Hypo et Levothyrox

Bonjour,

Depuis février 2019, j’ai le traitement par Lévothyrox 50yg. Le dosage des anticorps a permis de confirmer la maladie de Hashimoto. Et globalement selon les contrôles sanguins, tout allait pour le mieux questions dosages.
Et la Covid arrive et la vaccination par l’ARN-messager. J’évoque cela car je me pose de sérieuses questions sur le effets de cette vaccination et la maladie auto-immune.

A l’été 2022, j’en suis à ma deuxième dose du vaccin Pfizer puisque je fais parti des personnes à risques (+de 60 ans). Après trois semaines apparition d’une adénopathie des ganglions du cou. J’ai vu pour cela mon médecin traitant. Et en même temps, je lui ai fait part des symptômes que j’ai attribué à l’hypothyroïdie.

A savoir par exemple : perte des queues de sourcils, visage bouffi, exophtalmie prépondérante d’un œil, grosse langue, perte de libido, asthénie Etc.

Certains de ces symptômes étaient déjà présents mais ils se sont accentués pour certains d’entre eux.

Les dosages sanguins prescrits ont confirmé que le dosage initié en 2019 était insuffisant avec une TSH élevée et une T4L au plancher.

Un premier réajustement à la hausse a été fait de mi-juin 2022 à fin juillet : 62,5yg avec le comprimé sécable dosé à 125 yg de Lévothyrox.

Les dosages sanguins de fin juillet confirment une TSH encore plus haute qu’en juin et toujours une T4L au plancher.

Je suis en cours d’un nouveau dosage à la hausse avec le 88yg. Le contrôle sanguin est prévu fin septembre après deux mois de réajustement de dose. En plus je vais avoir le contrôle des anticorps.

Y-a-t-il un croisement d’effet néfaste (déséquilibre) entre la stimulation du système immunitaire par le vaccin Pfizer à base d’ARN-messager et la maladie d’Hashimoto ?

Je me pose sincèrement la question car je ne vois pas pourquoi subitement mon dosage de Lévothyrox à 50yg ne convient plus.

En plus depuis juin/juillet, je fais face à une prise de poids inexpliquée que je n’arrive pas à contrôler malgré une alimentation modérée et contrôlée. Comme si le ralentissement métalogique me faisait grossir tout en faisant du sport et en contrôlant ce que je mange. Sans parler de la fatigue larvée et de mon humeur en berne.

A suivre fin septembre avec mon médecin traitant en fonction des résultats du laboratoire d’analyses.

Bel été à toutes et à tous.

Sylvain