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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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bru13100
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Dernière activité le 13/12/2021 à 13:38
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8 commentaires postés | 8 dans le forum Prostatite
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@Swarzy
Salut !
Courageux je ne sais pas, disons que j'ai envie de savoir ce que j'ai après tout ce temps. Je suspecte la prostatite chronique mais la seule façon d'en être quasi certain et d'éliminer d'autres choses comme la sténose qui donne beaucoup de symptômes comparables à ceux d'une prostatite (dysurie, impériosité, pollakiurie, sensation de vessie mal vidangée, etc) est d'en faire une. Si dans un peu plus de deux jours, je sais que je n'ai pas une sténose, je pourrai à ce moment là concentrer mes efforts sur la recherche d'un traitement efficace sur les symptômes... car je me doute qu'on ne se débarrasse pas d'une prostatite en claquant des doigts. Quand on s'en débarrasse.
Ton parcours me rappelle aussi le mien puisque tu as été tranquille un an et demi (moi deux). D'ailleurs je pensais que ça allait se passer comme ça cette fois-ci, que ça disparaitrait subitement, j'y ai cru parfois mais...non.
J'ai aussi remarqué qu'en cas d'angoisse, de stress prolongé, etc, ma sensation de brûlure le long de l'urètre, d'irritation de la vessie, s'accentuait nettement. Enfin... j'espère vraiment en savoir plus mardi.
Je suis au courant pour le cyflox, cela donne notamment des problèmes articulaires ou musculaires (tendinites par ex). Par contre je ne manquerai pas de mentionner à l'urologue que cet antibiotique m'a laissé tranquille environ une semaine, un peu moins. Si j'ai bien une prostatite chronique, je demanderai à l'urologue de me prescrire des alpha-bloquants si cela peut me soulager.
Tu parles de calcification de la prostate ? Tu en as donc une toi aussi ?
Accepter cette affection, je suis tenté de dire qu'on en a pas trop le choix. Si déjà on peut contrôler les symptômes urinaires et inflammatoires, personnellement, ça m'ira. Pour le reste, même si je suis assez jeune, tant pis ...
Bon dimanche à toi
bru13100
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Dernière activité le 13/12/2021 à 13:38
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@tawan77
Salut !
J'ai déjà entendu parler de cette opération. Il me semble aussi que tu parles de ça sur un autre forum (dolcissimo, j'y suis aussi : "enslaved" c'est mon pseudo). C'est en effet radical mais si ça peut permettre de se débarrasser de ces symptômes, ce qui a l'air de marcher pour toi, personnellement ça m'irait aussi ! Si c'est le prix à payer, tant pis pour l'éjaculation rétrograde quand on a eu des enfants ou qu'on n'en veut pas/plus. Il me semble qu'on fait aussi ce genre d'intervention au laser pour ceux qui ont une hypertrophie bénigne de la prostate (comme mon père). Tu dois uriner comme à tes 20 ans du coup. Quelle chance !
Tu as passé un IRM car les médecins suspectaient quoi ? On ne m'a jamais proposé ça. Disons que les médecins ont souvent pris le problème de haut, sauf le dernier, peut-être parce qu'il a notre âge. Je suppose que c'est grâce à cet examen qu'on a vu ton kyste à la prostate et ton problème de jonction ?
Bon dimanche
Lolo1234
Lolo1234
Dernière activité le 09/07/2024 à 08:03
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Bonjour à tous
Merci pour les informations avisées Que vous nous partagez. Cela fait toujours du bien à lire.
J'ai moi aussi les mêmes problèmes que vous. Mon urologue me propose un traitement d'antibiotique levofloxacine, de la famille des quinolones. Ce sont des antibiotiques super puissants, mais apparemment avec de graves effets secondaires.
Quelqu'un a déjà pris cet antibiotique, et peut me donner son retour d'expérience ? Merci d'avance pour vos réponses et bon courage à tous
Bon dimanche
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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Re l'ami
J'ai fait tellement d'examens au fil des ans. Plusieurs IRM (des 2009) et un nombre incalculable d echographies, ECBU, scanner ect...
Le probleme rénal a été découvert très tot, par un examen qui s'appelle urographie intraveineuse et qui n'existe plus maintenant. (le scanner le remplace bien mieux)
En ce qui concerne la miction, ca a bien amélioré après l'opération en effet mais pour moi, le problème ne se situait pas trop au niveau du débit. Je pense aussi que les muscles de plancher pelvien jouent un grand role dans le débit. Quand on sait bien relacher les sphincters, ca améliore beaucoup.
L'opération a réduit les douleurs de fond (comme toi, je ressentais une pression/tension des que je m'hydratais pas assez ou aussi apres un rapport sexuel.
Cette douleur était souvent les prémices d'une infection qui était sue le point de se déclencher. Il fallait alors prendre des antibio pour stopper ca et c'était un cercle vicieux sans fin... J'ai vraiment cru devenir fou et seul le tramadol m'a aidé à ne pas craquer
Cette opération à donc un résultat tout à fait positif pour le moment et j'espere que ca va durer.
Il faut tout de même accepter cette éjaculation rétrograde. On vit correctement avec, mais ca peut frustrer de "tirer à blanc". Sans compter qu'aller pisser apres le rapport est une sensation que je n'apprécie toujours pas trop (mélange urine + sperme puisque celui ci finit dans la vessie...)
Autre chose est la douleur post opératoire. C'est pas une partie de plaisir. On pisse littéralement du sang. Sans compter que la sonde urinaire à 30-40% de chances de te donner une infection, ce qui n'a pas manqué d'arriver chez moi bien sur.
Enfin, et c'est le plus difficile si tu souhaite te lancer la dedans reste de prendre la décision en sachant qu Il n'y a pas de résultat garanti puisque ce traitement est "non conventionnel" ce qui veux dire que ca peut t'aider, mais aussi ca peut t'empirer la situation. Tu trouvera sur le web anglophone des témoignages qui font plutôt froid dans le dos.
Mon chirurgien urologue me l'a dit au cours d'un de nos RDV. J'ai pris environ 8 mois avant de me décider. Je ne regrette pas ce choix. Il devrait à mon avis être proposé aux personnes qui souffrent depuis longtemps (< 3 ans) et qui ont essayé et épuisé beaucoup de traitements, y compris un traitement antibio long d'au moins 3 mois.
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@Lolo1234 Salut
Attention avec cet antibio. C'est une tempête dans ton corps. Si tu ressent des douleurs dans les talons. (ça veut dire que tes tendons s’abiment (se nécrosent pour etre précis).
Il est tres tres fort, Personnellement je ne supporte plus aucun quinolone (levofloxacine, ciprofloxacine et ofloxacine ect..)
Lolo1234
Lolo1234
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@tawan77 salut,
Merci pour ta réponse rapide. Je profite de ton expertise, tu sais si le test de stamey dit des 4 verres se pratique ailleurs qu'à Paris ? J'habite à Montpellier.
Encore merci de ton aide sur ce forum
Swarzy
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Swarzy
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Bonjour a tous,
On devient fou avec cette maladie.
Moi je refuse les antibiotiques fluoroquilones.
Je pense qu il faut savoir accepter ses symptômes et ce dire que dans la vie il y a pire.
Malheureusement la prostatite a des évolutions cycliques et peut revenir de temps en temps.
Occuper son esprit et arrêter de ne penser qu a ça, c'est facile à dire mais je pense que le fait de penser qu a ça fait énormément stresser et accentue les symptômes c'est certain.
Faire du sport aide énormément alors si je dois arrêter le sport a cause des antibiotiques non merci. Je n' ai plus que ça pour penser à autre chose.
Bon courage a tous et guérison peut être pas mais longues périodes de rémissions ça c'est possible.
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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@Lolo1234 Bonjour
Je t'avoue que je ne sais pas. Je suis de la région parisienne. A paris, deux laboratoires le font :
- Labo Drouot
- Labo Fournier
Je suppose que ca doit se pratiquer a Marseille ou dans une autre grande métropole. Il faut appeler les labo les plus renommés et leur demander.
SI tu ne trouve pas de labo ou faire le test de STAMEY, demandes a faire une spermoculture a minima. Ce n'est pas aussi précis, mais le sperme contient tout de même du liquide prostatique. C'est toujours mieux qu'un simple ECBU.
Bonne journée ;)
Lolo1234
Lolo1234
Dernière activité le 09/07/2024 à 08:03
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bru13100
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Salut !
Voilà j'ai fait ma cystoscopie en début d'après-midi. Ça n'a pas été une partie de plaisir, loin de là même, mais il fallait le faire !
Verdict : je n'ai donc pas de sténose (ouf !). Le col de la vessie est en revanche un peu étroit, ce qui pourrait expliquer ma dysurie. L'urologue m'a d'ailleurs refait passer une débitmètrie après l'examen et elle n'était pas top.
J'ai un traitement de 3 mois d'alpha bloquant (Xatral) afin de voir si le soucis de débit urinaire s'améliore. Toujours concernant ce soucis, il existe une intervention permettant d'élargir/inciser le col vésical ,mais, honnêtement, si ce souci de débit n'en entraine pas d'autres, je ferai rien.
Du coup, l'hypothèse de la prostatite chronique tient toujours bel et bel dans la mesure où le seul col vésical étroit ne peut expliquer l'ensemble mes symptômes... qui sont très fluctuants..
A bientôt !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
Dernière activité le 06/05/2023 à 10:29
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel