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Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...
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Tous les commentaires
Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
@Eauclair
J attendais sagement.
Je n osais pas réclamer car je ne voulais pas te stresser.
Fais ns plaisir en ns écrivant la suite.
Gros bisous.
Une de tes fans
Utilisateur désinscrit
@machas
De rien.
Bisous.
Utilisateur désinscrit
Dsl c pas la place ici!!!!!
Utilisateur désinscrit
Ce soir, Eauclair, grâce à toi, je suis retournée dans le passé.
Angelina demande, dans un poste précédent,ce qu'est devenu ton frère.
J'ai voulu en savoir d'avantage et prendre le temps de lire ta prose. Bien que très fatiguée ce soir, je m'y suis plongée. Et j'ai lu des histoires qui m'ont ramenés mes années scolaires : Classe de CPPN (Classe Pré-Professionnelle de Niveau) et classe de CPA (classe de préparation à l'apprentissage). Je me suis revue dans mon petit collège de campagne. Intéressant. Puis j'ai lu l'histoire de Gérard et le dialogue entre les oiseaux, le thème récurant de l'entre deux mondes (coma, réincarnation), captivant.
C'est sur, tu as de l'imagination.
Bonne journée à tous.
Utilisateur désinscrit
Prologue
1969 , Adrian Loiseau est sur sont lit de mort , quarante ans un homme dans la force de l'age , son fils Jack , dix ans est a ses coté , il est sa dernière famille , tout ce qui lui reste , venus des Amériques , ou ils ont laissé la mère de l'enfant qui l'avait abandonné pour faire sa vie avec un autre homme , le père Loiseau a voulut tout oublier , il a prit le bateau avec sont fils qui n'avait que trois ans , puis ils se sont installé en France , dans un petit village de Vendée .
Le médecin de famille l'a dit , le cancer qui ronge Adrian est trop avancé , il n'y a rien a faire , tout est arranger , la mère Bastié , qui tien le café , s’occupera de Jack jusqu’à sa majorité , une brave femme , elle a cinquante ans , n'a jamais eux d'enfants , mais a un cœur d'or .
"-Tien Marie " Dit l'homme dans un râle "-Vas dans mon armoire , dans le petit tiroir, tu trouvera une boite rouge , donne la a mon fils"
La femme s'exécute , pour revenir peu après avec une boite , qui a une odeur de naphtaline, elle l'a donne a l'enfant.
Cet une petite boite de dix centimètre sur dix .
"-Ouvre la petit"
Avec précautions , l'enfant ouvre la boite , dedans , bien calée avec de la mousse , se trouve une belle montre de poche , en argent , sculptée de toute parts "-C'est beau
-C'est un cadeau qui me vient de ton grand père qui le tenait aussi de son grand père , une histoire dit qu'elle date d'avant la révolution des états Unis , tournes la clef , encore un peu, la , tu entends ce cliquetis?
-Oui papa
-C'est un cadeau qui ne meurt jamais , quant toi aussi tu auras des enfants , quand comme moi , tu arrivera a l'aube de ta vie , tu leur offrira ce merveilleux cadeau "
Ce fus les derniers mots du père Loiseau.
L'enfant regardait sa montre , il avait la vision qui devenait trouble , des larmes coulaient sur ses joues .
1989 , Marie avait bien vieillit , Jack , était devenus horloger , il nourrissait une passion sans commune mesure pour ces petites montres bracelets , toujours plus complexes et miniatures , mais d'une solidité sans failles , il était fière de ses produit qu'il allait vendre dans les bijouteries , malheureusement , il désespérait sa belle mère , car il n'avait toujours pas trouvé de compagnes.
En 1997 , enfin , il trouva une compagne , il vécut , très peu de temps avec elle , mais ce fut un grand amour , seulement , en lui donnant une fille , elle mourut en couche .
Encore dix ans passèrent , les horloges ne faisaient plus vivre la famille , la technologie ayant remplacé ce travail qu"était un savant mélange de pignons et de ressorts , le café ne tournait plus depuis longtemps , la santé de Marie devenant de plus en plus précaire , Il n'avait d'autres choix que de vendre la maison de son père .
Ce fut un jeune homme de vingt ans , qui était passionné de reliures anciennes , qui lui acheta un bon prix .
Ainsi , il put placer sa belle mère en maison de retraite , puis se consacré un peu plus a sa fille , l'histoire aurait été bien si ce fus le le cas , mais non , il délaissa sa fille pour sa passion .
En 2010 , il reçut un courrier , d'un jeune homme de vingt ans qui se disait être un de ses cousins, a fin de savoir s'il était possible qu'il le loge car il souhaitait venir finir ses études de médecine en France , comme il était comme son père un homme au grand cœur, il l'accepta .
Christine , tomba de suite amoureuse du jeune Quentin.
Un jour ou Jack était occupé hors de son atelier , il entra dans celui ci , il fut émerveillé par tout ces clic , clac , que faisaient ces machines d'un autre temps , puis , son attention fut attirée par un drap blanc , qui semblait recouvrir quelque chose , il le tira:"-Elle est belle pas vrai?" Dit Jack qui venait d'entrer sans bruit :"-Elle est magnifique oui , mais elle fonctionne ?
-Oui en partie , mais , je n'ai pas encore trouvé comment la finir
-Comptez sur moi , je vous aiderez , ensemble , nous y arriverons "
Utilisateur désinscrit
I
Dans le petit village de Vernière en Vendée , Christine 19 ans , magnifique jeune fille qui au formes parfaites , venait de passer son BAC avec succès , elle faisait les yeux doux a Quentin , qui sans nuls doutes , serait un jours , son mari.
Il avait 27 ans , mais encore , un très beau visage , bien carré , ainsi qu'un corps en v de sportif qu'il était , il avait aussi acquit de grandes connaissances en médecine , il publiait , il était reconnus , c'était pour l'avenir un bon parti , bien sur il avait encore son petit accent Américain , mais c'était ce qui faisait tout son charme .
L'ancien café , était composé d'un rez de chaussé et d'un étage , ce bâtiment donnait droit sur la maison, ou avait vécus Jack avec son père par le passé , elle était devenue , un magasin de reliure ancienne , ou son nouveau propriétaire, restaurait des livres anciens.
Vendée , Rue du lac , Vernière , Janvier 2017:"-Christine ! Christine!"
La jeune fille ouvrit sa fenêtre de chambre a l'étage "-Qu'y a t'il Quintin
-Ton père veut te voir , tu peu venir ?
-Attends , j’arrête mon ordinateur et j'arrive "
♥♥♥
Bénédicte était un homme d'une grande patience qui savait faire un travail magnifique , hélas , la nature , ne l'avait pas gâté, les cheveux drus , toujours en bataille , d'un noir très foncé , les sourcils épais , de grandes oreilles , des dents mal alignées, de plus , il était légèrement bossus , pourtant , lui aussi avait publier , il était devenu un écrivain reconnus , avec sa grande sensibilité, il savait raconter de belles histoires .
Hors ce dix janvier , une femme âgée se présenta a son magasin :"-Bonjour , je suis bien chez monsieur Bénédict Lanchoix
-Oui c'est bien moi
-Je suis venue voir si vous aviez des nouvelles de Solange Dumas , c'est bien chez vous qu'elle travaillait
-Oui , oui , c'est bien chez moi, mais , cela fait quinze jours que je n'ai pas de nouvelles
-Ce n'est pas normal , moi non plus , pourtant cette petite est parfaite , vous savez elle vivait chez moi , car ses parents son a Paris
-Sans doute une fugue vous savez a cet age
-Ce n'est pas normal , elle n'est pas comme ça , vous avez contacté les gendarmes
-Oui bien sur , mais pour le moment je n'ai pas de nouvelles
-Ce n'est pas normal , je vais aller les voir aussi"
En sortant , elle croisa madame Masson , une femme de cinquante ans qui faisait des ménages pour vivre , qui entre autre avait la langue bien pendu :"-Pardon madame
-Passez je vous en pris , qui c'est?
-La grand mère de Solange
-Ah! Oui , la petite Solange , vous avez des nouvelles ?
-Non
-C'est la sixièmes qui disparait de chez vous et que personnes ne retrouve , vous ne trouvez pas ça étrange ?
-Si , bien sur , mais que voulez vous que j'y fasse , je vous laisse faire votre travail , je monte a l'étage .
♥♥♥
Cachait derrière un rideau , Bénédicte regardait en face dans sa chambre : Christine , espérant la voir se dénudé , au lieu de cela , il la vit allait vers un placard encastré dans le mur , l'ouvrir .
La se trouvait un homme , ou un jeune homme plutôt d'une beauté sans pareil qui ne bougeait pas , elle pausa sa tête sur son épaule , l'air plus heureuse qu'elle ne l'avait jamais été .
L'autre lui restait de marbre , sans bouger , comme si cela était naturel pour lui .
Il pensa :"-Si le docteur Quentin savait ça , ça ne se passerait sans doute pas tout seul"
Puis il retourna travailler dans son magasin écoutant Germaine Masson marmonner "-Ça fait six , ce n'est pas rien"
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
J ai hâte de savoir la suite
Bisous
Utilisateur désinscrit
II
En cette année 2017 , le pays était en mutation , en effet , des élections présidentiel avait été programmées pour avril.
Le président en fonction avait fait savoir , dés le début décembre , qu'il ne se représenterait pas a sa propre succession.
Avec les primaires qui suivirent , les grandes lignes des gens qui étaient susceptibles de devenir président se dessinaient , dans un climat encore jamais vu en France .
Dans ce conteste , aucun homme un temps soit peu politique , n'était sur de garder sa place dans les mois a venir , ainsi , ils se faisaient le plus discret possible , il en était de même de tous les fonctionnaires .
Toutefois , six jeunes femmes entre 15 et 17 ans disparues sans laisser de traces en Vendée , de plus étant toutes au service d'un relieur poète , cela laissait trainer des doutes , rien ne pouvait l'accuser formellement de les avoir tuées , mais cela méritait bien l'envoi d'un inspecteur , avec consignes de faire le moins de bruit possible a fin de ne pas attiré la curiosité des journalistes qui n'avaient pas encore réagis sur l'affaire .
♥♥♥
"-Ma chère fille , j'avais promis vos fiançailles entre toi et notre cher Quentin pour juin mais je craint que ce ne sera pas possible.
-Oui , ma chérie , pardonne moi , mais , pour le moment nous ne pouvons pas , trop de travail nous attends , j'ai vraiment fort a faire , mais c'est promis , bientôt nous pourrons .
-Comprends moi mon enfant , tu sais combien mon travail est important , pour moi , il faut repousser encore un petit peu
-Tu pourras faire de la sculpture, je sais combien tu est douée en ce domaine en attendant notre voyage près nuptiale , puis tu sais , vu le contexte actuelle , il faudra que je change notre destination , j'avais prévus New-York , mais ce n'est plus d'actualité .
-Très bien messieurs , je patienterais , je sais combien vos travaux vous tiennent a cœur, je ne le sais que trop papa , alors , je ferais de la sculpture , ou jouerais avec mes poupées
-Oui c'est ça ma chérie avec ta poupée
-Tien justement , a ce sujet , je dois aller a la mercerie pour acheter du tissus a fin de fabriquer un costume , je vous laisse a vos obis messieurs
-Christine , ma fille , tu ne m'en veux pas?
-Mais non mon petit papa chéri , a bientôt"
En sortant de l'atelier , elle tomba nez a nez avec Germaine , qui était en train d'épousseter les pendules dorées a l'or fin :"-cette fois Germaine quand vous aurez fini en bas , vous arrêtez , je ne veux pas que vous montiez dans ma chambre, ni dans celle de mon père
-Pourtant je ne vous prendrez pas plus
-Je sais bien , mais je vous connais bien madame Masson, ma chambre reste dans le domaine de ma vie privée
-Auriez vous quelque chose a y cacher , ou quelqu'un?
-Bien sur que non , qu'allez vous chercher la , je tiens juste a ce que ce sois moi , qui y range mes affaires
-Je ne vous aurez pas pris plus pourtant"
D'un coup , la porte du magasin s'ouvre faisant sonner le petit carillon a son sommet et entrer une grande fraicheur du a ce mois de janvier particulièrement froid, faisant frissonner Germaine :"-Ah! Celui la , a chaque fois qu'il entre comme il est enturbanné , il me fait peur
-Bonjour , je voulais justement vous voir madame Christine , le marquis de Coulteré se demande pourquoi vous ne venez plus , pour continuer le buste de madame la marquise
-Je suis un peu souffrante en ce moment monsieur Angor , mais je reviendrais bientôt, vous pourrez le lui dire
-Très bien , je lui passerais le message " Dit l'homme d'origine indienne tout de rouge vêtu, avec un turban sur les cheveux en ouvrant a nouveau la porte vers la sortie: "-Je me demande ce que vous allez faire chez ce pseudo marquis , qui s'est auto proclamé lui même, juste parce qu'il vit au château depuis toujours , ce sont de drôles de gens , vous savez , moi , je sais que sa femme , l'Anglaise , elle est devenue célèbre en pausant nue dans le magasine jeux d'hommes
-Je le sais bien , je n'aime pas vraiment y aller , mais ils me paient bien , de nos jours , les horloges se vendant a peine , il faut bien trouver d'autres sources de revenus
-Douée comme vous êtes, jeune demoiselle vous pourriez trouvé un travail d'art n'importe ou en France , voir même exposer , c'est malheureux que vous cachiez vos talents , ce buste de monsieur Gabriel par exemple , il est d'un réalisme sans non , au faite que devient il celui la?
-Il travail sur Paris
-Je ne l'ai vu qu'une fois , mais quel beau garçon il fait
-Je ne vous le fais pas dire madame Masson , ce n'est pas pour rien que j'en aie fais mon modèle "
♥♥♥
L’inspecteur Jauffrais venait d'arriver a la boutique de Bénédicte :" -Vous ne trouvez pas ça étrange que toutes ces jeunes femmes soit passées chez vous , avant de disparaitre sans laisser de traces?
-Bien sur que je trouve cela étrange , j'aurais de plus aimé les former a mon métier qui est appelé a disparaitre , mon tort a été sans doute de les payer , alors que j'aurais pus juste leur donner un minimum , je les auraient peut être gardées plus longtemps , vous savez inspecteur , elles sortaient toutes de milieux défavorisés , elles n'avaient jamais gagné autant de leur vie , cela leur a donné des idées de voyage sans doute
-Vous savez que les gens parlent , ils vous appellent, le barbe bleu du village , ils sont persuadé que vous les avez tuées
-Notez bien que mon apparence , ne joue pas en ma faveur , je le reconnais , mais vous , vous savez que je n'ai rien a voir avec leur disparition?
-Nous le savons , oui , si non , il y a longtemps que vous seriez en prison, mais les analyses ADN faites chez vous et dans votre maison de campagne près du château de Coulteré , ne laissent apparaitre aucune traces de sang des présumées victimes , toutefois , a l'avenir , sur votre pancarte moi , a votre place , je n'écrirais pas , comme ça l'est aujourd'hui : "Recherche apprentie" Mais "Recherche apprenti i " Vous me comprenez?
-Bien sur que je vous comprends , mais , je n'aime pas les hommes
-Bien moi non plus , mais dans votre cas , ce serait peut être plus prudent , pensez y au moins " Dit l'homme en prenant son pardessus, pour retourner a sa voiture.
♥♥♥
Lanchoix , ferma son magasin , puis sorti a pieds dans la rue , pour se rendre a quelque pâtes de maison plus loin , il poussa la porte de la mercerie qui était tenue par madame Bernadette Naud , une femme de la cinquantaine , qui avait encore la grâce ainsi que la taille d'une femme de trente ans , ces grand cheveux châtain qui descendaient presque jusqu’à ses fesse ajouté a sa beauté , toutefois , ayant été a l'école avec Germaine , ou plus exactement a l'école DE Germaine , elle avait la langue bien pendue , c'était , elle aussi , une vraie commère , elle possédait dans sa boutique tout ce que l'on auraient pus rêver , mais en temps soit peu qu'on ne faisait pas attention , elle vous vendait a prix d'or quelque chose qui valait deux Euros .
Bénédicte , faisait parti de ces gens la , pas très regardant sur sa tenue , sachant qu'il n'attirait pas l'attention de la gente féminine , mais la tout de même , une paire de chaussettes hors de prix qui n'avait pas tenu a la première machine , c'était un peu fort:"-Bonjour monsieur Lanchoix
-Bonjour madame Naud
-Que puis je faire pour vous aujourd'hui?" Alors qu'il allait répondre , Christine entra a son tour :"-Bonjour Bernadette aurais tu encore du tissus d’Anjou ? J'en aurais besoin pour...
-Je vais regarder ça Christine , mais avant , je dois servir monsieur Lanchoix
-Oh! Pardon je ne vous avez pas vu
-Ce n'est pas grave mademoiselle , je peu attendre"
Il était habitué le pauvre homme , temps de gens ne le voyaient pas...
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
A demain ?
J aime bcp ton histoire
Bisous
Utilisateur désinscrit
III
Très haut au dessus de la terre , la station spatial ISS évoluait a une vitesse fulgurante pour maintenir son orbite , dedans , il y avait un jeune Français : Thomas Pesquet , qui , quant il en avait l'occasion prenait des photo des lumières de notre beau pays a la nuit tombée en ce début de soirée , nuls doutes que dans celles ci , il y avait une vue de Vernière
♥♥♥
La journée touchait a sa fin laissant apparaitre les premières lueurs des maisons pour cacher le crépuscule , a la mercerie du village , Christine venait pour la première fois de parler avec son voisin a qui, elle n'avait jamais fait attention :"-Encore pardon monsieur Lanchoix , reprenez votre place , j'attendrez
-Non , mademoiselle Christine , allez y , je peu attendre , je suis juste venus chercher une nouvelle paire de chaussettes , car les dernières , madame Naud , vous les aviez sans doute depuis Mathusalem, avec tout le respect que je vous doit, c'est plus fort que vous , combien de fois , m'avez vous roulé? Je ne les comptes plus?
-Je ne vous ai pas roulé monsieur Lanchoix , la qualité était , peut être quelque peu douteuse , c'est possible , tenez , voyez le tiroir a votre gauche , ouvrez le et prenez celles qui vous plaisent , je vous les offres , quant a vous Christine , je vais chercher le rouleau de tissus que vous me demandez
-C'est vous monsieur Lanchoix qui avait écrit , "Les poésies du roseau" ?
-Oui mademoiselle
-Je ne passe pas une journée sans un lire une , elles sont si belles , si justes , on y trouvent une telle sensibilité, c'est vraiment une œuvre a part .
-Vous savez , avec mon travail , parfois , il arrive de lire en reliant , cela m'a apporté de l'inspiration
-Vous me faite penser , cela vous dirait il d'aller dans une bibliothèque ou il y a nombres de livres ancien a relier?
-Avec vous
-Oui avec moi , bien sur
-Je viendrais avec plaisir
-Alors je passerais vous chercher demain , nous irons ensemble au château de Coulteré
-C'est au château ? Je ne pense pas que je viendrais
-Comme vous voulez , toutefois , je viendrais dans votre boutique un de ces jours , j'ai un livre ancien a vous donner pour me le restaurer
-Et voila le tissus que vous voulez Christine combien je vous en coupe?
♥♥♥
La vie parfois peut être injuste , Bénédicte était fou amoureux de Christine , mais conscient de sa laideur , savait qu'il ne se passerait jamais rien , toutefois , ce soir la , derrière son rideau , il regardait encore la jeune fille , il y avait a nouveau dans sa chambre , ce beau jeune homme blond , au habits d'un autre temps immobile au près d'elle , elle semblait aux anges a ses coté , elle n'était pas comme ça avec Quentin .
Qui était il ?
Soudain il perçut un crie , le jeune homme la tenait tenait au bras droit "-Papa ! Papa au secoure!" monsieur Loiseau entra en trombe un balaie a la main, a force de coups , il finit par faire lâcher prise a l'individu , mais sa colère ne retomba pas , il frappa encore et encore sur ce dernier , qui n'opposait aucune résistances, jusqu’à ce qu'il arrive a la fenêtre , ou en perdant l'équilibre , il la traverse pour finir sur la chaussée , un étage plus bas, encore tout rouge le père Loiseau criait "-J'ai conçus un monstre
-Mon dieu père ! Gabriel! qu'avait vous fait?"
Regardant l'homme a terre , Jack ne parlait plus .
De son coté Bénédicte se demandait s'il n'était pas temps de prévenir les gendarmes , alors qu'il allait composer le 17 sur son Smartphone , il entendit un bruit en bas , c'était Quentin qui venait de prendre Gabriel sous les aisselles:"-Ne vous faites pas de soucis , il n'y a pas beaucoup de mal"
♥♥♥
Accueillis par un jeune homme vêtu de rouge avec un turban , Bénédicte fut conduit dans la bibliothèque du château de Coulterè :"-Non ! Je ne veux pas , laissez moi!
-Voici monsieur Lanchoix , le relieur monsieur le marquis
-Bonjour monsieur Lanchoix , je vous attendez, Christine m'a beaucoup parlé de vous
-Finalement vous êtes venu?
-Oui Christine , je me suis dis : "-Ou trouverais -je plus belles œuvres que chez monsieur le marquis ?" et me voila
-Vous avez bien fais de venir chez moi , bien des livres de collections on besoin d’être rafraichis , comme cette deuxièmes édition de l’œuvre du marquis de Sade .
-Je vois cela
-Bien , je vous laisse , en attendant ma femme , Christine vous expliquera tout" Il prit une porte pour disparaitre :"-En faite , si vous vouliez que je vienne , ce n'était pas pour les livres , vu , ce que je viens d'entendre , c'était pour faire tampon entre cet homme et vous
-Oui , en parti , car quelque fois , il s'avère assez collant , mais , vous pouvez joindre l'utile a l'agréable , regardez tous ces livres et ces tableaux
-Qui vous dit , que moi aussi , je ne pourrais pas devenir collant
-Vous Bénédicte , je ne pourrais le croire
-C'est le buste de la marquise?
-Oui , je dois encore le fignoler , ce n'est pas facile , toutes les semaines elle change devenant de plus en plus maigre , elle souffre d'un mal étrange
-C'est vrai Christine , je souffre d'un mal étrange , ce mal c'est la mort , mais je lui résiste , elle ne me prendra pas comme ça , je suis heureuse de votre présence , ainsi que de celle de votre ami , votre présence , m'aidera sans doute a aller mieux"
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Utilisateur désinscrit
Bonjour, à toutes et tous !
J'écris depuis l'âge de huit ans. D'ailleurs, si l'on veut faire la genèse de ma maladie, il faudrait remonter jusque-là.
J'ai commencé avec mon bic bleu de l'école par inscrire des phrases isolées sur le grand carton blanc du miroir qu'avaient un jour acheté mes parents. Puis j'ai ajouté toutes sortes de textes dans mon escarcelle : des poèmes, des histoires en musique et pour enfants, des nouvelles et aujourd'hui, j'ai aussi commencé un roman assez étonnant puisque c'est un polar et que jusqu'à présent j'écrivais plutôt du poétique, de l'autobiographique et de la romance. Mais je me sens devenir de plus en plus écrivain, même si je ne suis pas édité et que cela n'est pas mon but - à l'heure actuelle je m'oriente vers la recherche en psychologie.
J'aimerais beaucoup vous lire, j'aimerais pouvoir partager ensemble nos écrits en toute simplicité et pour vous encourager, je poste un poème qui raconte un moment important de ma vie.
Bien à vous !
L’épée
Armée d'une épée qui tranche la peur et le mensonge, remet inexorablement coup après coup le cœur à l'épreuve, le courage n'a qu'un unique choix : grossir toujours plus que l'angoisse et la douleur qui ne cessent de grandir, un torrent qui frappe les paupières le matin et s'engouffre dans l'obscurité du sommeil inquiet ! La tête ne dort pas, le guerrier ne se repose pas... Les trêves sont courtes, l'immobilité de la rage
est fébrile, la guerre fait fureur ! L'esprit croit en la force, vaine puissance de la destruction et l'amour pleure. Homme de cœur, être de peur, regarde au loin le drapeau blanc de la paix, desserre ta main de la colère et du glaive. Alors, un peu de temps, un matin tu as posé tes doigts blessés sur la poitrine gonflée de pitié de ton amie et elle t'a sauvé. Tu n'avais plus peur que de la perdre et tu as bu l'eau de ses pensées. Ô guerrier, tu as rangé l'épée et jusqu'au fourreau, les armes sont retournées à l'immobilité. Tout est redevenu facile comme lorsque tu étais enfant, insouciant, confiant.
Nora