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Qui aime écrire ? Des lettres, des poèmes, des histoires...
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Filbett336
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Filbett336
Dernière activité le 09/11/2022 à 13:14
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Nreath,Physalis et MelenchoLila
La beauté au féminin
Avec sa robe longue et sa poitrine galbée
Laisse voir la beauté de son corps
Vent retroussant les volants et dentelles
Comme la bohème
Fragile comme du verre
Par l'éclaire des dieux,
Aphrodite déesse de l'amour prit naissance
Dans les eaux
Unis les liens de la vie sur Terre, mer et céleste
Beauté, amour, plaisirs, procréation
Vous attire par sa passion
Dans toute sa nudité
Vous Injecte son venin pour s'offrir à lui
Sans adresse, ni maison,
Parcourant Chemin clandestins, sans buts
Gîte et savane en broussaille
Laissant sur son passage
L'image de sa beauté
vous charmer
Syl
Au féminin
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Un vent du fleuve vaguant au delà des océans
Utilisateur désinscrit
C' est aussi pour moi, ce si joli poëme.....MERCI
Bonsoir à tous nos artistes, douce nuit ,enveloppé dans les cascades de vos jolis mots.
Utilisateur désinscrit
Mercu Syl et Physalis pour vos encouragements ! :)
Ah! Merci Syl pour cette charmante attention, vue sous cet angle, la féminité paraît idyllique ! =) "On ne nait pas femme, on le devient" j'approuve amplement cet adage, le chemin est long et périlleux ! xD
Physalis, merci...j'espère que tu fais de beaux rêves =)
Utilisateur désinscrit
**ATTENTION SPOILER**
J'ai regardé le film "stoker" durant ma nuit d’errance, il m'a inspirée ce texte inquiétant; Remarque c'est un film à voir pour son thriller captivant et son sens de l'esthétisme.
Le vent a tourné vers le Nord, l’oiseau a pris son envol. Ni tout à fait la même ni tout à fait une autre. Mon corps change de couleur et prend de nouvelles formes. Sens-tu la force des émotions s’étaler sur ma plume ? Sens-tu le siècle nouveau arrivé ? Je suis une pièce défectueuse, je vois la mort où tu croises la vie…je vois l’espoir dans un cri d’horreur. Aimer la souffrance, la répandre à travers la nuit. Quelque chose s’éveille en moi, un mal insoupçonné…ton charme encrasse ma paroi...Je suis un animal apprivoisé. Jeu à quatre mains, nous sommes en accord parfait. Je me cherche, je te défie. Je me vois en toi, je me vois dans tes yeux. La proie est charmée, elle se pavane sans pudeur. Mon esprit suffoque tandis que la ceinture se resserre encore, te rend plus fort et torture ma chair…cette boue que je lave me colle à la peau. Je succombe à la sordide vérité : je suis un chasseur condamné à tuer. Je mue sur des talons aiguilles. Maman pardonne-moi, je change mon fusil d’épaule. Maman pardonne-moi, je n’ai jamais été ta fille. Mécaniquement, je m’évapore, je deviens le prédateur, le séducteur, l’amant, la Mort. Je me révèle enfin à la vie. Une naissance sanglante et inaudible. Une cible charmante et imperceptible. Ce matin, dès lors…je m’évanouis. Ce matin…encore…j’irais chercher mon père…au-delà de la prairie.
Au-delà de la prairie.2014.liliLAIN.
Utilisateur désinscrit
Notre choix
A chaque oeil un monde se laisse voir
Entre l’esprit et le coeur un ciel se laisse tenir
Par un fil comme un cerf-volant
Volage et léger dans le ciel
Avec un petit lien sur terre
Attention
Ne pas trop tirer
Le fil ne doit pas casser
Ne pas trop lâcher
La liberté ne doit pas s’aliéner
Un petit noeud sur chaque poignet
Pour partager ensemble les nuages
Ne pas se perdre à l’amour se blottir
Marcher courir notre souffle offrir
A la terre l’eau l’air et l’imaginaire
Appeler l’inconnu comme un frère
Agrandir sa famille à l’infini humanité
Pour vivre dans un espace de paix et d’éternité.
Filbett336
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Filbett336
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Merci les amis (es) et vous lire
Imagine
C'est une caresse remplie de délicatesse
Qui se manifeste par une bouffée de plaisir
Une musique, un chant, une mélodie de tendresse
Réveille l'artiste au delà de l’horizon
Emporter par les vents extraordinaires
Franchir toutes les barrières de la frontière de l'imaginaire
Je suis capable, je suis capable, encore capable
De m'envoler comme un oiseau, loin, loin, loin
Pour y cueillir tous les désirs
Que vous avez toujours vénéré
En vérité
L'élixir tant convoité
Syl
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Un vent du fleuve vaguant au delà des océans
Filbett336
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Filbett336
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Au bout du quai
Sœurs et frères, au nombre de sept avec eux sous leurs grades
La Petite cadette, trois ans était son âge
Parlant sans cesse, esprit vif et réveillé marche en direction du quai
Regarde les pécheurs attraper, anguilles, morues, crapotes de mer
Pour les chanceux, saumons et crabe
Bateaux et chaloupes accostés
Au quai bien achalandé
Sieurs D'Amours, le traversier reliant les deux rives
Arrive au débarcadère, le pont baissé
Circulait piétons et véhicules, animation et bruits les entouraient
Sans se rendre comptes de l'absence de la Petite cadette
Derrière eux tintèrent à leur oreille, le cri du désespoir d'un homme hurlant de toutes ses forces
Hé!.........................la Petit est tombé dans le trou............la marée est haute..................
Elle peut se noyer...S ’assommé...se tuer...Se fracturer un membre...
L'homme comme l'éclair de Zeus, arrive souffle court
Sœurs et frères le secondaire
Sous le quai dans l'eau entre les piliers
Petite poupée crache l'eau salée et souillé par réflexe
Vagues après vagues, frappent les poutres sous le vieux quai
La marée montante, vagues de forces, va et revient
S'éloigne et s'avance entre les poutres et les débris, sans être blessé
Submergé par les flots, fût sauvé
Cette chute resta secrète, jamais dévoilé, ni mère, ni père le savait et pendant des années
Hanté par ce cauchemar, Petite cadette, de l'enfance à ce jour, se voie
Passer par un trou, chutant de plus de 4 mètres, voyant bras allongés l'extirpant de cet enfer de la mer...
Un jour lui est raconté ce qui lui est arrivée
Ainsi, s'envolant ce cauchemar
Sous le quai.......
Au bord de la mer.........
Syl
Doux réveil, et tendre matinée à tous
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Un vent du fleuve vaguant au delà des océans
Utilisateur désinscrit
OUFl'histoire se termine bien , ou est passée ta petite fée, besoin d' un petit coup de baguette magique ce matin....pensées amicales ,et bises à la ronde.
Nreath, Melanchlila, quelle inspiration, les amis, amies je suis bien en votre compagnie.......
Utilisateur désinscrit
C'est une bonne compagnie que la nôtre
A toutes et tous elle est ouverte
Oublions tous nos maux
Et retrouvons-nous ici pour nous faire du bien.
A Physalis, Syl, MélanchoLila et Muguette, à toutes celles et tous ceux qui ont posté (Quesaco et Sidonie...), je vous souhaite une bonne journée et une bonne fin de semaine ! Toutes mes meilleures pensées !
Utilisateur désinscrit
merci Nreath de tous nous associer à tes pensées...j'aime à vous lire, les uns et les autres, chacun dans son style, chacun dans son inspiration...
je te souhaite une belle journée, et tout le meilleur aussi, ainsi qu'à vous tous ;)
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Utilisateur désinscrit
Bonjour, à toutes et tous !
J'écris depuis l'âge de huit ans. D'ailleurs, si l'on veut faire la genèse de ma maladie, il faudrait remonter jusque-là.
J'ai commencé avec mon bic bleu de l'école par inscrire des phrases isolées sur le grand carton blanc du miroir qu'avaient un jour acheté mes parents. Puis j'ai ajouté toutes sortes de textes dans mon escarcelle : des poèmes, des histoires en musique et pour enfants, des nouvelles et aujourd'hui, j'ai aussi commencé un roman assez étonnant puisque c'est un polar et que jusqu'à présent j'écrivais plutôt du poétique, de l'autobiographique et de la romance. Mais je me sens devenir de plus en plus écrivain, même si je ne suis pas édité et que cela n'est pas mon but - à l'heure actuelle je m'oriente vers la recherche en psychologie.
J'aimerais beaucoup vous lire, j'aimerais pouvoir partager ensemble nos écrits en toute simplicité et pour vous encourager, je poste un poème qui raconte un moment important de ma vie.
Bien à vous !
L’épée
Armée d'une épée qui tranche la peur et le mensonge, remet inexorablement coup après coup le cœur à l'épreuve, le courage n'a qu'un unique choix : grossir toujours plus que l'angoisse et la douleur qui ne cessent de grandir, un torrent qui frappe les paupières le matin et s'engouffre dans l'obscurité du sommeil inquiet ! La tête ne dort pas, le guerrier ne se repose pas... Les trêves sont courtes, l'immobilité de la rage
est fébrile, la guerre fait fureur ! L'esprit croit en la force, vaine puissance de la destruction et l'amour pleure. Homme de cœur, être de peur, regarde au loin le drapeau blanc de la paix, desserre ta main de la colère et du glaive. Alors, un peu de temps, un matin tu as posé tes doigts blessés sur la poitrine gonflée de pitié de ton amie et elle t'a sauvé. Tu n'avais plus peur que de la perdre et tu as bu l'eau de ses pensées. Ô guerrier, tu as rangé l'épée et jusqu'au fourreau, les armes sont retournées à l'immobilité. Tout est redevenu facile comme lorsque tu étais enfant, insouciant, confiant.
Nora