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Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
IV
Ce fut difficile , mais cette fois , après deux échecs , Armel Lecléach remportait le Vendée Globe
♥♥♥
"-Jack regarde a quoi je suis arrivé
-C'est doux , semblable a de la vraie
-Oui , difficile et chère encore a fabriquer , mais juste pour les parties extérieurs , cela devrait être beaucoup mieux que du simple silicone.
-Il n'y a pas photo, je vais aller la préparer"
♥♥♥
Le teint blafard , toute vêtue de blanc , la marquise , une jeune femme de trente cinq ans , avait perdu de sa superbe d’en temps, elle n'avait presque plus de poitrine , ses yeux vert , donnaient l'expression d'une personne qui vivait dans un autre monde , oui , qu'elle n'était plus de celui ci , ces cheveux blonds , qui tombaient sur ses épaules avaient aussi perdu de leur brillances , elle faisait peine et quelque part un peu peur a voir.
Deux hommes en rouge , de nationalité étrangère , vinrent la chercher "-Madame , le docteur est ici , c'est l'heure de vos soins
-Encore? Non , je ne veux pas " Ne cherchant a en savoir plus , ils la saisirent , puis sortirent de la bibliothèque.
"-De quoi souffre elle?
-Je l'ignore , mais , je ne pense pas que les soins qu'ils lui procurent sont bon pour elle
-Venez , nous allons tenter d'en savoir un peu plus?"
Christine et Bénédicte , se faufilèrent dans la grande maison , sans ne vraiment savoir , ou était la chambre de la jeune femme , mais des cris les guidèrent vite , arrivé devant la porte , discrètement , l'homme l'entrouvrit :
Le docteur était aussi un Indien , il portait aussi un turban rouge , mais sa veste était dorée , décorée a foison , il était beaucoup plus âgé que les serviteurs, avec une grande barbe blanche , il tenait en ses mains un bol qui contenait un liquide suspect , il le donna a boire a Isabelle qui était étendue sur son lit "-Non , je ne veux pas
-Il faut tout boire!"
Alors que le couple se préparait a entrer pour aider la malade , Coulterè arriva derrière eux "-entrez , mais entrez donc , vous verrez notre éminent médecin au travail "
Isabelle venait de finir le breuvage:"-Christine , monsieur Lanchoix , vous venez me sauver ? Restez , s'il vous plaies restez , ne les laissez pas me faire du mal
-Il vont rester ma chérie"
Le pseudo médecin , se mit a agiter ses main devant lui , en regardant fixement les yeux dans les yeux la malade: "-Dormez maintenant , je le veux
-Non , non , Christine ne m'abandonnez pas!
-Dormez , dormez
-Non , n...
-Dormez , dormez"
La marquise entra au royaume des songes "-Je vais devoir vous demander de sortir , maintenant notre médecin va lui faire des massages bien spécifique "
♥♥♥
"-Ce nouveau procédé est beaucoup mieux Quentin, jamais je ne serais arrivé sans toi a un tel résultat
-Tien regarde sur ma tablette , il ne me reste plus qu'a trouver les tissus , ça ne peu que marcher
-Tu te rends compte ce que nous sommes sur le point de réaliser?
-Je pense que Christine aimera
♥♥♥
Ce soir la , cachait derrière son rideau , Bénédicte , assistait a ce qui semblait être des soins prodigué a Gabriel , qui était étendu sur un lit dans la chambre de Christine , par Quentin , ainsi , il avait survécut a sa chute ?
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
J'ai hâte de savoir
bisous
Utilisateur désinscrit
V
Iris Mittenaere , un belle jeune femme Française , après avoir été miss France 2016 devint , a la grande fierté de notre nation la soixante cinquième miss univers , cela n'était plus arrivé depuis 1953.
♥
Bénédicte , ne trouva pas le sommeil , mais qui était donc ce Gabriel qui logeait dans la chambre de sa voisine , que son père et son futur mari supportaient ?
Au matin , il n'y tenait plus , il devait savoir , après avoir pris son petit déjeuné , puis son bain , il retourna dans sa boutique , ou Germaine était déjà arrivée "-Bonjour madame Masson
-Bonjour monsieur Lanchoix , vous sentez bon ce matin
-Pourquoi les autres jours je pus?
-Non , je ne voulais pas dire ça , mais vous avez une odeur plus forte , auriez vous trouvé une amoureuse?
-Pardon , je pensez a autre chose vous disiez
-Des sornettes , n'en tenez pas compte
-Je dois allez voir mademoiselle Loiseau , je peu vous confier la boutique ?
-Bien sur
-Je ne serais pas long , a bientôt , merci"
Regardant le bossus partir dans la rue , elle pensa "J'ai de ces questions moi parfois , quelle femme voudrait de ce pauvre garçon?"
Elle reprit tranquillement son travail , quant elle fut surprise par le froid entrant de la rue , emporté par la porte a nouveau ouverte: "-Bonjour madame , je suis venue pour l'annonce qui est sur la porte
-Bonjours , jeune fille , je ne suis que la femme de ménage , attendez , il ne devrait pas tarder a revenir
-Ah! Parce que c'est un monsieur
-Oui , enfin si on peu dire car il est tellement , que je me demande si ?" Elle se reprit "-Ne tenez pas compte de ce que je viens de vous dire , monsieur Lanchoix est un homme très bien"
♥
Le petit carillon a l'entrée de l’horlogerie, si fit entendre annonçant la venue d'une personne , Jack , sorti de son atelier , passa dans le couloir d’où montait l'escalier qui menait a l'étage , pour accueil l'entrant "-Bonjour cher voisin , quel bon vent vous amène? Enfin , bon vent façon de parler , fait pas chaud
-Je suis venu voir votre fille , il parait qu'elle aurait du travail pour moi
-Ah! Oui , le livre , Christine ! Christine ! Tu veux bien descendre ? Tu as un visiteur
-Je viens papa
-Bon bien , je vais vous laisser
-Elle sont belles vos pendules et vos montres
-Hélas , peu de gens en utilisent aujourd'hui , mon métier est appelé a disparaitre si un miracle ne le sauve pas ?
-Gardez espoirs, Jack , ça revient a la mode
-Si peu Bénédicte , si peu, bon , elle arrive , je vous laisse , je retourne a mes rouages et ressorts
-Bonjour Bénédicte
-Bonjour Christine , je suis venus chercher votre livre a restaurer
-Vous vous êtes déplacé pour rien , c'était a moi de venir , attendez , je monte le chercher"
Pendant qu'elle remontait a l'étage , il regarda , la sculpture a coté de l'escalier , quant elle redescendit le livre a la main il lui dit "-Magnifique buste , avec un nom dessous : Gabriel? C'est votre modèle?
-Non , ce n'est que la représentation que je me fais de l'ange Gabriel , il sort de mon imagination , il ne vie pas pour de vrai , tenez voici l'ouvrage"
♥
De retour dans sa boutique , Madame Masson l'attend : "-Vous saurez , jeune homme que je ne suis pas une recruteuse de l'ANPE , pardon comme dise les bon Français aujourd'hui Pole Emploi
-Que voulez vous dire?
-Il y a , dans l'arrière boutique , une jeune fille , qui est la pour la place
-Ah! Enfin , merci de l'avoir fait patienter
-Tachez d’être correcte avec celle la , pour ne pas donner une occasion encore au père Lafleur de dire que vous êtes le nouveau barbe bleu
-Vous y croyez a ces sornettes?
-Non , car vous êtes trop gentil , mais tout de même , ça fait six disparues , surveillez la bien celle la , quoi , que moi , a votre place , je ne la prendrais pas , je prendrais un garçon
-Vous savez très bien que je n'en veux pas il ne sont pas assez studieux
-Portant vous , vous avez appris
-Oui , mais moi , je n'avais que cela a faire
-Oui , je comprends bien"
Utilisateur désinscrit
VI
Ils nous ont apporté de la gaieté , avec toutes les reprises de chansons du passé , qu'ils réinterprétaient , mieux que les originales , mais un groupe d'enfant ne dur jamais longtemps , ainsi , les Kinds United devraient se séparer a la rentrée prochaine
♥
"-Bonjour mademoiselle , ainsi , vous voulez apprendre a relier?
-Je suis ici pour ça
-Vous vivez dans la région
-Non , je suis de St.Jean , dans Les Charentes
-Votre age
-Dix sept ans
-Bien nous pourrons essayer , venez ici , dans une semaine , j'ai une petite maison a Coulterè , près du chateau , ou je pourrais vous loger et commencer tranquillement a vous donner les bases de notre merveilleux métier , par contre , comme je ne resterais pas toujours , il vous faudra apprendre a cuisiner , faire le ménage et laver votre linge .
-Ne vous faites pas de soucis , ma mère m'a appris tout cela
-Bien c'est très bien , donc rendez vous dans une semaine avec un certificat médicale , comme quoi vous êtes apte , pour ce travail , un accord de vos parents , ainsi que leur numéro de téléphone a fin que je puisse les contacter
-Vous aurez tout cela , merci de bien vouloir de moi
-C'est normal , il faut bien perpétuer notre savoir , comment vous vous appelez ?
-Berrauld Yolande
-Bien Yolande a bientôt
-A bientôt monsieur Lanchoix"
♥
"-Inutile d'insister , monsieur le marquis c'est non
-Il n'y aura pas de témoins c'est entre vous et moi
-Non, non , et non! Cela n'arrivera jamais "
"-Il n'y a personne?" sortant du réduit qui conduisait au lieu d'aisance a coté de la bibliothèque, Christine et Coulterè en sueur , sont arrivé , elle ajustait ses vêtements, lui de son coté essayait de cacher une érection seyante:"-Bonjours monsieur Lanchoix
-Bonjour monsieur le marquis , Christine
-Heureuse de vous voir Bénédicte
-J'ai fini la reliure de votre ouvrage de Sade , tenez le voila
-Magnifiquement bien restauré
-Merci
-J'étais en train d'inviter , Christine a venir a mon autres châteaux, a Noix au sud de la Vienne , ou une de mes grande amies , des indes viendra faire un spectacle privé de danse , vous avez peut être entendu parler d'elle , c'est la Dorga ?
-Non jamais
-Vous aimez la danse orientale?
-Je ne sais pas ?
-Viendriez vous avec moi
-Bien , si vous voulez Christine
-Très bien , je vous laisse a vos travaux , mes gens seront prévenu de votre venue , donc après demain soir"
Pour un homme de quarante cinq ans , le marquis avait encore une belle prestance, il avait les cheveux légèrement dégarni sur le front , mais qui descendaient jusque sur ces épaules , ainsi qu'une petite moustache le tout encore tout coloré d'un beau châtain foncé sans un poil blanc .
"-Je suis arrivé au bon moment je crois?
-Oui , en effet , cette fois , il s'en est fallut de peu
-Vous voulez vraiment que je viennes avec vous voir cette Dorga ?
-Oui , je vous conduirez
-Ne préféreriez vous pas y aller avec votre petit ami
-Quentin ? Non , il est trop plongé dans ses recherches
-Ou quelqu'un d'autre qui vous est proche
-En dehors de mon futur fiancé , je ne vois que vous
-Très bien alors , je viendrais , mais vous devez savoir qu'ensuite je passerais une semaine sans venir , oh! Je ne serais pas loin , juste a ma maison a quelques champs d'ici
-Elle est belle a ce qu'il parait
-Qui vous a dit ça
-Le marquis , il m'a raconté l'avoir visitée de près avec un certain monsieur Lafleur , pour l'acheter, il voulait vous l'acheter , pour faire de tous le bas de la commune un terrain de chasse privé pour Coulterè , mais il ne s'est pas résolut a faire raser cette petite maison
-Surtout que je n'ai jamais voulu la vendre , c'est pour cela que Lafleur m'en veut car , il serait devenu le garde de chasse de tout ces lieux réhabilités , cette maison n'a rien de beau , il y a encore une cuisinière a bois dedans pour la chauffer et il n'y a pas l'eau chaude , mais c'est tout ce qui me reste de mes parents , puis elle me sert a loger mes apprenties
-Je passerais vous voir a l'occasion, que regardez vous ?
-Tous ces tableaux , ils se ressemblent tous , on dirait , un seul portrait divisé en plusieurs costumes d'époques
-C'est vrai qu'ils se ressemble beaucoup tout ces marquis a travers le temps
-Pour cause , c'est lui partout" Dit la petite voie d'Isabelle qui venait d'entrée sans faire de bruit "-Que voulez vous dire ?" Interrogea Bénédicte "-Je veux dire que c'est lui partout , il a une crypte familiale, dans le jardin de son château de Noix , mais elle est vide
-Comment cela serait il possible?
-Mon maris est un vampire, c'est lui qui est en train de me tuer , il me suce le sang , il me le sucera , jusqu’à ce que je n'en ai plus , il a toujours fait ça , avant moi , il y en a eux bien d'autres, c'est pourquoi il ne meurt pas, bien sur des versions disent que l'un est mort dans un naufrage, un autre a été guillotiné pendant la révolution , un a disparut en Afrique etc , mais tout cela est faux , c'est lui qui est sur toutes ces représentations
-Mais , ce n'est pas possible , cela n'existe qu'au cinéma
-Regardez ici dans mon cou, vous voyez la marque ?
-Oui , mais ce n'est pas des trace de croc
-Je le sais bien , il ne me mort pas , mais c'est par la qu'il me suce avec une paille"
Alors qu'elle finissait de parler , les deux serviteurs , vinrent la chercher pour la conduire dans la chambre .
Peu après , il y eut a nouveau des cris , puis plus rien , Bénédicte et Christine se rendirent dans la chambre , il demandèrent au médecin de quoi souffrait sa patiente "-C'est une anémie très rare , qui l’emmène souvent au porte de la mort , mais grâce a ce que je lui donne , elle revient toujours
-Que lui donnez vous?
-Rien de bien méchant de l’extrait de fer avec du jus de viande
-Mais pourquoi , ne pas la conduire a l’hôpital , ou ils ont tout ce qu'il faut pour la sauver
-Cela ne servirait a rien , ils ne feraient pas mieux que moi"
♥
De retours a la bibliothèque, Christine questionna son ami:"-Pourquoi un homme aussi sensible et gentil que vous , vit il seul?
-Qui pourrait vouloir de moi?
-Vous savez , il n'y a pas que l'apparence physique qui compte pour une femme , voyez moi , je passe beaucoup de temps avec vous , cela m'est très agréable , alors que Quentin , il n'a jamais de temps pour moi , si vous voulez vous pouvez m'embrasser
-Vous êtes sérieuse la?
-Bien sur"
Il la prit délicatement dans ses bras , approchant ses lèvres de celles de la jeune femmes , mais quant elle sentit cette salive a profusion sur sa délicate bouche , elle eut un moment de recule "-Non! Non! Je ne peu pas!
-Pourquoi ? Pourquoi? M’infligez vous autant de souffrance " Dit il en pleurant "-Je viendrais avec vous voir cette danseuse , mais après , je ne viendrais plus"
Utilisateur désinscrit
VII
La voiture était sortie , Bénédicte près , Christine qui finissait de se préparer :"-Ce aurait plus été a vous Quentin d'aller avec votre compagne que moi
-Ne vous faites pas de soucis Bénédicte , avec ce marquis qui est chaud comme la braise , je la sait en sécurité avec vous , pour le moment , j'ai trop de travail , je ne peu partir , je sais qu'avec vous elle ne risque rien
-Oui , elle ne risque rien? Vous pensez?"
La jeune femme arriva dans une robe de soirée rouge , magnifique , cela devenait de plus en plus dure pour Bénédicte de rester avec elle sans la toucher , temps elle dégageait de l'amour par tous les pores de sa magnifique peau , elle prit le volant de la DS , l'homme monta a coté d'elle avec cette pensée des derniers mots de son compagnon : "Elle ne risque rien avec vous" Qui lui faisaient si mal .
♥
Le château de Noix était beaucoup plus grand que celui de Coulterè, le spectacle de cette danseuse indienne , ne toucha pas Bénédicte , il n'avait rien de plus que toutes ces danseuses de Bollywood.
Après son art , la Dorga , alla prendre le Champagne avec le marquis , elle était une femme filiformes en apparence , mais d'une forte présence , un simple regard de ses yeux noir , faisait marcher les domestiques comme elle le voulait , ça longue chevelure noir était magnifique descendant sur un corps mat dénudé de moitié , avec le reste masqué par de multiples foulards dorés "-Ma chère , je vous présente Christine Loiseau et monsieur Bénédicte Lanchoix " Dit il en la tirant violemment par le bras "-Bonsoir , Lanchoix l'écrivain?
-Oui si on peu dire
-Voila un homme bien modeste , vous savez , je vous suis depuis plus longtemps que vous ne pouvez le penser?
-Cela doit être vrai , car personnellement , je n'avais jamais entendu parler de vous
-Bien maintenant c'est fait , profitez bien de votre soirée mes amis"
Alors que les invités a la soirée privée mangeaient les petits fours , et , dégustaient les alcools , la Dorga conduisit Coulterè dans une pièce isolée : "-Elle est belle cette Christine , je la veux
-Bien alors je te la donnerais , c'est promis"
♥
Bénédicte avait respecté tous ses engagement , il ne comptait plus fréquenté tous ces gens , il aida Yolande a s'installer , commença tranquillement a la former , dans sa petite maison de Coulterè , dans la parite basse du village de Vernière .
La jeune fille s'appliquait dans son travail , il était heureux avec elle , elle ne le jugeait pas , ne se plaignait jamais , la crème de la crème .
Les provisions venant a manquer , a fin qu'elle sache se débrouiller quant il ne serait plus avec elle , il l'envoya au café épicerie , du village du bas , pour qu'elle sache ou s'adresser .
Elle avait a peu près un kilomètre a faire sur un petit chemin entouré de haies , d'arbres et de ronces , souvent , elle se retourna , car elle se sentait épiée , suivie , ce fut un grand soulagement pour elle quant elle gagna la route départementale qui conduisait au café .
Elle prit ce dont elle avait besoin , puis parti aussitôt dans le sens du retour .
Elle avait vraiment été suivie , par deux personne en faite , la première était le père Lafleur cinquante neuf ans , avec une barbe drue , grise , les rides bien marqués , il entra a son tour dans le café :"-Mariette , sert moi une prune
-Tien
-Vous avez vu tous le monde , barbe bleue a encore une nouvelle jeunette , combien de temps va t il la garder celle ci?
-Il se dit que ce n'est pas lui qui les fait disparaitre
-Mais bien sur , il devrait être sous surveillance cet assassin
-Jusqu’à présent sachez monsieur Lafleur" Dit Bénédicte qui venait lui aussi d'entrer et qui venait de prendre l'autre par le col-baque:"-Que personne n'a pu prouver que j'avais tué ces filles , pour cause , je ne l'ai pas fait , ce qui vous fait dire ces médisance , c'est parce que vous n'avez pas eut la place de garde de chasse de Coulterè car je n'ai pas voulus vendre , restez loin de mon apprentie , s'il venait a lui arriver quelque chose , je vous dénoncerez au gendarmes , vous m'avez bien entendu?"
♥
Chez le marquis, Christine se trouvant seule décida de ne pas y retourner , pourtant Isabelle la fit quérir par son plus fidèle serviteur Tentor , elle n'allait pas , elle savait qu'elle allait mourir si la jeune femme la laissait , un jour , elle fini par lui remettre une arme qui servait a lancer de minuscules fléchettes empoisonnées .
Elle la montra a Quentin qui après analyse lui dit , que oui: C'était bien un poison très puissant qui paralysait toute créatures touchées par ces armes tout en les gardant conscientes , il lui dit qu'il aimerait mieux la savoir proche de la marquise en attendant de savoir comment agir?
♥
Quinze jours que Bénédicte avait son apprentie , dans le magasin régnait le bonheur , surtout quand Germaine venait faire le ménage .
Tous les jours , quand la journée s'étirait , il raccompagnait Yolande jusqu’à son logement , celle la , il comptait bien la garder "-Tout se passe bien en dehors des heures de travail?
-Oui , enfin , il n'y a que quand je vais faire les courses au café , il me semble être suivie par quelqu'un
-Encore le père Lafleur sans doute , je vais devoir a nouveau le rappeler a l'ordre
-Non ce n'est pas lui , car c'est arrivé deux fois , ou il était au café quand je suis arrivé
-Tu as un smartphone?
-Oui
-Si tu te sent en danger , appel moi , de jour comme de nuit
-Merci patron , cela me rassure"
♥
SMS: BENEDICTE VENEZ ME CHERCHER LE MARQUIS A ESSAYE DE ME SUCER LE SANG AUSSI
Bénédicte commençait a penser que toute ces femmes étaient folles , enfin il fila au château, pour récupérer Christine qui était très mal , il la conduisit a l’hôpital le plus proche , ou il resta jusque vers 17h00 en attendant l'arrivée de Quentin.
Ce dernier , connaissant la contenance du poison remercia chaleureusement son voisin d’être venu si vite aider sa compagne .
En rentrant au magasin , il constatait qu'il était vide , pourtant , Yolande aurait du passer , il reprit la route de Coulterè.
arrivait a sa petite maison , il se mit a courir en criant "-Non! Non! Ce n'est pas possible?!"
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
Quel suspens !
Bisous.
Utilisateur désinscrit
VIII
"-Ça devient sérieux la , si Isabelle a des doses comme ils t'ont envoyé de poison , elle est vraiment en danger
-Oui , et pas possible de téléphoner pour lui dire de se sauver , j'ai essayée , je tombe toujours sur le marquis ou l'un de ces serviteurs
-Il faut la sortir de la bas , puis contacter la police , je ne peu pas laisser mes recherches , mais je vais te conduire chez Bénédicte , vous irez ensemble
-Je suis encore faible , tu crois que le médecin des urgences me laissera sortir ?
-Pour ce soir c'est mort , mais demain matin , je le connais ce sera oui , je serais la , je te conduirais chez Bénédicte.
♥
Au petit jour , Quentin déposait Christine devant la porte de la maison de Coulterè de leur voisin :"-J'attends un peu , je vais vous conduire au château si tu veux , c'est tout ce que je peu faire , pas mieux , hélas , mon travail ne peu attendre
-Je vais le chercher "
La jeune femme descend du véhicule , puis vas frapper a la porte de la maison de son amis "-Bénédicte c'est moi , il faut que vous venez avec moi , Isabelle est en danger de mort" En disant ces mots , elle a ouvert la porte d'entrée qui donnait directement dans la cuisine salle a manger , ses yeux furent aussitôt attiré sur la grande table en chêne, ou était le corps démembré de Yolande , don certain morceaux étaient déjà passé dans la cuisinière.
"-Bénédicte , mais qu'avez vous fait?
-Sortez , sortez , je vous avez dis de ne jamais venir ici
-Quentin appel la police mon dieu c'est horrible"
♥
"-Bien la voila la preuve que j'attendais depuis si longtemps , purée , on a le cul bordé de nouilles , ça va si mal partout que pas un journaliste n'est venu, bien les expert vont faire leur travail et nous mon chère monsieur Lanchoix , nous allons aller au poste , vous auriez du écouter mon dernier conseil , prendre un apprenti i"
La chose ne s'était pas ébruité , il n'y avait pas eux de mouvements de foules , seul Quentin et Christine furent invité a venir déposer leur témoignages .
♥
Au château , Isabelle ne se réveilla pas , cette fois , elle était bien morte , son corps devait être transporté a Noix dans la crypte , suite a une cérémonie , discrètement ce sachant perdue , sachant que son corps ne serait pas embaumé , elle demanda a son ami Tentor de venir lui trancher la gorge après que tous le monde soit partis a fin qu'elle ne devienne pas comme son homme .
♥
"-Bien monsieur Lanchoix , racontez moi tout , ou sont les autres corps?
-Je l'ignore inspecteur?
-Pourtant celui ci était bien chez vous et c'est bien vous qui l'avez démembré pour le faire disparaitre dans votre fourneau?
-C'est bien moi , oui
-Pourquoi l'avez vous tuée?
-Mais je ne l'aie pas tuée
-Mais si vous ne l'avez pas tuée , pourquoi la faisiez vous bruler ?
-Vous savez , c'est rarement celui qui fait cuire le rôti qui a tué le bœuf
-Ça va bien la arrêtez avec vos métaphores , des fouilles seront faites autour de chez vous , nous verrons bien si vous ferez temps le malin
-Je suis innocent , enfin , en partie , car , j'avais bien entrepris de faire bruler entièrement le corps de Yolande , en effets , hier soir en rentrant a la boutique , elle n'y était pas , alors j'ai étais jusqu'au village du bas , voir si elle était restée a Coulterè , c'est la que je l'ai vue , devant la porte toute pale , j'ai tout fais pour la réanimer , mais rien a faire , elle semblait avoir été vidée de son sang , je ne savais pas quoi faire?
-Il fallait nous téléphoner
-Vous m'auriez crus , après la disparition des six autres ? Moi , je pense que non , alors , j'ai entré la fille a la maison , j'ai allumé le feu , j'ai passé la nuit a la découpé , puis j'étais partis a faire bruler les morceaux pour la faire disparaitre, comme cela , personne n'aurait pu m'accuser de meurtre.
En attendant de passer devant le juge , vous allez passer une nuit en prison , emmenez le messieurs .
Dans le couloir du commissariat, les deux jeunes témoins était assis sur un banc a attendre qu'on leur disent de partir , alors que Bénédicte passait devant eux accompagné de deux gardiens de la paix , menotté , un homme de presque deux mètres de haut entra :"-C'est vous qui avez tué et brulé ma fille?" n'attendant pas de réponses , il écarta violemment les deux jeunes représentants de l'état et se mit a frapper , de toutes ces forces Bénédicte , il sortit aussi un couteau qu'il lui planta a plusieurs reprise dans le corps .
♥
Quand enfin le forcené fut maitrisé , Quentin s'approcha de Bénédicte a fin de le soigner , il constata , hélas, que son pronostique vitale était engageait .
Une ambulance arriva d'urgence , Quentin monta avec lui dedans "-Il serait étonnant que vous surviviez , mais donnez moi votre corps pour mes recherches , je vous promet d'utiliser toutes mes compétences pour vous aider
-D'accord , si je ne survis pas , vous pourrez faire ce que vous voulez de moi
-Signez moi ce papier
-Vous êtes qui ? C'est quoi vos recherches je n'ai jamais sus en faite ? Vais je donner mon âme au diable?
-Non , aillez confiance"
Arrivé a l’hôpital il était mort , peu après , un nouveau véhicule venait chercher le corps pour le conduire au laboratoire de Quentin.
♥
Toute la nuit , Quentin et Jack restèrent absent , au matin , ils arrivèrent a l'horlogerie , Christine les attendaient :"-Mais que faisiez vous ? Nous avons trop attendus , la marquise est morte
-C'est bien malheureux , maintenant , nous n'aurons plus de preuves contre le marquis , mais , nous ne pouvions plus attendre , va voir derrière la voiture , il y a une surprise
-C'est Gabriel, il va bien?
-Il n'a jamais été aussi bien , nous allons le monter a l'étage , mais maintenant , il ne logera plus dans ta chambre.
♦
Comme sorti d'un long sommeil , Gabriel ouvrit les yeux :"-Ça va ?" Questionna Quentin
"-Je vais bien
-Vous avez mal
-Non , je vais très bien
-Vous pouvez bouger les mains, parfait , les pieds , parfait , vous pouvez marcher , parfait
-Je peu avoir un miroir?
-Tenez
-Je suis beau , j'ai le visage de Gabriel , mais comment?
-C'est une longue histoire , je vais tout vous expliquer enfin nous allons avec Jack , tout vous expliquer"
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
A très bientôt
Bisous
Utilisateur désinscrit
IX
Dans la mercerie , Bernadette , Germaine et Jean Raymond le pharmacien attaquaient fort leur journée par un apéritif : "-Tu y croyait toi Germaine que c'était le bossus qui avait tué toutes ces filles?
-Bien tu vois , non, le pauvre , la nature ne l'avait pas aidé c'est vrai , mais il avait l'air d’être vraiment gentil
-Comme quoi , il faut toujours ce méfier de l'eau qui dort
-Oui , enfin , je l'aie échappée belle , je faisais le ménage tous les jours chez lui
-Vous ne risquez plus rien mesdames , une infirmière est passée chez moi a la pharmacie ce matin , elle m'a dit qu'il était mort , le père de la septième l'a temps frappé qu'ils n'ont pas eux le temps de l'emmener aux urgences , pourtant il y avait le professeur Quentin Loiseau avec lui , il n'a rien pus faire .
♦
"-J'avais a peine vingt ans quand j'ai eu l'idée de vous construire , je voyais bien que l'horlogerie allait disparaitre , mais de tous temps , les gens ont été fasciné par les automates , alors a partir de rouages , parfois presque microscopiques , patiemment j'ai fabriqué votre corps , puis voyant les talent de sculpteure de ma fille , je lui aie demandé de sculpté votre visage , a fin d'en faire un moule , j'ai du demandé a mon dentiste , de me fournir des dents en céramique pour vous donner votre sourire , je pensais avoir atteint la perfection le jour ou j'ai coulé votre visage , mais , il manquait quelque chose , votre regard était vide , vous étiez vide , quand je vous remontait avec la clef , jamais je n'atteignais la perfection , temps et si bien que je vous ai laissé longtemps sous une couverture sans vous utilisé.
-C'est alors que je suis arrivé dans la famille , quand j'ai découvert Gabriel , je l'ai trouvé magnifique , mais Jack m'a dit "-elle est belle , vous ne trouvez pas?" Je lui ai répondu : Oui une merveilleuse machine , je vois que vous avez des soucis , je vous aiderez a la finir , avec mes connaissances en médecine , je suis parvenus a créer des yeux biologiquement fiable , que nous avons branché sur un cerveau numérique .
-La vous avez fonctionné et répondu a certains stimuli , Christine , vous aimait bien , elle vous avez placé dans le placard de sa chambre , elle était chargée de faire votre éducation, mais c'était long , le numérique , l'horlogerie et la biotechnique, cela faisaient bien trop de choses peu compatible .
-Ainsi un soir , le cerveau disjoncta en quelque sorte , Gabriel attrapa le bras de Christine , si Jack n'était pas intervenu , il lui aurait broyé sans remords, car cela n'était pas encore dans son programme , a force de coups , il parvint a l'éloigner de sa fille , seulement il le fit tomber de l'étage , quand je suis arrivé , il n'était pas endommagé, tout au moins le principale car le cerveau ne répondait plus , c'est ce soir la , comme je venais de mettre au point une peau artificielle sensiblement identique au touché a la peau humaine que je proposais a Jack de repenser complétement notre Gabriel , nous avons sorti de son corps tous les éléments numériques , Jack a repensé la poitrine a fin qu'elle puisse recevoir des tissus humain , en faite tous les nerfs d'un cerveau , tout était en place pour que j'entre a nouveau en jeu en implantant un cerveau humain, a la place du numérique , c'est la que vous êtes intervenus , j'ai dus sortir votre cerveau de votre boite cranniène en faisant attention a ce que vous ne manquiez pas d'oxygène , pour ne pas vous altérer , j'ai du faire en sorte aussi que chaque nerfs ne soit pas endommagés, je vous ai placé dans un globe de verre incassable , et surtout ou rien comme , virus , microbes ou autres ne puisse passer , j'ai relié tous vos nerfs aux espace prévus , installé le long de votre bras droit un tube pour que vous puissiez apporté par le biais d'une seringue , une fois par mois des nutriments , dans le peu de sang qui alimente en circuit fermé votre cerveau , normalement , j'avais prévus qu'a votre réveille vous ne devriez avoir aucunes douleurs , c'est bien ce qui est arrivé , vous voila , monsieur Bénédicte Lanchoix est mort et monsieur Gabriel vien de renaitre de ses cendres mieux qu'il n'a jamais été .
-En faite je suis une sorte d’Androide?
-Non , vous êtes haut dessus de tout cela , vous êtes un automate avec un cerveau , hors votre clef pour vous remonter toute les vingt quatre heures , vous n'avez besoin d'aucune alimentation, de plus éloigné de toutes source de maladie , vous devenez le premier sur cette terre immortel
-Oui enfin , il faudra que j'affine vos articulations , actuellement , si vous tombez sur le dos , vous n’êtes pas en capacité de vous relever.
-Merci pour ce que vous m'avez fait tous les deux , mais je dois partir , je dois prouver que Bénédicte est innocent des crimes dont on l'a accusé
- Oubliez Bénédicte , il n'est plus "
♦
"-Ce petit Pineau est délicieux Bernadette
-Merci mes amis , avec tous ces événements qui viennent de ce passer , ça ne fait pas de mal de se faire du bien"
"Tiiiint!Tiiiiint" "-Excusez moi , je dois vous laisser quelqu'un vient d'entrer dans le magasin , j'en aie pas pour longtemps "
Sortant de sa cuisine , elle se dirigea , vers sa boutique , quant elle entra , un bel homme la menaçait avec un mousquet de collection "-Ne vous fiez pas a son apparence madame Naud , il fonctionne encore"
Utilisateur désinscrit
@Eauclair
Tu devrais te faire publier.
Bisous
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Utilisateur désinscrit
Bonjour, à toutes et tous !
J'écris depuis l'âge de huit ans. D'ailleurs, si l'on veut faire la genèse de ma maladie, il faudrait remonter jusque-là.
J'ai commencé avec mon bic bleu de l'école par inscrire des phrases isolées sur le grand carton blanc du miroir qu'avaient un jour acheté mes parents. Puis j'ai ajouté toutes sortes de textes dans mon escarcelle : des poèmes, des histoires en musique et pour enfants, des nouvelles et aujourd'hui, j'ai aussi commencé un roman assez étonnant puisque c'est un polar et que jusqu'à présent j'écrivais plutôt du poétique, de l'autobiographique et de la romance. Mais je me sens devenir de plus en plus écrivain, même si je ne suis pas édité et que cela n'est pas mon but - à l'heure actuelle je m'oriente vers la recherche en psychologie.
J'aimerais beaucoup vous lire, j'aimerais pouvoir partager ensemble nos écrits en toute simplicité et pour vous encourager, je poste un poème qui raconte un moment important de ma vie.
Bien à vous !
L’épée
Armée d'une épée qui tranche la peur et le mensonge, remet inexorablement coup après coup le cœur à l'épreuve, le courage n'a qu'un unique choix : grossir toujours plus que l'angoisse et la douleur qui ne cessent de grandir, un torrent qui frappe les paupières le matin et s'engouffre dans l'obscurité du sommeil inquiet ! La tête ne dort pas, le guerrier ne se repose pas... Les trêves sont courtes, l'immobilité de la rage
est fébrile, la guerre fait fureur ! L'esprit croit en la force, vaine puissance de la destruction et l'amour pleure. Homme de cœur, être de peur, regarde au loin le drapeau blanc de la paix, desserre ta main de la colère et du glaive. Alors, un peu de temps, un matin tu as posé tes doigts blessés sur la poitrine gonflée de pitié de ton amie et elle t'a sauvé. Tu n'avais plus peur que de la perdre et tu as bu l'eau de ses pensées. Ô guerrier, tu as rangé l'épée et jusqu'au fourreau, les armes sont retournées à l'immobilité. Tout est redevenu facile comme lorsque tu étais enfant, insouciant, confiant.
Nora