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Violence conjugale : 1 homme sur 5 l'avoue
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GIGI
Bon conseiller
GIGI
Dernière activité le 05/11/2024 à 06:18
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Bonjour Sandrine,
Je n'ai nommé personne et je te disais que nous écrivions en même temps
Belle journée
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oui oui oui GIGI mais bon faut toujours que je l'a ramène mdr
mais j'avais bien compris belle journée
Utilisateur désinscrit
Tenez , je remonte ce sujet , encore une fois les hommes , toujours les hommes , mais , il n'y a pas que nous , les deux sexes peuvent débordé, les deux oui
scoobidoo
Bon conseiller
scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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C'est juste, mais il y a une grande différence quant au nombre :
La violence conjugale, en 2013, a fait 146 morts : 121 femmes et 25 hommes, victimes de leurs compagnons ou ex-compagnons, selon une étude publiée mercredi 7 mai par les ministères de l'Intérieur et des Droits des femmes.
En 2012, 148 femmes et 26 hommes avaient péri, soit au total 174 victimes de la violence conjugale.
Paru sur le site du Nouvel Observateur, le 07/05/2014
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Je vais sous doute me faire lapider concernant "dépression", "bipolarité" et d'autres pathologies dans ce sens.
Sur ce site, ns sommes tous des malades connaissant à peine la nôtre dans sa totalité alors que nous semblons en connaître un rayon sur une autre maladie. Pourtant ils nous arrivent de faire fausse route car les "on-dit-ci- ou çà"".... Nos maladresses sont parfois notre ignorance. Ou simplement que ce jour-là....on disjoncte sur untel ou unetelle.
Je reviens ( tjrs tendance à m'égarer en explications avant que l'on m'abatte)....
Les dépressifs, les bipolaires....ns ne sommes pas des médecins et il est difficile de cerner ces pathologies. (attention, je n'attaque pas les malades personnellement).
J'ai une voisine d'une cinquantaine d'années.....dépressive depuis l'âge de 17 ans ! les médecins n'y arrivent pas comment voulez-vous que j'arrive à lui donner un peu de mon énergie ? elle dit "oui"....puis hop, repars. Des voisins qui la connaissent depuis X années se demandent....si elle ne joue pas la comédie ?
Le peu que je constate est qu'elle est désarmante. Elle débarque tôt le matin pour en repartir 3 h plus tard.... Elle vient d'avoir un bb....alors que plus d'utérus......Elle arrive à 19H pour que je l'amène au cimetière.....Me ramène ma tondeuse à 20H 30 alors que ça pouvait attendre le lendemain.....Que je sois ocupée ou des projets à court-termes, elle ne peut l'imaginer. Elle m'impose sa pathologie.
Les voisins ne la rejettent pas mais ne la laissent plus entrer....sinon ne peuvent plus s'en sortir. Et chacun a droit aussi à se préserver face à la maladie des autres. Ces personnes, conscientes de rares moments agissent différemment le lendemain. Quand la mauvaise période dure hélas très très longtemps, la "victimisation" est de rigueur.
Sur care, on se prend le "bec" car on ne comprend pas .....que l'autre ne comprenne pas. Et les sujets, grosso-modo récents, échauffent les esprits sans que nous percutions que cet autre est justement atteint de ce type de pathologies et se poser en victime afin d'attirer la compassion, la sympathie.....
Mouais, pas sûre de me faire comprendre....
(ma réaction sur divers posts et sujets qui finissent en agressivité et règlement de compte)
Serena
Utilisateur désinscrit
Si , si , j'ai compris , c'est vrai , pour ce qui me concerne que j'ai mes jours , certaines fois , je serais bien et compatissant , je dirais oui a tout et d'autres , vous aurez bon m'expliquer par A + B que vous avez raison , il faudra que j'ai le dernier mot , et si vous commencez a vouloir me donner des conseilles pour gérer ma vie , la , vous étes mal barrés avec moi.
Après de la a savoir si c'est la maladie , ou mon caractère??? La maladie fait une bonne excuse non? Vous ne trouvez pas
Chris31
Membre AmbassadeurBon conseiller
Chris31
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 03/10/2024 à 09:58
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Oui , entièrement d'accord avec toi serena , il faut se préserver , accepter d'aider mais ne pas se laisser envahir , submerger par les problèmes de l'autre ! En fait l'art et la manière "de lui faire du bien" tout en restant à sa place , et avoir la diplomatie de lui faire comprendre qu'on est là pour lui tout en respectant certaines limites , ce message étant passé tout le monde y trouve son compte , le soignant et le patient !
ps: un doc ne donne pas son n° de portable à ses patients pour qu'ils l'appellent à toute heure du jour et de la nuit, de même dans n'importe quel boulot .... respect de la vie et de l'intimité de son prochain !
Il te faut délimiter gentiment ce cadre avec ta voisine...et si elle ne comprend pas plus fermement ! mais ne surtout pas lui donner l'impression d'un rejet qu'elle ne comprendrait pas et auquel elle donneraitb des proportions énormes !
Ici c'est pareil , conseiller , partager ds la BONNE HUMEUR, rassurer , consoler...le virtuel a ses limites .
Et tout ça dans le calme et le respect ! Perso. si on me gave je m'échappe
Pour en revenir à la violence , le post d'hier qui a fait polémique (masculin-féminin) sur le sujet délicat soumis par angelo aurait pu se terminer ici !
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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Utilisateur désinscrit
Relater mon histoire (résolue) avec ma voisine était illustrer "dépression", "troubles bi-polaires".....Ces maladies ne servent-elles pas d'excuses pour un mal-être ailleurs ? ou bien ce mal-être échappe...
Evoquer ceci me fut inspiré par "chantre" "ambre" "hélène de troie" ....si je me rappelle des pseudos. Des doutes circulèrent tant à leurs sujets et ns devînmes (presque) tous agressifs en réponse à la leur. Je ne me souviens d'hélène qui se posa en victime pour clore le débat. Elle relança "mea-culpa". Un mot aimable de ma part...elle me jeta.....remise en place par Francine d'ailleurs.
Chris : même avec diplomatie ou fermeté, rentré et sorti par la porte....revient par la fenêtre....puis le soupirail. Des absences par les médicaments, c possible....Et qd tu frises l'impolitesse....la personne ne t'en veux pas....puisqu'elle ne se souvient pas. Ce qui est désarmant. Sur les forums nous les cotoyons mais n'ai pas forcément le réflexe de compassion et tout et tout....
Tu dis que les doc ne donnent pas leur n° de phone à leurs patients. Plus d'une fois sur les forums, j'ai lu que des malades appelaient perso leur doc....(gloups)
Le forum sur la violence faite aux femmes.....incomprise par les hommes déchaîna la violence des propos. Un forum + un autre + et l'agressivité fait Loi.
Je l'ai dit une fois dans un forum assez récent qui déchaîna les passions : Quand Julien lance un sujet il doit s'attendre à des réactions et certains plus d'autres nous enflamment. S'il lançait "les femmes simulent le plaisir"...les hommes rappliqueraient se donnant la main....ce qui révolterait les femmes. (je parle hors maladie).
Ah, pas tjrs évident de se faire comprendre.
Serena
Utilisateur désinscrit
Je comprends , enfin , je crois , qui dit en faite que quant un sujet est lancé , c'est claches ne sont pas prémédité a l'avance et tout ce que nous disons ici décortiqué, par des chercheurs?
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Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La prévalence de la violence conjugale (ici aux États-Unis) dépasse celle du diabète, selon cette étude de l'Université du Michigan, représentative au niveau national, et qui marque d’abord avec ce ratio : 1 homme sur cinq aux États-Unis reconnait avoir déjà fait preuve de violence envers son conjoint ou partenaire intime. Seconde conclusion, certains symptômes physiques apparaissent associés à la violence conjugale. Nouveau zoom dans le Journal of the American Board of Family Medicine sur une forme d’agressivité masculine désormais mieux détectable, lors d’examens de routine, grâce à des signes d’alerte dont certains étaient jusque-là inconnus.
L’étude a porté sur les données de 530 hommes âgés de 42 ans en moyenne à 84% professionnellement actifs et de tous niveaux de revenus de la National Comorbidity Survey-Replication (2001-2003), une enquête sur la violence masculine et conjugale et ses caractéristiques. . La violence conjugale a été définie comme pousser, empoigner, bousculer, jeter quelque chose, donner des gifles ou des coups, des coups de pied, mordre, battre, étouffer, brûler ou menacer avec un couteau ou un pistolet.
1 homme sur 5 aux États-Unis reconnait avoir usé de violence à l’égard de sa partenaire intime. Contrairement à ce que les gens racontent sur la violence masculine, en faisant souvent référence à des personnes qu'ils n’ont jamais rencontrées ou à des faits d’actualité, un homme sur 5 au moins l’a déjà pratiquée, et une femme sur 5 l’a donc subie, explique l'auteur principal, le Dr Vijay Singh, du Département de médecine d'urgence et familiale de l'Université du Michigan. Un ratio valable pour toutes les communautés, les ethnies, les niveaux de revenus, et quel que soit le facteur sociodémographique, souligne l’auteur. Pour les Etats-Unis, ces données d’enquête concordent avec les données épidémiologiques : Chaque année, environ 320.000 visites en ambulatoire et 1.200 décès chez les femmes sont dus à la violence conjugale dont les coûts sociaux et de santé sont estimés à 8,3 milliards de dollars.
Une menace détectable :
Car l’étude constate aussi que plus de la moitié des hommes qui s’avouent violents ont passé au moins une visite médicale de routine au cours l’année précédente et près d'un tiers au moins une visite aux urgences. Une opportunité pour le dépistage de ce trouble du comportement, bien que peu de travaux aient été jusque-là réalisés sur la façon d'identifier les auteurs de violence conjugale. Pourtant certains signes bien détectables sont associés au risque de comportement violent. Précisément, l’analyse montre que, si le taux moyen de perpétration de la violence conjugale masculine est de 19,2%,
· le syndrome du côlon irritable est associé à une probabilité double de violence conjugale sur sa partenaire (OR : 2,61),
· l'insomnie, à une probabilité accrue de 33% (OR : 1,33),
· l'abus de substances et la toxicomanie, à une probabilité accrue de 76% (OR : 1,76),
· avoir été victime ou témoin de violence à l‘enfance à une probabilité double (OR, 1,99/2,02).
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