Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...

Chère Physalie, la Petite ou  la Petite Fée m'accompagne ou que j'écris, elle m'inspire du désir, elle est entre les lignes de mon cahier, toujours à mes côtés avec sa baguette magique.

Merci à vous tous, ce site est une détente très apprécié

Bisou,

Syl

merci à vous tous de ces si beaux textes  filbett garde bien ta petite fée il est vrai Nreath que ces bons moments passés à lire font oublier les soucis et les douleurs continuez à avancer!!!

Bonsoir Syl, Physalis, Nreath, Sidonie, Muguette et tous les autres !

Je vous rejoins, cela fait du bien de partager sa passion avec autrui dans un endroit aussi chaleureux qu'ici. Je ne regrette pas mon inscription. Je suis en pleine période de guérison (devrais-je dire  "reconstruction") et cela m'aide beaucoup de vous lire et de m’exprimer à mon tour. Ce n'est peut-être pas grand chose mais pour moi, cela a beaucoup d'impact ! Je me joins à Syl pour vous remercier à mon tour.

Bonne soirée à tous.

Il y a des choses que seule l'âme perçoit  mais ce monde n'est peuplé que d'aveugles. Il fait du bruit, tape sur des machines, se déchire. Arrêtez ce bruit, arrêtez ça! Je déambule dans les couloirs, ramassant la souffrance des autres au détour des ruelles. J’absorbe plus d’émotions qu'un esprit peut contenir, je vis des vies mais jamais la mienne, des tonnes de larmes submergent mon corps et je m’évapore. Où vais-je ? Qui peut me le dire ? Le Soleil brûle mon âme...des auréoles boréales me transpercent de part en part, je m’élève à quelques mètres du sol…sur ce bout de papier, je m’élève, m’étiole. Couchée à même le sol dans cette chambre sombre où le silence règne, je n'entends plus rien, ne sens plus rien, ne ressent plus rien. Juste le Néant m'enveloppe et je me sens bien. Tout est terminé, vous m’entendez ?! C’est terminé. Une sonnerie résonne, je ne réponds pas…je ne répondrai plus. Les humeurs des autres sont telle une substance gluante dont on ne se débarrasse pas. Vous comprenez? Non, vous ne comprenez pas. Vous ne connaissez pas cette sensation intense et douloureuse, ce besoin de se sacrifier. Je ne suis pas malheureuse…c'est votre malheur, votre mal-être, ce malaise ambiant qui, encrassant les métros, les salles de classes, les salles d'attente, tout cela me ronge de l'intérieur. Assise dans le coin de la chambre, je perds pied, cette sonnerie est une torture. J'absorbe, j'absorbe, je casse l’objet, je sature. Je suis fatiguée, je suis si fatiguée…je voudrais dormir mais même cela…je ne peux pas.
Qui a décidé que l'on devait souffrir pour les autres? Ces autres…qui ne nous comprennent pas.

Hypersens'cible. 2009. liliLAIN.

Nreath, tu es le souffle qui anime ce lieu, ou nous nous plaisons tant

Sidonie, pourrions nous être amies, j' aimerais bien.

coucou,Muguette, si jolie.fraîche comme le brin de muguet, dont tu portes le nom

Syl,j' ai bien entendu l' histoire de la petite fée,Filbett , elle a présidée

 au berceau de ta naissance, maintenant, que je sais, je peux t 'appeler de ce nom

Melancholila, je rejoins tes pensées, je suis dans le même état de mélancolie,entre ciel et terre ,dans cet espace teinté d' un lèger brouillard, prise dans un voile de gaze vaporeux et léger

, qui masque les réalités quelques fois,et répare aussi.JE TE COMPRENDS.

A tous, amis , amies que les vents de ce jour, vous soient favorables,qu' ils nous conduisent au soleil de notre vie.

Ceci, est un fait vécu la nuit dernière:

Une Tragédie,

L'incendie de l'Iles-Verte

Vous, personnes âgées qui devez dormir

Par  les flammes, sont vu périr, sont vu mourir

Par la fumée, fût  réveillés

Le Téléphone sonne, il est 00h30

La sonnerie me tire du sommeil

Je sursaute, sur l'afficheur, c'est mère

Les mains me tremblent 

Elle crise, Hurle, Vite vient me sauver

Y a le feu et pas secours, j'ai froid

Apporte moi, manteau, gants et chapeau, j'ai dû sortir d'urgence, trop de fumée

Arrive sur place, échelle montante,

Ne pouvant atteindre le troisième d’où

Criant la détresse, là-haut sur son balcon

Mère gelant en jaquette

Réussie à lui apporter sur son balcon  en escaladant

Par le second étage, Couvrant mère et criant

Au secours, Pompiers, là en bas acharner, nous disent, ça ne sera pas long

En dix minutes, mères et moi, ayons plus que de la fumée à respirer

Étouffée par le manque d'oxygène,mère râlant, suffoqua

Là, sous mes yeux, Fils désemparer,

Par les flammes sont vu périr, sont vu mourir

Flamme de l'enfer, brûlant cette maison

De forts vents  s'acharnait  de plus en plus fort

Pompiers et bonne gens portant secours

Mais en vains, tous les efforts déployés

Feu de paille, emportant trop d'âmes

Vulnérables étaient ses résidents

Cœurs déchirés, brisés  par ce drame

Tout le Québec est en deuils

Par cette tragédie

J'offre mes sympathies en poésie

A tous les villageois de ce coins de pays

Dans le Bas du Fleuve St-Laurent

Près de la Gaspésie

Syl

Ceci, est un fait vécu la nuit dernière:

Une Tragédie,

L'incendie de l'Iles-Verte

Vous, personnes âgées qui devez dormir

Par  les flammes, sont vu périr, sont vu mourir

Par la fumée, fût  réveillés

Le Téléphone sonne, il est 00h30

La sonnerie me tire du sommeil

Je sursaute, sur l'afficheur, c'est mère

Les mains me tremblent 

Elle crise, Hurle, Vite vient me sauver

Y a le feu et pas secours, j'ai froid

Apporte moi, manteau, gants et chapeau, j'ai dû sortir d'urgence, trop de fumée

Arrive sur place, échelle montante,

Ne pouvant atteindre le troisième d’où

Criant la détresse, là-haut sur son balcon

Mère gelant en jaquette

Réussie à lui apporter sur son balcon  en escaladant

Par le second étage, Couvrant mère et criant

Au secours, Pompiers, là en bas acharner, nous disent, ça ne sera pas long

En dix minutes, mères et moi, ayons plus que de la fumée à respirer

Étouffée par le manque d'oxygène,mère râlant, suffoqua

Là, sous mes yeux, Fils désemparer,

Par les flammes sont vu périr, sont vu mourir

Flamme de l'enfer, brûlant cette maison

De forts vents  s'acharnait  de plus en plus fort

Pompiers et bonne gens portant secours

Mais en vains, tous les efforts déployés

Feu de paille, emportant trop d'âmes

Vulnérables étaient ses résidents

Cœurs déchirés, brisés  par ce drame

Tout le Québec est en deuils

Par cette tragédie

J'offre mes sympathies en poésie

A tous les villageois de ce coins de pays

Dans le Bas du Fleuve St-Laurent

Près de la Gaspésie

Syl

bonjour à tous

Melancholila et Filbett c'est très beau et triste ce que vous avez écrit et très vrai je vous comprends vous devez vivre pour vous il ne faut pas prendre tous les malheurs du monde sur vous laissez de coté ce que vous ne pouvez changer essayez d'ètre heureux

Juste un moment mélancolique, douce muguette, désolée pour 2 envoies, les doigts humides mon collées sur la souris, Ne t’en fais pas, je ne le prend pas personnel, c'est toute Notre Province qui est affectée dont 6 000 000 de personnes. Et merci.....beaucoup du bon conseil, je ne regard plus les news, elles ne parlent que de ça.....

Bonne journée ou Fin de journée

Syl, avec toi, avec vous, avec votre pays, et surtout avec ceux qui sont partis, dans ma famille, il y a une coutume d' allumer une bougie, pour les moments d' exeption, heureux ou malheureux, la coutûme veut qu' il faut qu' elle brûle j' us que au bout, pour concentrer vers ceux à qui elle est déstinée, le maximum de nos pensées, j' en allume une ce soir, pour vous tous

AVEC TOI.