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Patients Prostatite
Une prostatite chronique depuis janvier 2015
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Swarzy
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Swarzy
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Salut @Bichou89
Avec des essais sur moi j ai décide d arrêter l épilobe car elle m a redeclenche une crise que le long terme bizarrement.
Oui je ne prendrai jamais d antibiotiques car on a jamais trouver la moindres bactéries même si je sais qu il s'agit bien de m ecoli 80 % des prostatites sont déclenchés par .cette bactéries.
Lisez les forum sur les fluoroquilones et surtout venant de l OMS je pense que vous serez pas chaud pour en prendre. Je ne vais pas me bousiller la santé juste à cause d une prostate ...
J ai appris à vivre a peu près normalement même en cas de crise je me dis que certaines personnes ont pire dans la vie. C'est comme ça il faut faire avec pas le choix.
La je teste l huile de pepin de courge je crois enfin j espère avoir trouver le produit miracle je vais voir sur le long terme.
Après j ai appris à faire certaines concessions dans ma vie pas le choix pour vivre mieux avec .cette pathologie.
Malheureusement il faut apprendre a écouter son corps et nous sommes tous différents et ont réagira différemment selon les méthodes naturels ou autre nous de déceler ce qui est bon pour nous. Avec le temps on y arrive.
Courage
bru13100
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Bonjour à tous
J'ai bientôt 40 ans. Je n'ai jamais été accidenté, je n'ai pas subi d'opérations nécessitant la pose d'une sonde, je ne fume plus depuis plus de 5 ans, je bois rarement de l'alcool (1 fois/semaine). Je n'ai jamais eu d'IST. Je suis en couple depuis 13 ans. Je ne suis pas exposé à des polluants dans le cadre de ma profession. J'ai un gros terrain allergique, je suis aussi soigné pour du reflux gastro-oesophagien. Je suis aussi très anxieux de nature, une véritable plaie. Le cancer est par exemple une malade qui me terrorise. Alors quand vous souffrez de quelque chose qui semble chronique depuis des mois, voire des années, forcément.. vous avez peur.
Bref, à la recherche de ma pathologie, puisque la majorité des urologues ne semble pas s'y intéresser, je me reconnais beaucoup dans certains symptômes que vous décrivez. Ai-je une prostatite chronique ? Ou alors une sténose ? Ou les deux ? Je vais vous expliquer mon parcours car je suis persuadé que nous sommes nombreux à vivre ça.
- Mai 2015 : cela a duré peut-être deux à trois semaines. Une sensation de vessie irritée avec des mictions très fréquente (pollakiurie) et urgentes (urgenturie). J'avais aussi la sensation d'avoir la vessie pleine en permanence. Je suis allé chez un urologue qui m'a fait passé un ECBU qui s'est révélé stérile (comme tous ceux que je passerai à l'avenir), et une échographie avec mesure du résidu post-mictionnel. Rien à signaler, vidange complète de la vessie, pas de calculs, prostate de taille normale..
- Juillet 2018 à Novembre 20218 : un épisode d'hématurie macroscopique, j'ai pissé du sang 3 ou 4 fois d'affilé. C'est arrivé dans un contexte où je faisais beaucoup de sport afin du perdre du poids. Je buvais énormément mais je transpirais énormément également. Suite à cet épisode, j'ai alterné des épisodes de pollakiurie/urgenturie et des épisodes où je n'allais pas uriner pendant plusieurs heures. J'avais à nouveau cette sensation de vessie irritée, sensation de vidange incomplète). Mon jet urinaire était souvent très faible, divisé en deux, rarement fort, surtout après voir bu de l'alcool. Prendre un café, une éjaculation, ou la masturbation, aggravaient apparement mes symptômes. Je ressentais d'ailleurs par moment une sorte de gêne au niveau de la base du pénis, probablement au niveau de l'urètre, comme si, par moment, quelque chose y était coincé.
Qu'ai-je fait ? Je suis allé consulter plusieurs médecins et urologues. J'ai passé plusieurs ECBU, tous stériles, avec des taux de leucocytes ou d'hématies toujours en dessous des seuils sauf le tout premier réalisé après l'épisode d'hématurie macroscopique (environ 12 000). Prise de sang ok. Une échographie et un scan sans injection n'ont rien mis en évidence. Ma prostate semblait de taille normale, mais le résidu post-mictionnel n'a quant à lui pas été mesuré lors de l'échographie. Cytologie urinaire sur 3 jours qui a simplement mis en évidence une inflammation ("dystrophie inflammatoire") . Un urologue m'a prescrit du palmier de Floride et un antibiotique pour une éventuelle prostatite dont je ne me rappelle plus le nom, peut-être le Cycles que j'ai été amené à prendre récemment. Il m'a dit que si les troubles persistaient, il me ferait une cystoscopie car il pourrait s'agir d'une "petite sténose". Puis, vers fin Octobre, mes troubles ont complètement disparu, je n'ai donc pas passé la cystoscopie. Je retourne tout de même voir uurologue qui me fait passer une débitmètre qui est normale (aux alentours de 20ml/S je crois). Je ne m'occupe plus de ça.
- Depuis Novembre 2020 : cela fait maintenant un an que je vis un véritable enfer. Novembre 2020 et Décembre 2020, rebelote, des troubles urinaires, une envie fréquente d'uriner (pollakiurie) environ 10 fois par jour minimum, une sensation de vessie irritée, j'urine des petits volumes (environ 10/15cl, rarement plus de 20cl sauf exceptions). Contexte de sport intensif, une nouvelle fois. ECBU stérile une nouvelle fois, échographie qui ne montre rien SAUF un résidu post-mictionnel de 80cc ET une calcification du lobe médian de la prostate (taille normale aux alentours de 35cc je crois). D'après l'urologue ce résidu n'est pas significatif car j'avais la vessie trop distendue lors de l'examen, ce qui est vrai car j'avais trop bu. Il me fait passer une débitmétrie qui est normale mais qui a diminué (16ml/s max). Suite à ça, je reste quelques mois comme ça, à souffrir de mes troubles. Je réalise seulement une spermoculture qui se révèle négative et un ECBU une nouvelle fois négatif. PSA normal. Puis je me décide à aller voir un autre urologue. Débitmétrie normale (aux alentours de 15ml/s, ce qui est normal sans être top) et vidange vésicale complète. Ce qui est dingue d'ailleurs, c'est que mon débit urinaire n'est jamais le même. Des jets faibles assez souvent, parfois même en donnant des accoups, et, pourtant, je suis parfois capable d'uriner avec un jet assez fort. Cela m'est notamment arrivé après un traitement au cyflox + ketoprofène + tadalafil (1 mois) en octobre dernier, mais seulement au début pendant même pas une semaine ... Autre chose, et pas des moindres, depuis le début de ces troubles, je ressens toujours une gêne au niveau de la base du pénis, comme il y a 3 ans, sauf que cette fois-ci cette gêne est quasi constante. Mes érections sont de plus en plus douloureuses. Mes éjaculations sont très variables, parfois c'est normal, parfois c'est assez liquide et transparent. Je n'ai pas des écoulements purulents. Je dois passer une cystoscopie mardi prochain. Mon urologue me rassure en me disant que "ce n'est rien de grave". A priori il fait la cystoscopie pour éliminer la possibilité d'une sténose tout de même. Ce n'est pas "grave" mais bon... Il pense aussi à une prostatite mais il n'a pas l'air convaincu. Et pourtant. Il faut dire qu'il n'est pas très causant et semble me prendre pour cette catégorie de patients pénibles... C'est finalement le seul examen que je n'ai pas passé et tous les autres n'ont jamais rien montré. L'ECBU que j'ai réalisé pour cet examen montre des hématies à 8000, ce qui n'est pas pathologique mais je n'avais jamais vu un tel taux auparavant, sauf après l'hématurie microscopique. Prise de sang ok, pas de diabète, pas de troubles hépatiques.
Qu'est ce que je ressens actuellement ? J'ai la plupart du temps une gêne à la base du pénis (côté scrotum donc), je pense dans l'urètre. Comme si quelque chose était coincé. Cette gêne peut disparaitre, peut s'amplifier, notamment après une masturbation ou une relation sexuelle. J'urine la plupart du temps des petits volumes (15 cl en moyenne, 20cl rarement, et plus quasiment jamais). Je ne ressens plus de pression au niveau de la vessie mais je connais des épisodes d'urgenturie et de pollakiurie mais ce n'est pas systématique, surtout la pollakiurie (2 gros épisodes en un an). L'urgenturie est plus fréquente ces derniers temps mais ça reste gérable. J'ai aussi parfois des douleurs lombaires mais the fais pas mal de sport actuellement. Je ressens aussi parfois le besoin de contracter mon anus et j'ai parfois des difficultés à aller à la selle, comme si les muscles que je devais mobiliser, au niveau du plancher pelvien, ne répondait plus ou difficilement, c'est difficile à expliquer ! Je ne pense plus qu'à ,ça et je dois avouer que j'ai très peur. Je fais pas mal de sport pour évacuer mais le sport semble empirer mes symptômes, surtout au niveau de mon urètre. Je ressens très rarement comme un coup de poignard ou une pointe au niveau du pelvis.
Qu'est ce qui me fait dire que c'est une prostatite chronique sans bactéries (inflammatoire ou autre) ?
- calcification + lobe median au niveau prostatique. Lobe médian qui au passage semble être très difficile à soigner. Il appuie en plus sur l'urètre. La calcification serait donc un vestige d'une ancienne infection. Or, en 2018, il n'était pas question de cette calcification, ni de ce lobe médian il me semble...
- mon débit urinaire, mesuré 3 fois dont 2 fois en l'espace d'un an n'est pas pathologique (> 15). En cas de sténose, le débit est souvent en dessous de 10.
- sensation étrange au niveau du pénis. J'ai lu dans pas mal d'articles que la prostatite chronique pouvait occasionner des douleurs péniennes. Je sens cette gêne encore plus si je marche ou si je m'accroupis.
- dysurie : j'urine mal. Ça se voit aussi dans la sténose. Mais alors comment expliquer ces variations de débit urinaire. Si mon urètre était rétréci, je devrais normalement toujours uriner avec un faible jet, jamais autrement...
- urgenturie : là aussi, ça fait partie du tableau des symptômes.
- trouble de l'érection : parfois j'ai une érection mais je ne parviens pas à éjaculer. Parfois je n'arrive pas en avoir une constante. Parfois c'est douloureux.
- la masturbation, et plus généralement l'éjaculation semble aggraver mes douleurs et mes troubles urinaires. Souvent quelques heures après.
- la chronicité des symptômes : il y a comme des périodes de crise, et des périodes plus calmes où mon seul soucis est le débit urinaire et des légères brulures (j'arrive à m'en accommoder).
- les difficultés que je peux avoir à aller à la selle quand je suis en pleine crise.
Ressentez-vous cette gêne au niveau du pénis et son urètre ?? Que ressentez-vous le plus en général ?
Merci, au plaisir de vous lire et désolé pour le roman mais difficile de décrire ce problème sans partir du début.
tawan77
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tawan77
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Salut L'ami,
Bienvenu sur le forum des prostaticiens :)
Tu l'aura compris en lisant les messages de ce thread. La prostatite, ou SYNDROME DOULOUREUX PELVIEN CHRONIQUE comme certains docteurs commencent à l'appeler n'est pas caractérisé par des symptômes bien identifié et chacun peu faire l'expérience de différents embêtements.
Tu as l'air correctement pris en charge et c'est déja un très bon point. En te lisant j'avais également pensé à un problème de sténose avant que tu l'évoque plus bas dans ton message. La cytoscopie va éclaircir cela rapidement.
Ton soucis le plus embêtant semble être lié à la miction, est ce que ton uro t as parlé des alpha bloquants ? Ca aide beaucoup à détendre les muscles autour de la vessie, et surtout la partie de l'uretre qui "entoure" le passage de la prostate.
En règle générale, les urologues n'ont pas de solution pérenne à ce soucis, ce qui les frustrent bien sur et nous également en tant que patient. Par contre ton docteur à raison, on peut vivre avec, en mettant en place un mélange d'acceptation, de traitement de la douleurs et des troubles et en profitant des périodes de rémissions, qui sont sommes toute nombreuses et parfois longue (jamais assez bien entendu ^^)
Je te conseille vivement également de passer par le test de STAMEY qui est l'analyse de référence pour découvrir si tu as une prostatite bactérienne ou non. C'est un peu contraignant mais ca va aiguiller tes futures options thérapeutique. Si ton uro ne veux pas te le prescrire, diriges toi vers un docteur généraliste en ligne et explique lui le probleme. Il te fera une ordonnance.
La douleur scrotale que tu décris, et qui est amplifiée par la masturbation était (et est toujours) une douleur que je connais bien pour en faire régulièrement l'expérience. Chez moi également le repos sexuel améliore les choses et l'inverse amplifie les douleurs. Conclusion, jamais plus de deux, voir trois éjaculations par semaine maximum et évites la masturbation.
Si tu as mal, prend des anti douleurs rapidement, La douleur mène rapidement à de la dépression et ca ne fera qu'empirer la situation.
Bon courage et bienvenu ici ;)
Swarzy
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Swarzy
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Bonjour les gars,
Ça rassure entre guillemets de voir qu on est pas seul à avoir les même problemes car on se demande parfois si on ne devient pas fou.
@bru13100 ton problème s appelle bien une prostatite chronique.
Tout ce que tu décris je vis exactement la même chose depuis 2ans.
Quand on a une prostatite chronique je pense qu il faut ne pas stresser et avec du recul on apprend malheureusement a devoir vivre avec.
Ce qui déclenche la crise de prostatite c'est bien la déshydratation en premier lieu. Boire beaucoup et uriner a interval régulier évite les rechutes.
Je suis actuellement en crise après une période de calme de plus d un an et demi.
La je suis sous alpha bloquant depuis 1 mois ça aide bien en période de crise.
Après avec le temps faut essayer diverses traitement naturel et trouver ce qui soulage le plus les symptômes. Même si les prostatites se ressemblent tout le monde est différent.
Bon courage.
bru13100
bru13100
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@tawan77
Salut et merci pour ta réponse.
J'ai déjà entendu parler des alpha-bloquants mais les différents urologues que j'ai vu ne m'en ont jamais prescrit. Je vais en parler à celui qui me fait la cystoscopie mardi... du moment où l'examen ne met pas en évidence une sténose... même si les deux sont parfois intriqués vu que l'urine qui stagne dans la vessie est susceptible d'irriter/d'infecter la prostate. La sténose est possible c'est sur mais aucune débitmètrie n'a été jusqu'alors significative. Je ne sais pas ce qui est le pire, une légère sténose qu'on opère mais avec un important risque de récidive (environ 1/3 des patients) ou une prostatite chronique dont on a (très) souvent du mal à s'en sortir.
J'ai également entendu parler du test de Stamey. Je pense que comme tout le monde ici, j'ai à peu près tout lu sur le sujet : témoignages sur des forums, articles scientifiques, articles de presse, etc. J'ignore si un urologue fait ça près de chez moi (j'habite proche de Marseille) et je vais m'occuper de ça en fonction du résultat de ma cystoscopie.
La douleur que je ressens au niveau de la base de la verge est parfois horrible. Ce n'est pas le scrotum, enfin... on va dire que les deux sont possibles puisque la base du pénis se situe en effet au niveau du scrotum. Plus les jours passent, plus j'ai une appréhension, ne serait-ce que pour un rapport... peur d'avoir mal quelques heures après, peur de déclencher à nouveau ce que j'appelle une "crise" et/ou de ressentir cette sensation d'avoir quelque chose de coincé.
Niveau antidouleur, j'alterne entre ibuprofène, paracétamol, ketoprofène... le hic c'est qu'en prenant ça quotidiennement, on risque de se faire pas mal de problèmes, notamment hépatiques :/ Seulement quand on a mal... J'ai même essayé le cannabis (pas CBD) en vaporisation...
J'ai aussi remarqué que la caféine, comme l'éjaculation, exacerbait mes brulures urétrales et/ou vésicales...
Merci en tout cas pour les conseils, je vais revenir vers toi ainsi que les autres lorsque j'aurai passé mon examen.
Bon dimanche !
bru13100
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Dernière activité le 13/12/2021 à 13:38
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@Swarzy
Salut et merci à toi d'avoir répondu !
Oui c'est bien de partager nos ressentis et de se dire que nous ne sommes pas seuls face à cette affection. J'ignore encore à 100% s'il s'agit de ça ... Il pourrait aussi s'agir d'une sténose même si les éléments cliniques actuels ne l'ont pas montré ou même des deux pathologies. Réponse mardi avec ma première cystoscopie (aïe !!!), je crains l'issue de cet examen mais au moins j'en saurai plus. Et, d'ailleurs, le stress majore également mes symptômes urinaires : brûlures au niveau de l'urètre pénien (toujours après la miction, jamais pendant), sensation de vessie irritée et puis, tout à coup, plus rien... jusqu'à la prochaine fois quelques heures après...
Effectivement l'hydratation semble jouer un rôle. En revanche, après un effort soutenu (par exemple 1h de vélo elliptique durant laquelle je transpire énormément) , je m'hydrate pas mal mais... j'urine assez peu. Suite à ça, il y a même desfois où je ne vais pas uriner de 5 heures ou 6 heure sans me retenir pour autant. J'urine assez mal, sauf lorsque j'ai pris du cyflox pendant quelques jours où tout semblait être revenu à la normale. Mes symptômes sont donc très fluctuants, ce qui ne manque pas d'étonner certains urologues...
Que ressens-tu comme symptômes en période de crise ? Combien durent-elles généralement ? As-tu parfois l'impression que ta vessie ne s'est pas bien vidangée, ou, même d'avoir comme un "point chaud" au niveau pelvien, ou juste au-dessus de la verge ?
À bientôt et merci à vous deux pour vos conseils et messages, c'est appréciable !
Swarzy
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Swarzy
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@bru13100
Salut les gars,
C'est bien tu es courageux j ai annulé deux fois la cytoscopie.
Mes symptômes sont variables mais en cas de crises c'est une faiblesse du jet urinaire parfois coupe en deux au début du jet car le méat est collé.
Urgence à la miction, légère brûlures avant ou après ça dépend. Sensation de boule au niveau de l anus quand je suis assis des fois, ça a mon avis c'est quand la prostate est bien enflammé.
En cas de crise j ai également du mal a aller a la selle, une sorte de constipation apparait c'est exactement ce que tu décris.
Je fais également beaucoup de sport, malheureusement j ai du arrête le vélo pas compatible avec. Les problèmes de prostate. Je ne fais plus que du sport en salle en dehors des crises.
Fais attention avec la prise des antibiotiques notamment cypro comme tu dis ce sont des fluoroquilones regarde il y a eu des retrictions de l ans. Les effets secondaires peuvent être pire que tes problèmes de prostate. Moi mon médecin m a toujours déconseillé d en prendre et je l en remercie.
La prostatite est l une des trois pathologies de la prostate les moins connue de la médecine et ça se voit ....
De toute manière pour moi une prostatite est toujours bactérienne sauf que les bactéries sont encrées dans la prostate dans une ou des calcifications donc indétectable et quasiment impossible à éradiquer même avec des antibiotiques d ou la réapparition des symptômes de manière aléatoire.
En tout cas avant ce problème je n allais jamais sur des forums si nous y sommes c'est que nous n invintons pas cette pathologie. Après quand on regarde les forums il y a des personnes qui ne reviennent pas donc on peut espérer peut être pas la guérison mais une longue période d acalmie.
Tiens nous au courant pour ta cytoscopie.
La pendant un et demi j ai réussi à vivre de manière à peu près normal je savais que tout n' étais pas pas parfait mais j' ai appris à accepter mes symptômes. Je pense qu il faut faire un gros travail sur sois même aussi. Il faut relativiser même si c'est dur et se dire qu il y a toujours pire. C'est con mais depuis ça je profites de chaque instant je me sens peut être plus vivant.
Bon dimanche
@+++
tawan77
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tawan77
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re
De mon coté je touche du bois, toujours pas de récidive depuis un an maintenant suite à mon opération de résection prostatique.
C'était une décision radicale, car cela a des conséquences (éjaculation rétrograde), mais je ne regrette pas du tout.
C'est une option thérapeutique qui peut donc (dans certains cas) etre envisagé pour certains d’entre nous qui souffrent depuis longtemps. Il faut en discuter avec votre urologue.
Je croise les doigts pour que les douleurs ne reviennent plus
bon dimanche a tous
Swarzy
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Swarzy
Dernière activité le 19/03/2023 à 08:32
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Re @tawan77
Peux tu me en dire plus sur cette opération s il te plaît ?
Tu as retiré une partie ou la totalité de la prostate ? Car moi j y avais pensé aussi.
Tu as quel âge ? La totalité apparemment ce n est qu en cas de cancer sinon c'est pas possible apparemment.
Merci de tes précisions
tawan77
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tawan77
Dernière activité le 28/09/2024 à 11:35
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re @Swarzy
J'ai fait une résection prostatique. L’opération consiste à n’enlever qu'un bout de la prostate. Le chirurgien "creuse" la partie de prostate traversée par l’urètre. Cela a plusieurs avantages :
1- l'urine s'écoule plus facilement.
2- Cela peut enlever un nidus infectieux, voir un abcès. (si il est visible à l'écho ou IRM).
3- Ca peut aider à libérer les canaux prostatique, qui sont parfois bouchés ou à moitié bouchés et provoquent des douleurs type "tension".
4- certains acini prostatique peuvent aussi etre bouchés après des infections à répétition ou des calcifications. Ces mini glandes sécrétoires (appelés acini) produisent le liquide prostatique. Si ils sont bouchés, une pression, voir une inflammation se met en place et peut parfois déclencher des douleurs, et même des infections...
5- Traiter aussi un souci possible du coté de l'utricule prostatique qui est chez certains une source de reflux, blocage de l'urine.
Dans mon cas j'avais un mini kyste de l'utricule. Les urologues m'ont toujours dit que cela n'était pas un souci normalement, (sans me le garantir à 100%) J'avais aussi des anciennes calcifications (je ne pense pas qu'elles posaient des soucis), et j'avais aussi une stase urinaire liée à un syndrome de jonction rénal (qui n'aide donc pas à une bonne vidange des urines.
L'opération a supprimé plusieurs causes probable et ma foi, je suis tranquille depuis l'année dernière...
J'ai 41 ans, je vis avec la prostatite depuis 2007... J'ai été peu embêté entre 2013 et 2019, mais début 2020 c'est revenu relativement fort. Je me suis fait finalement opéré en novembre 2020.
voila :)
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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miguel1975
miguel1975
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1 commentaire posté | 1 dans le forum Prostatite
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Ami
Miguel, 40 ans, Nantes avec une prostatite chronique depuis début 2015
Bonjour,
Tout d’abord merci d’avoir créé un blog pour cette maladie méconnue !
Pour ma part j’ai subi en début d’année une résection du col vésical (clapet à la sortie de la vessie) qui était trop rigide et déclenchait chez moi entre 10 à 15 mictions par jour.
Cette opération a eu lieu le 12 janvier 2015 et ensuite j’ai été sous traitement anti-inflammatoire pendant 1 mois et tout se passait bien, à l’arrêt de mon traitement j’ai constaté quelques jours après des brulures lorsque j’urinais et des douleurs dans les bourses et c’était le début de la galère !
J’ai été hospitalisé dans un 1er temps pour une prostatite aigue au mois de mars 2015 pendant 7 jours ou j’ai subi un traitement antibiotiques et antidouleurs ensuite retour à la maison avec un traitement de 2 mois sous antidouleurs et anti-inflammatoires par voie orale.
Pendant cette période la douleur a toujours été présente mais supportable, le gros inconvénient est une baisse de la libido et pendant les crises aigu et une éjaculation rétrograde.
Au mois de mai de retour une grise violente avec des douleurs pelviennes insupportable (j’avais stoppé mon traitement), je rappelle la clinique et je suis de nouveau hospitalisé et recommence un traitement par voie intraveineuse d’antibiotiques et d’antidouleurs pendant 5 jours. A ma sortie un traitement par voie oral m’attendait avec du Tramadol pour la gestion de la douleur, l’antibiotique Cefixine (Oroken) pour traiter le germe et du Seroplex soit disant pour « chinter » l’information à mon cerveau que j’ai mal et eux pendant une durée de 6 mois!
Ce dernier étant un antidépresseur je pense que mon Urologue n’a pas eu le courage de me dire qu’il souhaitait traité une éventuelle baisse de morale !
Pendant ce traitement les douleurs au niveau de la vessie et des bourses ne me quitte guère même si elles sont peu douloureuses !
Aujourd’hui je suis de nouveau à la clinique, encore une crise !
Rebelote je suis de nouveau sous traitement antibiotiques et antidouleurs, 4 jours d’hospitalisation (Septembre 2015) car le traitement est par voie intraveineuse !
On va me poser un cathéter veineux par voie centrale avec une pompe afin de pouvoir me traiter sous antibiotique « Tienam » pendant un mois et bien entendu je continu mon traitement par voie oral d’antidouleur « Tramadol ».
D’autre part j’ai pris RDV dans un centre antidouleurs à Nantes (4 mois d’attente), j’ai RDV le 21 octobre 2015, j’espère qu’ils auront un traitement efficace à me proposer !
Cette maladie est compliqué car mal connu par mon entourage et cela ne se voit pas alors si physiquement je présente bien pour eux tout va bien !
C’est pourtant pas le cas, je suis fatigué et depuis le début de mon traitement en Mars il m’est difficile de tenir éveiller des longues journées et il faut que je tienne car je suis Cadre dans l’industrie et mes clients commence à dire « Il est encore en arrêt ».
Et oui même si je fais tout pour limiter mes absences au travail j’ai été obligé de stopper mon activité pendant mes hospitalisations et 3 semaines après l’hospitalisation du mois de mars car j’étais très fatigué !
Mon patron est compréhensible mais va-t-il accepter cette situation pendant plusieurs mois ou plusieurs années je le crains !
Moi je ne tiendrais pas pendant plusieurs années, je veux retrouver ma vie d’avant avec une libido épanoui, un bon moral et surtout plus de douleurs !
Si des personnes vivent ou ont vécu la même situation je serais heureux de partager un moment d’échange avec eux.
Miguel