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Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
@Eauclair
A tte
Bisous
Utilisateur désinscrit
XIV
Dans le noir , Gabriel marchait d'un pas décidé vers son rendez vous , quand déboulant d'on ne sait ou ? Une masse , plus exactement un homme fonça de toutes ses force sur lui, le faisant tomber sur le dos:"-Alors te voila bien mon ami ? Je vais pouvoir te démanteler assassin!
-Tu te trompe de cible , ce n'est pas moi l'assassin , c'est la Dorga et c'est hommes
-Explique moi ça ?
-J'ai découvert assez rapidement qu'ils faisaient partie d'une secte de suceurs de sang qui pensent que cela leur donnera la vie éternelle , c'est eux qui ont tué toutes mes apprenties , cela leur étaient facile de les attraper sur le chemin de terre qui conduit au café , ensuite il faisaient leur rites sur eux , le marquis se croyant lui aussi immortel , a commençait a chercher ses origines , en effet , suite a un accident , il avait oublié son passé , il fut facile a un peintre au service de la Dorga de recréer a partir de son image des tableau de ses ancêtres, le persuadant du même coup , que lui et les autres ne faisait qu'un , ils prirent soins aussi de vider sa crypte de tous corps , pour renforcer l'idée , que c'était lui et rien que lui dans ses vies successives qui avait toujours occupé Coulterè.
-Dans quel but tout ça?
-Dans leur pays d'origine , ils ne peuvent s'adonner en toutes liberté a leurs culte , alors qu'ici , ils avaient un point de chute , ou personne ne les soupçonnaient,le marquis , y avait temps pris gout , que n'en ayant jamais assez , il injectait un paralysant a sa femme , a fin de lui sucer un peu de sang tous les jours , a chaque fois , la pauvre parvenait a se remettre mais ça vie n'était que souffrances , en cela la mort l'a libérée , toutefois sur ce sujet , il y a des choses que je n'ai pas pus expliquer , vous en savez plus que moi , aurais -je une sœur ?
-J'ignore comment vous savez ce que vous savez , mais non , vous êtes unique
-J'étais proche de la crypte hier soir , je sais ce que j'y ai vu, mais pour revenir a ce qui nous concerne , j'étais partis mettre fin a tous cela , relevez moi?
-Je vais le faire , mais avant , je vais vous entravez, a fin d'avoir la certitude que vous ne vous échapperez pas , puis nous allons retourner avec Christine a fin de préparer un plan qui tienne la route.
♦
Christine fut transportée par deux hommes en rouge au château , la bas , ils la mirent nue puis la couchèrent sur un plateau d'argent qu'il déposèrent sur une grande table juste derrière une chaise ou était assis Coulterè , il se retourna "-J'avais toujours pensé que vous étiez belle , mais a ce point , non , mes invités vont êtres comblé ce soir , attendez , je vais surélever votre tête, a fin que vous puissiez assister au spectacle"
♦
"-Levez vous maintenant , nous retournons a votre chambre "
Le choc avait été si violent que Gabriel en avait perdu sa clef .
En entrant dans la chambre 14 , Christine n'y était pas , pas plus dans la salle commune et autour: "-Ce sont eux , Coulterè m'avait promit un diner de choix pour ce soir , je comprends mieux" Usant de sa force , Gabriel se défit de ses liens : "-Je cour la sauver , prévenez les secours , rendez vous au château "
♦
"-Notre grande déesse Dorga va danser pour nous la danse du sang jusqu’à ce qu'elle meurt " Dit le docteur " puis , elle reviendra a la vie, mais pour cela il lui faudra du sang , donnerez vous votre sang pour elle ?
-Oui , Oui! Nous donnerons
-Donnerez vous votre sang marquis ?
-Bien sur
-Quand Dorga sera a nouveau vivante , nous festoierons de ce nectar qui nous attend sur ce plateau d'argent
-Oui ! Oui!
♦
Dans la nuit Gabriel courait pour sauver son aimée
♦
L'indienne se mit a danser une danse folle rythmée par le son des tambours
♦
Il courait toujours , la bas au loin , la lumière salvatrice de son but
♦
La danseuse d'un coup sembla tomber dans un profond coma , alors le docteur prit une grande coupe dorée , il prit sa dague , s'entailla le fond de la main , laissant couler quelque gouttes de sang dedans , il donna le tout a un autre invité qui fit de même.
♦
Gabriel redoublait d’efforts
♦
La coupe pleine , le docteur la porta a la bouche de la Dorga , qui but goulument , elle se redressa , alors le docteur dit: "-Maintenant mes amis nous allons tous manger ensemble"
Il approcha de Christine avec sa dague en la levant pour lui enfoncer dans le ventre : "-Ça n'a rien de personnel ma chère " Dit Coulterè '-j'aurais aimé mieux vous connaitre "
Au moment ou le couteau allait entrer dans la chair de la jeune femme , en coup de point en pleine figure fit basculer le docteur , Gabriel prit le petit corps inerte dans ses bras et disparut avec "-Rattrapez le !" Criait la Dorga , a la sortie , un escadron de gendarmerie , prévenu par Quentin attendait tous le monde , voyant le vent tourner , le marquis abandonna ses amis pour se cacher dans un passage secret , les meurtres des jeunes filles venaient d’être résolue , les coupables arrêté.
♦
Christine se réveilla dans sa chambre , en ouvrant les yeux , elle vit Quentin : "-Bien dit moi , ma chérie , deux fois de cette toxine , tu y prends vraiment gout ?
-Ague , Gab , gue ?
-Ne parle pas , oui Gabriel est la et va bien"
♦
Le jour venu , les effets du paralysant étaient passait autour de la table dans la salle commune , la jeune femme demanda "-C'est terminé , ils ont tous été arrêté ?
-Non pas tous , il en reste un en liberté
-Oui , le marquis " reprit Quentin :"-Mais ce ne sera pas long , je sais comment en finir avec lui , c'est aujourd'hui qu'il met sa femme dans son mausolée , nous y seront "
♦
François et sa femme , monsieur le curé , les ouvriers qui avaient construit l'ouvrage , ainsi que Quentin étaient présent , Coulterè ne laissait rien voir de ce qui c'était passé la veille , ensemble , ils entrèrent dans la crypte a fin de transféré le cercueil dans son caveau :"-J'avais dis de ne pas le fermer , qui l'a fait ?
-C'est moi" Répondit Quentin : "-il y a deux nuits de cela , a fin que le corps ne se désagrège pas
-Vous avez bien fait , je n'avais pas penser a ça , messieurs les ouvriers si vous voulez bien porter ce cercueil jusqu’à sa place .
-Elle est bien légère la marquise " Les quatre hommes mirent le cercueil sur leurs épaules , puis remontèrent vers l'extérieure , Coulterè attendait que tous soit sorti , pour sortir a son tour , quant un bruit l'interpella , il regarda au fond dans la pénombre et vit apparaitre sa femme "-Coulterè , je t'accuse de m'avoir tuée
-Oui c'est vrai , mais enfin tu , vous " il sortit affolé de la crypte , alors de derrière le mausolée apparut Gabriel :"-Monsieur le marquis , je vous accuse d'avoir tué les six apprenties de monsieur Lanchoix
-Oui c'est moi , mais comment?
-Je vous accuse d'avoir tué la petite Colette
-Oui , je l'ai fait
-Je vous accuse d'avoir essayer de tuer Christine Loiseau
-C'est vrai , mais vous ne m'aurez pas " En disant cela , il reculait , il perdit l'équilibre en tombant dans le trou bétonné qui était destiné a accueillir le cercueil d'Isabelle , sa tempe heurta un coin , quant il arriva au fond du trou , il était mort"
Devant les yeux écarquillé de François et des ouvriers , la marquise sortie de la crypte , se dirigea vers le trou "-Pour un immortel , il me semble bien mort"
♦
Plus tard Quentin expliqua a Christine et François , que quand Tantor était venu avec son sabre couper la tête d'Isabelle cette dernière se redressa , il eut tellement peur qu'il n'effectua pas sa mission , ensuite , le soir , François et sa femme furent victimes d'une apparition de la marquise qui les terrorisa , ainsi que le lendemain , mais la , il y était , il suivit la jeune femme , elle retourna dans son cercueil , pour se rendormir , il reconnut la , quelle souffrait d'une forme de cataplexie très rare , qui faisait qu'on entendait presque plus son cœur, il l'a sortie de la boite , et la pausa sur sa veste , en attendant plus tard pour revenir la chercher , tard dans la nuit , alors que tous dormaient , il la conduisit chez monsieur le curé qui la fit soigner .
"-Ou est Gabriel?
-Il est dehors , il t'attend Christine
-Je vais y aller"
Dehors , Gabriel semblait fébrile, la jeune femme , arriva près de lui "-Tu me semble fatigué?
-Je suis mourant
-Mais tu ne peu pas mourir
-Il semble que si , j'ai perdu ma clef , mais ce n'est pas grave , ta vie est avec les vivants , retourne avec Quentin , vous êtes fait l'un pour l'autre "
Il monta dans la voiture du pharmacien :"-Tu sais Christine , je t'aie vraiment aimée "
Puis disparut a grande vitesse.
Utilisateur désinscrit
Épilogue
Quentin et Christine préparaient leur fiançailles , Jack fit venir sa fille en privé dans son arrière boutique "-J'ai un cadeau pour toi ma fille , c'est une montre très ancienne que je tiens de mon père , qui lui même la tenait du sien, elle n'est pas comme les montres modernes qui s’usent, elle , elle fonctionne toujours , il suffit de la remonter
-Elle est magnifique papa , je vais la montrer a Quentin"
Tout était accomplis , heureux , Jack s'assailla sur une chaise dans la pénombre de son atelier, quand une main se posa sur son épaule "-N'avez vous pas un automate a finir monsieur Loiseau?"
Cette histoire m'a été inspirée par un téléfilm diffusé en 1977 sur Antenne 2 , il s'appelait:"La poupée sanglante"
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
C'était bien ; merci bcp.
Bisous.
Utilisateur désinscrit
C'est a moi @angelina de te dire merci , d'avoir pris la patience de lire , bisous
maritima
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maritima
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@Eauclair
Je vous lisais mais ....j'attendais l'épilogue avant de vous le dire . Etrange récit...
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
C'est vrai , justement , @maritima, j'ai voulus m'essayer a la science fiction a la Française , bien sur , il manque force détailles sur les lieux , l'architecture , enfin tout ça , j'ai encore du travail a faire , puis j'ai oublié un passage :
Il y avait sept filles , la septième qui était en faite la première était vraiment partie a l'étranger .
Quand j'ai revus ce téléfilm , je me suis dis "-c'est plutôt bien pensé , je vais essayer de remettre ça au gout du jour "
J'espère y avoir parvenu , au moins un peu , car si vous voyez le téléfilm , vous verrez que j'ai beaucoup fais fonctionné ma matière grise .
Je ne demande pas qu'on aiment , moi , l'histoire ma touché , car j'aime , tout ce qui touche a une autres façon de vivre , je suis sur une nouvelle , qui sera aussi étrange , mais pourquoi pas possible , seulement , je bloque sur des idées , donc il faudra attendre un peu
maritima
Bon conseiller
maritima
Dernière activité le 24/11/2024 à 22:37
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J'attendrai..... @Eauclair
Prenez le temps qu'il vous faudra et qui sait ..... vos rêves vont peut-être vous aider.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
J ai posté ds Dis ns en un mot ton sentiment du jour
Je suis à l hôpital pr ma mère.
J attends ds la salle d attente.
Utilisateur désinscrit
@maritima, j'aime a croire qu'un jour , on trouvera , le truc , pour ne pas que les gens meurt , l'informatique ne peut être notre avenir , car , a tout moment elle peut être attaquée par des virus , dans toutes mes histoire , il y a de doux rêves de solutions alternatives , bien sur , pour moi , pour nous , vu notre tranche d'age , ce ne sera qu'une chimère , mais qui sait , un jour mes histoires pourront guider quelqu'un qui n'est pas nait encore si ça se trouve a trouver , ce Graal que j'ai passé ma vie a chercher.
@angelina, hélas a nos ages , il ne faut pas attendre de miracles , je te souhaite de tout cœur que ça s'arrange , qu'a t'elle?
Mais il faut hélas te préparer , pardon , de te faire mal , tu as environ 50 ans , elle en avait minimum 20 quant elle t"as donné le jour , ça fait 70 ans ça , ce n'est pas le meilleur qui reste a venir .
Vraiment j'espère que ça va aller , qu'elle sortira et que vous aurez encore de beau moments ensemble , n'en perds pas une miette , tout vas si vite , courage
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Utilisateur désinscrit
Bonjour, à toutes et tous !
J'écris depuis l'âge de huit ans. D'ailleurs, si l'on veut faire la genèse de ma maladie, il faudrait remonter jusque-là.
J'ai commencé avec mon bic bleu de l'école par inscrire des phrases isolées sur le grand carton blanc du miroir qu'avaient un jour acheté mes parents. Puis j'ai ajouté toutes sortes de textes dans mon escarcelle : des poèmes, des histoires en musique et pour enfants, des nouvelles et aujourd'hui, j'ai aussi commencé un roman assez étonnant puisque c'est un polar et que jusqu'à présent j'écrivais plutôt du poétique, de l'autobiographique et de la romance. Mais je me sens devenir de plus en plus écrivain, même si je ne suis pas édité et que cela n'est pas mon but - à l'heure actuelle je m'oriente vers la recherche en psychologie.
J'aimerais beaucoup vous lire, j'aimerais pouvoir partager ensemble nos écrits en toute simplicité et pour vous encourager, je poste un poème qui raconte un moment important de ma vie.
Bien à vous !
L’épée
Armée d'une épée qui tranche la peur et le mensonge, remet inexorablement coup après coup le cœur à l'épreuve, le courage n'a qu'un unique choix : grossir toujours plus que l'angoisse et la douleur qui ne cessent de grandir, un torrent qui frappe les paupières le matin et s'engouffre dans l'obscurité du sommeil inquiet ! La tête ne dort pas, le guerrier ne se repose pas... Les trêves sont courtes, l'immobilité de la rage
est fébrile, la guerre fait fureur ! L'esprit croit en la force, vaine puissance de la destruction et l'amour pleure. Homme de cœur, être de peur, regarde au loin le drapeau blanc de la paix, desserre ta main de la colère et du glaive. Alors, un peu de temps, un matin tu as posé tes doigts blessés sur la poitrine gonflée de pitié de ton amie et elle t'a sauvé. Tu n'avais plus peur que de la perdre et tu as bu l'eau de ses pensées. Ô guerrier, tu as rangé l'épée et jusqu'au fourreau, les armes sont retournées à l'immobilité. Tout est redevenu facile comme lorsque tu étais enfant, insouciant, confiant.
Nora