Que penser du coronavirus ?

Du plomb lipidique pour délivrer de l'ARNm dans le cerveau... Le dicton "du plomb dans la tête" prend un autre sens 🤣 encore faudrait il que les bénéfices/risques soit acceptable

https://ma-clinique.fr/la-technologie-revolutionnaire-permet-ladministration-darnm-a-travers-la-barriere-hemato-encephalique

La technologie révolutionnaire permet l'administration d'ARNm à travers la barrière hémato-encéphalique

Les scientifiques de l'École de médecine ICAHN du mont Sinaï ont développé un système de nanoparticules lipidiques capable de livrer l'ARN messager (ARNm) au cerveau via l'injection intraveineuse, un défi qui a longtemps été limité par la nature protectrice de la barrière hémato-encéphalique. Les résultats, dans des modèles de souris et des tissus cérébraux humains […]

La Chine découvre un nouveau virus chez les chauves-souris qui peut infecter les humains comme le Covid-19

21 février 2025 12:10

Une équipe de recherche chinoise a découvert chez les chauves-souris un nouveau coronavirus qui a le potentiel d'infecter les humains, car il utilise le même récepteur ACE2 que le virus responsable de la pandémie de Covid-19.

L’étude a été menée par Shi Zhengli, une virologue chinoise de premier plan. Shi, souvent surnommée la « femme chauve-souris », est surtout connue pour ses recherches sur les coronavirus des chauves-souris à l’Institut de virologie de Wuhan. Les travaux ont été menés au laboratoire de Guangzhou, en collaboration avec l’Académie des sciences de Guangzhou, l’Université de Wuhan et l’Institut de virologie de Wuhan.

Le nouveau virus appartient à une branche de la souche HKU5, détectée pour la première fois chez des chauves-souris japonaises à Hong Kong (Chine). Le virus appartient au groupe des merbecovirus, qui comprend le virus responsable du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS).

Ce virus a notamment la capacité de se lier au récepteur ACE2, un mécanisme similaire à celui du SARS-CoV-2, le virus responsable de la pandémie de Covid-19. Dans l'article publié dans la revue scientifique Cell, l'équipe de recherche écrit : « Nous avons découvert et isolé une nouvelle souche de HKU5-CoV (lignée 2), qui peut utiliser non seulement le récepteur ACE2 des chauves-souris, mais aussi celui des humains et de nombreux autres mammifères. »

Une fois isolé à partir d'échantillons de chauve-souris, le virus a pu infecter des cellules humaines ainsi que des tissus artificiels simulant les voies respiratoires et intestinales. « Le merbecovirus des chauves-souris présente un risque élevé d'infection des humains, soit par transmission directe, soit par l'intermédiaire d'un hôte intermédiaire », indique le rapport.

Le virus HKU5-CoV-2 est non seulement capable de se fixer au récepteur ACE2 chez l’homme mais également chez de nombreux autres animaux, créant ainsi un risque de propagation à l’homme par l’intermédiaire d’hôtes intermédiaires.

Le rapport précise toutefois que le virus pourrait potentiellement provoquer une épidémie, mais qu'il ne constitue pas encore une source d'inquiétude. Le virus appartient au groupe des merbecovirus, qui comprend quatre espèces distinctes : le virus MERS, deux virus présents chez les chauves-souris et un virus présent chez les hérissons.

En raison du risque de provoquer une épidémie, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a inclus ce groupe de virus dans la liste des nouveaux agents pathogènes à surveiller dans le cadre de la préparation à une pandémie.

Cependant, une autre étude récente menée par l'Université de Washington, Seattle (États-Unis) et l'Université de Wuhan a montré que bien que le virus HKU5 puisse se fixer au récepteur ACE2 des chauves-souris et des mammifères, il n'est pas capable de se fixer efficacement chez l'homme.

En réponse, l'équipe de recherche de Shi Zhengli a suggéré que le virus HKU5-CoV-2 a un degré d'adaptation à l'ACE2 humaine plus élevé que la version précédente (lignée 1) et peut infecter différentes espèces.

Cependant, les scientifiques soulignent toujours que l’efficacité infectieuse de ce virus est nettement inférieure à celle du Covid-19 et que le risque de propagation à l’homme ne doit pas être exagéré.

La nouvelle découverte de Shi Zhengli continue d'alimenter le débat sur les origines du Covid-19. L'Institut de virologie de Wuhan, où Shi travaillait, a été au centre des théories de fuites de laboratoire, bien qu'il n'existe pas encore de preuve concluante sur la véritable origine du virus SARS-CoV-2. Certaines études suggèrent que le virus pourrait provenir des chauves-souris et être passé à l'homme par un hôte intermédiaire.

Shi Zhengli a nié à plusieurs reprises que son laboratoire soit impliqué dans l’épidémie de Covid-19. Cependant, la découverte d’un nouveau virus capable d’infecter les cellules humaines de manière similaire au Covid-19 a encore accru l’intérêt des scientifiques et de la communauté internationale pour la recherche virologique en Chine.

HQ (according to VNA)

https://baohaiduong.vn/en/trung-quoc-phat-hien-virus-moi-o-doi-co-the-lay-sang-nguoi-giong-covid-19-405740.html

China discovers new virus in bats that can infect humans like Covid-19

A Chinese research team has found a new coronavirus in bats that has the potential to infect humans, because it uses the same ACE2 receptor as the virus that causes the Covid-19 pandemic.

Lors de J,O. , sur le forum, la qualité de l’eau de la Seine avait fait l’objet de débats et, bien évidemment ceux du véritable effet des travaux qui ont été réalisés. .

Il faut rester prudent, mais des faits récents montrent des résultats qui permettent d’espérer :

 »En étudiant les échantillons retenus dans les filtres, ils ont pu repérer, grâce à la technique de l’ADN environnemental, la présence de 36 espèces de poissons dans la Seine, soit dix fois plus que dans les années 60, ainsi que 23 moules d’eau douce au total, dont ces trois espèces en voie de disparition.

"On a plusieurs dizaines d'espèces de poissons" : grâce à sa dépollution pour les JO de Paris 2024, les pêcheurs observent le retour de la biodiversité dans la SeineCes moules en voie de disparition peuvent prospérer au cœur de Paris, ce qui est surprenant ! On est loin d’une réserve sauvage d'eau douce ultra-préservée. L’une des pistes avancées est l’activité humaine. La lumière artificielle abondante pourrait favoriser la présence de phytoplancton dans la Seine, or les moules s’en nourrissent. Les recherches vont se poursuivre, mais en attendant, il y a un autre motif de réjouissance : une moule est capable de filtrer 40 litres d’eau par jour, et sa simple présence contribue donc encore plus à l'épuration naturelle du fleuve.

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-billet-vert/a-paris-la-decouverte-dans-la-seine-de-moules-d-eau-douce-en-voie-de-disparition-confirme-le-bon-etat-de-sante-du-fleuve_7024442.html#xtor=CS2-765-%5Bautres%5D-

À Paris, la découverte dans la Seine de moules d'eau douce en voie de disparition confirme le bon état de santé du fleuve

La lumière artificielle abondante pourrait favoriser la présence de phytoplancton dans la Seine, or les moules s’en nourrissent.