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Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
@Eauclair
Tout à fait.
J ai posté bcp ds rêves loufoques si tu veux me lire.
Bisous.
maritima
Bon conseiller
maritima
Dernière activité le 04/11/2024 à 21:45
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@Eauclair
@angelina
Savoir sur quoi on a prise
Savoir sur quoi on n'a pas prise
Savoir faire la différence entre les 2 cas
Je crois que cela évite vraiment les souhaits ....inconsidérés , irréalisables et toutes les déceptions afférentes.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
Bonjour @maritima, content de vous lire , hier je me faisais du souci , je me demandais si vous alliez bien , oui , je vous aime beaucoup et tiens compte souvent de vos remarques .
Si vous avez lue mon histoire si dessus dans son ensemble , je cherche a faire comprendre que ce qu'on pensent avant un accident , et , ce qu'on peu penser après , peut être très différent, c'est connus dans la vie , rien , jamais , n'arrive , comme on le planifient , alors si aujourd'hui , une personne pense :"-Si un jour je deviens un légume , faites en sorte que je ne vive pas longtemps "
Si demain , cette personne qui a eut un accident perd l'usage de sa parole , mais en faite n'est pas si mal prisonnière dans son corps , elle pourra crier "-Non ! Ne me débranchez pas ! Je suis bien " que personne ne l'entendra.
J'ai un frère qui a été dans le coma , cela faisait peur a voir tout ces branchements de partout , mais quant il est revenu , jamais il n'a dit avoir souffert le temps qu'il a passer comme ça.
Ainsi j'en déduit , que les personnes qui décident a la place de celles qui ne peuvent parler , ne sont ni plus ni moins que des anges de la mort , avec les antalgiques qui existes aujourd'hui , il est possible de très bien vivre dans un état second, je dis bien possible , car les seuls qui peuvent en juger , sont ceux a qui ça arrive.
Je sais , pour y avoir été confronté avec mon frère , que la médecine sait très peu de choses sur le coma
Utilisateur désinscrit
Vs dites vrai ts les 2.
Bisous
maritima
Bon conseiller
maritima
Dernière activité le 04/11/2024 à 21:45
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Désolée pour le souci que je vous ai causé @Eauclair : pour me faire pardonner !
En fait ,mon silence momentané, vous en trouverez la raison dans mon post d'hier 26 décembre à 20h25 dans "dis nous en un mot ton sentiment du jour" .
Tant que maman sera au CHU j'aurai moins de temps pour écrire mais.... voyez comment sont les choses.... j'aime l'atmosphère de l'hôpital : pour moi, c'est plus un lieu de sérénité et de vie qu'un lieu de détresse et de mort. Pour moi ,tous ces branchements dont vous parlez, ce sont plus des aides pour être mieux que de sinistres mécanismes annonciateurs de malheur.
Oui, j'ai lu votre histoire mais rapidement : je la relirai .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
Pour moi aussi , je me sens sécurisé a l’hôpital, je l'ai dis souvent , si je pouvais , je vendrais ma maison pour acheter une chambre dans un CHU.
Par contre @maritima, je ne savais pas pour votre maman , je vais aller lire ce que vous avez écrit , mais vraiment , je me demandais ce qui se passait , je savais qu'il y avait quelque chose de pas normal , vous pouvez pas imaginer le bien que ça m'a fais de vous lire ce matin .
Virtuel , c'est sur , cela n’empêche pas de s'attacher a nos interlocuteurs et a les aimer aussi, bises
Utilisateur désinscrit
@Eauclair @maritima
Moi aussi je m attache aux personnes de Carenity et je les aime aussi car derrière les personnes virtuelles il y a des personnes géniales comme vs 2 et comme tellement d autres que je ne peux pas ts et ttes les citer.
D ailleurs qd certains ou certaines quittent le forum, c est dur pour moi.
Bisous.
machas
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machas
Dernière activité le 04/11/2024 à 19:04
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@Eauclair merci pour cette nouvelle histoire ....
bonne soirée et au plaisir de te lire
Pascale
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Pascale
Utilisateur désinscrit
Merci @machas, bonne soirée , bises
Nathali57
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Nathali57
Dernière activité le 04/11/2024 à 18:42
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@Eauclair
Un grand MERCI pour cette nouvelle histoire touchante, drôle. Je reste suspendue aux mots des palombes .
Elle me fait penser à mon grand-père qui me disait quand j'étais ado "il vaudrait mieux être foutu", c'était le début de sa démence sénile. Il est décédé à l'âge de 90 ans, en n'en reparlant plus.
Ces années, il les a passées auprès de ma grand-mère, de son fils (mon père) qui habitait en face et il a vu ses petits-enfants grandir. Et j'imagine qu'elles ont été heureuses malgré tout.
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Utilisateur désinscrit
Bonjour, à toutes et tous !
J'écris depuis l'âge de huit ans. D'ailleurs, si l'on veut faire la genèse de ma maladie, il faudrait remonter jusque-là.
J'ai commencé avec mon bic bleu de l'école par inscrire des phrases isolées sur le grand carton blanc du miroir qu'avaient un jour acheté mes parents. Puis j'ai ajouté toutes sortes de textes dans mon escarcelle : des poèmes, des histoires en musique et pour enfants, des nouvelles et aujourd'hui, j'ai aussi commencé un roman assez étonnant puisque c'est un polar et que jusqu'à présent j'écrivais plutôt du poétique, de l'autobiographique et de la romance. Mais je me sens devenir de plus en plus écrivain, même si je ne suis pas édité et que cela n'est pas mon but - à l'heure actuelle je m'oriente vers la recherche en psychologie.
J'aimerais beaucoup vous lire, j'aimerais pouvoir partager ensemble nos écrits en toute simplicité et pour vous encourager, je poste un poème qui raconte un moment important de ma vie.
Bien à vous !
L’épée
Armée d'une épée qui tranche la peur et le mensonge, remet inexorablement coup après coup le cœur à l'épreuve, le courage n'a qu'un unique choix : grossir toujours plus que l'angoisse et la douleur qui ne cessent de grandir, un torrent qui frappe les paupières le matin et s'engouffre dans l'obscurité du sommeil inquiet ! La tête ne dort pas, le guerrier ne se repose pas... Les trêves sont courtes, l'immobilité de la rage
est fébrile, la guerre fait fureur ! L'esprit croit en la force, vaine puissance de la destruction et l'amour pleure. Homme de cœur, être de peur, regarde au loin le drapeau blanc de la paix, desserre ta main de la colère et du glaive. Alors, un peu de temps, un matin tu as posé tes doigts blessés sur la poitrine gonflée de pitié de ton amie et elle t'a sauvé. Tu n'avais plus peur que de la perdre et tu as bu l'eau de ses pensées. Ô guerrier, tu as rangé l'épée et jusqu'au fourreau, les armes sont retournées à l'immobilité. Tout est redevenu facile comme lorsque tu étais enfant, insouciant, confiant.
Nora