rentré dans un cercle vicieux... infections, inflammations etc...
Ce qu il faut faire :
1- laisser popol tranquille.
2- arrêter les antibiotiques qui ne suppriment pas l'infection si elle est trop profonde ou si ce sont des bactéries "communes" qui ne nécessitent pas ou peu de traitement, mais par contre les antibiotiques suppriment les défenses naturelles et rendent les intestins poreux et ca c'est dangereux.
3- prendre quelques compléments, certains sont utile. Je pense à des gélules de broccolis, busserole/bruyere et compléments vitamines (multi ou C)
4- pas d ordinateurs sur les genoux (la chaleur est très très mauvais...)
5- JAMAIS de vin blanc, champagne, bières et alcool fort en général. (autres alcool toléré en quantité minime).
6- sport autant que possible. (ca pourrait etre la recommandation numero 1)
voila, ca aidera qui voudra bien lire, mais pour ceux qui posent la question "peut on guérir d'une prostatite" et bien oui on peut. Bien que guerir ne soit pas le meilleur terme car ce n'est pas vraiment une maladie mais plutôt une condition ou un état... donc rémission serait plus approprié .
a plus
Josephon
Josephon
Dernière activité le 07/04/2020 à 21:55
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Merci pour ton message qui est très encourageant.
Je suis d accord avec ce que tu écris car j suis moi-même atteint d une prostatite et j'ai pris pendant des années des antibiotiques et ça n'a servi à rien car au final, la longue prise des ATB m a provoqué des candidas albicans .Ce sont des champignons qui sont a une prise excessive d' atb associé à des massages prostatiques.C était le cercle vicieux sans fin et aucune amélioration de mon état de santé. Resultat : très très fatigué et des brûlures delus en plus fréquentes dus au mp qui stimulent sans arrêt la prostate. Maintenant j'ai arrêté les massages prostatiques qui me fatiguaient bcp .Je prends aussi de l argent colloidal .Ca s achete en pharmacie mais ttes les pharmacies ne l ont pas en stock. C est un antiinfectieux naturel qui permet de stimuler le système immunitaire. Je me sens mieux , moins de brûlures , moins de fatigue et système immunitaire renforcé. Je ne pense pas être gueri completement mais mon état s est amélioré nettement. En espérant avoir pu vous aider.
ericlapro
ericlapro
Dernière activité le 08/11/2020 à 12:00
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Bonjour à tous,
Je souffre depuis environ un an d'une prostatite chronique (suite à une epydidimite aiguë qui avait été traitée initialement, alors que j'étais en voyages à l'étranger, par antibiotiques sans analyses d'urines préalables).
J'ai déjà consulté trois urologues qui avaient des avis différents sur le traitement et qui semblaient désarmés face à mes symptômes : douleurs dans le bas ventre, au niveau des testicules, périnée et urêtres, envie fréquente d'uriner (au moins 10 fois par jours) avec douleurs lors de la miction avec un jet faible, douleurs très fortes suite à l'éjaculation et suite à la consommation d'alcool, douleurs dans le bas du dos, état de fatigue générale.
Depuis quelques mois, j'ai une conjonctivite et des douleurs articulaires qui traînent (poignet droit, torticoli). Je passe actuellement des examens car mon médecin généraliste soupçonne un syndrome de fissinder leroy rieter.
J'ai effectué toute une série d'analyse qui n'ont trouvé aucune origine de l'infection (ECBU, spermogramme, endoscopie, uroscanner, echographie de la prostate).
Je cherche les coordonnées d'un urologue qui serait susceptible d'être expert ou particulièrement spécialisé sur ce type de maladie pour un avis complémentaire et qui éventuellement proposerait des approches nouvelles en terme de traitement.
Auriez-vous un médecin à me recommander (à Paris de préférence mais je suis également prêt à me déplacer en France si besoin) ?
Je vous remercie par avance de votre aide
Eric
tawan77
Bon conseiller
tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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salut,
comme m'ont dit un tas d'urologues avant toi, et surement les tiens aussi. Si ils ne trouvent pas d'infection, tu n'en a probablement pas.
Tu as possiblement des douleurs post prostatite, une inflammation, et un inconfort qui résulte d'une infection ancienne, et traitée.
Si tu avait une infection, ton urine serait trouble, serait positive à un ECBU et tout ton système urinaire serait mis à mal (cystite, urétrite ect...)
Tu sembles stressé, tu consommes de l'alcool (signe que tu ne va pas si mal que ca car sinon tu l'aurait déja banni et tu en resterait bien éloigné)
Changes tes habitudes de vie et vois si ca t aide
1- arrête la masturbation (super important) et réduis les relations sexuelles
2- arrête les antibio et réduis le stress
3- bois mini 2L d'eau, de thé vert
4- fais une heure de sport par jour ( augmente la vascularisation de la prostate)
5- prend du zinc + busserole / bruyere + pepin de courges + broccoli sprout + multivitamine tous les jours pendant 2 mois
6 - focalise le moins possible sur tes symptômes
Pour te faire partager mon expérience personnelle et depuis mon dernier message, j ai eu une nouvelle infection urinaire (j'en fait une en moyenne par an, car je reste sensible aux bactéries peu pathogène) après avoir fait la bêtise de m’être baigné dans une source chaude en Turquie... pleine de monde et plutôt sale..
Une injection de ceftriaxone a réglé le problème, mais pendant 3 semaines, les symptômes d'inflammations ont été désagréable.
Oui on peut donc améliorer une prostatite. mais après une "vraie" prostatite (chronique ou aigue d'ailleurs), on a des cicatrices plus ou moins douloureuses (dans mon cas confirmé par IRM) qui restent et sont plus ou moins gênantes...
bonne journée l ami
pianolover
pianolover
Dernière activité le 17/05/2018 à 14:20
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Bonjour à tous, je me suis sorti de cette maladie la prostatite chronique. En fait les urologues ne s'y intéresse pas beaucoup voila mon parcours. Il y a 11 ans j'ai déclenché cette maladie suite à une infection sexuelle chlamydia. Malgré les traitements antibiotiques très long je n'ai pas été guéri. Je m'en suis sorti grâce au complément les antibiotiques mais surtout est essentiellement par des massages prostatique qui on complètement nettoyé, drainer la prostate. J'ai parallèlement utiliser un traitement dangueureux interdit en France À base de poudre de mouches cantharide. Au bout de deux mois j'ai complètement été guéri de cette maladie. Il y a donc des issues mais les urologues rigolent de ce traitement, ils ont tort car c'est en effet ce qui se pratiquait avant l'arrivée des antibiotiques;Marc mail xxii@wanadoo.fr
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SawaDuke
SawaDuke
Dernière activité le 29/07/2024 à 19:08
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@pianolover Voulez-vous nous indiquer où trouver cette poudre à base de la mouche cantharide, ou mieux l'image de ce produit? Merci
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@SawaDuke Cantharis Homéopathie est le médicament des brûlures, en particulier urinaires, surtout si la miction est difficile et douloureuse, il se trouve en pharmacie sans ordonnance.
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etiennef
etiennef
Dernière activité le 02/09/2021 à 13:17
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Pour info, pour savoir si oui ou non la prostate est inflammatoire et si oui ou non il y a un germe, il faut pratiquer un test de Stammey, plus ou moins analyse d urine après massage prostatique. Pratique a Paris a l institut fournier. C est le meilleur moyen d avoir une reponse fiable. L ECBU ne permet pas de conclure car on peut avoir une prostatite chronique sansque les urines ne montrent inflammation ou germe.
monk76
monk76
Dernière activité le 10/05/2020 à 20:57
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Bonjour,
J'ai présenté une prostatite aiguë courant 2016, qui s'est manifesté d'une douleur dans la fosse lombaire droite, puis quelques jours après, sous la forme d'une infection urinaire aiguë symptomatique + urétrite (je n'avais jamais connu une telle intensité de la douleur), avec une orchy-épididymite. Mon urologue après m'avoir examiné (échographie + Touché rectal) a très vite conclue à une Prostatite, qu'il a confirmé après m'avoir fait faire un bilan complet (ECBU + échographie de l'arbre urinaire complet) + PSA. L'ECBU montrait une hyperleucocyturie non bactérienne. L'échographie à confirmé un adénome de la prostate avec une prostate de 90 grammes. Il m'a proposé en 1ere intention un traitement antibiotique sur 4 semaines (CEFIXIM 200mg à raison de 2 prises par jour) et du Permixon, également à raison de 2/jour.
Lors de ma 2nd consultation, 15 jours après, mon PSA était à 17,5, en rapport avec ma prostatite. Mon urologue, me prescrit alors une nouvelle prise de sang avec PSA à 3 mois. Les douleurs à la miction avaient toutefois disparues et j'avais retrouvé un confort urinaire. J'ai présenté pendant quelques temps une hémospermie qui a vite disparue. par contre, je n'ai à aucun moment présenté d'hématurie macroscopique. Mon PSA a ensuite baissé à 8, qui correspondait à un PSA de Prostatite chronique et d'adenome de la prostate.
1 an après, nouvelle poussée de prostatite. Jai présenté des brûlures à la miction, avec ce coup-ci, une hématurie macroscopique pendant 3 jours avec des caillots, suite à un surinvestissement sportif. Tout est revenu à la normal au bout de 3 jours d'hydratation. Pas de traitement antibiotique. Par contre j'avais toujours mon Permixon. Mon PSA n'avait pas bougé (toujours à 8).
4 Mois après, nouvelle poussée de prostatite avec les mêmes symptômes, suite à 3 jours de pratique cycliste. Tout est rapidement revenu dans l'ordre au bout de 3 jours d'hydratation. Mon médecin traitant m'a prescrit le même schéma thérapeutique que mon urologue (CEFIXIM 200mg à raison de 2/jour) tout en maintenant mon PERMIXON. Nouveau contrôle de PSA, qui n'avait pas bougé.
Cependant, mi-2017, j'ai commencé à ressentir les difficultés urinaires qui devenaient de plus en plus invalidantes, avec des brûlures mictionnelles régulières, surtout au retour de mes sorties de course à pied de longue durée). Et pourtant chaque ECBU était normal. Comme je préparais le semi-marathon de Paris j'étais inquiet.
2018, sans changement dans mon quotidien, où j'alternais les périodes de confort et d'inconforts (brûlures urinaires+++ toujours en lien avec la course à pied de longue durée) mais également des épisodes de faiblesse érectile (d'ordre psychologique ou mécanique???). Mes urines étaient toujours très clairs voir transparentes. Suite au Semi-marathon de Paris, mes brûlures urinaires sont devenus intolérables (ECBU = RAS) mon médecin traitant décide de me mettre sous alpha bloquant (TADALAFIL) dans le souci d'améliorer mon confort urinaire et érectile. J'ai amélioré mon confort de vie, mais les brulures urinaires ont repris dès que je me suis remis à courir plus d'1H30.
L'été 2018, me revoilà reparti pour 4 semaines de CEFIXIM qui m'a bien soulagé pour les mois qui ont suivi, jusquà la fin d'année 2018, où j'ai eu à faire face à un nouvel épisode, avec une faible hématurie (2 jours). L'examen a conclue à une nouvelle infection urinaire sévère en lien avec ma prostatie chronique, mais aussi en lien avec une insuffisance d'hydratation pendant plus de 15 jours et une absence totale d'hydratation pendant un week-end sportif (j'ai vraiment été négligeant sur ce coup là). Et je repars pour 4 semaines sous HOROKEN 200mg.
Ma prostatite chronique est bien présente, avec parfois des poussées gênantes sur 2 à 5 jours qui se manifestent par des brûlures urinaires, malgré un ECBU normal. Mon Urologue me dit qu'il me faut apprendre à vivre avec, puisque je n'ai pas de gène au niveau du débit urinaire. Je m'assure d'un bonne hydratation journalière (environ 1,5L), mais je sais que dès que je ferai une sortie longue de Course à pied, les brûlures vont revenir et se maintenir jusqu'à environ 6H00 après l'effort. Je ne tolère pas les AINS. Mon médecin va se pencher sur une solution additionnelle phytothérapie pour voir à soulager ces brûlures après effort physique.
Si quelqu'un à la même expérience, avec une solution intelligente, je suis preneur.
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MITCH66
MITCH66
Dernière activité le 22/05/2024 à 13:01
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@monk76 BONJOUR
Je pense avec du recul qu un gros effort physique peu declencher une prostatite
MITCH66
MITCH66
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je pense qu un gros effort physique peu declencher une prostatite
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel