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Violence conjugale : 1 homme sur 5 l'avoue
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GIGI
Bon conseiller
GIGI
Dernière activité le 21/02/2025 à 11:11
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Hobit,
Pardon mais tu ne tiens pas compte des symptômes de la bipolarité, décrits par Arnica ! Reviens en arrière et tu comprendras mieux
Bon après-midi
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Utilisateur désinscrit
non GIGI en tout cas moi je vais pas te lancer la foudre
en faite c'est ce que je fais en temps ordinaire
mais la ..je sais pas .....
le mélange des fois n'est peux être pas évident oui mais certains sujets peuvent être partagés
avec d'autres quand on ne parle pas de pathologies .;style fibro ...cancer ou autre
après je dirais que nous devons être vigilent et en effet bien faire attention a qui l'on parle
de ce faite on ne fait pas de bêtises ni faire de mal aussi
ça pour sur je vais vraiment faire plus attention .....c'est que j'aime pas les méchancetés
on fait du mal pour rien et de plus cela n'apporte rien ..
belle journée aussi
kikoulo
Bon conseiller
kikoulo
Dernière activité le 18/02/2025 à 09:30
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sandrine dis toi que nous reagissons avec notre état du moment, notre vie, notre passé
nous sommes avant tous des etres humains
je n'ai pas participée a cette discution pour des raisons persos tres lourde
et c'est bien ainsi
courage:!!
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YLES56
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Utilisateur désinscrit
merci kikoulo ...tu as raison ...
pas simple de parler ....mais des fois ..ça fait du bien
ou cela réveil d'ancien démons ..pas simple du tout
Chris31
Membre AmbassadeurBon conseiller
Chris31
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 26/01/2025 à 12:22
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Bonjour tout le monde excusez moi mais je ne peux m'en empêcher ! Juste un petit mot et "je m'effacerai" de cette discussion... J'ai vu dès le départ que Chantre avait signalé son trouble bipolaire dans sa description , mais je n'ai pas pris le temps de regarder si elle avait participé à d'autres discussions...tellement j'ai été prise par celle ci
! Après tout nous ne sommes pas des toubibs et le virtuel de toute manière reste du virtuel !
Lorsque j'ai lu les proportions que ça prenait et constaté la rapidité et la longueur de ses réponses (violence exacerbée) je me suis méfiée et me suis dit "pas possible elle nous berne et va s'arrêter"donc je lui ai suggéré de se faire aider , (tenant compte aussi de l'histoire de violence familiale ds la laquelle elle racontait avoir baigné !)ce qu'elle a bien entendu refusé en tournant son mépris vis à vis des malades sur ce forum... Et était apparemment très proche de psychiatres de part ses études (ça aussi elle l'avait écrit de façon méprisante) qui lui auraient conseillé de ne pas clamer à des "idiots" comme nous de telles horreurs ! preuve en est qu'elle le faisait méchamment !
Alors excusez moi mais franchement que pouvez vous faire contre ce genre de personnage et de déviation ? RIEN ! et je ne regrette absolument pas ce que je lui ai dit lors de mes ,interventions afin qu'elle cesse !
Sandrine pour une fois je ne te rejoins pas sur ce coup , tu avais raison de dire qu'elle était méchante ! (dès le début quand elle a parlé de son jeune voisin) puis c'est allé crescendo... une personne comme ça est dangereuse et il est important pour elle d'avoir des soins, ici elle n'en cherchait pas ! pour elle c'était un défouloir , si ça n'avait pas pris fin des personnes sensibles et fragilisées par leur maladie en auraient fait les frais ! Et d'ailleurs ça commençait hier soir. Julien n'était pas là et elle devait avoir prémédité tout ça ... sachant pertinemment qu'elle pourrait se défouler ! Donc , aucune pitié ni excuse , le monde est rempli de psychopathes au passé tumultueux , ça n'est pas pour autant qu'il ne faut pas les enfermer , dehors ce sont eux qui font la une à travers des actes horribles ... et là on pleure et on en parle avec effroi mais trop tard !
Moi franchement ça m'a marqué et "démoli" quelque part , et je vais prendre bcp de recul désormais !
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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personne ne doit culpabiliser, la bipolarité est une pathologie Hobit qui peut vraiment entraîner la personne dans une spirale qu'elle ne maîtrise plus..ses pensées affluent dans le délire, sans se rendre compte se son débit, de sa mise en avant de sa puissance...et ce matin..elle s'est desinscrite parce qu'elle est malheureuse...et a compris..si elle revient le mieux est de ne faire aucunes allusions à ce sujet. C'est mon simple avis.
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Utilisateur désinscrit
plus rien a rajouté désolé ..tu as sans doute raison chris
en faite j'en sais rien .;ça m'a secoué aussi
et j'aurais du me taire sur ce sujet voila ..
je viens de relire tout le sujet ...je n'avais lu que la fin
bref du coup je ne sais plus quoi dire donc pour ma part ce sujet
est clos ...belle continuation a ceux qui continueraient
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Utilisateur désinscrit
J'ai regardé son profile dés le début , comme j'ai souvent pue lire sur d'autres sujets , la maladie n'excuse pas tout , nous n'avons pas été parfait , possible , je voudrais l'étre , je ne le suis pas , mais , elle y a été un peu fort , je ne veux pas dire que j'ai raison , mais , je ne dirais pas non plus que ce que j'ai dit sur elle était méchant , rien a voir avec ce qu'elle a pue écrire , des personnes ont étaient choquées , je les comprends.
Je vous laisse libre de penser ce que vous voulez de ma personnalité , tout comme chris , je ne regrette pas ce que j'ai pu dire
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non je pense que toi et chris vous avez bien repondu aussi
je dit juste ça ..plus envie de parler ici
bonne soirée tout le monde
Maria12
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Maria12
Dernière activité le 20/12/2024 à 09:35
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La maladie peut expliquer certaines choses, mais cela ne les excuse pas. Le sujet de conversation est large, et ne concerne aucune pathologie. Lorsque nous y échangeons nous le faisons en tant que personne et pas en tant que malade (fibro, bi-polaire, diabétique, etc.) On ne peut pas prendre toujours des gants sous prétexte qu'une personne a telle ou telle maladie, surtout lorsqu'on ne connait pas cette personne et que le sujet ne concerne pas la maladie. Et je trouve, que de toute façon, nous avons été très corrects, nous n'avons rien à nous reprocher.
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Maria12.
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05/02/2025 | Témoignage
Handicap et parentalité : le combat de l’association Action Visible et Handicap
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La prévalence de la violence conjugale (ici aux États-Unis) dépasse celle du diabète, selon cette étude de l'Université du Michigan, représentative au niveau national, et qui marque d’abord avec ce ratio : 1 homme sur cinq aux États-Unis reconnait avoir déjà fait preuve de violence envers son conjoint ou partenaire intime. Seconde conclusion, certains symptômes physiques apparaissent associés à la violence conjugale. Nouveau zoom dans le Journal of the American Board of Family Medicine sur une forme d’agressivité masculine désormais mieux détectable, lors d’examens de routine, grâce à des signes d’alerte dont certains étaient jusque-là inconnus.
L’étude a porté sur les données de 530 hommes âgés de 42 ans en moyenne à 84% professionnellement actifs et de tous niveaux de revenus de la National Comorbidity Survey-Replication (2001-2003), une enquête sur la violence masculine et conjugale et ses caractéristiques. . La violence conjugale a été définie comme pousser, empoigner, bousculer, jeter quelque chose, donner des gifles ou des coups, des coups de pied, mordre, battre, étouffer, brûler ou menacer avec un couteau ou un pistolet.
1 homme sur 5 aux États-Unis reconnait avoir usé de violence à l’égard de sa partenaire intime. Contrairement à ce que les gens racontent sur la violence masculine, en faisant souvent référence à des personnes qu'ils n’ont jamais rencontrées ou à des faits d’actualité, un homme sur 5 au moins l’a déjà pratiquée, et une femme sur 5 l’a donc subie, explique l'auteur principal, le Dr Vijay Singh, du Département de médecine d'urgence et familiale de l'Université du Michigan. Un ratio valable pour toutes les communautés, les ethnies, les niveaux de revenus, et quel que soit le facteur sociodémographique, souligne l’auteur. Pour les Etats-Unis, ces données d’enquête concordent avec les données épidémiologiques : Chaque année, environ 320.000 visites en ambulatoire et 1.200 décès chez les femmes sont dus à la violence conjugale dont les coûts sociaux et de santé sont estimés à 8,3 milliards de dollars.
Une menace détectable :
Car l’étude constate aussi que plus de la moitié des hommes qui s’avouent violents ont passé au moins une visite médicale de routine au cours l’année précédente et près d'un tiers au moins une visite aux urgences. Une opportunité pour le dépistage de ce trouble du comportement, bien que peu de travaux aient été jusque-là réalisés sur la façon d'identifier les auteurs de violence conjugale. Pourtant certains signes bien détectables sont associés au risque de comportement violent. Précisément, l’analyse montre que, si le taux moyen de perpétration de la violence conjugale masculine est de 19,2%,
· le syndrome du côlon irritable est associé à une probabilité double de violence conjugale sur sa partenaire (OR : 2,61),
· l'insomnie, à une probabilité accrue de 33% (OR : 1,33),
· l'abus de substances et la toxicomanie, à une probabilité accrue de 76% (OR : 1,76),
· avoir été victime ou témoin de violence à l‘enfance à une probabilité double (OR, 1,99/2,02).
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