- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Espace détente - Loisirs
- Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...
Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...
- 4 718 vues
- 36 soutiens
- 425 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Ça , j'ignore comment ont fait?
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
Tu envoies un exemplaire de ton manuscrit à plusieurs maisons d éditions (surtout pas l original au cas où le livre se perde).
Tu écris un courrier avec tes coordonnées complètes.
Surtout ne fais pas de fautes d inattention ; relis bien ton bouquin et ta lettre.
Tu mets une enveloppe timbrée au poids de l ouvrage pr le retour en cas de refus.
Bisous.
Utilisateur désinscrit
Je ne pense pas le faire un Jour @angelina, bisous , bon samedi
Utilisateur désinscrit
X
"-Oui c'est une arme de collection mais elle fonctionne encore très bien"
Le jeune homme a qui on aurait donné vingt cinq ans tout au plus , avait les cheveux blonds , des yeux bleu , avec autour , un voile noir , un peu comme les Égyptiens de l'Antiquité maquillaient leur visages , imberbe , il semblait avoir une peau d'une grande douceur , ses vêtements , étaient parfaitement a sa taille , bien fermé a chaque extrémités , ils ne glissaient pas , ne laissant ainsi apparaitre aucunes autres parties que les mains et la tête , il n'était pas seul , dans ses bras , il portait Christine légèrement blessée au visage.
♦
Le corps d'Isabelle était arrivé a Noix , le gardien du château , un homme de soixante ans , un peu courbé a force d'entretenir les rosiers et autre graminées , de ce lieu très peu visité , voyant la pauvre jeune femme , demanda , s'il devait faire venir un croc-mort a fin de préparer le corps , car il était de coutume chez les Coulterè de ne pas fermer le cercueil avant une semaine au moins , en une semaine , cette belle femme tout en blanc , avec le radoucissement du temps se décomposerait vite:"-Ne faites pas ça !" Dit le marquis .
♦
Gabriel conduisit sa blessée , dans l'arrière boutique de la mercerie , ou il trouva en plus de Bernadette qu'il tenait a bon portant : Germaine et Jean , il déposa la jeune femme inconsciente sur la table de la cuisine et dit a la mercière d'aller chercher le plus doux de ses mouchoirs a fin de lui enlevé la petite tache de sang que la jeune fille avait au visage du au coup qui vraisemblablement lui avait fait perdre conscience "-Levez les bras tous! Attention madame Naud , ne téléphonez pas a la police , si il vous en venez l'idée , vos deux amis , n'en échapperaient pas vivant" .
Germaine fut surprise par la voix du jeune homme en fermant les yeux elle reconnaissait celle de Bénédicte:"-Comment c'est possible ça ? Vous parlez comme l'autre assassin ?
-Levez les mains j'ai dis!
-Bien oui , levez les mains madame Masson , enfin écoutez monsieur
-Oui , mais comment c'est possible que vous ayez la même voix que lui ?
-Je n'ai pas encore tout compris , mais monsieur Lanchoix était un brave homme , il n'a pas fait ce dont il a été accusé a tord , vous a t'il fait du mal , une fois ? Madame Masson
-Non , jamais , il était avenant et de bon services , qui aurait pu penser qu'un tel homme cachait en lui un monstre ?
-Il suffit , couchez vous au sol , les mains sur la nuque , alors madame Naud , il vient ce mouchoir, vous en mettez un temps ?"
♦
La cérémonie terminée, le marquis et toute sa suite étrangère , ne restèrent pas au château, monsieur Fourrier , le gardien , vit une demi heure plus tard , de loin , Tentor entrer dans la crypte avec son sabre , il se mit a courir vers l'entrée en criant "-Oh! Tu vas ou toi ? " Mais l'autre était depuis longtemps entré , quand François arriva a son tour a l'entrée "-Sort de la ! Non mais vous êtes de vrais sauvages, il ne vous a pas suffit de la tuer , vous voulez en plus la mutiler?"
Tentor, sorti , le sabre a la main sans trace de sang dessus "-Je n'ai pas pu " dit il en se sauvant .
♦
En Vendée , Jack et Quentin cherchaient désespérément Gabriel "-Mon dieu , mon dieu , il va tuer ma fille , nous avons créé un monstre .
-Il ne sont pas loin , j'en suis sur , encore aucune voiture n'est sortie de notre rue , il faut chercher"
♦
"-Voila , j'arrive , j'ai pris un peu de désinfectant en plus
-Merci a terre , comme les deux autres " Il prit le mouchoir et tapota la petite blessure de la jeune femme , puis il arracha tous les fils qui pouvaient permettre a un téléphone ou un PC de fonctionner , enfin , il demanda a ses prisonniers de lui tonner leurs téléphone portable qu'il émietta a sa grande surprise dans ses main"-Maintenant , je suis fort aussi? J'aime cela" Il reprit Christine dans ses bras , puis disparut par l'arrière porte.
"-Vous parlez d'une histoire vous" Dit Germaine en se relevant "-Je ne veux pas sortir temps que je saurais cette individu dans la région
-Vous pouvez rester Germaine , je n'ouvrirez pas le magasin aujourd'hui, nous allons faire une barricade avec les meubles pour nous protéger, Jean venez nous aider a pousser ce buffet
-Désolé mesdames , j'en ai assez vu , je rentre chez moi
-Mais enfin , vous ne pouvez pas nous laisser seules , il faut que vous nous protégiez
-Je n'ai plus l'age de faire le spatacin , puis j'ai ma pharmacie a faire tourner , a un de ces jours mesdames
-Mais enfin Jean" Elles n'avaient pas finies de dire ces mots , que l'homme avait déja disparu lui aussi par la sortie arrière
♦
"-Mais ou sont ils donc?
-Regarde Jean , la mercerie est encore fermée , ce n'est pas normal , allons voir : Madame Naud! Madame Naud? Il y a quelqu'un ?
-Ça ne répond pas ?
-J'ai vu , je vais enfoncer la porte"
A sa grande surprise , Quentin fit la douloureuse expérience , qu'il n'était pas si facile que dans les films de défoncer une porte , ils parvinrent a entrer dans le magasin , ne voyant personne , il allèrent vers la cuisine , la planquées derrières des chaises , Bernadette et Germaine rouleau a pâtisserie en main les attendaient: "-Vous les avez vu n'est ce pas? Ou sont ils
-Ils sont sortis par derrière
-Christine va bien ?
-Il ne semble pas vouloir y faire du mal " Répondit madame Masson"-Il l'aimait déjà avant alors maintenant vous pensez "
Sans répondre a leurs tour , les deux hommes ont regagné la rue , toutefois avant de sortir , Quentin regarda Germaine , lui faisant comprendre qu'il avait comprit , qu'elle avait comprit .
♦
Enfin sauvé de toutes ces émotions , Jean était soulagé de rentrer chez lui , il passa par sa chambre pour ce changer , la sur son lit , était étendue Christine:"-Ah! Non , non pas encore
-Et si , encore , répondit une voix de derrière la porte , je veux un médicament pour dormir
-Vous dormez mal
-Ce n'est pas pour moi , je crois que je n'ai plus besoin de dormir , mais pour elle , donnez lui quelque chose qui la fera dormir , environ vingt quatre heure , qui soit sans danger "
Peu après , Jean revint avec un verre contenant des gouttes bien connues pour leurs effets soporifique , Gabriel leva la tête de la jeune femme qui ouvrit les yeux , puis porta le verre a ses lèvres:"-Il faut tout boir
-Que t'ont ils fait ? Ce n'est plus toi , monsieur Jean aidez moi , aidez m..." Elle retomba dans les vaps , "-J'aurais aussi besoin de liquide monsieur Raymond
-Je n'en ai pas
-Voulez vous que cela se passe bien ? Je ne tiendrais pas a ce que je sois obligé de vous faire mal , puis cela ne sera qu'une avance , je vais vous faire une reconnaissance de dettes, allez chercher ce qu'il y a dans votre tiroir caisse "
Peu après Jean revint avec un peu plus de dix mille €uros "-Vous voyez quand vous voulez , donc voyons , regardez je vous l'écrit"-Je soussigné Bé, non , Bénédicte est mort , Gabriel Lanchoix avoir reçus la somme de dix mille €uros des mains de monsieur Raymond, que je rembourserais dans les meilleurs délais" -Voila , maintenant , je vais prendre les clefs de votre voiture
-Tenez "
-Merci, entrez dans votre salle de bain " Cela fait , il coinça la porte avec une chaise et disparut.
♦
Cette nuit la , a Noix , François et sa femme furent réveillé par quelqu'un qui frappait a leur porte :"-Pourquoi n'avez vous rien fait pour que je ne devienne pas ce que je suis?
-Mon dieu , c'est la voix de la marquise
-Ne bouge pas , reste avec moi , j'ai peur"
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
Bisous et bon samedi aussi
Utilisateur désinscrit
Quelques citations recueillies au fil des conversations.
Utilisateur désinscrit
Ensemble
Sans plus de bruit qu’une rencontre,
Tu m’es apparu.
Sans plus de lumière qu’une rencontre
Tu t’es imposé.
Sans plus de souffle qu’un soupir
Je t’ai vu.
Sans plus de temps qu’un soupir
Je t’ai apprivoisé.
Depuis, sans heurts, nous allons
Droit devant sans plus.
Depuis, sans craintes nous allons
Vers un ailleurs, tout au plus.
Main dans la main, coeur contre coeur
Ensemble, Nous partageons.
Âme avec âme, coeur contre coeur
Ensemble, Nous vivons.
Bonne journée à tous.
Utilisateur désinscrit
XI
Le jour venu , François se rendit a la crypte , le cercueil étant ouvert , il trouva la morte , immobile , elle semblait ne pas avoir bougée , dans le doute il téléphona a un docteur , qui descendit a son tour avec lui , voir la défunte, il fut étonné , pour un corps non préparé , depuis le temps qu'elle n'était plus , qu'elle soit aussi fraiche , avec aussi une faible rigidité cadavérique, mais , stéthoscope passé , aucun bruis de cœur ne semblaient se faire entendre , ce corps avait quelque chose de peu courant , mais , la personne a qui il appartenait était bien morte, alors qui avait parlé avec sa voix la nuit précédente?
♦
Gabriel avait passait sa nuit avec Christine a la maison de Coulterè , le matin , il descendit au village du bas pour aller chercher a manger a Christine , il entra dans le café , ou il se fit servir un copieux petit déjeuné , la serveuse , Colette , une jeune femme de dix huit ans ne le quittait pas des yeux , il était difficile de planquer la nourriture dans ses poches dans ces conditions :"-Pourquoi me regardez vous ainsi
-C'est la veste que vous portez , elle ressemble beaucoup a celle que portait une personne que nous avons bien connus ici
-Ce ne peut être moi , je ne suis pas d'ici "
♦
Prisonnière , Christine trouva un papier sur lequel elle écrivit:
Pour Quentin Loiseau
Mon amour , j'ignore si nous nous reverrons un jour , Gabriel est devenu très agressif , il parle mieux et réfléchit mieux qu'avant ,il ne parle que de laver l'honneur de Bénédicte , il est parti me chercher a manger , après nous devrions nous rendre a Noix si j'ai bien compris .
Affectueusement ta Christine .
♦
Le père Villeneuve , curé de Noix venait de finir son petit déjeuné , tranquillement , il était en train de remettre tout les aliments en place , quand François sonna a sa porte , bourru, tôt le matin, il n'était pas disposé a recevoir , il fit mine de ne pas avoir entendu , espérant que le visiteur veuille bien partir , mais non , il y a des jours comme ça , ce dernier insistait , allant jusqu’à aller frapper aux carreaux .
Il dut aller ouvrir , quant il vit que c'était le régisseur du château, il fut très surprit , car ce dernier n'allait jamais a l'église: "-Monsieur Fourrier quel bon vent vous amène?" Dit il en pensant tout le contraire , espérant que son hôte ne reste pas:"-Je viens , monsieur le curé , vous demander de boucher définitivement le caveau de la marquise , ce serait bien que vous veniez avec votre goupillon et votre eau bénite.
-Ce serait bien oui , car au bout d'un temps , cette pauvre femme va finir par se désagréger et sentir mauvais , mais comme vous le savez , le marquis fait construire un Mausolée a son image qui sera fini d'ici une semaine dans le jardin du château , ou un caveau la recevra , en attendant il ne souhaite pas qu'on la touche
-Oui , je sais ça , les ouvriers sont arrivé , mais en attendant , elle reposerait mieux?
-Je ne ferais rien en attendant, bien le bonjour a votre compagne" Dit il en le raccompagnant vers la porte "
François retourna a pieds vers chez lui en pensant :"-Si cette nuit ça le refait , c'est moi qui fermerais ce caveau "
Passant a coté des ouvriers qui montaient le monument en marbre blanc l'un d'eux lui cria , trop tard "-Attention!" Si concentré qu'il était par ce qu'il avait vécu dans la nuit , il ne vit pas le trou de terre creusé au pied du site qui devait recevoir le caveau et tomba dedans "-Ça va ? Pas de mal ? Rien de cassé ?
-Ça va , excusez moi , j'avais la tête ailleurs
-Tenez prenez ma main"
♦
Dans une salle privée du café , sortait un grand brouhaha, Gabriel reconnut les serviteurs du marquis , il demanda a Colette "-Qui sont ces gens ?
-Ce sont des amis de monsieur le marquis " Au même moment , il vit sortir la Dorga qui se rendit vers le bar , elle se fit servir un pichet de lait , puis retourna vers ses compagnons , le jeune homme l'interpella "-Bonjour , vous êtes bien la grande Dorga ?
-Oui , et vous ?
-Je suis l'un de vos plus fervent admirateurs
-Je ne me souviens pas de vous avoir rencontré ?
-Pourtant , je vous aie vue danser , c'était magnifique"
Comme elle semblait prendre un peu trop de temps pour revenir , le marquis sortit a son tour "-Bien ma chère que faites vous , nous vous attendons
-Je viens , je discutais avec monsieur, monsieur?
-Gabriel , vous n'avez pas besoin d'en savoir plus pour le moment , je suis l'un des vôtres
-Je serais au château de Noix en Vienne , bientôt , venez nous y rejoindre , nous parlerons mieux
-Je n'y manquerais pas"
Colette regardait la veste de Gabriel , sur de l'avoir déjà vue , ce dernier avait trouvé le temps de cacher quelque condiments dans ses poche "-Voila , je sais ,vous portez la veste de barbe bleue , je savais que je la connaissais
-Mais enfin , puisque je vous dis que je ne suis pas d'ici
-Elle avait une tache juste la au col
-Lâchez moi , ça ne va pas?
-C'est bien elle , qui êtes vous?
-Mais enfin , ça va bien maintenant , tenez voici ce que je vous doit!" Il sortit précipitamment, remonta la rue , passa le petit chemin , puis regagna la maison , en entrant Christine tenta de s'échapper , il l'a rattrapa par le bras "-Venez manger , vous savez bien que vous n'avez rien a craindre de moi?
-Je veux partir , retrouver mon père et Quentin
-J'ai besoin de votre aide pour m'aider a blanchir monsieur Lanchoix de ce qui l'a conduit a la mort , après vous serez libre"
♦
Jack et Quentin cherchaient toujours , Quentin dit:"-Retournons chez nous , nous prendrons la voiture pour aller au village du bas , ils sont peut être a la maison de Coulterè?"
Peu après ils y étaient , mais la maison était vide , en cherchant un peu , Quentin trouva la lettre cachée dans un placard .
Ils reprirent la voiture , et furent contraints , peu après de s’arrêter, il y avait une foule compacte , qui empêchait de sortir du village , descendants de la voiture , ils allèrent vers l'attroupement , la sur le bas coté gisait le corps sans vie de Colette
"-Mais alors " Dit le père Lafleur " -Ce n'était pas Lanchoix le meurtrier ?
Utilisateur désinscrit
XII
"-Je reste , trouves les tous seul , tu sais comme moi , qu'ils ne se sont pas trompé , le meurtrier est bien Bénédicte
-OK , tu est bien sur ? Si je le fait tomber en arrière , il ne pourra pas se relever
-Certain , je n'ai pas fignolé assez ses articulations "
♦
Dans la voiture du pharmacien en direction de Noix:"-Qui était Gabriel avant pour toi?
-Une sorte de jouer , qui remplaçait mon père si souvent absent , mais en faite , il n'était qu'une coquille vide a coté de toi " "uuuuuuuuuuuuuuuuuuh! uuuuuuuuuuuuuuuuh! " c'est mon téléphone
-Réponds
-C'est Quentin: Oui?
-Tu es avec Gabriel
-Oui
-J'ai trouvé la lettre ça va?
-Oui
-Vous êtes ou? Je viens te chercher
-On est quelque part sur une route , j'avais fais une erreur, jamais je n'aurais du t'écrire ça , je ne t'aimes plus c'est fini entre nous , je reste avec lui , il a toujours été , mon seul amour
-Donne le moi
-Voila tu es transféré sur le tableau de bord
-Gabriel vous m'entendez
-Oui
-Faites demi-tour et ramenez moi Christine
-Elle vient de vous le dire , elle ne vous aime pas , comment pourrait elle mieux vous aimez que l'homme don c'est elle même qui a sculpté le visage ? Vous n'avez aucunes chances mon ami
-Gabriel , si vous pouvez arrêtez votre véhicule ?
-C'est fait
-Vous m'écoutez bien tous les deux ? Tu ne pourras jamais aimer Christine comme un homme aime une femme
-Pourquoi pas ? J'ai temps désiré ce jour , maintenant que je suis jeune , fort et beau , qui pourrait empêcher notre amour?
-Bien en faite , ta constitution , je n'ai pas exactement relier tous les nerfs , a tu essayé de retirer ton pantalon , ta chemise, ou encore tes chaussures ? Non , tu n'as pas eus le temps , tu n'y a pas pensé ? Bien tu ne pourras pas , ils sont tas peau , tu es un peu , une poupée de chiffons , seul tes mains et ton visage sont en peau organique .
-Ah! Malin
-Cela ne change rien pour moi , je reste avec Gabriel , je l'aime, adieu Quentin"
L'automate touchait son corps , il avait un air contrarié "-Il ne me l'avait pas dit cela , notre amour est encore impossible
-Ne t'en fais pas pour ça , nous trouverons bien une solution , file , prouver ton innocence "
♦
Ce fut la gendarmerie qui arriva en premier pour faire les constatations du meurtre de Colette , l'inspecteur Jauffrais arriva peu après "-J'en reviens pas , comment j'ai pus me tromper autant, ce pauvre homme qui est mort des coups d'un père pour rien
-Monsieur ?
-Oui Brigadier ?
-Il y a un vieux monsieur qui voudrait vous parler
-Qu'il vienne
-Vous pouvez approcher
-Merci , on peu s’écarter un peu inspecteur , j'aurais une révélation a vous faire
-On peu , venez" Les deux hommes se mirent a l'écart de la foule:"-Je vous écoute ?
-Vous ne vous êtes pas trompé , c'est bien Bénédicte Lanchoix le criminel
-Comment un homme mort pourrait il tuer, une personne?
-Parce qu'il n'est jamais mort
-Tien racontez moi ça " En disant ces mots , il fait signe de la main a un gendarme , il lui explique qu'il serait bien qu'il arrive avec un de ses collègues :"-Mon gendre et moi , nous l'avons reconstruit , il est encore vivant
-Vous l'avez reconstruit , tien donc et comment?
-C'est un automate
-Je comprends , avec la clef pour le remonter et tout et tout
-Oui c'est bien ça " Le prenant par l'épaule , en l'entrainant vers les gendarmes "-Racontez moi ça
-Il y a bien longtemps mon père... mais mais ? Que faites vous?
-Emmenez moi ça en garde a vue , ou mieux , en établissement psychiatrique "
♦
Arrivé a Noix , Gabriel a loué une chambre dans le seul hôtel disponible , il y laissa Christine:"-Restes la pour ce soir , j'ai du monde a voir , ne sort surtout pas , attends moi"
♦
Quentin arrivait au château de Noix , il fut accueillit par le régisseur "-Monsieur , je peu faire quelque chose pour vous?
-Je suis monsieur Loiseau , j'avais pensé que ma fiancée serait peut être au château , elle faisait un buste de la marquise et elle est venue , il y a peu ici , voir danser une indienne il me semble ?
-Désolé , il n'y a personne ce soir , mais demain matin , du monde doit venir , elle sera peut être avec eux , venez chez moi , vous passerez la nuit dans notre chambre d'amis.
-Vous êtes bien aimable monsieur?
-Fourrier , appelez moi François
-Moi c'est Quentin
-Enchanté jeune homme , je vous présente Adèle, ma femme
-Bonsoir monsieur vous êtes la pour madame Isabelle? Parce que hier soir...
-Non monsieur cherche sa fiancée , il pense qu'elle pourrait être avec le marquis , comme il vient demain , je lui ai proposé de passer la nuit avec nous "
♦
Cette nuit était douce , Gabriel se cacha dans le jardin du château, en attente du jour ou il savait que tous le monde devait arrivé , il avait l'intime conviction d'avoir tout comprit , restait plus qu'a le mettre au grand jour , a sa grande surprise , il vit la forme filiforme de la marquise sortir de la crypte pour se rendre a la maison du gardien, elle prit la poignée qu'elle chercha a ouvrir , sans y parvenir :"-François , pourquoi n'avez vous rien fais , vous le saviez que j'allais devenir comme ça , je vous avez prévenu , bientôt j'aurais faim , je devrais tuer a mon tour , vous en serez le seul responsable"
♦
"-C'est pas possible , ça recommence , je prends mon fusil et je sors , je vais lui dire deux mots a ce fantôme moi"
Réveillé par le bruis , Quentin a son tour sort de sa chambre , voyant son hôte, en train d'armer son fusil , il lui demande "-Mais qu'y a t'il donc ?
-C'est la marquise , elle sort la nuit , regardez par cette fenêtre
-Je ne vois rien
-Elle retourne vers la crypte regardez
-Je vous assure , il n'y a rien , tenez , vous me faites pitié temps vous avez l'air paniqué , restez ici , vous avez une torche
-Oui
-Donnez la moi , restez ici , je vais aller a la crypte , j'en profiterais pour fermer le cercueil
-Attention a vous , elle est la
-Je vous dis , qu'il n'y a rien" Finissant de parler , il se dirigea vers la crypte , sous les yeux ébahis de François , qui le voyait suivre la femme semblant ne pas la voir .
Peu après , il ressortait , devant sa porte , le vielle homme l'attendait avec son fusil :"-Ne vous faite pas de soucis , je viens de fermer le cercueil , elle ne sortira plus , si soit dit qu'elle eut sortie
-Je ne suis pas fou , ma femme non plus
-Enfin , c'est fini , vous pourrez dormir tranquille
-Qu'avez vous fait de votre veste ?
-Oh! Je l'aie oubliée la bas , ce n'est pas grave , je la reprendrais demain"
Utilisateur désinscrit
XIII
Autant la journée , les gens semblent actifs , comme une grande fourmilière en activité , ou chacun a sa place , autant la nuit semble vide , toutefois , si on y regarde un peu mieux , si on regarde mieux ces papillons de nuit qui nous semblent si sombres, nous nous rendons compte que leurs couleurs sont plus chatoyantes que ceux de jour, il en va de même pour l'humain , il y a beaucoup plus d'activité la nuit que le jour ...
♦
Il était trois heure trente deux du matin quand la porte du logement du curé fut agressée de coups qui n'en finissaient pas , temps et si bien que notre grincheux , très peu sociable dut se lever, il alla ouvrir "-Mais bon sang , que me voulez vous a cette heure, mon dieu, je n'arrive pas a le croire
-Nous pouvons entrer?
Mais , bien sur"
♦
Il était neuf heure du matin quand dans sa grande voiture noir , suivit de deux autres Coulterè entra dans sa propriété, son chauffeur lui ouvrit sa porte , puis il fit le tour de la voiture , pour ouvrir a la femme qui l'accompagnait , des autres véhicules sortirent une dizaine de serviteurs : "-Ma chère , quand tout sera terminé , je compte vous épouser , mais la , je vous demanderais , tout au moins en public , de ne pas trop me coller , au moins le temps , que j'ai mis ma femme dans son mausolée
-N'ayez crainte mon ami " Répondit la Dorga en s'écartant pour visité le jardin a l'Anglaise , c'est alors que de derrière une touffe d'herbe géantes apparut Gabriel "-Vous ici ?
-Ne vous avez je pas dis que je viendrais
-Si , mais je ne vous croyais pas
-Je vous l'ai dis , je suis des vôtres" Elle l'entraina près du marquis :"-Regardez qui vient nous rendre visite
-Mais c'est monsieur Gabriel , voulez vous vous joindre a nous , nous allions aller prendre le café ?
-Mais bien sur , avec joie monsieur le marquis
-Ne nous sommes nous jamais croisé au par avant?
-C'est arrivé
-Votre voix me rappelle quelqu'un , mais je ne trouve pas de visages qui vont avec?
-Le visage ? Vous l'avez , la , devant vous
-J'en conviens , toutefois c'est étrange?
Entrés dans le grand salon , une conversation commença :"-Ce soir , la Dorga dansera pour nous , puis après , nous dinerons, si vous voyez ce que je veux dire
-J'ai très bien compris merci, de quoi sera composé le menu?
-Je l'ignore encore ? Ici , nous avons parfois des difficulté a trouver un bon menu , toutefois , j'ai eu vent d'une jeune fille qui devrait vous plaire.
-Il est vrai " Reprit la Dorga , qu'a Coulterè , pendant un temps , c'était plus facile , un relieur , nous fournissait sans le savoir la matière première
-Tien donc
-ziiiiiiip!
-Que signifie, ce regard que vous vous lancez tous les deux
-Ce n'est rien jeune homme , vous ne prenez pas de café?
-Non , je n'ai pas très faim , j'ai aussi beaucoup de travail a faire , je vais devoir partir
-Vous serez des nôtres ce soir ?
-En principe oui
-Tentor , raccompagnez monsieur jusqu’à la sortie "
Gabriel sorti , Coulterè interrogea l'un de ses serviteurs :"-Eh! Bien alors?
-Je l'ai touché juste sous l'oreille monsieur , je ne comprends pas , ça ne la même pas fait réagir?
-Je sais qui était cet individu , j'ignore comment il a changé d'apparence , mais je sais qui il est , suivez le , si vous voyez une femme avec lui ramenez la moi , si je ne me trompe pas , ma chère , vous aurez un très beau cadeau ce soir "
♦
De retour a l’hôtel, Gabriel accompagna Christine dans la salle commune a fin qu'elle prenne son petit déjeuné : "-Tes affaires ce sont passées comme tu voulais ?
-Tout a fait , c'est prévus pour ce soir , après tout sera terminé "
Pendant qu'ils étaient en train de parler , un serveur crocheta une chaise , tomba en échappant son plateau le café , les tartines et tous le reste fit un grand fracas a terre "-excusez moi , je vais nettoyer"
En ramassant les morceaux , il ne trouva pas le couteau a beurre , c'est en se relevant qu'il vit qu'il était planté dans le dos du jeune homme , qui ne semblait pas indisposé , il lui retira sans que celui ci ne lui dise rien , puis il entra en salle , la lame était propre .
Plus tard dans la journée , le jeune couple est partit pour acheter des vétements de soirée pour la cérémonie.
♦
"-Merci monsieur Fourrier de m'avoir gardé cette nuit , mais il semble que ma compagne ne soit pas venue, je vais aller faire un tour au village voir si je la voie
-Vous pourrez revenir ce soir si vous voulez ?
-Je ne dis pas non , cela pourrait se faire , merci"
Il descendit a pieds , demandant a tous , en montrant sur son I-phone la photo de Christine si quelqu'un l'avait vue , ainsi il arriva jusqu’à l’hôtel, il s'approcha du jeune serveur Jérôme Marchand : "-On m'a dit que cette jeune femme logeait chez vous ?
-C'est exacte
-Elle semble souffrir?
-Non , au contraire , elle a l'air très amoureuse
-C'est bien ce que je craignais
-Si je puis me permettre? Vous connaissez son ami?
-Oui
-C'est un homme étrange vous ne trouvez pas ?
-Étrange en quoi?
-Bien depuis hier soir , je ne l'ai pas vu manger , puis se matin je lui ai , par accident , enfoncé ce couteau a beurre dans le dos , bien croyez moi ou non ? Ça ne lui a rien fait , je lui ai retiré , il ne s'en est pas aperçu , le plus étrange c'est que le couteau est resté propre , il n'y avait pas de sang , vous pouvez venir en salle , dire a mes amis qui rigoles de moi , que ce que je dis est vrai ?
-Je peu aller en salle avec vous , bien sur , mais , je ne peu pas croire ce que vous me racontez enfin?
-Mais je vous assure
-Bien sur , bien sur, ne dites pas a cette jeune personne , ni a son super ami , que je suis passé , merci , a un de ces jours.
♦
Il était dix neuf heure quand Gabriel a quittait Christine dans son nouveau costume , elle l'a suivit jusqu’à l’extérieur , pour le regarder partir dans le noir :"-Au revoir mon amour
-Je ne serais pas long
-A bient...
-Ziiiiiip" Christine s'écroula sur le bitume , consciente de tout , mais ne pouvant bouger
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
25/11/2024 | Actualités
Pourquoi ronflons-nous ? Les causes, les solutions et les conseils pour réduire le ronflement ?
23/11/2024 | Actualités
18/11/2024 | Actualités
Médicaments et libido : les traitements qui peuvent affecter votre désir sexuel ?
16/11/2024 | Actualités
Troubles de l’attachement : quelles conséquences sur nos relations interpersonnelles ?
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Utilisateur désinscrit
Bonjour, à toutes et tous !
J'écris depuis l'âge de huit ans. D'ailleurs, si l'on veut faire la genèse de ma maladie, il faudrait remonter jusque-là.
J'ai commencé avec mon bic bleu de l'école par inscrire des phrases isolées sur le grand carton blanc du miroir qu'avaient un jour acheté mes parents. Puis j'ai ajouté toutes sortes de textes dans mon escarcelle : des poèmes, des histoires en musique et pour enfants, des nouvelles et aujourd'hui, j'ai aussi commencé un roman assez étonnant puisque c'est un polar et que jusqu'à présent j'écrivais plutôt du poétique, de l'autobiographique et de la romance. Mais je me sens devenir de plus en plus écrivain, même si je ne suis pas édité et que cela n'est pas mon but - à l'heure actuelle je m'oriente vers la recherche en psychologie.
J'aimerais beaucoup vous lire, j'aimerais pouvoir partager ensemble nos écrits en toute simplicité et pour vous encourager, je poste un poème qui raconte un moment important de ma vie.
Bien à vous !
L’épée
Armée d'une épée qui tranche la peur et le mensonge, remet inexorablement coup après coup le cœur à l'épreuve, le courage n'a qu'un unique choix : grossir toujours plus que l'angoisse et la douleur qui ne cessent de grandir, un torrent qui frappe les paupières le matin et s'engouffre dans l'obscurité du sommeil inquiet ! La tête ne dort pas, le guerrier ne se repose pas... Les trêves sont courtes, l'immobilité de la rage
est fébrile, la guerre fait fureur ! L'esprit croit en la force, vaine puissance de la destruction et l'amour pleure. Homme de cœur, être de peur, regarde au loin le drapeau blanc de la paix, desserre ta main de la colère et du glaive. Alors, un peu de temps, un matin tu as posé tes doigts blessés sur la poitrine gonflée de pitié de ton amie et elle t'a sauvé. Tu n'avais plus peur que de la perdre et tu as bu l'eau de ses pensées. Ô guerrier, tu as rangé l'épée et jusqu'au fourreau, les armes sont retournées à l'immobilité. Tout est redevenu facile comme lorsque tu étais enfant, insouciant, confiant.
Nora